Nathalie Boisselier - Psychologue & Psychothérapeute

Nathalie Boisselier - Psychologue & Psychothérapeute Je suis psychologue clinicienne & psychothérapeute, Docteure en psychologie.

Je reçois des adultes et des adolescents en psychothérapie ou en consultation ponctuelle de conseil psychologique dans mon cabinet situé à Nice, à deux pas de la place Masséna.

Je ne pense pas que les enfants gagnent 3 points de QI par an grâce à l’école, mais plutôt parce que leur cerveau contin...
02/11/2025

Je ne pense pas que les enfants gagnent 3 points de QI par an grâce à l’école, mais plutôt parce que leur cerveau continue de se développer (il pèse 30% de son poids final à la naissance). Mais en dehors de cela, je vous recommande cette vidéo de grande qualité.

Le QI mesure l’intelligence générale à travers diverses capacités cognitives, influencées à la fois par les gènes et l’environnement. Mais cette mesure reste...

02/11/2025

Voici le texte d'un post très intéressant publié par le Pr Cyril Tarquinio sur LinkedIn sur les liens entre microbiote et dépression :

"Soigner les maladies mentales par le ventre : l’idée séduit, et la science commence à lui donner corps. Trois études récentes en montrent la pertinence sans en masquer les limites.

La première, parue dans BMC Psychiatry (Zhao et al., 2025, DOI : 10.1186/s12888-024-06438-z), compile 34 essais contrôlés randomisés, soit plus de 3 000 patients dépressifs. Les interventions — probiotiques, prébiotiques ou régimes riches en fibres — réduisent significativement les symptômes (SMD = −0,26), mais l’effet reste modéré. Les bénéfices apparaissent surtout après huit semaines de suivi et s’atténuent dès que l’alimentation redevient déséquilibrée. L’étude conclut : prometteur, mais pas curatif.

Une seconde méta-analyse, publiée dans Frontiers in Nutrition (Firth et al., 2024, DOI : 10.3389/fnut.2024.1337889), regroupe seize essais totalisant 45 000 participants. Les régimes méditerranéens ou anti-inflammatoires améliorent les scores dépressifs (g = 0,27 ; p = 0,002). Les auteurs notent un effet plus marqué chez les sujets à forte inflammation systémique ou consommant peu de fruits et légumes. L’impact psychique tiendrait autant à la biologie qu’à la restauration d’une routine et d’un sentiment de contrôle.

Enfin, l’étude de Sun et al. (2024, DOI : 10.1186/s40168-024-01961-3) suit 15 600 personnes sur quatre ans. Une consommation élevée de fruits citrus réduit le risque de dépression de 22 % (HR = 0,78), corrélée à une plus grande abondance de *Faecalibacterium prausnitzii* et *Bifidobacterium longum*, deux espèces productrices d’acides gras à chaîne courte, impliquées dans la neuroplasticité et la régulation du stress. Un tiers de l’effet protecteur passerait par la diversité microbienne.

Ces travaux ouvrent une voie : l’alimentation influence la santé psychique via l’axe intestin-cerveau. C’est le cœur d’une approche *One Health* : relier santé humaine, alimentation et écosystème microbien. Mais il faut rester prudent. Les tailles d’effet sont faibles, les biais méthodologiques nombreux et la causalité encore incertaine. Ces interventions soutiennent, elles ne remplacent ni psychothérapie ni traitement pharmacologique.

Surtout, ce champ attire désormais des discours simplistes. Depuis l’« année de la santé mentale », des coachs autoproclamés prétendent « rééquilibrer l’esprit » par la nutrition. Ils confondent langage du bien-être et langage du soin. La psychologie, discipline scientifique fondée sur la méthode et la clinique, ne se résume pas à une rhétorique inspirante. Les promesses de guérison par l’assiette séduisent parce qu’elles paraissent simples ; elles deviennent dangereuses lorsqu’elles évitent toute complexité."

30/10/2025

Le QI change-t-il au cours de la vie ?

