Association Coup de Pouce

Association Coup de Pouce Consultations - accompagnement psychologique - Enfants - Adolescents- Adultes
Formations particulie Eviter l'échec, promouvoir la réussite.

Deux axes d'actions: Apprentissage et Santé

- Stratégies d'apprentissage - processus cognitifs et émotionnels

Comment accompagner et motiver l'enfant ou l'adolescent ? Comment apprendre à apprendre ? Comprendre le fonctionnement du cerveau pour mettre en place des stratégies d'apprentissages efficaces...

- Animations "Parentalité".

- Promotion de la santé et prévention:

Comment utiliser les "leviers naturels" pour la promotion de la santé mentale et physique ? Avoir une prise de conscience et des outils pour apporter une réponse non médicamenteuse. Permettre de sortir de situations de stress, d'anxiété, d'angoisses, du burn-out, de la souffrance au travail, de la dépression, des troubles du sommeil, de la mémoire, de l'attention.., du comportement, des apprentissages, hyperactivité... Prévenir, limiter, accompagner Alzheimer et maladies apparentées. Comprendre que notre cerveau sait faire naturellement et s'approprier cette prise de conscience. Apprendre à mobiliser les neurotransmetteurs optimisant notre santé et à limiter ceux qui sont délétères. Comprendre leurs origines alimentaires et psychologiques. Comprendre aussi l'action et les conséquences, à court et long terme, des anxiolytiques, somnifères, antidépresseurs, neuroleptiques sur la physiologie du cerveau, notre psychologie, nos comportements et pathologies neurodégénératives. Notre but est d'aider à retrouver nos propres ressources internes afin de rester autonomes et en bonne santé mentale et physique. Consultations - Formations - Micro formations - Conférences...

04/03/2019
31/10/2015

Que quoi faire frémir parents et adolescents !!!!
et ce n'est pas Halloween ..
La pilule rose n'existe pas ! Ps: attention ne pas arrêter les traitements brutalement... Risques de su***de. !!!
Peut-être un peu long et envoyé en deux ou trois fois, mais instructif...

Sylvie, 24 ans, est une jeune fille qui arrive en consultation en janvier 2014 avec ses parents, à la manière d’un « zombi », titubant, les bras rigides et les mains posées sur le ventre porté vers l’avant. Le visage bouffi, fermé, elle a pris 27 kg en un an. Ses molaires crissent (bruxisme), elle ne parle pas !
A la suite d’une démission imposée, il y a un an en janvier 2013 Sylvie a déprimé. Cela paraît normal ! Elle est allée voir son médecin traitant qui la Diagnostiquée « dépressive » et mise sous anxiolytique hypnotique Stilnox, antidépresseur Norset et deux neuroleptiques Zyprexa et Loxapac. Ce qui est un non-sens complet dans sa situation. Pourquoi des neuroleptiques pour une dépression ? Nous allons comprendre au fur et à mesure de son histoire…
Au bout de quelques mois de traitement, en août 2013, n’allant pas mieux, elle se montrait plus renfermée, isolée vis-à-vis de son entourage qui n’y comprenait plus rien. Le médecin traitant interrompt Stilnox et Zyprexa et prescrit un autre anxiolytique Séresta, un autre antidépresseur Séroplex et le neuroleptique Loxapac, un antiparkinsonnien correcteur des effets indésirables du neuroleptique : Parkinane.censé éviter les effets indésirables du Loxapac : les symptômes parkinsonniens (rigidité, tremblements…). dûs à une baisse du taux de dopamine. Puis, suite à des problèmes dermatologiques, reconnus aussi comme effets indésirables des neuroleptiques ; il ajoute d’autres correcteurs : un antibactérien, un anti-acnéïque, deux antihistaminiques, un contraceptif, deux antibiotiques dermatologiques : 18 comprimés au total par jour !
Il faut rappeler que les autres effets secondaires possibles des neuroleptiques diminuent l’intensité des émotions, réduisent l’autonomie et induisent un fort retrait affectif et social, une prise de poids importante… Les anxiolytiques provoquent la somnolence, des troubles de la mémoire, de l’équilibre et une dépendance… Les antidépresseurs provoquent une accoutumance psychologique, des névralgies, des contractions musculaires, la sécheresse de la bouche… Sans compter les interactions médicamenteuses plus que probables ! La iatrogénie ! Et quand les parents disent aux médecins ou aux psychiatres que Sylvie a les symptômes décrit ci-dessus, ils répondent tous que cela correspond à la progression de la maladie. Et cela se répète tous les 28 jours, car ces traitements sont prescrits à chaque fois pour 28 jours… De molécules en molécules, jamais les mêmes, ce qui fait dire au père que les médecins et les psychiatres les essaient au hasard ! Et cela se poursuit du septembre à décembre, de huit à quatorze comprimés par jour en fonction des changements du médecin ! Car les parents sont perdus, ne comprennent plus, et font du « nomadisme médical », essaient divers médecins généralistes, psychiatres, hôpitaux, une clinique psychiatrique au nord de Toulouse pour trouver le bon traitement et recherchent des guérisseurs. Sylvie se renferme toujours plus et devient tyrannique envers sa mère.


