Gallien Équilibre Intérieur

Gallien Équilibre Intérieur Éclaireur intérieur. Clés 🔑 & Gemmes 💎. Lampe allumée pour celles prêtes à explorer l’intérieur.

𝗝𝗲 𝗿𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲… 𝗲𝘁 𝗷𝗲 𝘀𝗲𝗻𝘀 𝘀𝘂𝗿𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗻𝗲 𝘃𝗼𝗶𝘁 𝗽𝗮𝘀.Je tombe sur ces images.On dirait une carte dessinée pa...
25/11/2025

𝗝𝗲 𝗿𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲… 𝗲𝘁 𝗷𝗲 𝘀𝗲𝗻𝘀 𝘀𝘂𝗿𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗻𝗲 𝘃𝗼𝗶𝘁 𝗽𝗮𝘀.

Je tombe sur ces images.
On dirait une carte dessinée par quelqu’un qui n’a jamais mis les pieds chez nous.

Je lis les mots.
Je sens l’écart.
Je sens surtout… ce qu’ils ne sentent pas.

Ils parlent de nous comme on décrit une tempête depuis l’abri.
Sans vent.
Sans pluie.
Sans vertige.
Et sans honte de ne rien comprendre.

Je ne leur en veux pas.
Je ne leur demande même plus.
Je constate seulement ceci :
ils veulent encore nous expliquer… au lieu de nous laisser vivre.

Et quelque part, en silence,
je me dis :
si l’incompréhension est définitive…
alors qu’ils nous foutent la paix.

Parce qu’ici, dans nos chaos qui s’alignent,
on ne cherche pas à être réparés.
On cherche juste un espace où rien ne nous est arraché.

Je continue.
Avec ceux qui sentent sans mode d’emploi.
Avec ceux qui ne me demandent jamais d’être plus carré que nécessaire.
Avec ceux qui savent que nos spirales ne sont pas des problèmes.
Juste… notre manière d’être au monde.




Ce type de graphique sur le TDAH — comme beaucoup d’autres — décrit avant tout une lecture normotypique de ce qui nous traverse. Ce n’est pas une critique, c’est un constat structurel : ces représentations ont été pensées, étudiées et validées par des personnes qui ne vivent pas de l’intérieur ce qu’elles tentent d’observer. La conséquence est simple : la carte ne reflète jamais le territoire réel.

Les normotypiques abordent le TDAH sous l’angle du déficit, de la déviation par rapport à une norme statistique. Ils observent la verbosité, le désordre narratif, les digressions, ou la difficulté à structurer un récit. Mais ils ne perçoivent pas ce qui se joue en amont : la surcharge d’informations, la rapidité associative, la densité émotionnelle, l’hyperréactivité aux micro-signaux, la simultanéité des niveaux de pensée, ou encore la difficulté à réduire un monde complexe à une ligne droite.

Le malentendu est profond : ils évaluent selon leur logique linéaire un fonctionnement qui ne l’est pas. Ils cherchent la cohérence dans un fil, alors que notre cohérence se déploie en toile. Ils cherchent la brièveté dans un monde où chaque détail porte sens. Ils tentent de comprendre une structure interne sans percevoir le vécu sensoriel, émotionnel, perceptif qui l’alimente.

Ce n’est pas leur faute : ils n’ont pas accès à l’expérience. Mais leurs conclusions deviennent des normes, et ces normes deviennent des injonctions. C’est là que la tension naît : ce qu’ils ne comprennent pas, ils veulent souvent le “corriger”.

D’où l’importance de remettre les choses à leur juste place : comprendre que ces graphiques ne sont pas des vérités sur nous. Ils sont des tentatives de lecture depuis l’extérieur. Notre réalité intérieure ne peut être décrite précisément qu’à partir de nos propres repères, de notre propre langage et de notre manière de traverser le monde.

