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Lydie REALE, Montpellier (2025)

21/10/2025

Samedi dernier, j'animais l'atelier de 3h de l'école Ecoute ton corps sur la "gestion du stress".

Le stress est une réaction humaine, tout comme la colère.

Nous sommes des humains, il est tout à fait normal que nous soyons traversé par des émotions.

L'objectif de cet atelier est de découvrir quand, comment et pourquoi on vit de la colère et comment la gérer de façon constructive.

On le sait bien, une colère mal gérée peut être dévastatrice pour les relations humaines.
Mais il existe des moyens pour faire de la colère une force utile, un tremplin vers ce que nous voulons véritablement pour nous dans la situation.

Si tu veux (re)devenir maître de ta colère, je t'invite à te joindre à l'atelier sur "La gestion de la colère" selon la Méthode Écoute ton corps.

Tu trouveras ci dessous toutes les informations 👇

Atelier "Gérer la colère" :

🗓️ Samedi 22 novembre
🕘 De 9h30 à 12h30
📍Au Domaine Puech à Saint Clément de Rivière
💶 60€

L'atelier est gratuit pour les étudiants.
Participation possible à partir de 16 ans.

Avec joie de vous transmettre toute la richesse de cet enseignement.

17/05/2025

L'estime de soi, c'est le socle déterminant de l'amour que tu te portes et la confiance que tu as en ta valeur même si tu n'obtiens pas les résultats attendus.

C'est essentiel d'apprendre à s'aimer même lorsque ce que l'on voit et croit de soi n'est pas notre préférence.

Aimer chaque facette de notre personnalité est un travail de toute une vie.

Voici ce que je te propose aujourd'hui, pour chaque critique que tu dis ou pense sur une autre personne, trouve-lui trois qualités.

Je t'invite à en faire de même pour toi.

💛

16/05/2025

On a bien souvent tendance à vouloir comprendre et analyser le comportement de l'autre lorsque ce qu'il fait ou dit nous blesse.

C'est bien humain mais ça ne mène nulle part, d'autant plus que ce ne sont que des suppositions.

Et en faisant ça, nous projetons sur l'autre tout un tas de choses et ne nous occupons pas de ce qui est blessé en nous.

Que ce soit dans ta vie personnelle comme professionnelle, ça vaut pour les deux.

Et si plutôt que de continuer à regarder à l'extérieur, tu prenais le temps de quelques respirations pour aller voir ce que ça éveille en toi ?

Les réponses et les solutions sont là.

Tu n'as aucun pouvoir sur l'autre.

Mais tu peux réellement changer ta façon de vivre la situation.

Vois ça comme une opportunité de prendre soin de toi, d'être présent(e) à toi, de te considérer, d'être importante, de te soutenir, d'être ta priorité.

Ainsi, peu importe comment se comportent les autres à l'extérieur, tu restes dans ta zone d'action.

L'autre est un miroir, il est une opportunité d'apprendre à mieux te connaître.

Et en restant tourner vers l'extérieur, tu remets ton pouvoir dans les mains des autres.

Ce n'est pas un exercice facile, nous avons appris à critiquer, à accuser.

Le retour à soi est nécessaire pour enfin être en paix.

13/05/2025

En levant la tête aujourd'hui, j'ai vu ce ciel et la première chose qui m'est venue c'est : "Tiens, ça ressemble à de la colère."

Puis je me suis dit que c'était une belle opportunité de t'en parler de cette émotion que l'on considère bien souvent comme "négative".

Pour commencer, il n'y a pas d'émotions négatives ou positives. Certaines sont plus agréables que d'autres.

Nous ne sommes pas toujours conscients de notre colère. Chez moi, elle s'exprime de différentes façons.

J'ai réalisé que je gérais ma colère ✅ en courant mais aussi parfois ✅ en faisant le ménage (ça a ses avantages).

Puis d''autres fois en :

➡️ claquant la porte,
➡️ en criant,
➡️ en pleurant,
➡️ en râlant,...

Lorsque je me sens insatisfaite, que j'ai des attentes non comblées, que j'en ai assez de laisser mes peurs me guider, que je me sens attaquée ou accusée, je sens la colère monter en moi.