De septembre à décembre, Sylvie jongle entre les neuroleptiques : Loxapac, Xeroquel, Solian, Abilify, Risperdal lui provoquant des raideurs de la nuque et des bras, des maux de tête, de l’impatience dans un magasin que sa mère a relevé, alors qu’elle ne manifestait jamais d’agressivité… Elle ne pouvait plus conduire et développait des peurs angoisses et peurs en voiture même avec ses parents. Sans compter toujours les antidépresseurs et anxiolytiques.
Pauvre cerveau !!! Qui faut-il hospitaliser et interner ? Selon la plaisanterie des pharmacologues… « Au-delà de cinq comprimés, il faut interner le médecin »

Au cours de la consultation j’apprends que Sylvie est une « gentille » fille, sans doute trop gentille, douce, non agressive. S’étant fait chahutée petite à l’école, au lycée, elle ne s’est jamais positionnée ou défendue. Elle a subi a deux reprises des attouchements sexuels, qu’elle n’a jamais avoué. A 16 ans, les parents la sentant mal l’on amenée chez le médecin qui l’a faite internée en hôpital psychiatrique pour une dépression d’après le médecin traitant. Ils ont fait confiance. Les parents ont appris les sévices subits par leur fille des infirmières de l’hôpital dans lequel elle a été hospitalisée En réponse à ce mal-être de l’adolescence, le psychiatre de l’hôpital psychiatrique lui prescrit un traitement « lourd ». Diagnostiquée, « Etiquetée », « catégorisée » en première instance schizophrène à 16 ans ! Ce qui « coince » son médecin traitant par la suite, il y a un an, dans son diagnostique… Celui-ci se fie à l’étiquette « schizophrène » posée à 16 ans, sans plus chercher … D’où la poursuite des neuroleptiques. De 16 ans à 19 ans, elle prend des anxiolytiques, des antidépresseurs et des neuroleptiques
Au bout de trois ans de médication, elle a fini par s’en sortir et vivre normalement sans traitement pendant quatre ans. Elle a passé deux CAP, « petite enfance » et « aide à la personne âgée ». Elle a travaillé en intérim, dans des maisons de retraite, des centres de vacances, un centre de personnes handicapées où elle devait s’occuper de dix personnes. Très impliquée dans son travail, elle y mettait toute son cœur et son énergie. Tout allait bien ! Une vie de jeune adulte avec des copains, des copines…
Tout allait bien jusqu'à 23 ans, jusqu’au jour où le centre de personnes handicapées a décidé de mettre les résidants dans un chalet au fond d’un champ, loin des propriétaires adultes qui géraient le centre. Elle s’est sentie délaissée parmi les dix résidants, abandonnée et subissait des sévices de la part du fils du patron, lui-même handicapé léger. Elle ne supportait plus la situation, et un jour, elle n’est pas allée travailler, et n’a pas prévenu. Le lendemain, les patrons lui ont demandé de démissionner sans autre contrepartie, ni demande d’explication… Un an avant sa venue en consultation chez moi.
