Annabelle Mallavialle Psychologue colib-psy

Annabelle Mallavialle Psychologue colib-psy Annabelle Mallavialle, Psychologue clinicienne, vous propose un dispositif de soins psychologiques

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06/11/2025

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🧠 Le TDAH n’est pas un manque de volonté, c’est une réalité neurologique

Pendant des décennies, les sceptiques se demandaient si le TDAH (Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) était une véritable affection neurologique ou simplement un problème comportemental.

Mais de nouvelles études par IRM cérébrale ont fourni des preuves concluantes : les enfants atteints de TDAH présentent des différences structurelles et fonctionnelles dans certaines régions de leur cerveau.

Des chercheurs de l’Université Radboud aux Pays-Bas ont analysé plus de 3 000 IRM cérébrales et ont découvert que certaines structures sous-corticales — notamment l’amygdale et le noyau accumbens — sont légèrement plus petites et présentent des différences de connectivité chez les enfants atteints de TDAH.

✨Ces zones sont impliquées dans l’attention, le contrôle des impulsions et la régulation émotionnelle.✨

Cette étude marque un tournant dans la compréhension du TDAH comme un trouble neurodéveloppemental, et non comme un défaut de caractère. Elle souligne l’importance de l’empathie et de l’intervention précoce, plutôt que du jugement.🔅

Grâce à ces avancées, les chercheurs espèrent développer des traitements plus précis, incluant des thérapies personnalisées comme le neurofeedback ou l’entraînement cérébral, en complément des médicaments.

Cette recherche ne valide pas seulement les expériences de millions de familles dans le monde — elle ouvre également la voie à une approche plus compassionnelle et scientifique de la santé mentale.

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03/11/2025

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🎬 "L'attachement", un film à voir car d’une grande justesse psychologique qui explore avec une finesse les mécanismes de la dépendance affective, la peur de perdre l’autre, la difficulté à exister sans fusionner, mais aussi de notre capacité à aimer autrement, une fois qu’on comprend d’où viennent nos attachements.

Un film à regarder, pas seulement avec le mental mais avec le cœur, et pourquoi pas, avec un peu d’introspection.

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25/10/2025

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Dans une étude révolutionnaire, des neuroscientifiques ont confirmé une théorie longtemps suspectée sur la schizophrénie : les « voix » que de nombreux patients entendent ne sont pas des menaces externes imaginaires, mais le cerveau qui interprète mal ses propres pensées internes.

En utilisant l'EEG pour suivre l'activité des ondes cérébrales, des chercheurs de l'Université de Nouvelle-Galles du Sud ont découvert que chez les personnes atteintes de schizophrénie qui ont des hallucinations, la capacité du cerveau à distinguer la parole auto-générée des sons externes s'effondre. Normalement, lorsque nous parlons silencieusement dans notre tête, le cerveau atténue l'activité du cortex auditif pour filtrer le son attendu. Mais chez ces personnes, cet atténuation ne se produit pas. Au lieu de cela, leur cortex auditif s'active, comme si quelqu'un d'autre parlait

L'étude a porté sur 142 participants et a révélé que lorsque des personnes souffrant d'hallucinations auditives imaginaient dire un mot tout en l'entendant au casque, leur cerveau réagissait de manière excessive. Cela suggère une défaillance du système de prédiction du cerveau, l'amenant à classer à tort le dialogue interne comme un discours externe. Cette découverte approfondit non seulement notre compréhension des causes profondes de la schizophrénie, mais pourrait également ouvrir la voie à des outils de diagnostic précoce permettant de détecter ces ratés neuronaux avant que la psychose ne se développe. Une telle intervention précoce pourrait transformer la façon dont les cliniciens abordent et traitent la schizophrénie.

Source : « Dysfonctionnement de la décharge corollaire de la parole intérieure et sa relation avec les hallucinations verbales auditives chez les patients atteints de troubles du spectre schizophrène. » Schizophrenia Bulletin, 21 octobre 2025

20/10/2025
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/premiere-une-simple-prise-de-sang-pour-differencier-la-bipolarite-d...
07/10/2025

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/premiere-une-simple-prise-de-sang-pour-differencier-la-bipolarite-de-la-depression_177592?fbclid=IwVERTSANPXVlleHRuA2FlbQIxMAABHhg44TLbRXQGGtD3T1bmPsRFBTNDavFeJpWT5FlzxY5B4J-ST3a0jM0eqomq_aem_-lmskJ0kEoKIv97hsSxmjQ&sfnsn=scwspwa

Le premier test capable de différencier la bipolarité de la dépression, souvent confondus, sort en France en avril 2024. Basé sur une simple prise de sang, il nécessite cependant une prescription et coûte 899 euros.

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05/10/2025

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Une nouvelle étude de l’Université Cornell a révélé que les personnes bénéficiant d’un soutien social tout au long de leur vie — depuis un environnement familial chaleureux dans l’enfance jusqu’à des amitiés solides et des liens communautaires à l’âge adulte — vieillissent biologiquement plus lentement.

Les chercheurs ont utilisé les données de plus de 2 100 adultes issues de l’étude MIDUS et ont constaté que ceux qui présentaient une plus grande « avantage social cumulatif » affichaient des résultats plus jeunes sur deux principaux horloges épigénétiques (GrimAge et DunedinPACE), qui sont de puissants indicateurs des risques de santé et de l’espérance de vie.

Ces individus présentaient également des niveaux plus faibles d’inflammation chronique, notamment de l’interleukine-6, une molécule associée à des maladies graves comme le diabète, les maladies cardiovasculaires et la neurodégénérescence.

Contrairement aux études passées qui se concentraient sur des relations isolées, cette recherche a pris en compte l’ensemble du parcours social au cours de la vie — de la chaleur parentale au sentiment d’appartenance à un quartier, en passant par le soutien religieux.

Les scientifiques ont constaté que cette accumulation de connexions sociales — pas seulement avoir des amis maintenant, mais construire des liens solides au fil du temps — peut influencer la santé de manière profonde. On peut comparer la vie sociale à un investissement à long terme : des contributions régulières au fil des années rapportent des bénéfices non seulement sur le plan émotionnel, mais aussi biologique.

Ces résultats suggèrent que des liens sociaux profonds et durables ne sont pas seulement bons pour l’âme : ils pourraient également être la clé d’un vieillissement plus lent et d’une meilleure santé à long terme.

Source : Ong, A. D., Mann, F. D., & Kubzansky, L. D.

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