Toucher à la Présence à la Maison Bleue

Toucher à la Présence à la Maison Bleue La Maison Bleue est un lieu de ressourcement par la méditation...relaxation…accompagnements…Talk and Walk...massages… Lieu de ressourcement
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08/11/2025

Aime tes blessures…

Elles révèlent ce qui compte le plus pour toi, ce que le plus profond de ton âme recherche et ce que tu es venu guérir dans la communauté
C’est pour cela que nous choisissons de nous incarner dans les familles et situations dans lesquelles nous sommes, pour que nous puissions faire l’expérience de cette souffrance, nous l’approprier et la surmonter pour le bien de tous

Aime tes soi-disant défauts…
ils sont les bijoux spirituels qui pavent ton voyage et révèlent où abandonner le monde physique pour embrasser pleinement le monde spirituel
Ils te connectent au voyage le plus profond de l’âme – sagesse, maturité, profondeur et transcendance
Nous sommes programmés pour les voir comme des défauts, alors qu’ils sont des initiations aux mystères les plus profonds

Aime tes dysfonctionnements et tout ce qui cause la perte de tes amis, succès et te jette dans les leçons de la vie…
ils t’aident à trouver l’humour, la sagesse, la libération et ton enfant intérieur, et te détachent de ce que les autres pensent pour te permettre de trouver l’amour de toi-même et t’élever au dessus du jugement des autres

Aime ta douleur…
elle enseigne le pardon, la tolérance, la patience et donne l’humilité nécessaire pour nous unir dans une conscience plus élevée et dans l’intégrité
Elle nous montre notre pouvoir de guérison, comment nous transformer et être vrai avec qui nous sommes et ce que nous avons besoin de partager et exprimer

Aime tes failles…
elles font partie de ton génie et des aspects les plus élevés de ton être qui ont tout simplement été muselés ou abandonnés
Elles nous montrent nos dons et notre créativité, et nous aident à lâcher prise, prendre des risques et être bien dans notre peau avec nos propres frontières et standards

Aime ton Ego/identité quand il est en crise… Laisse le être la boussole qui t’indique ton Toi le plus élevé, afin que toutes actions, mots, décisions et attitudes reflètent la nature de ton empreinte divine
Il te montre comment retirer les masques, les programmes et les anciens schémas
Il enseigne comment utiliser abondamment de ton libre-arbitre et te rappelle comment être authentique, puissant, influent et exemplaire

Aime et honore toutes ces choses en toi et chez les autres, et demande toi où elles peuvent te mener et ce qu’elles signifient vraiment au lieu de comment elles te font paraître
Quand on voit la Vérité, on voit la perfection dans toutes choses et nous savons comment retrouver le chemin de la maison…

Laura Magdalena.

Illustration Serin Alar

05/11/2025

En juillet 1941, dans l'enfer vivant du camp de concentration d'Auschwitz, un sergent polonais nommé Franciszek Gajowniczek entendit les mots qui signaient son arrêt de mort — et tomba à genoux en pleurant pour sa femme et ses enfants.
C'est alors qu'un homme, parmi les prisonniers, fit un geste qui marquerait l'histoire.
Un prisonnier s'était échappé, et les n***s, furieux, imposèrent leur règle cruelle : pour chaque évasion, dix hommes seraient enfermés dans un bunker de la mort, condamnés à mourir lentement de faim. Cette méthode visait à écraser tout espoir de liberté.
Franciszek était un mari, un père. Quand son numéro fut appelé, il craqua. « Ma femme ! Mes enfants ! » cria-t-il, sachant qu'il ne les tiendrait plus jamais dans ses bras.
Mais alors, parmi la mer de prisonniers affamés en uniformes rayés, un homme s'avança. Mince et épuisé, comme tous les autres, mais sa voix resta ferme.
« Je suis un prêtre catholique, » dit-il simplement. « Je n'ai pas de famille. Permettez-moi de prendre sa place. »
Cet homme s'appelait Maximilien Kolbe. Il avait 47 ans. Et il venait de faire un choix qui résonnerait à travers les générations.
Avant la guerre, Kolbe était un moine franciscain — un érudit, un écrivain, un homme qui avait dédié sa vie à la foi et à la bienveillance. Quand les n***s envahirent la Pologne en 1939, il ne se cacha pas. Il accueillit des réfugiés juifs dans son monastère. Il imprima des journaux qui disaient la vérité, quand la vérité était dangereuse. Pour ce courage, la Gestapo l'arrêta en 1941 et l'envoya à Auschwitz, où il reçut le matricule 16670.
Même là — dans cet endroit destiné à briser l'humanité — Kolbe devint une lumière discrète. Il partageait ses maigres rations, murmurait des prières, réconfortait les brisés. Et quand le moment vint, il offrit sa vie.
Les gardes acceptèrent. Kolbe et neuf autres hommes furent enfermés dans le bunker de la mort — une cellule sans fenêtres où ils mourraient de soif et de faim.
Pendant deux semaines insupportables, Kolbe tint bon. Un par un, les autres moururent. Mais Kolbe ne se laissa pas submerger. Il dirigea des prières. Il chanta des hymnes. Il tint les mains mourantes et leur rappela qu'ils n'étaient pas seuls.
Le 14 août 1941, impatient de vider le bunker, les gardes lui injectèrent de l'acide carbolique. Il mourut les bras tendus, paisible jusqu'à la fin.
Mais Franciszek ? Il survécut. Il traversa Auschwitz et la guerre. Il retourna auprès de sa femme et de ses enfants. Et pendant 52 ans — jusqu'en 1995 — il raconta l'histoire de Kolbe à tous ceux qui voulaient l'entendre, pour que le monde ne l'oublie jamais.
En 1982, le pape Jean-Paul II canonisa Kolbe, le qualifiant de « martyr de la charité ». Il fut la première personne jamais canonisée pour être morte volontairement à la place d'un autre.
Ce geste oublié de l'amour nous rappelle que même dans les endroits les plus sombres, le choix d'une personne peut briller comme un phare. Kolbe ne venait pas du pouvoir ou du privilège dans ce camp — il venait du même enfer que tous les autres. Mais il choisit la compassion quand le monde demandait la cruauté. Il choisit la vie d'un autre homme plutôt que la sienne.
Cela me fait réfléchir : si un homme a pu faire cela à Auschwitz, que pourrions-nous faire avec ne serait-ce qu'une fraction de ce courage dans nos vies quotidiennes ?
La prochaine fois que vous vous demanderez si la gentillesse compte, pensez à Maximilien Kolbe qui se tenait dans cette ligne — et partagez cette histoire pour que son sacrifice ne soit jamais oublié. 💙🕊️