En janvier 2014, Le médecin traitant lui a prescrit depuis un an Seroplex, un antidépresseur et un neuroleptique d’intensité moyenne : Loxapac (loxapine) prescrit dans certaines formes résistantes de schizophrénie, d’agitation psychomotrice, et pour le sevrage des toxicomanes. Ce médicament bloque les récepteurs D2, D3, 5-HT2 et 5-HT3. La puissance sur l'action dopaminergique par rapport au blocage sérotoninergique ainsi que l'absence de composante cholinergique n'écarte pas la survenue d'effets secondaires importants, dont la prise de poids de 27 kg. Pourtant elle ne boit pas, ne fume pas, n’est pas toxicomane, n’a jamais eu de comportement suicidaire, par contre elle a besoin de toute « sa dopamine » pour réinvestir sa vie, son avenir. Or on lui enlève le peu qui lui reste… Une ineptie !!! Une condamnation !
J’ai demandé aux parents d’insister auprès du médecin afin qu’il lui prescrive des séances de kinésithérapie pour assouplir ses rigidités musculaires et libérer la sérotonine (bien-être), l’acétylcholine (agissant sur la jonction neuromusculaire) et le peu de dopamine qui lui manque et qui lui donne l’envie d’y revenir. Ils ont dû se « battre » pour avoir des séances de kiné, ont-ils dit, et les parents ont été outrés lorsque le médecin a enfin reconnu que les neuroleptiques pouvaient procurer des raideurs… Il le savait, ne faisait rien, médicalisait, donnait un anti-parkinsonnien correcteur de cet effet indésirable (raideurs musculaires), ayant lui-même des effets secondaires, sans compter les des effets secondaires des autres traitements. De quel côté est le médecin ? Des laboratoires ou du réel bien-être du patient ? Ou inconscience ou dépassé ?

Selon ses parents « c’est la descente aux enfers », sa famille ne la reconnait plus. Elle est méconnaissable pour ses anciennes connaissances et sa famille qui lui ont tourné le dos. Résultat, elle passe sa journée à dormir, se lève en début d’après-midi, mange beaucoup trop, mal, et se laisse abrutir par la télévision qu’elle « absorbe ». Dès qu’elle le peut, elle s’empiffre de bonbons, barres chocolatées, pizzas en plus des repas… Elle ne fait rien, sa famille est désespérée !!! Ils ne savent plus que faire. Ils sont mis à l’écart par les instances médicales, ne sont pas informés des effets possibles indésirables des traitements. Le seul discours qu’ils entendent c’est que sont état actuel montre que la maladie avance. Les médecins se sont référés à l’histoire racontée par les parents, mal-être, hospitalisation, traitements…augmentent les doses ou modifient les molécules. Ils ne se sont pas appuyés sur les capacités se Sylvie pour l’aider à s’en sortir.

Comment un psychiatre peut-il à la fois prescrire ce neuroleptique bloquant les récepteurs sérotoninergiques et des antidépresseurs tricycliques étant censés avoir l’action inverse ? Peut-être dans son esprit a-t-il voulu administrer un correcteur sérotoninergique ? Jusqu'à même prescrire un autre correcteur : un anti-parkinsonnien pour contrer les effets indésirables des neuroleptiques anti-dopaminergiques, lui procurant les tremblements… On marche en plein délire ! Qui faut-il réellement mettre en clinique psychiatrique ?
Comment peut-il prescrire un tel traitement à une patiente « ayant perdu son travail, de façon injuste, et après maints sévices » dès son premier rendez-vous, d’après une étiquette ; renouveler des prescriptions sans consultation entre professionnels, médecins, psychiatres, afin de les harmoniser et/ou sans réviser la posologie… ? Quand Sylvie va en consultation, chacun fait sa « sauce » à sa manière. Et l’intérêt de la patiente ?

