GES Le Groupe d'épistémologie de la sophrologie (GES) est une unité de recherche scientifique. Il est à l'origine de publications d'ouvrages et d'une r***e.

19/02/2024

Toute l'équipe du Centre de formation des sophrologues professionnels (CFSP) se joint à moi pour vous annoncer avec beaucoup de peine le décès d'un de nos formateurs, Eric Médaets.
Eric était pour ma part un véritable ami que j'appréciais pour plusieurs raisons : sa profonde gentillesse, son professionnalisme, son sens de l'humour et sa grande disponibilité à l'égard des stagiaires et des sophrologues formés chez nous.
J'avais rencontré Eric lors d'un congrès de la Société Française de Sophrologie et j'ai pu mesurer, en me rendant en Belgique où il résidait, combien il s'investissait avec sérieux pour faire connaître notre discipline dans son pays.
Nous avons eu l'occasion pendant 11 ans de partager de longs moments de réflexion à partir du magazine "Sophrologie - pratiques et perspectives" dans lequel il intervenait régulièrement à ma demande et lorsqu'il a publié deux ouvrages sous ma responsabilité "Sophrologie et sport" et "Sophrologie et entrainement sportif".
En tant que kinésithérapeute, préparateur mental des sportifs de haut niveau en Belgique et sophrologue depuis de nombreuse années, Eric était très pointu dans son domaine et j'ai beaucoup appris par son intermédiaire.

Représenter le GES au congrès de la SFS
04/03/2022

Représenter le GES au congrès de la SFS

Les cookies assurent le bon fonctionnement de SFS. En utilisant ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. J'accepte

C'est avec beaucoup de peine que nous vous annonçons le décès de Daniel Boisseleau.Formateur au Centre de formation des ...
25/02/2022

C'est avec beaucoup de peine que nous vous annonçons le décès de Daniel Boisseleau.
Formateur au Centre de formation des sophrologues professionnels (CFSP) depuis 11 années, il était très apprécié pour ses qualités humaines, pédagogiques et professionnelles par les stagiaires et par l'équipe de formation.
Très investi pour défendre une conception noble de la sophrologie, il a coopéré, entre autres, à la naissance du Syndicat des sophrologues professionnels (SSP), du Groupe d'épistémologie de la sophrologie (GES) et à la mise en place des Centres de gestion du stress.
Nous nous associons à la peine de sa famille et de ses amis et leur adressons toutes nos condoléances.

La troisième édition du "Guide de sophrologie appliquée", deuxième ouvrage du Groupe d'épistémologie de la sophrologie (...
10/02/2022

La troisième édition du "Guide de sophrologie appliquée", deuxième ouvrage du Groupe d'épistémologie de la sophrologie (GES) vient de sortir chez Elsevier Masson (Voir logo du GES sur l'ouvrage)
Il réunit plus de 60 auteurs et assistants.
Des passages ont été revus. Nous avons introduit en plus des parties sur la maladie de la Parkinson, sur la psychomotricité, sur la réadaptation neurolocomotrice. Nous avons été accompagnés par un neurologue de L'Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, des médecins généralistes et autres spécialistes.
Je rappelle que tous les droits d'auteur de cet ouvrage sont abandonnés au profit du GES pour la recherche.
Il nous faut continuer ensemble, dans l'axe de la Société française de sophrologie (SFS) depuis 1966, pour tirer au maximum la sophrologie vers le haut et ne pas la réduire à de la bien-étrologie qui ne peut que nous discréditer.
Richard Esposito, président du GES

16/04/2021

Merci infiniment !

J’ai pris la décision de quitter le magazine « Sophrologie – pratiques et perspectives » que j’ai créé avec le groupe Hommell il y a 8 ans, et pour lequel j’exerçais la fonction de directeur du comité éditorial.

Au moment de sa création, le titre que j’avais choisi en 2013 évoque ce que la sophrologie peut être pour beaucoup : avant tout des pratiques mais aussi des perspectives pour voir son regard sur le monde et sur soi se modifier positivement, pour prendre de nouveaux chemins si nécessaire, pour aller mieux bien sûr…

Sachez que j’ai aimé créer les rubriques, les sommaires, proposer des idées d’articles, lire les textes et les ajuster si nécessaire avec les auteurs, même si les temps de bouclage étaient souvent stressants.

Il m’a semblé fondamental, au moment de la création du magazine, de constituer un comité éditorial solide, susceptible de ne pas réduire la sophrologie à de simples techniques de relaxation, au service du bien-être de la personne. Pour être sincère, je n’apprécie pas, après 37 ans de pratique, l’idée qui se propage aujourd’hui dans de nombreuses publications : « Je lève les bras avec la sophrologie, je respire bien par le ventre et je suis heureux ! »

J’en profite en l’occurrence pour remercier tout le comité éditorial, les auteurs pour leur confiance et leur désir de partager les mêmes valeurs et la même ambition de tirer la sophrologie vers le haut.

