04/11/2025
Bonjour, comme beaucoup le savent déjà, le mois de novembre est le mois sans tabac.
Alors, bien sûr, il y a plus de demandes à ce sujet qui arrivent à mon cabinet de Monteils.
Pour la plupart des personnes, c'est l'occasion de démarrer un travail pour arrêter de fumer, l'occasion d'entamer un processus auquel ils pensent déjà depuis, peut-être, longtemps.
Bien évidemment, à ce stade, il subsistent des doutes, des croyances que l'on rencontre régulièrement et qui contribuent à freiner le passage à l'acte ou à maintenir le problème. Parmi ces croyances, on trouve celle que : plus cela fait longtemps qu'on fume, plus cela va être compliqué d'arrêter. Une autre croyance est que fumer aide à chasser le stress, à se détendre au moment d'une pause.
En ce qui concerne le premier point, en réalité, tout est affaire de décision. Si la décision est vraiment prise, pour vous, de vous libérer de cette addiction, alors ce sera beaucoup plus facile que vous ne le pensez. Et parfois, souvent même, une seule séance suffira.
Pour le second frein, la science, aujourd'hui, révèle que la combustion de la ni****ne, ajoutée aux nombreuses substances que l'on trouve dans une cigarette (dont certains addictifs), crée une réaction chimique qui a un effet anti-dépresseur. Cette réaction emprunte le même circuit, dans le cerveau, que celui du plaisir et de la récompense, mais elle induit également une hausse de l'anxiété.
Ainsi, chaque cigarette augmente le niveau moyen de stress, en alimentant un cercle vicieux : plus je fume, plus je suis anxieux et plus j'ai envie de fumer.
C'est ce que l'on appelle une manipulation chimique du cerveau. Ce qui "apaise" sur le moment entretient en fait le stress à long terme.
Alors, si vous sentez que c'est le moment pour vous, pour différentes raisons, de vous libérer de cette dépendance, n'hésitez pas à me contacter sur le 07 77 31 25 35.
Bonne journée à tous.