Vision Holistique: Développement et Santé Globale avec Jocelyne Ferfer

03/12/2025

Ignorer la T3 : l’erreur médicale qui brise des vies
Pourquoi ignorer la T3, les cofacteurs, les métaux lourds, l’iode et les surrénales conduit à l’échec thérapeutique dans les troubles thyroïdiens ?
Pendant des décennies, la médecine conventionnelle a centré l’évaluation de la fonction thyroïdienne sur la TSH et la thyroxine (T4). Pourtant, la science évolue, les connaissances progressent, mais les pratiques cliniques restent figées. Continuer à ignorer la physiologie réelle de la thyroïde conduit à des diagnostics incomplets, des traitements inefficaces et un grand nombre de patients qui continuent à souffrir malgré une prise en charge « normale ».
Dans une approche fonctionnelle, systémique et biologique, chaque étape du métabolisme thyroïdien compte : conversion de la T4, disponibilité de la T3 active, statut minéral, métaux lourds, stress surrénalien, inflammation. Les ignorer, c’est passer à côté de la cause.
1. Ignorer la T3 au profit d’une T4 inactive : une erreur monumentale
La T4 est une hormone majoritairement inactive. Seule la T3 se fixe réellement aux récepteurs nucléaires pour activer le métabolisme cellulaire.
👉 La relation est simple :
Pas de T3 = Pas de métabolisme effectif, même si la TSH et la T4 sont « normales ».
Pourquoi c’est une erreur ?
• La conversion T4 ➝ T3 varie d’un patient à l’autre.
• Environ 80 % de la T3 provient de la conversion périphérique, pas de la thyroïde directement (Bianco et al., Endocrine Reviews, 2019).
• 10 à 20 % de la T4 est transformée en rT3 (reverse T3), forme inactive, surtout en cas de stress, inflammation ou exposition aux toxiques.
Référence scientifique majeure
• Hoermann et Midgley, Molecular and Cellular Endocrinology, 2017 : « La TSH ne reflète pas fidèlement l’état tissulaire de la T3 et ne devrait pas être utilisée seule pour juger de l’euthyroïdie. »
2. Ignorer les cofacteurs nécessaires à la conversion T4 → T3 : encore une erreur
La conversion dépend d’enzymes appelées désiodases, qui nécessitent des nutriments précis.
Sans ces cofacteurs, la T3 chute, même si la T4 est normale.
Cofacteurs cruciaux :
• Sélénium (cofacteur des désiodases D1 et D2)
• Zinc
• Fer (nécessaire à la thyroperoxydase)
• Magnésium
• Vitamine A
• Vitamine D
Études marquantes
• Arthur et Beckett, Journal of Endocrinology, 2020 : le sélénium est indispensable à l’activation de la T3.
• Zimmermann, The Lancet, 2008 : le fer est essentiel à la thyroperoxydase et à la production hormonale.
Ignorer ces cofacteurs, c’est comme donner de l’essence à une voiture sans vérifier qu’il y a une batterie, un moteur et des câbles.
3. Ignorer la présence de métaux lourds provoquant la T3 reverse : une erreur lourde de conséquences
Les métaux lourds (mercure, plomb, cadmium, arsenic) altèrent la fonction thyroïdienne en plusieurs étapes :
Mécanismes d’action :
1. Inhibition des désiodases → augmentation de la rT3.
2. Perturbation des récepteurs nucléaires de la T3.
3. Stress oxydatif → inflammation → conversion T4 vers rT3 au lieu de T3.
