Maya Fabregat hypnose et psychothérapie

Maya Fabregat hypnose et psychothérapie Faites confiance à votre inconscient, c’est un immense magasin de solutions.M.Erickson

Je consulte en cabinet pour l’hypnose et la psychothérapie.

Accompagnement therapeutique en visio / pas d’hypnose en distanciel. L’hypnose comporte un travail sur l’inconscient. Cette mémoire individuelle inclue toutes vos blessures émotionnelles pour la plupart refoulées et qui influent sur vos comportements, sur vos choix de vie, vos relations ainsi que votre santé. Consulter un thérapeute correspond souvent à un moment cruciale dans la vie. Je peux vous accompagner à mobiliser vos ressources, à l’aide de leviers efficaces . l’hypnothérapeute n’est pas habilité à poser un diagnostic , prescrire ou arrêter un traitement. Il n’est pas médecin/ il n’est pas psychiatre. Dans le cas où vous prenez un traitement, merci de m’en faire part et de le poursuivre. l’hypnothérapeute pratique l’hypnose à des fins thérapeutiques rien de comparable à l’hypnose de spectacle.

🟦PRÉCARITÉ ET TRAUMATISME  Vivre dans la précarité peut il nous traumatiser ? Le « scarcity trauma » ou trauma de la rar...
10/11/2025

🟦PRÉCARITÉ ET TRAUMATISME

Vivre dans la précarité peut il nous traumatiser ?

Le « scarcity trauma » ou trauma de la rareté ou du manque et des pénuries
désigne l’ensemble des effets psychiques, émotionnels corporels et comportementaux qui apparaissent lorsqu'une personne a dû vivre pendant une periode prolongée, dans un environnement ou les ressources essentielles étaient insuffisantes, incertaines ou menacées.

Le « scarcity trauma » naît de conditions matérielles non d'une volonté personnelle :
* précarité
* chomage
* migration forcée
* violences économiques
* endettement
* logements instables
* travail épuisant
* guerres, catastrophes, exils

Exemple : les personnes marquées par ce trauma peuvent acquérir des objets de manière compulsive, même sans en avoir besoin : c'est une manière de se protéger d'une peur profonde de"manquer plus t**d"

Les personnes continuent à fonctionner comme si le manque était actuel, même lorsque les conditions ont changé.
Ce n'est pas irrationnel :
📍👉🏼-> il s’agit d’ une mémoire traumatique.

Émotionnellement et psychologiquement, cela peut se manifester de différentes manières.
comme :
* Difficultés à accepter les cadeaux
* Une méfiance relationnelle
* L'hypervigilance face aux changements
* Le sentiment que "tout peut s'effondrer »

* Entrer en compétition par nécessité
* Possessivité autour des ressources
* Dépenser surtout pour les besoins de base, jamais pour le plaisir"
* Etre tout le temps en
"rush" / ne pas pouvoir se reposer

* ne pas pouvoir être présent.e car pris par la peur de la jalousie face aux succès d'autrui
* Épuisement et burnout
* Des croyances négatives sur le monde
* Une mise à distance des autres

* Un succès acquis qui semble toujours "éphémère"
* La sensation que les ressources sont temporaires et doivent être conservées
* Economiser / exagérer de prudence

📍👉🏼Réactions émotionnelles de détresse face aux pertes, même surmontables

Le « scarcity trauma » ne désigne pas un trouble individuel.
Il décrit la manière par laquelle on réagit à des conditions sociales injustes.
Où l'accès à ce qui est essentiel est rendu précaire, conditionnel, ou inégalement distribué.

Être précaire peut il nous traumatiser ?
Encore un terme socio économique et politique qui explique comment les conditions matérielles affectent notre fonctionnement psychologique.
L traumatisme et ses Impacts socialement : on parle de méfiance relationnelle

Sinon lire :
Psychological responses to scarcity de Jiaying Zhao, Brandon M Tomm
Oxford research encyclopedia of psychology, 2018

’affection

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31/10/2025

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🟥 ON NE NOMME PAS LE TRAUMA A LA PLACE DU CONSULTANT NON 👇🏼En tant que thérapeute, notre rôle n’est pas de “révéler” le ...
31/10/2025

🟥 ON NE NOMME PAS LE TRAUMA
A LA PLACE DU CONSULTANT

NON 👇🏼
En tant que thérapeute, notre rôle n’est pas de “révéler” le traumatisme à nos consultants, mais de respecter leur rythme et leur temps d’élaboration.
Beaucoup pensent que le/ la thérapeute doit trouver “la cause cachée d’une souffrance”, comme s’il suffisait de mettre un mot sur le traumatisme pour que tout s’éclaire et que tout guérisse.
Cette vision est séduisante, mais elle méconnaît la réalité du travail psychique.
Le travail thérapeutique ne consiste pas à révéler, mais à accompagner l’émergence.