Notre fonctionnement n’a pas besoin d’être justifié — il a besoin d’être respecté. Et parfois, la première étape vers ce respect consiste simplement à reconnaître que ceux qui ne vivent pas notre monde… ne peuvent pas en écrire la carte.

𝗤𝘂’𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗿𝘁𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁, 𝗶𝗰𝗶, 𝗹’𝗲𝗻𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗼ù 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗶𝗿𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻𝗳𝗶𝗻 ?Il y a des femmes qui arrivent sans ...
23/11/2025

𝗤𝘂’𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗿𝘁𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁, 𝗶𝗰𝗶, 𝗹’𝗲𝗻𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗼ù 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗶𝗿𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻𝗳𝗶𝗻 ?

Il y a des femmes qui arrivent sans bruit.
Elles ne cherchent pas quelqu’un…
juste un espace où leur souffle n’a plus besoin de se retenir.

Dans ce lieu, quelque chose se dépose doucement.
Pas une promesse.
Pas une méthode.
Une présence qui laisse de la place, sans orienter.

Elles avancent un peu.
Et ce qu’elles portent avance avec elles — sans devoir s’expliquer.

Parce qu’ici, rien n’est attendu.
Rien n’est exigé.
Même revenir n’a pas besoin d’être justifié.

Je ne retiens pas.
Je ne dirige pas.
J’ouvre seulement un passage tranquille où ce qu’elles portent peut enfin se poser.

Elles sentent qu’ici, rien n’a besoin d’être caché ni protégé.
Pas par analyse.
Mais parce qu’ici, tout peut simplement se relâcher.

Pas pour mettre en avant.
Mais simplement parce que ce qui leur pèse se dépose un peu.

Il paraît que cela apaise.
Non pas par des réponses.
Mais par une manière de questionner qui remet doucement les contours en place.

Elles ne viennent pas pour être corrigées.
Elles viennent pour retrouver ce qui vibrait déjà —
trop doucement pour qu’elles l’entendent seules.

Et parfois, en s’asseyant quelques minutes,
quelque chose en elles trouve enfin la place d’exister.
Sans effort. Sans forme. Sans but.

Certaines disent que c’est la première fois que cela ne serre pas.
Juste… un peu d’espace.

✧⌁☉ 𝗹𝗮 𝗰𝗹é ☉⌁✧

Il existe des endroits où rien n’est à prouver.
Quand cela arrive, on ne “change” pas :
on revient à soi.




𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝘁 𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗲… 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘃𝗼𝘂𝘀. 𝗜𝗞𝗜𝗚𝗔Ï“L’Ikigaï qui ne m’a jamais vraiment parlé”Il m’a attiré longtemps, ...
22/11/2025

𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝘁 𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗲… 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘃𝗼𝘂𝘀. 𝗜𝗞𝗜𝗚𝗔Ï

“L’Ikigaï qui ne m’a jamais vraiment parlé”

Il m’a attiré longtemps, ce mot.
Comme un halo qu’on croit ancien parce qu’il rassure.
J’ai marché vers lui sans vraiment savoir pourquoi.
Juste… parce qu’il brillait au bon endroit.

On m’avait dit : tu verras, ça donne du sens.
Alors j’ai essayé d’y croire.
De faire entrer ma vie dans ces quatre cercles.
De trouver la case qui me ferait enfin respirer juste.

Et puis un soir, j’ai arrêté de regarder les couleurs.
J’ai écouté ce que mon corps murmurait derrière.
Une tension, fine, presque imperceptible…
comme quand quelque chose sonne beau, mais pas vrai.

C’est là que j’ai découvert la couture.
Un modèle inventé.
Un mot tiré ailleurs.
Une sagesse redessinée pour séduire l’Occident.
Rien de japonais.
Rien d’originel.
Rien qui parle à celles qui sentent avant de comprendre.