31/10/2015

Infos importantes sur psycho/santé psycho/apprentissages...

C'est bientôt !!! merci de diffuser surtout vers Toulouse...
25/10/2015

C'est bientôt !!! merci de diffuser surtout vers Toulouse...

Malgré l’actualité difficile, la vie continue…    Enfin, on en parle !... Après avoir reçu ce lien que je retransmets… A...
13/01/2015

Malgré l’actualité difficile, la vie continue…




Enfin, on en parle !...

Après avoir reçu ce lien que je retransmets… A faire circuler largement…

http://www.wikistrike.com/2014/12/les-medecins-sont-obliges-de-denoncer-certains-patients.html

Voici un documentaire non moins intéressant…

Diffusé ce mardi 06 janvier 2015, sur France 5, à 20h30mn, présenté par le Docteur Marina Carrère d’Encause (du journal de la Santé), intitulé :

« Morts sur ordonnance »

Et concernant les médicaments psychotropes : antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères, myorelaxants, antiépileptiques, neuroleptiques, amphétamines…

A voir et revoir sur internet Pluzz…, pendant 7 jours et à diffuser très largement…

Recommandation de l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament (ANSM) destinée aux médecins (RMO) : « Ne prescrire un somnifère, un anxiolytique…, qu’après échec des méthodes non-médicamenteuses ou psychologiques, cognitivo-comportementales ».

Dernière recommandation et non des moindres « NE JAMAIS ARRETER BRUTALEMENT UNE PRESCRIPTION SOUS RISQUE DE SYNDROME DE SEVRAGE ». CONSULTEZ VOTRE MEDECIN !

Un fléau pour eux actuellement… il est nommé iatrogénie !

Pathologies ou des troubles provoqués par un traitement médical ou un médicament.


Mais notre cerveau sait faire naturellement !!! …
Il sait mobiliser cette biochimie palliée par les médicaments, encore faut-il savoir comment …


Le but de l’association est d’informer, de façon claire, simple et concrète, sur cette biochimie du cerveau, les neurotransmetteurs et les hormones :

Sérotonine, mélatonine, glutamate, GABA, dopamine, acétylcholine, noradrénaline, adrénaline, ocytocine, endorphines, FNIC…,…

Leurs utilités, leurs actions. Comment les reconnaître, les limiter ou les stimuler avec les mécanismes naturels du cerveau.

Les pathologies en lien avec leur déficit ou excès (insomnies, dépression, bipolarité …, addictions, schizophrénie, paranoïa…, hyperactivité, déficit d’attention…, Alzheimer, Parkinson…)

Les prévenir, les accompagner…

Les médications existantes (anxiolytiques, somnifères, antidépresseurs, neuroleptiques, amphétamines…, anticholinéstérasiques, antiglutamanergiques, antiparkinsonniens…), leurs actions et conséquences à long terme.

L’apport et effets de diverses thérapies non-médicamenteuses sur notre biochimie.

Les apports nutritionnels.

Et de transmettre, d’accompagner le patient à retrouver ses propres ressources, à utiliser en conscience ses « leviers » naturels pour la promotion de sa santé mentale et physique.

Pour permettre de sortir de situation de stress, d’anxiété, d’angoisses, dépression, troubles du sommeil, de la mémoire, de l’attention, du comportement, des apprentissages…, se répercutant souvent sur sa santé physique (fatigue, céphalées, douleurs abdominales, troubles gastriques, ulcères, fibromyalgie, maladies neurodégénératives, …,…)

Sous forme de consultations individuelles (enfants-adolescents-adultes), de stages, de micro-formations, de conférences…

Le but étant de prendre conscience que notre cerveau mobilise parfaitement cette chimie… Encore faut-il savoir comment !!!!