Les recherches sur le traumatisme nous apprennent que la mise en mots n’est thérapeutique que si elle émerge d’un espace sûr.

Une alliance thérapeutique, offrant la possibilité pour la personne qui vient consulter de se sentir en “safe place”, écartée de tout sentiment de risque et de jugement permettra la confidence.

🚩👉🏼Une parole imposée, trop tôt, peut réactiver le traumatisme au lieu de le transformer.

Le cerveau traumatisé a besoin d’abord de sécurité, de lien et de régulation.

🚩👉🏼Forcer la conscience d’un patient peut être dangereux, car cela risque de réouvrir une blessure que le psychisme n’est pas encore prêt à affronter.

📍Les neurosciences du traumatisme, notamment les travaux de « Bessel van der Kolk » montrent que les souvenirs traumatiques ne sont pas d’abord stockés dans le langage, mais dans le corps, les émotions et les sensations.

📍Tant que le système nerveux est en état d’hyperactivité, il n’y a pas encore de place pour la mise en mots.
📍Le rôle du thérapeute est donc d’abord de sécuriser le système nerveux, et NON d’analyser le passé.

🚩👉🏼Lorsque le psychologue « révèle » ou « nomme » le traumatisme à la place du patient,
il prend le risque de :

1. Court-circuiter le processus d’élaboration, c’est-à-dire d’imposer un sens avant qu’il ne soit ressenti par le patient.

2. Renforcer la dissociation, si le vécu est nommé sans ancrage émotionnel.

3. Installer une asymétrie de pouvoir, où le psychologue devient le « sachant » et le patient, celui qui ne sait pas.

🚩👉🏼Dans ce cas, la parole du psychologue n’est plus un soutien, mais devient une intrusion, même involontaire.

⛔️Le psy ne détient pas la « vérité du patient ».

📍Adopter la posture du « sachant » risque de priver le sujet de son propre pouvoir de sens.

Au contraire, la thérapie offre un espace où le patient retrouve sa voix, son autorité intérieure et son propre rythme.

📍👉🏼Le savoir du thérapeute doit être au service du vécu, jamais à sa place.

📍Comme le rappelait Winnicott : « Le thérapeute offre un espace où le patient découvre ce qu’il sait déjà, mais n’a pas encore trouvé les mots pour dire. »

Alors, faut-il taire tout savoir ? Non.

La psychoéducation a toute sa place en psychothérapie, mais à un autre moment du processus : lorsque le vécu devient accessible, lorsque le patient peut tolérer d’en parler,
alors nommer, expliquer et mettre du sens peut apaiser, structurer et libérer.

📍La psychoéducation n’impose pas un savoir, elle éclaire un vécu déjà en mouvement.

📍👉🏼Elle soutient, elle ne devance pas.

Lorsque le traumatisme peut être
Le nom n’est pas révélé par thérapeute , mais rendu possible par le lien thérapeutique.

Il émerge comme une trace d’un processus accompli, et non comme une découverte imposée.

📍Respecter le rythme psychique, c’est choisir une thérapie éthique, sensible et profondément humaine.
📍C’est respecter la personne dans son individualité.

📍L'approche psychotrauma ne cherche pas
à déterrer des expériences, ni à imposer des mots avant que le patient soit prêt.

👉🏼📍Elle part du principe que la sécurité
et le rythme du patient précèdent toujours l'élaboration du trauma.

📍Concrètement, cela signifie créer un espace contenant où le patient peut déposer ce qu'il vit ;
📍soutenir la régulation émotionnelle et corporelle; accompagner, quand le moment est venu, la mise en mots et en sens des expériences douloureuses .

⛔️👇🏼
L'objectif n'est pas de
"révéler" le trauma, mais de permettre au patient de redevenir l'auteur de son histoire, de retrouver sa voix et sa confiance intérieure.