Données scientifiques
• Chung et al., Environment International, 2021 : le mercure diminue significativement la conversion T4 → T3 et augmente la rT3.
• Chen et al., Thyroid, 2019 : les métaux lourds sont associés à une hypothyroïdie subclinique résistante au traitement par T4 seule.
Ignorer les métaux lourds = ignorer la racine du blocage métabolique.
4. Ignorer l’absence d’iode dans les urines 24 h : une erreur diagnostique et thérapeutique
L’iode est la pierre angulaire de la fabrication des hormones thyroïdiennes.
Mais 70 % des carences passent inaperçues car on ne teste plus l’iode urinare.
Pourquoi mesurer l’iode sur 24h ?
• C’est le gold standard pour évaluer la disponibilité de l’iode.
• Une carence entraîne un ralentissement de la production hormonale même avec une TSH normale.
Références
• WHO/UNICEF, 2020 : l’insuffisance iodée reste un problème mondial sous-diagnostiqué.
• Leung et Pearce, New England Journal of Medicine, 2014 : l’iode insuffisant entraîne une hypothyroïdie fonctionnelle qui n’est pas visible avec la TSH seule.
5. Ignorer les surrénales : une erreur qui fait échouer même les meilleurs traitements
Les hormones thyroïdiennes et les hormones surrénaliennes fonctionnent en binôme.
Le cortisol régule :
• l’expression des récepteurs de la T3,
• la conversion T4 → T3,
• la production d’énergie mitochondriale.
Stress chronique = baisse de T3 et hausse de rT3
Le corps ralentit volontairement le métabolisme pour économiser l’énergie lors d’un stress prolongé. C’est un mécanisme de survie, pas une maladie.
Étude clé
• Fliers et Boelen, Nature Reviews Endocrinology, 2014 : le stress chronique augmente la production de rT3 et réduit la conversion de T4 en T3.
Ignorer les surrénales est donc un sabotage du traitement thyroïdien.
6. Le vrai problème : traiter le symptôme est plus simple que traiter la cause
Prescrire de la T4 seule est simple, rapide, et « dans les guidelines ».
Mais c’est un traitement symptomatique, pas physiologique.
Pourquoi les patients restent-ils fatigués, déprimés, avec prise de poids ?
Parce que leur problème n’est pas un manque de T4.
C’est :
• une conversion bloquée,
• une inflammation,
• une carence en cofacteurs,
• une surcharge en métaux lourds,
• un déficit d’iode,
• un burn-out surrénalien.
Approche fonctionnelle : traiter les causes
• Nutriments
• Détoxification
• Équilibre du stress
• Métabolisme mitochondrial
• Inflammation
• Microbiote
• Surrénales
• Métaux lourds
• Iode
• rT3
• Génétique (DIO2 Thr92Ala, MTHFR…)
Pour Conclure
Les temps changent, la science avance, mais les pratiques restent figées.
La thyroïde est un système dynamique, pas un simple chiffre sur une analyse de TSH.
Ignorer la T3, les cofacteurs, les métaux lourds, l’iode et les surrénales…
c’est condamner les patients à rester malades alors que les solutions existent.
👉 L’heure n’est plus à traiter un symptôme.
L’heure est à comprendre le terrain, le système, la biologie réelle.
Dr Mohamed Boutbaoucht
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01/12/2025