Étrangement… ce dévoilement ne m’a rien enlevé.
Il m’a rendu libre.
Libre d’arrêter de chercher ma place dans un dessin qui n’était pas le mien.
Libre de sentir ce qui, en moi, vibrait déjà comme une raison discrète d’avancer.
Sans nom.
Sans diagramme.
Sans validation extérieure.

Et si, dans votre vie aussi,
quelque chose vous semblait “juste à côté”…
pas faux, pas vrai, simplement… pas vous,
peut-être que ce n’est pas un modèle qu’il vous manque.
Juste un espace pour entendre votre souffle.

Ce soir-là, j’ai fait un geste minuscule :
j’ai fermé les yeux.
J’ai mis la main sur ma poitrine.
Et j’ai attendu que quelque chose réponde.
Une seule note.
Une seule direction.

Depuis, je ne cherche plus l’Ikigaï.
Je cherche cette note.
Elle change.
Elle glisse.
Elle m’oriente.
Et elle n’a jamais eu besoin d’être parfaite pour être vraie.

🜂 Micro-solution gratuite
Si un mot, un modèle ou une idée vous a déjà semblé “trop serré” pour vous…
prenez 10 secondes, juste maintenant.
Posez une main là où votre souffle hésite.
Et attendez une micro-pulsation intérieure.
C’est souvent là que commence votre vrai axe.

✧⌁☉ la clé ☉⌁✧
L’ikigaï que l’on voit partout n’est pas japonais.
Ce diagramme coloré vient d’un mélange occidental récent.
Ce qui est vrai, en revanche, c’est ce souffle intérieur que chacune porte déjà — cette note discrète qui revient quand tout devient silencieux autour.

Pas besoin de modèle pour sentir ce qui vous met en mouvement.
Juste un espace… et un peu de vérité.


14/11/2025

🜂 𝗖𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴é. 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂’𝗼𝗻 𝗻𝗲 𝘀𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁.

On ne sait plus ce qu’est un homme.
On ne sait plus ce qu’est une femme.
Et surtout — on ne sait plus comment vivre ensemble sans se copier, sans se craindre, sans se mesurer.

Parce que ton corps parle encore la langue du vivant,
pendant que ton mental récite les dialogues d’Hollywood.
Les héros t’ont appris la passion toxique,
les comédies romantiques t’ont vendu la fusion.
Mais personne ne t’a montré la vérité nue du lien réel : deux mondes qui s’apprennent, pas qui se confondent.

Tu veux de la présence, pas du contrôle.
De la force tranquille, pas de la domination.
Du soutien, pas de la dépendance.
Mais le brouillard culturel t’a fait douter :
tu crois devoir choisir entre être libre ou être aimée.

Arrête d’attendre que l’autre “incarne le masculin” ou “le féminin”.
Reviens à la source : la polarité intérieure.
Quand tu redeviens pleine de ton axe,
l’autre n’a plus besoin de te compléter — il peut simplement te rencontrer.

Pas une fusion.
Pas une lutte.
Un accord entre deux forces opposées qui se respectent.
Deux êtres qui cessent de jouer à l’amour pour enfin le vivre.

En savoir plus en commentaire.

🜂 𝗟𝗲 𝗿𝗶𝗿𝗲, 𝗽𝗮𝗿𝗳𝗼𝗶𝘀, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗿𝗲𝗹â𝗰𝗵𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁.Parce que tu crois encore que comprendre, c’est forcément lourd.Que gra...
13/11/2025

🜂 𝗟𝗲 𝗿𝗶𝗿𝗲, 𝗽𝗮𝗿𝗳𝗼𝗶𝘀, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗿𝗲𝗹â𝗰𝗵𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁.

Parce que tu crois encore que comprendre, c’est forcément lourd.
Que grandir, ça doit piquer.
Alors tu t’interdis d’en rire — de peur que ce soit trop simple.

Derrière cette tension, il y a une loyauté invisible : celle de devoir “tout porter sérieusement”.
Mais la vraie profondeur, c’est celle qui sait respirer.
Un mot juste, une pointe d’humour, et soudain, le mental lâche prise.

