Docteur ROBBA Michaël

Docteur ROBBA Michaël PERSONNALITÉ PUBLIQUE

MÉDECINE SPORTIVE

CONSULTATIONS DE PEDIATRIE GENERALE

CONSULTATIONS DE CARDIOLOGIE PEDIATRIQUE

Depuis plusieurs années, avec ma conjointe nous sommes régulièrement famille d'accueil pour animaux.Nous avons successiv...
12/11/2025

Depuis plusieurs années, avec ma conjointe nous sommes régulièrement famille d'accueil pour animaux.

Nous avons successivement accueilli de nombreux animaux : chats, chiens, chèvres et même des poules.

Nous avions, il y a quelques mois, adopté sur un coup de cœur 2 petits chatons, un frère et sa sœur.

Il y a quelques jours, nous avions retrouvé un soir notre petite minette de quelques mois, dans le jardin blessée et boitant au niveau de ses pattes arrières

Un verdict sans appel, fracture de la partie basse de la colonne vertébrale au niveau du sacrum et du coccyx.

Cela a entraîné une paralysie de sa queue, et surtout une atteinte des nerfs de la vessie et du re**um, la rendant totalement incontinente, et incapable de vider sa vessie correctement

Plusieurs risques :

- ne sentant plus sa queue qui trainait par terre, elle pouvait à tout moment se l'accrocher n'importe où risquant blessure voir même hémorragie;

- et surtout ne vidant plus sa vessie, le risque était de développer une insuffisance rénale pouvant être rapidement mortelle, et également de développer des infections.

C'est avec beaucoup beaucoup de tristesse que nous avons dû nous résoudre de prendre la décision de mettre fin à ses jours, pour éviter toute souffrance et aggravation de ces lésions qui malheureusement étaient irréversibles

Elle avait une dizaine de mois et avait eu de magnifiques petits chatons récemment

  Après avoir été de garde et sur le pont toute la nuit.Je me suis rendu ensuite cet après midi auprès de Stade Niçois p...
08/11/2025




Après avoir été de garde et sur le pont toute la nuit.

Je me suis rendu ensuite cet après midi auprès de Stade Niçois pour la rencontre opposant Nissa Rugby face à Marcq en Baroeul

Une victoire 30-21 qui permet à l’équipe de repasser première au classement de Nationale après 10 journées.
On regrettera la perte du bonus offensif en fin de match face à de valeureux Nordistes qui n’ont rien lâché

Très très heureux comme toujours d’avoir été présent pour ce match au plus près du terrain et des joueurs, en tant que médecin du club, sponsor, mais avant tout en tant que passionné

Vous voulez venir vivre cette très belle expérience avec un accès en fin de match au buffet et repas d’après match ?
C’est avec plaisir que je vous invite et que je vous y convie la prochaine fois

Lors du prochain Nissa Rugby se déplacera à Narbonne pour un choc au sommet entre les 2 leaders de Nationale

  ENCORE !!!Cette nuit j’étais à nouveau de garde toute la nuit au sein de la Clinique - Maternité située dans l’hôpital...
08/11/2025




ENCORE !!!

Cette nuit j’étais à nouveau de garde toute la nuit au sein de la Clinique - Maternité située dans l’hôpital pédiatrique Lenval de Nice

Une garde un peu plus calme que les précédentes cette fois, mais où j’ai quand même été sollicité

L’on me voit d’ailleurs être appelé, et quitter précipitamment ma chambre de garde en pleine nuit pour une urgence

Tous les enfants et bébés pris en charge cette nuit vont bien

Je vous laisse avec ce petit levé de soleil en direct de l’hôpital

Direction le village de Saint Blaise pour un peu de repos, avant de me rendre cet après midi auprès du Stade Niçois pour un match capital pour rester tout en haut du classement

MÉDECINE LIBÉRALE EN DANGER Il ne faudrait pas oublier, dans le tumulte des débats budgétaires, que la médecine libérale...
06/11/2025

MÉDECINE LIBÉRALE EN DANGER

Il ne faudrait pas oublier, dans le tumulte des débats budgétaires, que la médecine libérale est notre première ligne de soins et la compagne indissociable de l’hôpital public. Celle qui accueille au quotidien, opère, suit, rassure ; celle qui évite des hospitalisations, raccourcit des convalescences, fluidifie tout le système, subit aujourd’hui une campagne de coupe tarifaire inédite. Les décisions récentes de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et le projet de loi de financement de la Sécurité sociale envoient un signal clair : plutôt que de renforcer ce pilier, on choisit de le presser, au risque de le briser.