🌿 Zona – Quand la mémoire nerveuse ravive des douleurs enfouies
Le zona n’est pas qu’un épisode cutané douloureux.
C’est une réactivation silencieuse d’un passé qui n’a jamais vraiment guéri.
Une braise ancienne qui couvait sous la peau, et qui, un jour, se rallume.
C’est le corps nerveux qui se souvient.
Et ce souvenir, souvent invisible à l’œil nu, finit par éclater à la surface sous forme de feu, de picotement, de brûlure, de tension.
💬 “Je ne comprends pas pourquoi ça ressort maintenant.”
💬 “J’ai l’impression que mon corps ravive une vieille blessure…”
💬 “Je me sens vulnérable, à fleur de peau, littéralement.”
🌀 Lecture symbolique & émotionnelle du zona;
Le zona est souvent lié à une ancienne blessure non exprimée, à un stress profond, ou à une surcharge émotionnelle qui a affaibli les défenses intérieures.
✨ Il apparaît souvent :
• Après un choc émotionnel (perte, séparation, changement brutal)
• Lors d’un épuisement physique ou mental important
• Quand une vieille mémoire (traumatique, inconsciente) veut refaire surface
🔥 Le feu du zona est un feu émotionnel.
Une inflammation de l’âme qui n’a pas été entendue à temps.
🌸 Le trajet nerveux comme chemin de mémoire:
Le zona suit un trajet nerveux bien précis comme si le système nerveux devenait messager d’une émotion ancienne cristallisée.
Selon la zone touchée, la symbolique peut varier :
🔹 Au niveau du thorax / dos :
→ Zone du cœur, du passé porté dans le dos, des charges invisibles.
💬 Message : Tu n’as plus à porter seule ce poids.
🔹 Sur le visage :
→ L’image de soi, l’identité, la reconnaissance.
💬 Message : Une ancienne blessure liée au regard des autres ou à une humiliation pourrait remonter.
🔹 Autour de l’œil (zona ophtalmique) :
→ Une perception altérée du monde, une douleur liée à ce qu’on a vu ou qu’on ne voulait pas voir.
💬 Message : Ton regard mérite d’être lavé avec douceur.
🔹 Autour du ventre ou du bassin :
→ Mémoires d’abandon, d’insécurité viscérale ou de blessure intime.
💬 Message : Ton centre a besoin d’être sécurisé, rassuré.
🌙 Le zona comme réveil de l’inconscient…
Le virus de la varicelle reste tapi, parfois toute une vie, sans bruit.
Et puis un jour, une faille émotionnelle, une perte de contrôle, un trop-plein… et il revient.
C’est une image puissante de ce que l’inconscient peut faire :
Il stocke, il garde, il attend mais il n’oublie pas.
🌾 Le zona t’invite à aller voir ce que tu as préféré enterrer.
Non pour rouvrir la plaie.
Mais pour la nettoyer avec conscience, l’apaiser, l’envelopper de lumière.
🕯 Mémoires associées possibles :
• Traumatismes non exprimés dans l’enfance
• Blessures émotionnelles refoulées (perte, abus, séparation)
• Peur de la vulnérabilité ou du lâcher-prise
• Sentiment de colère contenue ou d’injustice chronique
• Mémoires transgénérationnelles de honte ou de douleur silencieuse
🕊 Et si le zona était une traversée ?
Un passage de feu, douloureux, certes, mais aussi sacré.
Il te montre là où ça chauffe encore, là où la cicatrice ne s’est jamais vraiment fermée.
✨ Il dit :
👉 “Tu n’as plus besoin de rester en état d’alerte.”
👉 “Ce feu n’est pas là pour te brûler, mais pour te purifier.”
👉 “Ton corps a souffert en silence. Il est temps de l’écouter.”
🌸 Chemins de pacification intérieure :
• Se reposer pleinement, accueillir la lenteur
• Pratiques de libération émotionnelle (écriture intuitive, thérapies douces)
• Appliquer de la chaleur bienveillante (plantes, massages, visualisations)
• Rituel de pardon envers soi-même ou le passé
• Nettoyage énergétique des anciennes colères ou blessures
🔔 Note importante :
Cette lecture est symbolique et ne remplace en aucun cas un diagnostic ou un traitement médical.
Elle vient en complément, pour comprendre ce que le corps peut vouloir exprimer au-delà du symptôme physique.
La souffrance est réelle, et mérite un accompagnement global physique, émotionnel, énergétique. lalueurduphoenix
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29/11/2025