J'étais convaincue que les autres étaient responsables de la colère qui m'habitait et je ne savais pas vraiment quoi faire parce qu'elle revenait souvent cette colère.

Jusqu'à ce que je découvre que lorsqu'elle est bien gérer, elle peut devenir une véritable alliée.

La colère, c'est une énergie qui part de l'intérieur et qui jaillit vers l'extérieur.

Elle va te permettre de découvrir tes peurs, tes blessures et ainsi reprendre ton pouvoir.

C'est une bonne alliée pour t'aider à :

🎯 passer à l'action,
🎯 te respecter,
🎯 poser tes limites,
🎯 t'affirmer,
🎯 te dépasser !

Et si tu galères avec ta colère, je peux t'accompagner en individuel ou lors de l'atelier de 3h de l'école Ecoute ton corps.

12/05/2025

J'avais tellement peur de la séparation, je la vivais comme quelque chose de dramatique.

Je ne voyais pas qu'en dessous, se cachait la peur de la solitude.

Que se passe-t-il en moi lorsque je fais face à la solitude ?

C'est la panique.

Il m'a fallu du temps avant d'être capable d'aller toucher ça.

C'est en observant les enfants que j'accueillais que j'ai compris ce qui se rejouait en moi.

Mon mental ne comprenait pas, mais en voyant mes touts petits paniquer lorsqu'ils me perdaient de vue, j'ai compris.

J'ai compris que la petite fille en moi vivait la même chose dès que je percevais de l'éloignement, ce qui ressemblait à un danger, la menace d'une séparation.

Puis j'ai réalisé que je m'accusais encore de ne pas avoir su me contrôler suffisamment pour être parfaite pour que l'autre m'aime et reste à mes côtés.

Ça a fait écho dans mon histoire de vie.
Et c'est venu se rejouer tant et aussi longtemps que je n'ai pas fait la place à toutes ces émotions que je refoulais.

Ça demande de devenir le parent contenant et bienveillant qu'il m'a manqué pour m'accueillir pleinement dans ce que je vis, de me donner le droit d'être humaine.

De reconnaître les besoins affectifs qui ne sont pas comblés et de mettre ma créativité au service de ces besoins que j'apprends à satisfaire par moi-même lorsqu'il n'y a personne pour m'aider à les combler.

Ce n'est pas parce que je vous accompagne que ma vie est sans difficultés. Je crois qu'il est important de se montrer dans notre humanité. Nous avons tous des challenges à surmonter, des peurs et des croyances à mettre en lumière, des objectifs que l'on veut atteindre...

En vous le partageant, je souhaite de tout coeur vous inspirer à être plus présent à ce qui vit en vous.

🤍

11/05/2025

Dans quelle blessure tu te reconnais ?

C'est ta façon de réagir qui va déterminer quelle blessure est éveillée.

Ce n'est pas parce que tu te sens trahi(e) que c'est ta blessure de Trahison qui est éveillée.

Il se peut que tu vives une séparation dans l'amour, lorsque l'histoire est terminée et que les deux partenaires l'acceptent pleinement. Il peut y avoir de la tristesse face à la fin d'une histoire sans pour autant que ce soit une blessure qui soit à l'oeuvre.

Si tu veux en découvrir plus sur les blessures de l'âme, j'anime l'atelier de 3h de l'école Ecoute ton corps de Lise Bourbeau.

# séparation

09/05/2025

La vraie connaissance s'acquiert à travers l'expérience.

Tu peux lire des tas de livres, écouter des podcasts, des conférences, participer à des ateliers de développement personnel, tant que tu ne vis pas l'expérience, tu accumules seulement de l'information.

Einstein disait : " C'est de la folie de faire toujours la même chose et d'attendre un résultat différent."

Si tu crois encore que c'est en consommant du contenu que ta vie va changer, tu vis dans l'illusion. C'est important d'acquérir de nouvelles connaissances mais tant qu'elles restent au niveau mental, c'est juste de la théorie.

Pour intégrer pleinement, il est nécessaire d'expérimenter.

