Vincent Stevenin Sophrologue RNCP

Vincent Stevenin Sophrologue RNCP Afin de répondre à différents maux comme le stress, angoisses ou états dépressifs, je vous p...

04/06/2023

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06/09/2022

Pendant la grossesse, les cellules du bébé migrent dans le sang de la mère, puis reviennent dans le bébé. On appelle cela du microchimérisme fœtal-maternel.

Pendant 41 semaines, les cellules circulent et fusionnent en arrière et en avant, et après la naissance du bébé, beaucoup de ces cellules restent dans le corps de la mère, laissant une empreinte permanente dans les tissus, les os, le cerveau et la peau de la mère, et y restent souvent pendant des décennies.

Chaque enfant qu’une mère aura par la suite laissera une empreinte similaire sur son corps.

Même si une grossesse ne va pas à terme ou si vous avez un avortement, ces cellules migrent toujours dans votre circulation sanguine.

La recherche a montré que si le cœur d’une mère est blessé, les cellules fœtales se précipitent vers le site de la blessure et se transforment en différents types de cellules qui se spécialisent dans la réparation du cœur.

Le bébé aide à réparer la mère, tandis que la mère construit le bébé.
C’est souvent pourquoi certaines maladies disparaissent pendant la grossesse.

C’est incroyable comment le corps des mères protège le bébé à tout prix, et le bébé protège et reconstruit la mère - de sorte que le bébé peut se développer en toute sécurité et survivre.

Pensez à des envies folles pour un moment. Quelle était la mère déficiente en ce que le bébé leur a fait envie?
Des études ont également montré des cellules d’un fœtus dans le cerveau d’une mère 18 ans après son accouchement.

Si vous êtes une mère, vous savez comment vous pouvez intuitivement sentir votre enfant, même lorsqu’il n’est pas là… Il y a une sorte de connexion...

Eh bien, maintenant il y a des preuves scientifiques que les mamans les portent encore en partie pendant des années et des années même après qu’ils soient nés...

Magnifique n'est-ce pas ❤️

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06/09/2022
22/03/2019

La gestion du stress à Noeux-les-Mines et à Béthune

26/01/2019

La sophrologie à Noeux-les-Mines

Le stress chez l'humain  Le stress chez l'humain qualifie à la fois une situation contraignante (appelée stresseur) et l...
24/01/2019

Le stress chez l'humain



Le stress chez l'humain qualifie à la fois une situation contraignante (appelée stresseur) et les processus physiologiques mis en place par l'organisme pour s'y adapter.
Le stress se définit par des réactions de l'organisme, tant émotionnelles que physiques, face à une situation particulière ou à des facteurs de stress (stresseurs).
Le stress est une réaction naturelle et normale tant que celle-ci ne devient pas excessive.
A contrario, une situation de stress chronique peut être considérée comme pathologique et peut entraîner des désordres digestifs, des céphalées, des troubles du sommeil ou la manifestation d’autres symptômes dysfonctionnels.
Chez les personnes asthmatiques, le stress peut être à la source de détérioration des symptômes liés à l'asthme. Il en est de même pour les personnes dépressives, anxieuses, ou présentant d'autres troubles mentaux ou comportementaux.
Des moyens et des techniques permettent de lutter contre le stress, particulièrement quand celui-ci est chronique, comme par exemple les exercices de relaxation, ou encore de respiration.

Chez l'adulte, le stress peut avoir des origines physiques, pathogéniques (ayant pour origine une maladie génétique, infectieuse ou parasitaire, par exemple), socio-psychiques, médiées par divers processus hormonaux (hormones de stress1), chimiques et biochimiques de l'organisme.
Ses conséquences diffèrent selon l'individu (capacités d'adaptation et de résilience) et selon que le stress soit temporaire ou chronique.
À court terme, un stress modéré peut ne pas être mauvais, voire utile, mais ses effets à long terme peuvent engendrer des problèmes de santé.