« En cette période de Noël, offrez (ou offrez-vous) un cadeau qui réchauffe le cœur avec un prix spécial Noël : l’Oracle de la Gratitude Profonde. »
mais que contient ce jeu d'oracle.
🌸 Présentation de – L’Oracle de la Gratitude Profonde
Un voyage intérieur pour retrouver la lumière, la paix et la douceur.
L’Oracle de la Gratitude Profonde est bien plus qu’un simple jeu de cartes.
C’est un guide intime, un compagnon d’âme, une main posée doucement sur le cœur de ceux qui traversent la vie avec ses joies, ses questions et ses épreuves.
Créé pour ramener chacun vers l’essentiel, cet oracle invite à ralentir, ressentir, comprendre et aimer — profondément.
🌿 Un oracle qui ouvre le cœur
Dans un monde où tout va vite, la gratitude devient une boussole intérieure.
Elle recentre, elle apaise, elle élève la vibration émotionnelle et reconnecte chacun à ce qui est déjà là :
la beauté du quotidien, les forces qu’on oublie, les petites victoires invisibles, les élans du cœur, les apprentissages.
Chaque carte de cet oracle est une porte.
Une porte vers plus de douceur, de clarté, d’acceptation…
Une porte vers soi.
✨ Ce que vous trouverez dans ce jeu
💌 Des messages profonds et inspirants
Chaque carte parle directement à l’âme :
comme une lettre qu’on reçoit au bon moment,
une vérité que l’on avait besoin d’entendre,
un rappel de sa valeur, de sa force ou de son besoin du moment.
🔍 Une lecture intérieure révélatrice
Les cartes agissent comme un miroir.
Elles mettent en lumière ce que vous vivez, même si vous n’arrivez pas encore à le nommer :
un besoin de paix, un manque de confiance, une libération nécessaire,
ou simplement un moment pour vous dire « tu fais de ton mieux ».
🌱 Des invitations concrètes pour avancer
Cet oracle n’est pas seulement inspirant : il est transformateur.
Chaque carte propose une ouverture, un geste, une intention, un petit pas réel et accessible pour changer l’énergie de votre journée.
🌺 Une vibration unique
Les cartes portent chacune une énergie propre : la douceur, la guérison, l’alignement, le lâcher-prise, la gratitude, le courage…
Elles accompagnent la personne dans son cheminement émotionnel et spirituel.
🔮 À qui s’adresse cet oracle ?
À toutes les personnes qui cherchent :
du réconfort
du sens
un retour à elles-mêmes
un ancrage émotionnel
une guidance douce et lumineuse
un support au quotidien
ou simplement une inspiration pour commencer la journée différemment.
Il convient autant aux débutants qu’aux personnes habituées aux oracles,
et il est aussi un merveilleux outil pour les thérapeutes, car il ouvre des espaces de parole, de conscience et de guérison.
🌞 Comment l’utiliser ?
🌟 Tirage du matin
Pour choisir l’énergie de la journée et se centrer.
🌟 Tirage émotionnel
En cas de doute, de peur, de stress ou de fatigue intérieure,
la carte agit comme un apaisement immédiat.
🌟 Tirage en profondeur : 1–3 cartes
1 carte pour le message du moment.
3 cartes pour comprendre :
ce qui bloque,
ce qui se joue maintenant,
la direction à prendre.
🌟 Accompagnement thérapeutique
Les messages ouvrent des portes intérieures puissantes :
ils révèlent ce que la personne ne voit pas encore,
ou ce qu’elle n’ose pas se dire.
💗 Pourquoi cet oracle est différent ?
Parce qu’il ne cherche pas à prédire l’avenir.
Il cherche à transformer le présent.
Il ne donne pas de leçons,
il accompagne.
Il ne parle pas d’autorité,
il parle avec douceur.
Il ressemble à ma façon de vous accompagner :
authentique, humain, bienveillant, profond.
C’est un oracle qui répare, qui éclaire, qui redonne espoir.
Un oracle qui invite à se reconnecter à la vie… et à soi.
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28/11/2025

