10/11/2025
🟡 Quand le stress s’exprime dans le corps avant même d’être identifié dans la tête🧠
Les signes sont parfois discrets, parfois envahissants : mâchoires crispées la nuit, réveils fréquents sans raison claire, digestion capricieuse, tensions qui s’installent, difficulté à maintenir l’attention au fil de la journée…
➡➡➡ Ces manifestations ne sont pas un manque d’effort ou de contrôle.
Elles sont souvent l’expression d’un système nerveux autonome qui reste en mode “mobilisation” trop longtemps.
Ce système, responsable de notre survie, fonctionne en deux temps essentiels :
- Activation : la mise en mouvement, la réactivité, l’adaptation immédiate.
- Récupération : la pause, la restauration, le retour à l’équilibre.
Lorsque la bascule vers la récupération devient difficile, le corps maintient une forme de vigilance, qui peut se traduire par :
- Bruxisme et tensions musculaires : un corps qui ne relâche pas complètement
- Éveils nocturnes : un sommeil qui ne parvient pas à descendre en profondeur
- Déséquilibres digestifs : un système en accélération qui impacte l’axe intestin-cerveau
- Fatigue mentale : l’attention dirigée vers l’anticipation plutôt que la récupération
Dans ces moments-là, le corps ne dit pas “je n’y arrive pas”, il dit “je fais de mon mieux pour m’adapter”.
L’objectif n’est donc pas de forcer le corps à se détendre, mais de lui redonner les signaux physiologiques qui permettent d’accéder au relâchement.
C’est précisément ce que permet une pratique régulière comme la sophrologie : recréer des repères internes, agir sur la respiration, la musculature, et les perceptions corporelles, pour influencer directement le fonctionnement du système nerveux.
🟡🟡 Parce que la régulation du stress commence dans le corps. 🟡🟡
🟡🟡 Toujours 🟡🟡