📍Cette approche, respectueuse et progressive, est soutenue par la recherche contemporaine sur le trauma (Van der Kolk, Herman, Winnicott) et constitue un cadre éthique, sûr et transformateur pour la psychothérapie.

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30/10/2025

LA OU LA LITTÉRATURE ET LA PSYCHOLOGIE SE REJOIGNENT , LE RÉEL ÉMERGE ET L’HUMAIN S’ÉPANOUIT POUR UNE ATMOSPHÈRE DES PLUS RENOUVELÉES. Rentable. À suivre. Paul Gasnier

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29/10/2025

LES PERSONNES TOXIQUES SONT -ELLES CONSCIENTES DE LEUR TOXICITÉ ?

Un dessin mignon pour réorganiser
ce qui se cache, dans la relation, comme une petite souris ..
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📍LE TRAUMA DE  DE LA MANIPULATION Les mémoires d'abus et d'intrusion :les impacts personnels et collectifsCertaines mémo...
27/10/2025

📍LE TRAUMA DE DE LA MANIPULATION

Les mémoires d'abus et d'intrusion :
les impacts personnels et collectifs

Certaines mémoires s'enracinent si profondément qu'elles semblent appartenir au corps lui-même.

Les mémoires d'invasion font partie de celles-là.

Elles naissent des expériences où l'intégrité (physique, émotionnelle, psychique, territoriale ou spirituelle) d'un être
a été traversée sans son consentement
: abus, agression, colonisation, manipulation, intrusion, domination...

Ces empreintes, inscrites dans le corps , parfois dans la mémoire familiale,
créent une difficulté à habiter pleinement son propre espace.

Ce Trauma raconte une histoire de dépossession.

Et tant qu’il demeure actif , il entretien
une lutte silencieuse entre le besoin de sécurité et la peur d'être à nouveau envahi.e.

Quand l'invasion devient mémoire
Chaque fois qu'un être, un peuple ou un corps
est forcé,
pénétré ou conquis,
l'énergie vitale enregistre le choc.

L'intrusion crée une faille dans le champ énergétique: un « trou » où se logent la peur,
la honte ou la sidération.

Ce n'est pas seulement un souvenir,
c'est une empreinte vibratoire qui altère la relation au corps, à l'espace, à la confiance et à la liberté.

Ceux et celles qui portent ces mémoires développent souvent une hypersensibilité à la présence ou au regard de l'autre.

Leur système nerveux reste en état d'alerte, même longtemps après.

Ce qui se transmet d'une génération à l'autre
Lorsqu'un traumatisme d'invasion n'a pas pu être reconnu ni réparé, il se transmet.

La descendance hérite inconsciemment du besoin de se protéger, de contrôler ou de s'effacer.

On retrouve alors des lignées entières où l'on apprend à ne pas faire de vagues, à se méfier
de l'autre, à ne pas faire confiance à l'autorité
ou à ne jamais baisser la garde.

L'inconscient familial répète : "Si tu t'ouvres, tu seras pris.
Si tu fais confiance, tu risques d'être anéanti.e"
Et ainsi, les corps se contractent,
les émotions se ferment, et la vie peine à circuler avec fluidité.

📍L’EFFET BOOMERANG DU CONTRÔLE

Les mémoires d'invasion créent un réflexe de défense : vouloir tout maîtriser.
Maîtriser son image, ses émotions, ses relations, son emploi du temps, son intimité.

Mais ce contrôle permanent est un enfermement déguisé : il empêche la fluidité, la sensualité, la confiance, la créativité.

Le corps, saturé de vigilance, s'épuise à prévenir un danger qui n'existe plus.

Le chemin de réparation commence quand
le corps n'a plus besoin de se défendre pour ressentir.

📍L’INVASION INTÉRIEUR / LA TYRANNIE INVERSÉE

quand la peur s'installe en soi
Parfois, l'ennemi n'est plus dehors.
Il vit à l'intérieur, sous la forme d'une voix critique, d'une tension constante ou d'une culpabilité diffuse.

🚩On s'envahit soi-même avant d'être envahi par l'autre.

🚩On s'empêche d'aimer, de se montrer, de recevoir, de s'abandonner.

Le traumatisme devient une habitude énergétique: celle de se contracter dès que la vie approche trop près.
🚩Ce n'est plus l'autre qui pénètre :
c'est la peur qui colonise.