« BONJOUR, JE SUIS TON SYMPTÔME »
Bonjour, j'ai beaucoup de noms : douleur au genou, bouton, mal d'estomac, rhumatisme, asthme, mucosités, grippe, mal de dos, sciatique, cancer, dépression, migraine, toux, grippe, mal de gorge, insuffisance rénale, diabète, hémorroïdes, et la liste est encore longue. Je me suis porté volontaire pour le pire travail possible : celui de porteur de nouvelles désagréables pour toi.
Tu ne me comprends pas, personne ne me comprend. Tu penses que je veux t'embêter, gâcher tes projets de vie ; tout le monde pense que je veux leur nuire, leur faire du mal ou les limiter. Et non, ce serait une absurdité complète. Moi, le symptôme, j'essaie simplement de te parler dans un langage que tu puisses comprendre. Que tu saisisses.
Dis-moi, irais-tu négocier avec des délinquants, frappant à leur porte avec une fleur à la main et un T-shirt portant le symbole de la « paix » imprimé dans le dos ? Non, n'est-ce pas ?
Alors, pourquoi ne comprends-tu pas que moi, le symptôme, je ne peux pas être « subtil » et « tout doux » lorsque je dois te transmettre le message ? Tu me frappes, tu me détestes, tu te plains de moi à tout le monde, de ma présence dans ton corps, mais tu ne prends pas une seconde pour raisonner et essayer de comprendre la raison de ma présence dans ton corps.
Je ne t'entends que me dire : « Tais-toi », « va-t'en », « je te hais », « maudite soit l'heure où tu es apparu », et mille phrases qui me rendent impuissant à te faire comprendre. Mais je dois rester ferme et constant, car je dois te faire comprendre le message.
Que fais-tu ? Tu m'envoies dormir avec des médicaments. Tu me fais taire avec des tranquillisants, tu me supplies de disparaître avec des anti-inflammatoires, tu veux m'effacer avec des chimiothérapies. Tu essaies, jour après jour, de me couvrir, de me sceller, de me faire taire. Et je suis surpris de voir que parfois, tu préfères même consulter des sorcières et des devins pour que je quitte ton corps de manière « magique ».
Et moi, dont la seule intention est de te donner un message, je suis totalement ignoré.
Imagine que je suis cette alarme avec sirène sur le Titanic, celle qui essaie de mille façons de te dire qu'en face se trouve un iceberg avec lequel tu vas t'écraser et couler. Je sonne et je sonne pendant des heures, des jours, des semaines, des mois, des années, essayant de te sauver la vie, et tu te plains parce que je ne te laisse pas dormir, parce que je ne te laisse pas marcher, parce que je ne te laisse pas travailler, mais tu refuses toujours de m'écouter...
Est-ce que tu commences à comprendre ?
Pour toi, moi, le symptôme, je suis « La Maladie ». Quelle chose absurde. Ne confonds pas les choses.
Tu vas chez le médecin, et tu paies pour des douzaines de consultations médicales. Tu dépenses de l'argent que tu n'as pas en médicaments après médicaments. Et tout cela juste pour me faire taire. Je ne suis pas la maladie, je suis le symptôme. Pourquoi me fais-tu taire, alors que je suis la seule alarme qui essaie de te sauver ? La maladie, « c'est toi », « c'est ton style de vie », « ce sont tes émotions contenues », ça, c'est la maladie. Et aucun médecin ici sur la planète Terre ne sait comment combattre les maladies. La seule chose qu'ils font, c'est me combattre, combattre le symptôme. Me faire taire, me réduire au silence, me faire disparaître. Me mettre un maquillage invisible pour que tu ne me voies pas.