• Richard Lazarus (en) et Susan Folkman, 1984 : le stress est selon eux défini comme une « transaction entre la personne et l’environnement » dans laquelle la situation est évaluée par l’individu comme débordant ses ressources et pouvant mettre en danger son bien-être6.

En fait, c’est la double-perception d’un état de divergence entre une demande d’adaptation à un moment donné et la capacité à y faire face. C’est une dépense d'énergie.
Un événement stressant, aussi appelé déclencheur, provoque une réaction en chaîne qui débute dans le cerveau et aboutit à la production de cortisol par les glandes surrénales.
Le cortisol active alors en retour deux zones du cerveau : le cortex cérébral pour qu'il réagisse au stimulus stressant (fuite, attaque, immobilisation, compensation…) et l'hippocampe, qui va apaiser la réaction.
Si le stress est trop important ou s'il se prolonge, l'hippocampe saturé de cortisol ne peut plus assurer la régulation. Le cortisol envahit alors le cerveau et peut s’installer alors une dépression.
Selon Hans Selye13, le syndrome de stress évolue en suivant trois stades successifs :
1. « Réaction d'alarme » : les forces de défense sont mobilisées
2. « Stade de résistance » : adaptation à l'agent stressant
3. « Stade d'épuisement » : inexorablement atteint si l'agent stressant est suffisamment puissant et agit longtemps.
… Peut survenir alors une éventuelle phase de récupération (résilience) , au travers d’un accompagnement ou d’une thérapie mettant en œuvre les processus de relaxation et de prise de recul.

Le stress est différent de l'anxiété, celle-ci est une émotion alors que le stress est un mécanisme de réponse pouvant amener différentes émotions, dont l'anxiété.

On peut rappeler deux phrases qui ont traversé le temps :
« Les espèces qui survivront ne sont ni les plus fortes ni les plus intelligentes, mais celles qui auront su s’adapter à leur environnement ». Charles Darwin
« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais le jugement qu’ils portent sur ces choses ». Épictète

Sources :
1. Notre corps et ses crises, Dr Henri Rubinstein, éd. JC Lattès
2. Le stress et la découverte de soi Dr Paul Dupont DRC diffusion
3. Travaux de la Mayo clinique http://www.mayoclinic.com/health/meditation/HQ01070
4. Richard Lazarus et Susan Folkman, Stress, Appraisal and Coping, 1984.
5. J. Crespy, Stress et psychopathologie du travail, Cahiers de notes documentaires. Paris. no 116, 3e trimestre 1984.
6. Elena Sender, Le volume hippocampique se réduit de 8 à 10 % chez les déprimés et provoquerait l'arrêt de la neurogénèse. Sciences et Avenir, février 2008, p. 50.
7. Jean Benjamin Stora, Le stress, Le Stress, Presses Universitaires de France, PUF, juin 2010, 8e éd. (1re éd. 1991).
8. Du rêve à la découverte, Hans Selye, éd. de La Presse, 1973.

Wikipédia, Passeport Santé

24/01/2019

Le stress chez l'humain qualifie à la fois une situation contraignante (appelée stresseur) et les processus physiologiques mis en place par l'organisme pour s'

10/12/2018
Bien-être : apprendre à écouter son ventre Après des années à être déconsidéré, nié, voire brutalisé, le voici depuis qu...
09/12/2018

Bien-être : apprendre à écouter son ventre


Après des années à être déconsidéré, nié, voire brutalisé, le voici depuis quelques mois en mode nombril du monde : héros de best-sellers (Le Charme discret de l'intestin, de l'Allemande Giulia Enders, top des ventes depuis un an), sujet de prédilection des chercheurs (sa flore intestinale, le microbiote, révèle ses secrets chaque jour), le ventre est désormais au cœur de toutes nos attentions. On l'écoute - parfois trop -, on le nourrit - parfois mal -, l'oreille à l'affût du moindre borborygme.