Rappelons d’abord de quoi l’on parle. L’ONDAM, l’objectif national de dépenses d’assurance maladie, fixe chaque année le plafond des remboursements de la Sécurité sociale, en ville comme à l’hôpital. Pour 2026, il est annoncé à 270,4 milliards d’euros, soit +1,6 % sur un an. On pourrait croire l’effort suffisant ; les fédérations hospitalières publiques et privées estiment pourtant qu’il faut au moins +3 % pour tenir l’équilibre. En clair, le prix réel de la santé n’est pas celui que rembourse aujourd’hui la collectivité. C’est, en équivalent, près de 20 000 postes d’infirmiers qui ne pourront pas être pourvus alors même que les recrutements redémarrent. Les établissements de santé sont donc déjà les cibles d’une diète budgétaire répétée qui intègre déjà un déficit structurel pour 2026 lié à un coût réel de la santé supérieur aux tarifs de l’assurance maladie.

Si la dépense augmente, c’est d’abord parce que nous vivons plus longtemps, avec des maladies chroniques mieux dépistées et mieux suivies ; parce que les traitements progressent, notamment en cancérologie, avec des thérapies innovantes souvent onéreuses ; parce que les exigences de sécurité, de traçabilité, de conformité numérique, l’investissement en robotique et en IA, et la permanence des soins 24/7 se sont renforcés. Bonne nouvelle sanitaire, mais qui a un prix. Et malgré cela, la France ne fait pas figure d’exception dépensière : à niveau de prix comparable, nous restons environ 20 % en dessous de l’Allemagne en dépense de santé par habitant. La France consacre environ 4 620 euros par habitant à la santé (dépenses totales, publiques et privées confondues, en parité de pouvoir d’achat), contre 5 710 euros en Allemagne. Cet écart persistant illustre un paradoxe : nous faisons beaucoup, souvent mieux, mais avec moins de moyens par tête. Cela relativise l’idée d’un système « hors de contrôle » et montre surtout que l’effort ne couvre pas pleinement les besoins actuels.

Dans le même temps, les actes lourds restent au plancher et globalement inchangés depuis des années alors même que les charges indispensables à la sécurité augmentent. Deux repères pour mesurer l’écart entre responsabilité et tarification : l’ablation d’un cancer du testicule est rémunérée 100 euros pour environ une heure et demie d’intervention ; une appendicectomie, 188 euros. Plus frappant encore, un prélèvement de moelle osseuse (myélogramme) est coté 9,60 euros, matériel compris : un geste réalisé à perte. Si ces tarifs avaient simplement suivi l’inflation sur vingt ans, on serait autour de 140 euros pour l’ablation d’un testicule cancéreux, 250 euros pour l’appendicectomie et environ 13 euros pour le myélogramme, loin encore toutefois d’une rémunération proportionnée à l’expertise et à la responsabilité. Cet écart devenu structurel explique pourquoi tant d’équipes peinent à maintenir le même niveau d’exigence sans fragiliser leur équilibre, et recourent parfois à des compléments d’honoraires, car le coût réel de la santé dépasse largement le coût étatique fixé.

Parallèlement, la CNAM a décidé unilatéralement de programmer des baisses des forfaits techniques sur les plateaux d’imagerie, de médecine nucléaire, de radiothérapie, de médecine vasculaire, de néphrologie, de cardiologie, avec des décrues pouvant atteindre 15 %, alors même que la maintenance, la conformité et la sécurité de ces équipements n’ont jamais coûté aussi cher. Concrètement : une échographie de recherche de phlébite en urgence sera remboursée 69,93 euros au lieu de 75,60 euros, puis de nouveau abaissée sans justification à 64,26 euros à partir de juillet 2026, quand l’investissement pour un échodoppler se situe entre 50 000 et 100 000 euros, à renouveler environ tous les cinq ans pour suivre l’évolution technologique. Même logique pour les scanners ou IRM, déjà pénalisés lorsque la machine réalise « trop » d’actes : à l’heure où l’on demande de réduire les délais, on fragilise les centres qui tournent, on reporte les investissements, on freine l’innovation — et, inévitablement, on allonge les files d’attente.