Et oui, ce n'est pas grave si, en lisant ceci, tu te sens un peu agacé. Cela doit être quelque chose comme un « coup dur pour ton intelligence ». Ce n'est pas grave si pour l'instant tu te sens un peu contrarié ou frustré. Mais je peux très bien gérer tes processus et je les comprends. En fait, cela fait partie de mon travail, ne t'inquiète pas. La bonne nouvelle est que ne plus avoir besoin de moi dépend de toi. Cela dépend totalement de toi d'analyser ce que j'essaie de te dire, ce que j'essaie de prévenir.
Lorsque moi, « le symptôme », j'apparais dans ta vie, ce n'est pas pour te saluer, non. C'est pour te signaler qu'une émotion que tu as contenue dans ton corps doit être analysée et résolue pour ne pas te rendre malade. Tu devrais te donner l'occasion de te demander : « pourquoi ce symptôme est-il apparu dans ma vie ? », « que veut-il me dire ? ». « Pourquoi ce symptôme apparaît-il maintenant ? », « Que dois-je changer en moi pour ne plus avoir besoin de ce symptôme ? ».
Si tu laisses ce travail d'investigation uniquement à ton mental, la réponse ne t'emmènera pas plus loin que ce que tu as fait les années passées. Tu dois aussi consulter ton inconscient, ton cœur, tes émotions.
S'il te plaît, quand j'apparais dans ton corps, avant de courir chez le médecin pour qu'il m'endorme, analyse ce que j'essaie de te dire. Vraiment, pour une fois dans la vie, j'aimerais être reconnu pour mon travail, pour mon excellent travail. Et plus vite tu prendras conscience de la raison de mon apparition dans ton corps, plus vite je m'en irai.
Peu à peu, tu découvriras que plus tu es un bon chercheur, moins souvent je viendrai te rendre visite. Et je t'assure qu'un jour viendra où tu ne me verras ni ne me sentiras plus jamais. Au moment où tu atteindras cet équilibre et cette perfection en tant qu'« analyseur » de ta vie, de tes émotions, de tes réactions, de ta cohérence, je te garantis que tu ne consulteras plus jamais un médecin ni n'achèteras de médicaments.
S'il te plaît, laisse-moi sans travail. Ou penses-tu vraiment que j'apprécie ce que je fais ?
Je t'invite à réfléchir, chaque fois que tu me vois apparaître, à la raison de ma visite. Je t'invite à arrêter de t'en vanter auprès de tes amis et de ta famille, comme si j'étais un trophée. Je suis fatigué que tu dises : « Ah, eh bien, j'en suis toujours à mon diabète, tu vois, je suis diabétique. » « Ah, eh bien, je ne supporte plus la douleur dans mes genoux, je ne peux plus marcher. » « Toujours moi avec mes migraines. »
Tu te vantes de moi comme si j'étais un trésor dont tu n'as pas l'intention de te séparer. Mon travail est honteux. Et tu devrais avoir honte de t'en vanter devant les autres. Chaque fois que tu te vantes de moi, tu dis réellement : « Regardez comme je suis faible, je ne suis pas capable d'analyser ni de comprendre mon propre corps et mes propres émotions, je ne vis pas en cohérence, regardez-moi, regardez-moi ! »
S'il te plaît, prends conscience, réfléchis et agis. Plus vite tu le feras, plus vite je quitterai ta vie !
Sincèrement... Ton Symptôme.
Sucree.acidulee
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26/11/2025