Quand quelqu’un t’écoute sans dramatiser, ton système nerveux se détend.
Le problème n’est plus un mur : c’est une porte.
Et l’humour devient la clé qui fait tourner la serrure.

Et si tu pouvais avancer plus légèrement, sans renier la vérité de ce que tu ressens ?
Sabrina l’a vécu. En une heure, elle a ri, compris, relâché.
Parfois, la clarté naît d’un sourire.

🔗 Lire le témoignage complet en commentaire

Quand on croit qu’on doit aller bienParce que tu as appris à être forte.À sourire, à comprendre, à t’en sortir seule.Mai...
12/11/2025

Quand on croit qu’on doit aller bien

Parce que tu as appris à être forte.
À sourire, à comprendre, à t’en sortir seule.
Mais à force de tenir, tu t’es perdue dans une version de toi qui ne ressent plus vraiment — juste assez pour survivre.

Ce n’est pas de la faiblesse, c’est une saturation.
Ton corps parle plus fort que ta tête.
Il dit : “je ne veux plus comprendre, je veux respirer.”

Parfois, ce n’est pas une solution qu’il faut chercher.
Juste un espace où tu peux enfin déposer tout ce que tu portes sans devoir le justifier.
Un endroit où rien n’est cassé, seulement mal accordé.

Léa l’a découvert.
Une heure d’écoute, et déjà la pression a lâché.
Pas de miracle : juste une vérité simple retrouvée.
👉 Lire son témoignage ici en commentaire.

𝗥𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝘁𝗼𝗻 𝘁𝗿ô𝗻𝗲 𝗶𝗻𝘁é𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿Tu sens cette fatigue qui ne vient pas du corps,mais du rôle qu’on t’a appris à tenir.Toujo...
11/11/2025

𝗥𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝘁𝗼𝗻 𝘁𝗿ô𝗻𝗲 𝗶𝗻𝘁é𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿

Tu sens cette fatigue qui ne vient pas du corps,
mais du rôle qu’on t’a appris à tenir.

Toujours juste assez forte pour ne pas déranger,
assez douce pour ne pas effrayer.

Et pourtant… quelque chose en toi se met à résister.
Ce n’est pas de la rébellion,
c’est le souvenir d’une autorité intérieure oubliée.

Parce que ton énergie essaie de te ramener à toi.
Ce que tu appelles “épuisement” est parfois un appel au retour.

Un passage : celui où le “faire” ne suffit plus,
et où le corps réclame de redevenir vivant.

En cessant de vouloir tout comprendre,
et en laissant ton rythme naturel reprendre la main.

Et si ta vraie force était cette paix qu’on n’attendait pas de toi ?

Souveraineté féminine — Le règne tranquille du féminin retrouvé en commentaire

🌿 𝗥𝗲𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 à 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲Tu sens quand un lieu cesse de te nourrir.Ce n’est pas qu’il devient vide — c’est toi qui t’es remp...
10/11/2025

🌿 𝗥𝗲𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 à 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲

Tu sens quand un lieu cesse de te nourrir.
Ce n’est pas qu’il devient vide — c’est toi qui t’es rempli.

Il y a des endroits qui t’ont accompagné jusqu’à un seuil…
et puis, un jour, tu sens que rester serait trahir le mouvement.

Ce n’est pas une fuite.
C’est la fin d’un cycle.
Le moment où le silence t’apprend plus que les mots.

Et quand tu écoutes vraiment,
tu entends cette phrase tranquille :
“Reviens là où tout a commencé.”

Là où le souffle est pur.
Là où tu peux de nouveau t’ajuster.

Peut-être que toi aussi, tu sens cet appel —
celui de revenir à l’essentiel,
non pas pour changer de décor,
mais pour changer de vibration.