C’est une question souvent posée, et à laquelle la recherche apporte aujourd’hui une réponse précise. Une méta-analyse récente de Breit et coll. (2024), portant sur plus de 87 000 participants suivis parfois sur plusieurs décennies, permet de comprendre comment évoluent les différences d’intelligence au fil du temps.

Les résultats montrent que les positions relatives des individus sont étonnamment stables. Autrement dit, même si notre cerveau évolue, notre rang dans la distribution du QI change très peu à partir de l’adolescence. À 20 ans, la corrélation entre deux mesures de QI réalisées à cinq ans d’intervalle atteint environ r = .80, et grimpe à r = .90 lorsqu’on corrige les erreurs de mesure. Cela signifie que plus de deux tiers des différences observées entre les individus se maintiennent au fil du temps. Le dernier tiers correspond à différents facteurs dont certains ne touchent pas tout le monde ni au même moment de la vie. Il peut s’agir du vieillissement normal ou pathologique, d’aléas de vie tels que la maladie, le stress chronique, ou encore des traumatismes neurologiques. Une partie de cette variabilité provient également de différences méthodologiques : changement de test entre les deux passations, usage d’un test partiel plutôt qu’une échelle complète, étalonnage différent entre générations de tests.

Chez l’enfant, la situation est différente. Avant six ans, les classements sont encore instables : les trajectoires cognitives peuvent se réorganiser, et les écarts de développement temporairement s’accentuer ou se réduire. Mais à partir de 12 ans, la stabilité augmente fortement, jusqu’à devenir presque maximale à l’âge adulte (à partir de 18-20 ans).

Ainsi, si le QI ne reflète pas une réalité figée de la personne, il demeure un indicateur remarquablement constant du fonctionnement intellectuel à long terme. L’intelligence évolue, mais les différences entre individus restent parmi les plus stables de toute la psychologie humaine. La stabilité du QI est ainsi plus élevée que celle de la personnalité, de l’estime de soi ou de la motivation. Cela signifie que les différences de tempérament ou de motivation évoluent davantage au fil de la vie que les différences d’intelligence.

Breit, M., Scherrer, V., Tucker-Drob, E. M., & Preckel, F. (2024). The stability of cognitive abilities: A meta-analytic review of longitudinal studies. Psychological Bulletin, 150(4), 399.

Le TDA/H ne comprend pas seulement des symptômes d’inattention ou d’hyperactivité. La dysrégulation émotionnelle est dés...
02/10/2025

Le TDA/H ne comprend pas seulement des symptômes d’inattention ou d’hyperactivité. La dysrégulation émotionnelle est désormais reconnue comme une caractéristique-clé du trouble. D’après les résultats les plus récents de la recherche, voici les 5 principaux points à retenir concernant cette difficulté majeure :

1. La dysrégulation émotionnelle est une caractéristique fréquente du TDA/H à la fois chez les enfants et chez les adultes, même si on ne la retrouve pas de manière systématique (30 à 70% des adultes et 25 à 45% des enfants TDA/H). Elle est présente dans le sous-type inattentif, dans le sous-type hyperactif/impulsif, et dans le sous-type combiné du trouble. Elle peut conduire à des conséquences négatives, incluant notamment des difficultés relationnelles, des amitiés de qualité médiocre, des risques de troubles anxieux ou dépressifs, et un accroissement des difficultés fonctionnelles.

2. Chez les personnes souffrant de TDA/H, la dysrégulation émotionnelle peut se manifester par de l’irritabilité, le fait d’être susceptible, ou de s’exciter facilement. Certaines personnes peuvent avoir une sensibilité au rejet, incluant particulièrement une sensibilité à la critique ou au sentiment de rejet.

3. La dysrégulation émotionnelle dans le TDA/H est associé à de multiples processus cérébraux : une réactivité émotionnelle “bottom-up” qui peut être caractérisé par le seuil, l’intensité, et la durée des réponses émotionnelles, et le contrôle régulateur “top-down” de ces réponses émotionnelles.