Pas simple pourtant de s'entendre avec cette diva hypersensible et rebelle à ses heures ! Et si on faisait enfin la paix ?

1/ Repartir sur de bonnes bases

Cerveau et ventre sont intimement connectés via le nerf vague. On sait que les émotions affectent l'abdomen, grand lieu de somatisation - on a « la peur au ventre », une haine « viscérale » -, et que l'anxiété et le stress déclenchent spasmes, douleurs et troubles du transit, mais on a longtemps ignoré que l'information circule dans les deux sens, et qu'une flore altérée favorise dépression, anxiété, mauvaise humeur et même maladies mentales (Alzheimer). Normal, puisque les 100 millions de neurones du tube digestif, étudiés à la loupe par les neurogastroentérologues, sécrètent des quantités colossales de sérotonine - molécule du bien-être - et de GABA, neurotransmetteur essentiel.

En cause, quand la relation se détraque, l'inflammation, cet « incendie interne » qui se propage de l'abdomen au cerveau, et tue à petit feu notre moral.
Le feu aux poudres ? L'excès de sucres ! Principal coupable, selon David Perlmutter, neurologue américain, le fructose transformé (souvent sous forme de sirop de maïs dans les aliments industriels), poison qui nourrit les bactéries pathogènes, perturbe l'équilibre microbien et nos régulations internes, en plus d'enclencher des hyperglycémies.

2/ Avoir un maximum de respect

Il est donc temps de chouchouter ces 100 milliards de bactéries qui composent notre microbiote et agissent sur la digestion et le reste : du cerveau au poids, en passant par le système immunitaire. L'idée ? Favoriser la variété du microbiote, synonyme de bon boulot du colon et d'équilibre de notre santé, en le nourrissant comme un roi. Poissons gras, graines oléagineuses et huiles de colza, sésame et noix (pour les Oméga 3, qui luttent contre l'inflammation et équilibrent la perméabilité intestinale), riz et pain complets, fruits et légumes variés en quantité (pour les bons sucres et les fibres), œufs et produits laitiers (pour le tryptophane, précurseur de la sérotonine), et, en cas de stress répété ou de ventre chroniquement en vrac, cure de probiotiques (bonnes bactéries) en compléments alimentaires (PiLeJe, Solgar, Metagenics, Synergia), histoire de ré-ensemencer la flore et relancer le dialogue en douceur.

3/ Ne pas surinterpréter chaque signal

Rien de pire qu'être à l'écoute du moindre gargouillement (qui signifie juste que l'intestin grêle fait son ménage), du moindre spasme, de la moindre irrégularité de transit : on se stresse et, du coup, la machine s'emballe. « Certains vivent sans le savoir en état d'hypervigilance et de surattention permanentes », explique le professeur Bruno Bonaz, chef du service d'hépato-gastro-entérologie du CHU de Grenoble.

Leur interoception (conscience de l'état interne du corps) est exacerbée, et cela explique le syndrome dit « de l'intestin irritable ». « Les phénomènes périphériques (anodins et discrets chez la majorité) sont ultra ressentis, d'où douleurs, anxiété accrue, et encore plus de vigilance et de crispations », explique cet expert qui reçoit chaque jour des patients épuisés physiquement et moralement par leurs intestins, et pourtant sans pathologie grave diagnostiquée.

L'idée ? Calmer le jeu par des méthodes éprouvées qui vont normaliser l'interoception, améliorer la réponse au stress et soulager les souffrances : sophrologie (voir encadré), hypnose (validée et proposée aussi en milieu hospitalier), mais aussi yoga et méditation.

4/ Respecter les rendez-vous

Nos boyaux ont leurs habitudes et horaires de prédilection, et n'apprécient pas d'y déroger. En ayurveda (médecine indienne ancestrale), déféquer doit d'ailleurs être un rituel fixe du matin, quelques minutes après le lever.