✨ Une page se tourne → Découvre mon cabinet à Montlebon en commentaire

Fin du Salon Bien-Être🕯️ Quand tout redescendTu connais ce moment après un Salon ?Quand les lumières se coupent, que les...
09/11/2025

Fin du Salon Bien-Être
🕯️ Quand tout redescend

Tu connais ce moment après un Salon ?
Quand les lumières se coupent, que les stands se vident,
et qu’il ne reste plus que le silence du vrai.

Ce n’est plus la foule.
Ce n’est plus le bruit.
C’est ce qui reste quand tout s’éteint :
la trace d’une rencontre, d’un regard, d’une vibration.

Et si, au fond, c’était là que tout commençait ?
Pas sur les stands, mais dans ce que tu ressens encore maintenant.

🗝️ Ce que tu as ressenti… ce n’était pas un hasard.
C’était une clé.
Et elle n’a pas disparu avec les lumières.

Il y a eu :
5 Manque d’estime de soi
5 Colère refoulée
3 Rumination mentale
2 Solitude émotionnelle
2 Procrastination
2 Ne pas oser
2 Perfectionnisme
1 Injustice sociale
1 Peur de la mort
1 Peur de l’abandon
1 Peur du rejet
1 Syndrome de l’imposteur

🌙 Laisse-la continuer son chemin.
(liens en commentaire)

Merci à toutes les personnes qui sont passé à mon stand tirer leurs clés.


“Le seuil invisible”Quand tu entres dans un salon du bien-être, tout paraît lumineux.Mais parfois… tu ressens une fatigu...
08/11/2025

“Le seuil invisible”

Quand tu entres dans un salon du bien-être, tout paraît lumineux.
Mais parfois… tu ressens une fatigue que rien n’explique.
Comme si ton corps avançait, mais que ton âme restait derrière la porte.

C’est là que commence le vrai passage.
Celui où tu cesses de chercher des réponses,
et où tu laisses venir ce qui, en toi, attendait d’être entendu.

Ce week-end à Valdahon, certains ne verront qu’un salon.
D’autres… reconnaîtront le seuil.
Ceux-là sauront qu’ils ne sont pas venus “voir”,
mais retrouver ce qu’ils avaient oublié d’écouter.

𝗗𝗲𝗿𝗻𝗶è𝗿𝗲𝘀 𝘀é𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 à 𝗹𝗮 𝗕𝘂𝗹𝗹𝗲 𝗱’𝗔𝗹𝗰𝗵𝗶𝗺𝗶𝗲Il y a des lieux qui gardent la trace de ce qu’ils ont vu s’ouvrir.Des voix, des ...
06/11/2025

𝗗𝗲𝗿𝗻𝗶è𝗿𝗲𝘀 𝘀é𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 à 𝗹𝗮 𝗕𝘂𝗹𝗹𝗲 𝗱’𝗔𝗹𝗰𝗵𝗶𝗺𝗶𝗲

Il y a des lieux qui gardent la trace de ce qu’ils ont vu s’ouvrir.
Des voix, des silences, des visages qui ont laissé un peu de leur ombre sur les murs.

Ce mois, c’est le dernier chapitre à la Bulle d’Alchimie.
Comme une chanson qu’on connaît par cœur, mais qu’on écoute une dernière fois avant de changer de disque.
Eddy Mitchell dirait : “C’est fini, on remballe.”
Moi, je dirais : “C’est une porte qui se referme lentement, pour que la suivante puisse s’ouvrir.”

Tu le sens, toi aussi, ce moment où quelque chose s’achève, pas par lassitude — mais parce que l’espace a fait son œuvre ?

🗝️ 𝗟𝗲𝘀 𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶è𝗿𝗲𝘀 𝘀é𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹à, encore quelques jours dans cette atmosphère suspendue.
Et puis, le reste continuera… ailleurs.


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7 Rue Des Chenevières
Montlebon
25500

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