Sources:

"Saint Maximilian Kolbe: Martyr of Charity"

"The Life and Sacrifice of Maximilian Kolbe"

Petites Merveilles.

29/10/2025

🕊️💔 Irena Sendler : la femme qui cachait des enfants dans des boîtes et des espoirs dans des bocaux

Varsovie, 1942.

Les rues sont désertes.
Chaque jour, des trains partent vers les camps de concentration.

Et une femme frêle, portant un brassard rouge et blanc, marche en tenant une boîte à outils.

Mais à l’intérieur, il n’y a pas d’outils.
Il y a un enfant.

Un enfant condamné à mourir… qu’Irena va sauver.



👩‍⚕️ « Je ne pouvais pas rester à regarder »

Irena Sendler travaillait comme infirmière au Département du Bien-être social en Pologne.

Elle avait l’autorisation d’entrer dans le ghetto de Varsovie, où les n***s avaient enfermé plus de 400 000 Juifs.

Ce qu’elle y vit la marqua à jamais.

Alors, elle commença à faire sortir des enfants cachés dans des sacs, des boîtes à pain, des cercueils, des ambulances…

Parfois déguisés en malades.
Parfois sous de faux noms.

Chacun d’eux était une vie arrachée à l’horreur.



📜 Les noms dans les bocaux

Irena savait que si ces enfants survivaient, ils devraient un jour retrouver leurs familles.

Alors, chaque fois qu’elle en sauvait un, elle notait son vrai nom et son faux nom sur de petits morceaux de papier,
qu’elle plaçait dans des bocaux de verre enterrés sous un pommier, dans son jardin.

C’était son archive secrète de l’espérance.



⚔️ Jusqu’à la limite

En 1943, les n***s la découvrirent.

Ils l’arrêtèrent, la torturèrent, lui brisèrent les jambes.

Ils exigèrent les noms.
Elle ne parla jamais.

Condamnée à mort, elle fut sauvée par un pot-de-vin versé à un garde par la Résistance polonaise.

Elle vécut cachée jusqu’à la fin de la guerre,
tandis que les bocaux restaient enterrés.



🌱 Après l’horreur

Lorsque la guerre prit fin, elle déterra les bocaux et remit les listes au Comité de secours des enfants juifs.

Des milliers d’entre eux purent retrouver leurs proches… ou du moins apprendre qui ils étaient.

Irena ne se considéra jamais comme une héroïne.

> « J’aurais pu faire plus. Ce regret m’accompagnera jusqu’à la fin de mes jours. »



🌍 Des décennies de silence

Pendant des années, son histoire resta dans l’ombre, sous le régime communiste polonais.

Jusqu’à ce que, dans les années 1990, un groupe d’étudiants américains découvre son nom dans un vieil article et parte à sa recherche.

Elle avait 87 ans.
Elle vivait dans un petit appartement, en fauteuil roulant.
Et elle se souvenait encore de chaque enfant.



🕊️ Son héritage

Irena Sendler est morte en 2008, à l’âge de 98 ans.

Elle avait sauvé plus de vies qu’Oskar Schindler, mais presque personne ne le savait.

Aujourd’hui, son nom vit dans des écoles, des parcs, des documentaires…

et dans chaque histoire qui nous rappelle que, même dans les ténèbres,
une seule personne peut allumer des milliers de vies.



✨ « L’âme humaine ne connaît pas de frontières. » — Irena Sendler

25/10/2025

Morgan Freeman a dit un jour :
« Avoir la possibilité de blesser celui qui nous a blessés… et choisir de ne pas le faire, voilà ce qui nous distingue vraiment d’eux. La véritable force ne réside pas dans la vengeance, mais dans la maîtrise de soi. Dans le choix de la paix plutôt que du ressentiment. Dans la capacité à prouver que nous sommes plus grands que la douleur qu’ils nous ont infligée. » 💕

Adresse

4 Route De Bouzonville D63
Oberdorff
57320

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