4. Les stimulants peuvent aider à contrôler les symptômes émotionnels du TDA/H, bien que certaines données suggèrent que les amphétamines telles que l'Adderall pourraient augmenter la labilité émotionnelle.

5. La thérapie cognitivo-comportementale, l'apprentissage des compétences sociales et les programmes de formation des parents peuvent améliorer les symptômes émotionnels chez les enfants souffrant de TDA/H. Les interventions comportementales qui ciblent spécifiquement les symptômes émotionnels semblent prometteuses, mais des efforts supplémentaires sont nécessaires pour les développer et les diffuser.

Pour plus de détails et les références des études, suivez le lien de l'article de l'American Psychological Association (APA).

ADHD isn’t just about inattention or hyperactivity. Emotional dysregulation is now recognized as a key feature—and psychologists are helping children and adults learn to manage those “big feelings” with evidence-based strategies.

Learn more: https://at.apa.org/5b0

02/10/2025

Je viens d'avoir la chance d'assister à une conférence du Pr Antonio Hardan de l'Université de Stanford, invité par notre laboratoire (CoBTeK). Il est un des pionniers de la recherche sur l'autisme. Impossible de résumer une conférence extrêmement détaillée, mais voici quelques points essentiels sur l'état de la recherche sur l'autisme :

- Comme pour de nombreux autres conditions (par ex., schizophrénie, bipolarité) la recherche se concentre sur des traitements médicamenteux symptomatiques. En d'autres termes, on cherche à réduire le retentissement des symptômes et pas à "guérir" l'autisme.

- Il est devenu clair que chaque cluster de symptômes (par ex., les comportements répétitifs, la communication sociale) se divise en plusieurs sous-compétences. Il est illusoire de croire qu'un traitement médicamenteux puisse traiter (par ex.) tous les problèmes de communication réciproque : chacun agira sur quelques symptômes.

- De nouvelles molécules sont à l'étude actuellement comme la vasopressine (résultats en cours d'analyse), d'autres ont été identifiées comme non efficaces (ocytocine). Par ailleurs, le fait que chaque molécule ne traite qu'un ensemble isolé de symptômes rend nécessaire d'étudier les effets (y compris secondaires) de la combinaison de traitements.

- Il est important de prendre en compte l'hétérogénéité des présentations de l'autisme incluant la nécessité d'identification biologique de sous-groupes. En outre, le niveau de développement doit être pris en compte. Dans un sous-groupe donné, certains symptômes peuvent être plus envahissants à un âge par rapport à un autre.

- Il est important d'améliorer les outils d'évaluation ; qu'il s'agisse de mesures objectives (contact visuel, expressions faciales...) ou de questionnaires avec de meilleures qualités psychométriques. L'enjeu n'est pas seulement l'évaluation clinique. Il concerne la recherche : comment étudier l'efficacité d'un traitement si cette efficacité est déduite d'une échelle de mesure (avant / après) imprécise ?

- Les recherches sur l’autisme peuvent bénéficier à d’autres groupes de personnes, les déficits sociaux se retrouvant dans d’autres troubles. Par exemple, améliorer la motivation sociale peut aider les personnes souffrant d’un trouble de la personnalité évitante.

- Les chercheurs mettent au point des protocoles pour les essais de médicaments qui isolent de mieux en mieux l’effet placebo.

Dans une étude qui vient de paraître, Blanch et coll. (2025) se sont posés la question suivante : quels facteurs personn...
20/09/2025

Dans une étude qui vient de paraître, Blanch et coll. (2025) se sont posés la question suivante : quels facteurs personnels (génétiques) et environnementaux (famille, école) permettent de distinguer les jeunes enfants (4 et 7 ans) qui présentent un haut QI et conservent leur avance ultérieurement (12 à 21 ans), de ceux qui ne conservent pas cette avance ?