A paraître :

« Sauvez votre cerveau ».... et celui de vos proches ! (Titre provisoire) Edition Grancher 2015.

Psychologie, alimentation, neurotransmetteurs et hormones : Les outils de la « maîtrise » de la santé. Comprendre pour reprendre le « pouvoir » sur votre cerveau, Expérimentez les solutions naturelles qui remobilisent sa chimie : Les neurotransmetteurs qu'il utilise à notre insu et apprendre à les mobiliser selon votre volonté, pour aller mieux, retrouver le sommeil, se libérer des angoisses, retrouver des ressources en matière de santé et d'apprentissages…voire réduire et retarder les symptômes des maladies neurodégénératives, accompagner nos proches.

A votre cerveau !


Frédérique Virol – Psychologue des processus cognitifs – Neurosciences et comportements. DUI Neuropsychologie – Pôle neurosciences cliniques, Service de médecine physique et de réadaptation neurologiques, CHU Bordeaux 2. Master II Programmation neurolinguistique - Formatrice – Enseignante, Intervenante Association Coup de Pouce. ( 05 63 75 10 09 –
06 70 73 73 16 N°Siret 48523454600011

Ci-joint, la liste des animations parentalité, des ateliers-micro-formations ou conférences-débat :
Sur l’éducation, les apprentissages, la santé...

Communauté d’Agglomération Castres-Mazamet : Groupe de travail parentalité, Régies de quartier : Albi, Castres, CAF Aussillon, CAF, Mazamet, Ateliers parents ACDP.MIP, Ateliers enfants ACDP.MIP, médiathèques, bibliothèques… :

La scolarité : Motivation, échec scolaire, influence de l’entourage (copains, professeurs…).
Apprendre à apprendre.
Trucs et astuces pour mieux apprendre, comprendre, et mémoriser…
Comment apprendre plus vite, avec efficacité, autonomiser, donner du sens à l’école !
Les devoirs à la maison : La galère ! Comment éviter que le moment des devoirs ne se transforme en « scène de ménage parent-enfant » ?
Etiqueté « hyperactif »… Rien n’y fait… Comment éviter les médications

Adolescents :
Orientation : Il ne sait pas quoi faire ! Il ne veut rien faire ! J’ai beau lui dire… Comment faire ?
Je ne le comprends plus, il me répond, il s’isole ! il est toujours sur Internet ! Je n’y arrive plus… Comment s’en sortir ?
Il ne me parle pas, refuse d’écouter, il dit « non » à tout ! Il est violent ! Je n’y arrive plus… Comment s’en sortir ?

Estime de soi et motivation.
Temps libre et apprentissages, activités extrascolaires… Pourquoi ? Que faire ?

Comment transmettre les règles de vie ?
Les mécanismes de la colère et incidences : La gérer, la désamorcer et trouver des stratégies de remplacement.
Gros mots, incivilités, manque de respect, comment réagir face à ces comportements ?
Les écrans et nous ! Impacts sur le cerveau et nos comportements… Comment se positionner et responsabiliser l’enfant.
L’argent dans la famille, parlons-en ?
Limites règles : Droits, devoirs et responsabilisation de nos enfants.
Enjeux de la communication parents-enfant(s).
Relations entre parents ; Démission du rôle de père, comment aider à le rétablir ?

Collèges et établissements du primaire (IRFEC) : Toulouse, Limoges, Tarbes, Albi, Castres

Apprentissages et troubles du comportement.
Comment aider les enfants à se motiver à l’école ?
Des outils pour l’aide personnalisée et les PPRE.
Se faire entendre sans crier.
Observer et comprendre ce qui me dérange face aux élèves qui déroutent, que faire ?
S’outiller pour mieux comprendre, mieux aider, mieux faire progresser.
S’orienter vers son projet scolaire et professionnel.
Projet d’accompagnement éducatif.