Les dangers cachés des IPP : quand le « remède » devient la maladie
Les brûlures d’estomac, le reflux gastro-œsophagien (RGO) ou les ulcères touchent une grande partie de la population, et beaucoup se tournent sans hésiter vers les **inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) — ces médicaments censés « bloquer l’acidité » de l’estomac. Connus sous les noms Nexium, Mopral, Inexium, Oméprazole, Prevacid, Protonix, ces traitements figurent parmi les plus prescrits au monde.
Mais derrière leur apparente innocuité se cache une réalité inquiétante : à long terme, les IPP pourraient bien détériorer votre santé globale au lieu de la protéger.
Les risques scientifiquement établis :
De nombreuses études ont montré que l’utilisation chronique des IPP est associée à un risque accru de :
- Infections digestives graves : Clostridium difficile, Campylobacter, Salmonella, en raison d’un estomac devenu trop peu acide pour éliminer les germes.
- Fractures osseuses et ostéoporose, car l’acidité gastrique est essentielle à l’absorption du calcium et du magnésium.
- Maladies rénales chroniques, parfois irréversibles.
- Carences nutritionnelles (vitamine B12, fer, zinc, magnésium) qui affaiblissent le système nerveux et immunitaire.
- Cancer de l’estomac lié à une atrophie de la muqueuse et à la prolifération bactérienne (H. pylori notamment).
- Troubles auto-immuns comme le lupus cutané subaigu.
- Troubles cognitifs et démence, probablement liés au déficit énergétique cellulaire.
Et le pire ? Ces médicaments altèrent vos mitochondries ces centrales énergétiques de vos cellules car elles contiennent elles aussi des pompes à protons.
Autrement dit : en éteignant votre acidité gastrique, vous coupez aussi votre production d’énergie. Résultat : fatigue chronique, vieillissement accéléré et déclin de la vitalité métabolique.
Le reflux n’est pas causé par un excès d’acide mais souvent par un déficit :
Contrairement à l’idée reçue, la plupart des cas de reflux gastrique ne sont pas dus à un excès d’acidité, mais à une hypochlorhydrie (trop peu d’acide).
Les causes profondes ?
- Infection chronique à Helicobacter pylori,
- Stress chronique, qui diminue la sécrétion gastrique,
- Déséquilibres nutritionnels, car certains minéraux et vitamines (zinc, B6) sont indispensables à la production d’acide.
Sans acidité suffisante, la digestion est incomplète, la valve entre l’estomac et l’œsophage reste entrouverte, et le reflux apparaît.
Le cercle vicieux s’installe : plus on prend d’IPP, moins on produit d’acide et plus les symptômes s’aggravent à l’arrêt.
L’approche fonctionnelle : guérir, pas masquer
La médecine fonctionnelle propose une autre voie : chercher la cause racine plutôt que d’éteindre les symptômes.
Cela peut passer par :
- Le test et l’éradication d’H. pylori,
- La réduction du stress chronique,
- Le rééquilibrage du microbiote intestinal,( pour en trouver: https://jocelyneferfer.usana.com/ux/cart/fr-FR/product/108.330100 )
- L’utilisation de plantes digestives (gentiane, gingembre, curcuma, réglisse DGL), ( pour en trouver: https://jocelyneferfer.usana.com/ux/cart/fr-FR/product/264.330100 )
- Une alimentation adaptée, riche en fibres et pauvre en sucres raffinés,
- Le soutien de la fonction mitochondriale (coenzyme Q10, magnésium, B-complexe, L-carnitine). ( conseiller: https://jocelyneferfer.usana.com/ux/cart/fr-FR/product/101.330203 )
En résumé
Les IPP ne sont pas des ennemis lorsqu’ils sont utilisés à court terme, dans des cas bien précis.
Mais leur usage prolongé est un piège métabolique : il dérègle votre digestion, affaiblit votre immunité, et accélère le vieillissement cellulaire.
Le vrai remède, c’est la restauration de votre physiologie naturelle celle d’un estomac fort, acide et énergétiquement vivant.
« Le remède ne devrait jamais être pire que la maladie. Avant de bloquer votre acidité, cherchez d’abord à comprendre pourquoi elle vous manque. »
Dr Mohamed Boutbaoucht.
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24/11/2025