Changement de timing, de lieu, d'alimentation, voyage, un rien contrarie les nerfs de nos intestins, qui se démotivent illico et bloquent la vidange. Ponctuellement, on peut s'aider de fibres alimentaires en comprimés, sachets ou mini-pâtes (à prendre avec beaucoup d'eau pour hydrater les selles), voire des laxatifs (osmotiques, de préférence, car ils emmagasinent de l'eau, ou stimulants, en laissant ensuite son tube digestif tranquille 2 à 3 jours avant de récidiver si besoin). Mais pas question que nos entrailles s'y habituent, même si on est constipée chronique, sous peine de rendre le mécanisme paresseux.

Première question à se poser : suis-je bien installée ? La position assise n'est anatomiquement pas favorable à l'expulsion, et favorise les hémorroïdes (dues à un excès de pression sur l'intestin) et les diverticules. L'idéal ? Accroupie ! Comme on ne dispose que rarement de toilettes à la turque ou de buissons, la solution est de poser les pieds sur un petit tabouret bas, et de pencher le buste vers l'avant. Ensuite, trouver son créneau horaire, et s'y tenir : oui à la routine ! Quant à l'hydrothérapie du colon, vidange forcée, vendue - souvent dans des cures chics en Suisse - pour lutter contre les troubles digestifs et remettre à neuf la tuyauterie « du bas », elle soulage certaines constipations, mais son effet n'est scientifiquement pas démontré.

5/ Avancer main dans la main

L'exercice physique (même la simple marche) améliore et régule le transit intestinal par un massage interne des viscères, et aide à évacuer le stress. Mieux, « l'exercice physique favorise aussi le bon équilibre des bactéries intestinales », explique David Perlmutter et favorise la formation d'un microbiote varié, gage de bonne santé et de minceur. Et d'un transit de rêve...

À lire :
Le charme discret de l'intestin, de Giulia Enders (Actes Sud),
L'intestin au secours de notre cerveau, du Dr David Perlmutter (Marabout),
L'intestin, notre deuxième cerveau du Pr Francisca Joly Gomez (Poche Marabout).

L'exercice qui fait du bien

« La sophrologie, qui fait travailler simultanément le corps et l'esprit, réduit les tensions du ventre », explique Catherine Aliotta, Directrice de L'Institut de formation à la sophrologie.

Exemple :
debout, on inspire puis on souffle pour bien vider les poumons, tout en fléchissant légèrement les jambes et en posant les mains sur les genoux. On bloque la respiration et on fait plusieurs mouvements de « va-et-vient » avec l'abdomen, avant de se redresser en inspirant (3 fois).

Bénéfice de cet exercice de respiration :
détente musculaire, donc moins de spasmes, digestion facilitée, disparition de la boule au ventre. Ensuite, un travail de visualisation sur son abdomen et ce qui s'y passe (façon dessin animé ou petite usine de traitement...) permet de reprendre confiance dans son bon fonctionnement, de s'en refaire un allié avec des messages positifs.

Efficace sur les troubles courants, mais aussi sur les plus lourds, comme la maladie de Crohn (réduction des douleurs et crises).

Enfin, la sophrologie permet de s'interroger sur la cause profonde des problèmes chroniques : pas façon psy, mais en identifiant son état intérieur pour mettre en place des ajustements et des stratégies et améliorer le quotidien (rapport à l'alimentation, par exemple).

On peut tester avec un livre (Pratiquer la sophrologie au quotidien, InterÉditions) ou, encore mieux, un pro.

La Sophrologie active, développe et renforce la pratique de la respiration consciente. Voyez ici les bénéfices que cela ...
09/12/2018

La Sophrologie active, développe et renforce la pratique de la respiration consciente. Voyez ici les bénéfices que cela vous procure... ;-)

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Mercredi 08:00 - 19:00
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