Et crois-moi, la vie est généreuse. Elle va t'offrir l'opportunité d'expérimenter en te mettant en situation.

A toi de voir si tu choisis de continuer à faire les mêmes choix, à te comporter de la même façon ou bien en acceptant de vivre une expérience nouvelle.

Ce sera inconfortable, c'est certain. Ça va éveiller des peurs, te faire douter, te bousculer.

Respire à travers l'inconfort jusqu'à ce que tu trouves un espace paisible en toi.

Nous avons tendance à préférer choisir l'enfer du connu qu'un paradis dont on ne sait rien.

Parce que c'est familier, parce que ça rassure, parce que c'est devenu notre normalité, parce que c'est ce que l'on a appris.

Il est nécessaire de désapprendre ce que l'on croit savoir pour amener de nouvelles informations bien plus bénéfiques pour nous et les intégrer à travers l'expérience.

On ne peut pas forcer la croissance, elle doit venir d'une volonté propre à chaque individu de trouver la paix intérieure.

07/05/2025

A trop vouloir être aimée, je me suis enfermée dans des versions de moi qui m'ont éloigné de qui je suis véritablement.

➡️ Parce que je croyais que qui je suis n'est pas suffisant pour être aimée.

➡️ Parce que j'ai appris que ma spontanéité ne faisait pas l'affaire de tous alors je me suis contrôlée pour ne pas déranger.

➡️ Parce que j'ai cru que si je correspondais à ce que je croyais que l'on attendait de moi, je serai enfin digne d'être aimée.

Nous interprétons les situations à travers nos filtres et prenons des décisions (conscientes ou non) croyant ainsi ne plus souffrir.

Nous nous coupons de notre état naturel et spontané afin d'entrer dans la peau de "personnages" que nous pensons plus convenables, plus corrects, plus adaptés.

Ils nous permettent de survivrent, croyant ainsi garder l'amour de nos parents puis par la suite de nos partenaires, nos conjoints, nos ami(e)s, nos enfants...

C'est pas tant l'adulte qui a peur de perdre l'amour de ses proches, c'est le petit enfant que nous avons été.

Pour un enfant, être seul = mourir.

Un enfant est dépendant de ses parents tant sur le plan physique qu'affectif.

Il n'a pas la même compréhension du monde qu'un adulte.

Il n'est pas en capacité de raisonner, son cerveau n'est pas mature. De ce fait, il va enregistrer des informations tout au long de sa petite enfance qu'il va prendre pour vraies.

"Quand Papa et Maman sont fâchés contre moi, ils ne m'aiment plus" va se transformer à l'âge adulte en peur du conflit car il y a un risque de séparation, d'abandon ou de rejet.

Cet enfant vit en toi.
Lorsque tu vis des émotions, c'est ce petit Être qui frappe à la porte.

Les mémoires du passé sont réactivées jusqu'à ce que tu en fasses une nouvelle lecture en devenant un bon parent pour cette part en toi qui ne cherche qu'à être vue, entendue, acceptée, aimée et réintégrée dans ton système avec amour, compassion, tendresse et bienveillance.

06/05/2025

J'aurais pu aussi ajouter :

✨ Trouver un soutien émotionnel
✨ Rencontrer de nouvelles personnes
✨ Sortir d'une forme d'isolement
✨ Surmonter tes peurs
✨ Gérer tes émotions
✨ Retrouver confiance et estime personnelle
✨ Reprendre le pouvoir de ta vie
✨ Devenir responsable
✨ Créer du lien social
✨ Apprendre, analyser, comprendre
✨ Développer une vision nouvelle
✨ Devenir plus conscient de qui tu es
✨T'offrir un espace d'accueil et d'écoute
✨...

La liste est longue et les bénéfices sont grands.

Je reprends prochainement l'animation d'ateliers (en ligne et en présentiel) qui est une forme d'accompagnement collectif pendant lequel je vous guide et vous accompagne selon une thématique.

Je te laisse choisir le thème du prochain atelier qui se déroulera début juin :

03/05/2025

Faire des concessions, c'est céder à l'autre...