Dans un premier temps, l’étude montre que les variations de QI au cours de l’enfance sont fréquentes. Elles peuvent même être très importantes au tout début de l’enfance. Elles se poursuivent ensuite pendant l’adolescence, mais de manière bien moins spectaculaire. En outre, ces variations ont tendance à être plus importantes chez les enfants de 7 ans dont le QI est supérieur à 115 que chez ceux dont le QI est compris entre 99 et 114. Ceci n’est pas le plus surprenant puisque l’effet de la régression vers la moyenne est attendu comme plus fort dans le groupe à haut QI (HQI).

Dans un second temps, les auteurs de l’étude ont cherché à savoir si ces variations de QI pouvaient être prédites par les scores polygéniques dérivés de l’ADN, des facteurs socio-démographiques, l’environnement familial, ou des problèmes comportementaux (troubles des conduites). Les résultats montrent que :
- l’augmentation du QI pendant l’enfance et jusqu’à l’entrée dans l’âge adulte est principalement associée au score polygénique (à la génétique) et au statut socio-économique.
- En contraste, les facteurs les plus importants pour prédire la diminution du QI sur cette même période sont de souffrir de troubles des conduites. Les évènements adverses précoces jouent également un rôle, particulièrement dans le groupe des QI compris entre 99 et 114.

Ces résultats sont cohérents ceux d’études précédentes sur le développement cognitif et confirment l’importance des gènes dans la détermination du QI chez l’adulte, moment de la stabilisation. Ils engagent à se rappeler que l’intelligence est un trait soumis au développement chez les enfants. En conséquence, les auteurs rappellent que les pratiques consistant à faire passer des tests de QI à de très jeunes enfants et de les étiqueter comme surdoués ou HPI pour le reste de leur éducation n’est pas justifié. Dans l’étude de Blanch et coll. (2025), seulement 16% des enfants ayant un QI > 115 avaient encore ce score à 21 ans.

A new study by Roberto Colom and his coauthors (published in ICAJournal) examines the stability and change in IQ in children with above-average intelligence at age 7. What it finds is revealing.

The major finding is that IQ changes in childhood are common. In early childhood, large IQ fluctuations are common. These changes get smaller in adolescence, but they still happen. Moreover, the changes tend to be larger for children with IQs of 115+ at age 7 (right panel) than those with IQs of 99-114 (left panel). This is not terribly surprising because regression towards the mean should be larger in the higher-IQ group.

Documenting these changes is important, but the authors also investigated whether IQ changes could be predicted by DNA-based polygenic scores, background variables, home environment, and behavioral problems.

The results showed that increasing IQ through childhood and into early adulthood was positively associated with higher polygenic scores and higher socioeconomic status. The most consistent predictors of increasing IQ was the DNA-based polygenic scores and socioeconomic status. The most consistent predictor of decreasing IQ was behavioral problems, though adverse life events were pretty consistent in the 99-114 IQ group.

These results match prior studies on cognitive development and confirm the importance of genes in determining the adult IQ of a person. They also show the importance of seeing children's intelligence as a trait that is still in the process of developing. Practices like giving IQ tests to very young children and labeling the as "gifted" for the rest of their education are not justified. In this study, only 16% of children with IQs of 115+ still had a score that high at age 21. Regularly reassessing children's cognitive development is best practice.

Read the full article (with no paywall) at ICAJournal here: https://icajournal.scholasticahq.com/article/144062-developmental-changes-in-high-cognitive-ability-children-the-role-of-nature-and-nurture

16/09/2025

Je suis très fière de voir mes travaux de recherche cités dans le dernier article de Anglim (2025). Anglim est l'auteur d'une des plus grandes meta-analyses des liens entre la personnalité et l'intelligence, avec celle de Stanek et Ones (2023).

Le papier de 2025 d'Anglim réanalyse de manière critique les résultats de Stanek et Ones. Il dresse également la r***e des études empiriques récentes des liens entre la personnalité et l'intelligence, en précisant les avancées méthodologiques et théoriques dans ce domaine, de telle sorte à servir de socle à de futures recherches.