📍LES TERRITOIRES DU CORPS

Le corps est le premier territoire qu'on nous apprend à oublier.
Dans les lignées marquées par l'abus,
les descendants peuvent vivre une sensation étrange d'être "à côté d'eux-mêmes".

Difficulté à sentir le plaisir, à respirer pleinement, à se détendre.
Certains ressentent le besoin de se cacher, d'autres se sur-exposent, comme pour prouver qu'ils existent encore.
Ces comportements opposés traduisent la même racine :
une frontière énergétique abîmée.

La guérison commence lorsque le corps retrouve le droit d'être un sanctuaire, non un champ de bataille.

🌎🌎🌎🖖🏾🖖🏿🖖🏼

📍Les héritages collectifs et historiques
Les mémoires d'invasion ne concernent pas seulement les individus :
elles traversent des peuples entiers.

Colonisation, esclavage, exil, guerre, domination religieuse... Ces expériences laissent des traces dans les champs énergétiques collectifs.

Elles façonnent encore aujourd'hui notre rapport
à l'autorité, au pouvoir, à la possession, au territoire et même à l'argent.
Certains portent la peur inconsciente d'être à nouveau conquis ;
d'autres reproduisent inconsciemment le rôle
du conquérant pour ne plus être dominés.

Reconnaître ces mémoires collectives, c'est réintégrer la part d'humanité qu'elles ont fracturée.

Pourquoi on ne s'en libère pas "quand on veut"
Ces mémoires sont profondes, très enfouies sous des couches de survie.

Leur libération ne se décrète pas : elle survient quand le corps et la conscience sont prêts à traverser ce qui fut trop douloureux.

Vouloir aller trop vite, c'est risquer de raviver une douleur qu'on n'est pas encore capable d'accueillir en sécurité.

Guérir, ici, c'est avant tout restaurer la sécurité intérieure : apprendre à sentir sans se dissocier,
à accueillir sans se perdre.

La douceur est plus transformatrice que la volonté.

📍CHEMIN DE GUÉRISON

Guérir d'une mémoire d'invasion, c'est réapprendre à dire : c'est mon espace, mon rythme, mon souffle, ma présence.

C'est réinstaller la confiance entre soi et soi.

Cela passe par des pratiques de réappropriation du corps (respiration, danse, toucher conscient), par la parole, par la reconnaissance des lignées, par le soutien thérapeutique ou énergétique.

Chaque fois qu'une personne réhabite son espace intérieur, elle referme une brèche ancestrale.

Et peu à peu, le monde se rééduque
à la non-violence.

Ces mémoires ne condamnent pas,
elles invitent à restaurer le sacré de l'espace intérieur.
Elles rappellent que chacun demeure souverain de son corps, de son territoire et de sa lumière.

Les reconnaître, c'est déjà rétablir la dignité du vivant en soi.
En les traversant, on permet à la vie de circuler librement.
La liberté ne naît pas de la distance avec l'autre, mais de la relation consciente et apaisée
avec soi-même. Elle permet la connexion à l’autre en conscience confiance et considération.

Nous portons tous, d'une manière ou d'une autre, les traces d'une intrusion.
Celle faite à nos corps, à nos ancêtres,
à nos terres ou à notre humanité.
Ces empreintes influencent nos manières d'aimer, de nous défendre, de faire confiance, de prendre ou de céder la place.
Les comprendre, c'est reconnaître comment
le contrôle, la domination ou la peur de l'autre
se sont inscrits dans nos cellules autant que dans nos sociétés.
Et chaque fois qu'une personne s'en libère,
c'est tout un champ collectif qui respire à nouveau.
Guérir ces mémoires, c'est participer à la guérison du monde.

Et toi, dans quel domaine de votre vie sens-tu encore le besoin de protéger ton espace intérieur ?

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# trauma collectif #

Adresse

Centre Paramédical Michelet Raphaël, 14 Rue Raphaël
Marseille
13006

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 20:00
Mardi 09:00 - 20:00
Mercredi 09:00 - 20:00
Jeudi 09:00 - 20:00
Vendredi 09:00 - 20:00
Samedi 09:00 - 18:00

Site Web

https://www.psychologue.net/cabinets/maya-fabregat, https://www.google.com/search?sca_esv=324d

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