Je ne citerai que quelques noms (en commençant par les dames), conscient d’en oublier beaucoup : Michèle Freud, Claude Chatillon (présidente de la Société Française de Sophrologie), Caroline Rome, Isabelle Fontaine, Marie-Andrée Théron-Auquier, Marie-Claire Bouthors, Geneviève Abrial, Catherine Bassereau, Magali Bes, Sandrine Trigano-Cuzillo, Michèle Declerck, Anne-Claire Delval, Anne-Sophie Jung, Sophie Lebreton, Lydia Letondeur, Marcella, Laure Vuillemin, Gamze Ripoche-Feridun, Armelle Simon, Sandra Smets, Valérie Souchu-Mignot, Annie Turnauer, Nathalie Vallet, Christina Teixeira, Laure Vuillemin, Caroline Drabs, Véronique Sorel-Sébire, Enora Denis, Jacqueline Baudet, Florence Parot, Véronique Rousseau, Aurore Malet-Karas, Jean-Pierre Hubert, Luc Audouin, Nicolas Chaze, Alain Chevalier-Beaumel, Jean-Luc Colia, Laurent Favarel, Benoît Fouché, Yannick Frieh, Darci Martins, Guillaume Dolpierre, Gilles Pentecôte, Michel Vertallier, Guy Chedeau, Dominique Aubert, Jean-Pascal Cabrera, Marc Susbielle, Alain Zuili, Éric Medaets, Pascal Gautier, Philippe Drabs, Patrick-André Chéné (président du réseau des Académies), Gérard Thouraille, Norbert Cassini, Victor Sébastiao, et ceux que je n’ai pas nommés, (j’en suis vraiment désolé), sauront se reconnaître et m’excuser… J’ai appris avec vous…

Je remercie sincèrement la Société française de sophrologie (SFS), la Fédération des écoles professionnelles en sophrologie (FEPS), le réseau des Académies, La Société belge de sophrologie et de relaxation (SBSR), le Syndicat des sophrologues professionnels (SSP), le Groupe d’épistémologie de la sophrologie (GES), de nombreux auteurs caycédiens, et d’autres structures, … d’avoir relayé l’existence de ce magazine.

Je n’oublie pas les nombreux lecteurs qui nous ont encouragés, remerciés, critiqués aussi dans la bienveillance (par courrier, sur la page Facebook que j’avais créée en 2013 ou sur d’autres réseaux sociaux)… Tout le monde nous a fait progresser.

Fort de cette expérience, en choisissant cette fois-ci un éditeur qui connaît la sophrologie, je m'engage aujourd’hui vers la création d’un nouveau magazine avec la majorité des auteurs du premier, et vers la création d’une r***e scientifique annuelle entièrement dédiée à la sophrologie.

Un grand merci à Isabelle Lebrin, ma collaboratrice, qui m’a secondé avec efficacité et gentillesse en permanence.

Je poursuis aussi pour l’instant la collection « Parcours Sophro » que j’ai créée aux éditions Soteca en 2017.

Encore merci !

Richard Esposito

En tant que président du Groupe d'épistémologie de la sophrologie (GES), j'ai été sollicité par l'INSERM. L'objectif de ...
18/02/2021

En tant que président du Groupe d'épistémologie de la sophrologie (GES), j'ai été sollicité par l'INSERM. L'objectif de cet institut était d'établir un état des lieux sur la sophrologie.

Je vous communique ci-dessous la réponse du GES au travail de l'INSERM et le lien vers l'état des lieux.

"Je remercie sincèrement les personnes de l’INSERM pour la création de ce rapport. Il doit selon moi constituer une base pour relancer les discussions au moment des prochains Etats Généraux de la Formation en Sophrologie.

La question des dérives sectaires est plusieurs fois abordée dans ce rapport. Par souci de transparence, de nombreuses structures comme la Société Française de Sophrologie, le Syndicat des Sophrologues Professionnels et le Groupe d’Epistémologie de la Sophrologie ont souvent réfléchi à ce problème, qui ne concerne pas bien entendu que le monde de la sophrologie. Le Syndicat des Sophrologues Professionnels s’est rapproché à ce sujet de la Miviludes pour l’accompagner dans ses investigations pour voir clair. Il me semble aujourd’hui nécessaire, par la médiation de ce syndicat, que tous les centres de formation de sophrologie puissent signer un accord pour ouvrir leur porte à la Miviludes, sans être prévenus bien entendu de la date de la visite de ses représentants.
Selon moi, le rapport ne met pas assez en perspective, et ce de manière positive pour la recherche, l’idée qu’il existe non pas une sophrologie mais des sophrologies. En l’occurrence, le choix de présenter dans ce rapport d’un côté la sophrologie caycédienne et de l’autre une sophrologie généraliste peut sembler discutable. Pour justifier non pas un éclatement de la sophrologie dans n’importe quelle direction, mais une posture de questionnement nécessaire à toute démarche, certains de ceux qui entouraient Caycedo dans ses premiers pas ont su poser dès le départ des questions centrales, dont nous retiendrons la plus importante : si la sophrologie se veut une science de la conscience comme l’affirme son fondateur, en ayant recours à la phrase de Husserl pour définir la phénoménologie, faut-il abandonner au cœur de son processus la réflexion sur l’inconscient ? C’est sous cet angle que différentes orientations sophrologiques sérieuses ont pu se construire, constituant un espace de recherche qu’il faut absolument continuer à exploiter. Malheureusement, le « sophro-marketing », très installé au moins depuis 10 ans, brouille les pistes à grand renfort de communication, en laissant entendre que l’équilibre psychique d’une personne dépend exclusivement de sa capacité à lever les membres supérieurs, à bien respirer et à rester positive.
Le rapport des experts attire en particulier mon attention au moins sur deux points :