L’OPTAM (option pratique tarifaire maîtrisée, un contrat qui améliore le remboursement des patients en échange d’un encadrement des compléments d’honoraires), pensé à l’origine comme un compromis gagnant, se resserre chaque année à tel point que des praticiens envisagent d’en sortir, ce qui réduira in fine le remboursement des malades. S’y ajoute une décote des actes multiples qui pénalise toutes les professions de santé, des médecins aux infirmiers libéraux, en passant par les kinésithérapeutes : lorsqu’au cours d’une même séance plusieurs gestes sont réalisés, le deuxième acte n’est payé qu’à 50 % de sa valeur, et à partir du troisième il n’est plus rémunéré du tout. Autrement dit, plus on soigne sur un temps donné (préparation, temps opératoire, risques, stérilisation), moins le travail est reconnu — jusqu’à être gratuit au troisième geste !

Ce décor budgétaire s’accompagne de propositions parlementaires inquiétantes. L’article 26 de la loi de financement de la Sécurité sociale cristallise le débat en envisageant une surtaxation des compléments d’honoraires, voire leur suppression prônée par la France Insoumise, et un durcissement pour les praticiens du secteur 1 via la remise en cause d’avantages fiscaux, alors même que leurs actes sont déjà sous-valorisés. Pour les confrères non conventionnés, la menace va jusqu’à interdire le remboursement des prescriptions : un enterrement professionnel.
Un angle mort pèse pourtant bien davantage sur les ménages : les complémentaires santé. Les hausses se sont enchaînées ces dernières années — environ +7,1 % en 2023, autour de +10 à +11 % en 2024, puis encore +6 à +7 % en 2025 — sans que l’on interroge réellement la place croissante des primes dans le budget des foyers, alors que toutes ne remboursent pas les compléments d’honoraires, même modérés. Sur une période plus longue, l’UFC-Que Choisir observe une hausse médiane proche de +40 % entre 2018 et 2024 ; en moins de dix ans, beaucoup d’assurés subissent ainsi une progression cumulée d’environ la moitié de leur prime. Pendant que l’on stigmatise les soignants, on parle trop peu de cette facture parallèle.
Au-delà des chiffres, il y a l’humain. La blessure n’est pas seulement financière, elle est morale. Hier encore, on applaudissait les soignants. Aujourd’hui, jusque dans les plus hautes sphères, on les dépeint en « rentiers ». Quel mépris pour le fruit d’un travail, du jamais vu. On multiplie les soupçons statistiques, les pénalités automatiques si trop d’arrêts de travail sont prescrits sans tenir compte des patientèles, les injonctions contradictoires. Qui peut croire qu’on améliorera l’accès aux soins en humiliant ceux qui les délivrent ?

Je suis médecin. J’ai choisi ce métier par vocation. J’en connais la beauté et les exigences : nuits, décisions difficiles, responsabilités lourdes. Mais pour la première fois, une question me noue la gorge et me hante : conseillerais-je à mes enfants de faire médecine, en France, dans ces conditions — à l’heure où en plus il n’y a plus aucune lisibilité dans le parcours de formation qui change tous les ans ? Un pays qui décourage ses soignants et abîme ses vocations le paie en retards de prise en charge, en complications évitables, en inégalités accrues. Le risque n’est pas corporatiste, c’est un risque sanitaire.

Maîtriser la dépense, oui. Mais maîtriser n’est pas punir. La seule politique durable, c’est la pertinence des soins : soigner mieux, au bon moment, au bon endroit. La médecine de ville est précisément le lieu où l’on évite des nuitées d’hôpital et des complications. L’asphyxier, c’est se tirer une b***e dans le pied. Si nous transformons une profession en bouc émissaire budgétaire, nous prendrons le risque d’un décrochage historique. Et ce jour-là, ce ne sont pas des intérêts qui souffriront, mais des destins : des patients qui attendront trop, des étudiants brillants qui choisiront un autre avenir, des enfants à qui nous n’oserons plus dire : « Fais médecine, tu serviras ton pays. »

Il est encore temps de changer de cap. De respecter la médecine libérale. Bien soigner coûte, mal soigner coûte davantage. Redonnons de la lisibilité, de la stabilité, de l’estime. C’est la condition pour que, demain, nos enfants aient envie d’endosser la blouse et pour que chacun soit soigné à temps, près de chez lui, en confiance.

Une soirée studieuse ce soir où j’ai assisté au Conseil Municipal du village de Saint Blaise où ma famille vit depuis pr...
06/11/2025

Une soirée studieuse ce soir où j’ai assisté au Conseil Municipal du village de Saint Blaise où ma famille vit depuis près de 35 ans et où j’ai créé et monté un cabinet médical de campagne en 2024.

Je me suis ensuite rendu auprès des nouveaux gérants de l’auberge communal Auberge du Prieure qui vient de réouvrir ses portes.