🌀 La reverse T3 : quand la thyroïde appuie sur le frein pour nous protéger

On parle souvent d’hypothyroïdie comme d’un “manque” d’hormones, mais ce n’est pas toujours le cas.
Parfois, le corps ralentit volontairement son métabolisme pour se protéger : c’est ce qu’on appelle l’hypothyroïdie adaptative.

👉 En situation de stress, fatigue, inflammation ou carences, notre organisme fabrique plus de reverse T3 (rT3), une forme “inactive” de l’hormone thyroïdienne.
C’est comme si le corps disait :

“Stop ! Je me mets au repos pour ne pas m’épuiser.”

Ce mécanisme :

Ralentit le métabolisme et la consommation d’énergie,

Diminue la température corporelle,

Permet aux cellules de récupérer.

🧠 Ce n’est donc pas une erreur, mais une intelligence du corps qui cherche à survivre en période difficile.

🔄 Comment relancer la bonne conversion vers la T3 active

Pour que le corps recommence à produire la bonne hormone (T3 active), il faut lever les freins :

Réduire le stress (sommeil, respiration, repos mental),

Soutenir les mitochondries (CoQ10, magnésium, carnitine, acide alpha-lipoïque…),

Corriger les carences (zinc, sélénium, fer, iode, tyrosine),

Diminuer l’inflammation (alimentation anti-inflammatoire, oméga-3, curcumine, polyphénols),

Rééquilibrer le cortisol grâce aux plantes adaptogènes (ashwagandha, rhodiola, ginseng…).

💡 À retenir

La reverse T3 n’est pas l’ennemie :
c’est le langage du corps pour dire qu’il est temps de ralentir, se régénérer et retrouver son équilibre.
Quand le calme revient, la thyroïde redémarre naturellement. 🌿
Vous pouvez en savoir plus sur les hormones ci-dessous
https://askthescientists.com/fr/hormones/
www.neuro-therapeute.fr

21/11/2025

🩸 Et si l’anémie n’était pas une maladie… mais une stratégie intelligente du corps ?

On parle souvent de l’anémie comme d’un “manque” à corriger.
Mais dans certains cas, elle pourrait être une réponse adaptative, une forme de protection mise en place par le corps lorsqu’il traverse une période d’inflammation, d’infection ou de stress intense.

🔬 Quand le corps se met en mode “économie d’énergie”

Lorsqu’il détecte un déséquilibre, l’organisme produit une hormone appelée hepcidine.
Elle bloque l’absorption du fer dans les intestins et empêche sa libération depuis les réserves.

👉 Résultat : le fer devient moins disponible dans le sang.
Et ce n’est pas un hasard.
Le fer, aussi vital soit-il, est hautement oxydant et favorise la croissance des microbes et des cellules tumorales.

C’est donc une réaction protectrice : le corps se met temporairement au ralenti,
il freine la production de globules rouges pour économiser son énergie
et priver les pathogènes de leur carburant préféré.

⚙️ Un ralentissement volontaire

Produire du sang demande beaucoup de fer, de cuivre, de vitamines B et d’oxygène.
Quand les tissus sont déjà fatigués ou en manque d’oxygène, fabriquer plus de sang devient un luxe que le corps ne peut pas s’offrir.

Il choisit alors de ralentir volontairement son métabolisme pour préserver l’essentiel :
🧠 le cerveau
💖 le cœur
🌬️ le foie

C’est le même principe qu’on retrouve dans la fatigue chronique ou certaines hypothyroïdies fonctionnelles : le corps se protège, il ne “lâche pas”, il économise.

🧠 Comprendre avant de supplémenter

Supplémenter en fer sans comprendre la cause peut être une erreur.
Si l’origine est inflammatoire, on risque d’entretenir le stress oxydatif ou d’alimenter les pathogènes.

Avant toute correction, il faut toujours écouter le terrain :
inflammation, digestion, oxygénation, équilibre hormonal, mitochondries…
C’est le contexte global qu’il faut restaurer.

🌿 Soutenir le corps intelligemment

Pour aider le corps à retrouver son équilibre :
✨ Bouger en douceur : marche, yoga, sauna, bains chauds.
☀️ Oxygéner : respiration consciente, lumière naturelle, nature.
🍋 Réduire l’inflammation : vitamine C, oméga-3, curcumine, ortie, romarin.
⚡ Soutenir les mitochondries : magnésium, cuivre, zinc, CoQ10, B-complex.

Quand les tissus retrouvent leur oxygène, le corps remet naturellement en route la production sanguine et mobilise le fer déjà présent.

💬 En conclusion

Et si l’anémie n’était pas toujours une faiblesse ?
Et si elle traduisait, au contraire, une sagesse biologique…
celle d’un corps qui dit :

“Je me protège pour mieux guérir.”

Avant de vouloir corriger les chiffres, prenons le temps d’écouter le message.
Le corps sait ce qu’il fait — encore faut-il lui faire confiance. 💫
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