- Le professeur Annequin, s’appuyant sur une étude scientifique (p. 67-68), insiste à juste titre sur la question de la suggestion ; il rappelle que la sophrologie, telle qu’elle est présentée, n’est pas si loin de l’hypnose par les stratégies qu’elle mobilise. Je cite : « Le discours sophronisant consistait en des phrases telles que « fermez les yeux », « analysez votre respiration et votre rythme cardiaque afin de les ralentir », « imaginez votre corps se détendre progressivement, muscle par muscle», «je sens mon bras gauche très détendu, très détendu, de plus en plus détendu », « Imaginez une rivière dans une forêt », « sentez les eaux de cette rivière passer entre vos pieds »,« ces eaux emportent toute votre douleur, votre fatigue… » (p. 130). Sous cet angle, la démarche du sophrologue dans cette étude fait penser à une sorte d’hypnose mal digérée. En effet, le praticien, normalement formé à la phénoménologie, doit s’interroger en permanence sur le langage qu’il utilise à l’égard de celui qui pratique ; il s’efforce d’être le plus neutre possible, même si la neutralité est plus un idéal qu’un état de fait, d’éviter justement ce genre de phrases pour ne pas bombarder la personne d’images susceptibles d’émerger de son inconscient, annihilant inévitablement la démarche d’autonomisation de celui qui pratique, spécifique à la méthode d’inspiration phénoménologique.

- Pour la recherche scientifique, je partage pour ma part l’avis du professeur Annequin comme quoi, je cite : « L’évaluation par des études qualitatives semble nettement plus adaptée à ce type de pratique » (p. 129). Si nous partons du principe que la sophrologie nous situe dans le champ des sciences humaines, même si elle n’est pas encore validée comme telle, nous risquons de buter, si nous ne nous appuyons pas sur des études qualitatives, sur la dimension subjective difficilement évaluable au cœur de la relation du sophrologue et du sophronisant. "

Richard Esposito, président du Groupe d’épistémologie de la sophrologie (GES)

https://www.inserm.fr/sites/default/files/2021-02/Inserm_RapportThematique_Sophrologie_2021.pdf

Un message important de la part du Syndicat des sophrologues professionnels (SSP), partenaire du GES
05/11/2020

Un message important de la part du Syndicat des sophrologues professionnels (SSP), partenaire du GES

OUVERTURE DES CABINETS DE SOPHROLOGIE Le SSP et trois autres organisations professionnelles ont été invitées à une conférence téléphonique du Chef de Cabinet de Mr Griset, Ministre des TPE-PME, pour mettre au clair la situation concernant l'ouverture des cabinets pour l'acte II du confinement...

Les trois ouvrages actuels de la collection "Parcours Sophro" ; trois autres sont en cours d'écriture. Tous ces auteurs ...
15/10/2020

Les trois ouvrages actuels de la collection "Parcours Sophro" ; trois autres sont en cours d'écriture.
Tous ces auteurs font partie du Groupe d'épistémologie de la sophrologie (GES)
Richard Esposito, président du GES

Le n° 29 du magazine "Sophrologie - pratiques et perspectives " est dans les kiosques. Vous pouvez le commander si vous ...
14/10/2020

Le n° 29 du magazine "Sophrologie - pratiques et perspectives " est dans les kiosques. Vous pouvez le commander si vous ne le trouvez pas près de chez vous sur :
https://boutique.soteca-editions.fr
De nombreux auteurs du magazine font partie du Groupe d'épistémologie de la sophrologie (GES)
Richard Esposito, président du GES

Le nouvel ouvrage de la collection "Parcours Sophro", "Acouphènes et sophrologie - Acouphènes, hyperacousie" vient d'êtr...
05/10/2020

Le nouvel ouvrage de la collection "Parcours Sophro", "Acouphènes et sophrologie - Acouphènes, hyperacousie" vient d'être publié. Il a été écrit par Isabelle Fontaine-Gaspar (psychologue et sophrologue) et Michel Vertallier (médecin ORL et sophrologue). Il est disponible dans toutes les librairies.
Isabelle et Michel font partie du comité scientifique du Groupe d'épistémologie de la sophrologie (GES).
La collection "Parcours Sophro" s'efforce de publier des ouvrages de haut niveau écrits par des spécialistes du domaine abordé.
Richard Esposito, président du GES

Adresse

Noyal-sur-Seiche
35230

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque GES publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram

Groupe d’épistémologie de la sophrologie (GES)

Nous travaillons en équipe pour essayer de faire reconnaître la sophrologie comme une science humaine. Cette démarche nécessite toute une organisation scientifique, des recherches suivies de publications. Nous pensons qu’une partie de l’avenir de la sophrologie, se joue ici.