Mon papier est ainsi cité parce qu'il s'est intéressé aux liens entre intelligence et environnement, sachant que l'environnement est l'un des facteurs les plus prépondérants dans le développement de la personnalité (mais pas que, bien sûr...).

Anglim, J. (2025). Personality and Cognitive Ability: A Critical Review and Meta-Analytic Synthesis. Current Opinion in Psychology, 102171.

Boisselier, N., & Soubelet, A. (2024). Intellectual giftedness and early adversity: searching for the hidden factor. Current Psychology, 43(29), 24177-24192.

L’humanité, dans ce qu’elle est capable de produire de plus beau… Flash mob organisée par le pianiste Julien Cohen pour ...
11/09/2025

L’humanité, dans ce qu’elle est capable de produire de plus beau… Flash mob organisée par le pianiste Julien Cohen pour fêter les 50 ans de la chanson Bohemian Rapsody de Queen.

People are losing their minds over this 'insane' flash mob that appeared out of nowhere in Paris. The video has already racked up 2M views and it's only been online just over 24hrs.

Voici un excellent texte découvert grâce à Intensément podcast - HPI, Neuroatypiques & Co. Avec honnêteté, discernement ...
10/09/2025

Voici un excellent texte découvert grâce à Intensément podcast - HPI, Neuroatypiques & Co. Avec honnêteté, discernement – et surtout clarté – cet article pose les bases d'une tendance nouvelle sur les réseaux sociaux à s'auto-identifier autiste. Or, si l'autodiagnostic est toujours ce qui permet de s'interroger en premier lieu, il doit déboucher sur une consultation pour une exploration avec un professionnel formé à la détection et la compréhension du syndrome. Sans quoi, les risques sont grands, incluant de passer à côté d'autres troubles et se priver (le cas échéant) de traitements lorsqu'ils existent.

Alexandre Prem Pragyan Yog'atypic published a post on Ko-fi

31/08/2025

Selon la méta-analyse de Stricker et collègues (2019), la question de savoir si le perfectionnisme est une caractéristique des élèves intellectuellement surdoués (intellectually gifted) trouve des réponses contrastées dans la littérature scientifique. Au fil du temps, des études comparant des élèves surdoués à leurs pairs non surdoués ont produit des résultats divergents. L’hétérogénéité de ces résultats pourrait s’expliquer par des études avec de trop peu de participants, mais aussi par la nature multidimensionnelle du perfectionnisme. On distingue effectivement :

o Les préoccupations perfectionnistes (PC) = peur de l’erreur, crainte du jugement, auto-critique.
o Les aspirations perfectionnistes (PS) = viser des standards très élevés.

Alors que les PC sont clairement inadaptées quand elles sont élevées (anxiété, dépression, faible estime de soi…), les PS sont fréquemment associées à l’ajustement académique et psychologique (bonne notes à l’école, satisfaction de vie, auto-efficacité).

Dans ce contexte, Stricker et al. ont méta-analysé 10 études comparatives (4340 participants) pour déterminer dans quelle mesure les élèves surdoués et non surdoués diffèrent sur les dimensions des préoccupations et des aspirations perfectionnistes.

Leurs résultats indiquent que les élèves surdoués présentent des niveaux équivalents de préoccupations perfectionnistes (PC ; g = − 0.117, p = .252) à ceux des élèves non « gifted ». En revanche, ils présentent des niveaux plus élevés d’aspirations perfectionnistes (PS ; g = 0.332, p = .012), c’est-à-dire plus de perfectionnisme sain.

Toutefois, l’importance des tailles d’effet indique que le perfectionnisme n’est pas une caractéristique centrale des élèves intellectuellement surdoués. En particulier, ils ne font pas preuve, par nature, d’une forme inadaptée de perfectionnisme.

Stricker, J., Buecker, S., Schneider, M., & Preckel, F. (2020). Intellectual giftedness and multidimensional perfectionism: A meta-analytic review. Educational Psychology Review, 32(2), 391-414.

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