Cette auberge communal appartenant à la commune était fermée depuis presqu’un an maintenant

Je me réjouis bien évidemment de cette ré-ouverture et j’ai apporté tout mon soutien aux nouveaux gérants
J’espère que parmi les nombreux patients qui viennent me consulter régulièrement sur Saint Blaise vous serez nombreux à vous y rendre.

Cette auberge dispose de nombreux atouts :

- un coin jeu pour enfant à l’intérieur
- mais aussi à l’extérieur avec un petit jardin et des structures pour enfant (balançoire et toboggan)

Tous les ingrédients pour passer un agréable repas et moment en famille au sein du village de Saint Blaise.

Saint Blaise village de 1377 habitants (selon l’insee) regorge d’un patrimoine et d’une nature très méconnue mais pourtant assez exceptionnelle

Voici quelques photos de quelques trésors qui se cachent à Saint Blaise

Je vous dis à ce week end sur Saint Blaise où notre cabinet sera ravi de vous accueillir pour de nombreuses consultations pédiatriques.

Mycose BuccaleVoici le cas de ce jeune enfant qui nous a consulté pour une mycose buccale, familièrement appelé « muguet...
03/11/2025

Mycose Buccale

Voici le cas de ce jeune enfant qui nous a consulté pour une mycose buccale, familièrement appelé « muguet » ou encore candidose buccale.

Cet enfant présentant un terrain d’asthme, il est régulièrement sous inhalation de bronchodilatateur (ventoline : utilisée en cas de grosses quintes de toux aiguës) et a également un traitement de fond au long cours l’hiver par corticoïdes inhalés en plus (en l’occurrence le flixotide)

Les inhalations à base de corticoïdes inhalés modifient l’immunité du pharynx larynx et oropharynx et peuvent être des facteurs favorisants la survenue de mycose buccale

Dans un premier temps, nous lui avons prescris un traitement local pour traiter cette mycose.

Et surtout nous lui avons rappelé qu’après chaque inhalation de corticoïdes inhalés, il est vivement recommandé de bien se rincer la bouche.

Les pathologies respiratoires chez l’enfant étant en hausse régulière, et le recours aux corticoïdes inhalés fréquents surtout l’hiver, il est important de bien connaître certaine règle d’hygiène simple.

02/11/2025




Notre cabinet médical était ouvert ce jour sur le village de Saint Blaise, avec de nombreuses consultations tout au long de la journée.

Parce que nous avons tous une part d’enfant en nous, en plus de nos consultations pédiatriques classiques, nous avons également été sollicité par quelques habitants du village afin de leur réaliser des vaccins de la grippe et / ou du covid pour certains.

C’est avec grand plaisir que nous avons accepté de vacciner ces habitants là.

Après avoir consulté et examiné des nouveaux nés de parfois quelques jours, nous avons ensuite vacciné certains seniors (à leur demande) du village de Saint Blaise.

Si vous êtes un enfant et/ou un adulte et que vous avez besoin d’être vacciné, n’hésitez pas à nous contacter, nous pouvons vous aider.

 Depuis plus d’un an, notre cabinet médical situé dans le petit village rural de Saint Blaise est devenu plus qu’un simp...
31/10/2025



Depuis plus d’un an, notre cabinet médical situé dans le petit village rural de Saint Blaise est devenu plus qu’un simple cabinet

Il est aussi un lieu de partage, d’échange et de rencontre.

Ce soir après avoir consulté une bonne partie de la semaine et accueilli de nombreux patients, notre cabinet médical est très heureux et vous attends nombreux pour une petite distribution de bonbon suivi d’une petite chasse aux bonbons à partir 18h15

Un moment festif et de convivialité très très apprécié par les habitants de notre quartier, qui est l’un des quartiers les plus important du village de Saint Blaise

Nous vous disons à tout à l’heure

ORGELET voici le cas de ce jeune patient que nous avons pris en charge à notre cabinetil présentait une infection au niv...
31/10/2025

ORGELET

voici le cas de ce jeune patient que nous avons pris en charge à notre cabinet

il présentait une infection au niveau des cils de la paupière inférieure et une gêne importante

Cela s’appelle un ORGELET

Α l’aide d’un traitement local : collyre désinfectant et pommade antibiotique ophtalmique, cet ORGELET a disparu et a évolué favorablement

L’on peut parfois faire des petits massages avec une compresse d’eau tiède

Il n’est pas conseillé de les percer ou les manipuler

Merci à ce patient pour sa confiance et ravi que l’évolution a pu être favorable

Adresse

Nice
06000

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