CCI Castres Mazamet Albi, CGAT, Castres Olympique :

Gérer le stress, développer son potentiel personnel et professionnel, auto-organisation et outil de management.
Entretenir, organiser, développer sa mémoire et améliorer l’existant, apprendre à travailler en synergie avec les mécanismes naturels de son cerveau.
Comment se motiver : Motivation et stratégies d’apprentissage.
Projet scolaire et professionnel : Améliorer son efficacité face aux examens.

Liste des conférences-débat sur le fonctionnement biochimique et la psychologie de notre cerveau, notre alimentation et leurs conséquences sur nos comportements et notre santé: Bibliothèques Castres, Mazamet ; médiathèques…

1) Mémoire et Alzheimer : Peut-on prévenir ? Et comment accompagner ?
2) Parkinson : Prévenir, retarder, voire réduire les symptômes... Et comment accompagner ?
3) Stress, mal être et dépression, peut-on en sortir ?
4) La dépendance, peut-on s’en libérer ?
5) Le sommeil… Retrouver le sommeil

6) Parents et scolarité : Eviter la fatalité face à l’échec !
7) Comment aider les enfants à se motiver à l’école ?
8) Les relations parents, enfants, adolescents : Parents conscients enfants confiants…
9) Scolarité ! L’échec n'est pas une fatalité ! Motivation et relations parents-enfants-adolescents-enseignants…

10) Le couple heureux ! Utopie ? Biologie et psychologie de l'amour... Cultiver et raviver la flamme...
11) Le lâcher prise, pourquoi ? Comment lâcher-prise et dans quelle mesure ?
12) L'estime de soi, se faire confiance et risquer la réalisation de nos objectifs.

Et bien d’autres thèmes ou questionnements selon votre choix…
Association Coup de Pouce. ( 05 63 75 10 09 – 06 70 73 73 16
N°Siret 48523454600011



Ce courrier électronique ne contient aucun virus ou logiciel malveillant parce que la protection Antivirus avast! est active.

Les médecins sont obligés de dénoncer certains patients - Dr Martine Gardénal sur BTLV

10/11/2014

COMPRENDRE
LE CERVEAU
Association Coup de Pouce
05 63 75 10 09 – 06 70 73 73 16
N°Siret 48523454600011

Micro-formation - 5 ateliers de 2h - 20 euros l’atelier

Tout public

L’association vous propose au travers de 5 ateliers de deux heures, la découverte du fonctionnement du cerveau.

Les mardis 18, 25 novembre et 02, 09 et 16 décembre, 14H-16H

Aux "Champs du sud" - 3, Rue Beaujeu, 81100 Castres - 05 63 71 18 93 (près de Monoprix).

Vous expérimenterez de façon simple, ludique et évidente :

- Comment nos processus de pensée influent nos états internes et émotions par l’intermédiaire des neurotransmetteurs et hormones et leurs impacts sur notre santé.

- Les neurotransmetteurs délétères et ceux l’optimisant.

- Leurs origines alimentaires et les comportements appropriés.

Objectifs

- Utiliser en conscience des « leviers » naturels pour la promotion de la santé mentale et physique.

- Permettre de sortir de situation de stress, d’anxiété, d’angoisses, dépression, troubles du sommeil, de la mémoire, de l’attention, du comportement…

Pour chaque neurotransmetteur nous expérimenterons :
Leurs utilités, leurs actions.
Comment les reconnaître, les limiter ou les stimuler avec les mécanismes naturels du cerveau.
Les pathologies en lien avec leur déficit ou excès. Les prévenir, les accompagner…
Les médications existantes (anxiolytiques, somnifères, antidépresseurs, neuroleptiques, amphétamines…), leurs actions et conséquences à long terme.
L’apport et effets de diverses thérapies non-médicamenteuses.
Les apports nutritionnels.

Adresse

La Gayé
Montredon-Labessonnié
81360

Téléphone

06 42 91 05 56

Site Web

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