Concilier, c'est trouver un terrain d'entente, un accord ou chacun sort gagnant.

En relation, tes besoins sont tout aussi importants que ceux de l'autre.

Faire des concessions va alimenter le ressentiment, la frustration et la colère. Bien souvent, nous faisons des concessions par peur du conflit, de ne pas être aimé(e), de déplaire, de la réaction de l'autre, d'être égoïste,...

Lorsque nos besoins sont opposés, il est nécessaire que chacun se prenne en charge.

Ce sont les attentes sans ententes que nous avons dans la relation qui vont engendrer les conflits.

Il est alors nécessaire de trouver un arrangement dans lequel chacun se sent vu, entendu, respecté, aimé.

L'amour n'est pas un sacrifice, c'est offrir à l'autre l'espace et la sécurité d'être lui-même.

Ça vaut pour ta relation avec tes enfants, avec tes ami(e)s, tes partenaires professionnels.

Parfois, il n'y a pas d'entente possible.

Alors que fait-on dans ces cas-là ?

Peut-on s'accorder sur le fait qu'aucune entente n'est possible ?

C'est alors à chacun de trouver comment répondre à son besoin d'une autre façon, même si ça signifie que vous empruntiez des chemins différents.

02/05/2025

L'image de soi, c'est ce que tu vois et ce que tu crois de toi.

Lorsque tu focalises ton attention uniquement sur tes défauts, tes faiblesses, sur ce qui ne va pas chez toi, soit assuré que tu vas entretenir une faible estime de toi.

Lorsque tu as peu d'estime, tu crois que tu ne mérites pas plus, que tu n'as pas assez de valeur pour être aimé(e) et apprécié(e).

Tu te rejettes car tu ne te définis qu'à travers tes défauts et faiblesses. Et tu normalises le fait d'être mal traité et rejeté puisque toi-même, tu ne vois pas ta valeur en tant qu'être humain.

La bonne nouvelle, c'est que tu peux changer cette façon de te voir et modifier tes croyances. L'autre ne fait que te montrer la façon dont tu es envers toi-même.

L'estime de soi de construit à travers ce que tu perçois de ce que te renvoie ton parent de toi.

Si tu as eu un parent qui te critiquait, te comparaît à tes frères et soeurs ou aux enfants des autres, n'était pas encourageant ou ne t'as pas félicité, ne célébrait pas tes victoires, mettaient l'accent sur ce qui est à corriger plutôt que de valoriser tes efforts, tes qualités, cela va devenir ton modèle.

Si tu as tendance à te dévaloriser, te déprécier constamment, souviens-toi que l'on a toujours les qualités de nos défauts.

Dans ton "Je suis", réside un tout indivisible.

Même si tu ne vois pas la qualité de ton défaut, elle existe. Tu ne l'as probablement pas encore développé suffisamment pour en être conscient(e).

Que veux-tu voir grandir en toi ?

Sur quoi décides-tu de porter ton attention pour la semaine à venir ?

Quelle qualité veux-tu voir se développer chez toi ?

01/05/2025

"Je ne sais pas si je fais le bon choix..."

C'est ce qu'une de mes clientes m'a partagé dernièrement.

Combien de fois nous doutons à savoir si notre choix est le bon ou non ?

Hésiter, peser le pour et le contre, douter, remettre en question, y penser encore et encore, ruminer à s'en rendre malade...

Jusqu'au jour où j'ai réalisé qu'il n'y avait pas de bon ou mauvais choix mais des expériences à vivre qui allaient chacunes m'apporter un apprentissage et me permettre de développer de nouvelles compétences.

Ce n'est pas parce que ça éveille des peurs ou des doutes que c'est une mauvaise décision.

Peu importe les choix que tu fais, il y aura des conséquences positives et des conséquences négatives.

La question est plutôt de savoir quelles sont les conséquences auxquelles tu es prêt(e) à faire face ?

Lydie REALE

21/10/2025

17/05/2025

16/05/2025

13/05/2025

12/05/2025

11/05/2025

09/05/2025

07/05/2025

06/05/2025

03/05/2025

02/05/2025

01/05/2025

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