Sandrine Gourdy - Accompagnement holistique corps - esprit

Sandrine Gourdy - Accompagnement holistique corps - esprit 🌿 Accompagnement global du corps et de l’esprit
Naturopathe & réflexologie auriculaire laser. Coach en santé & développement personnel. Aucun acte médical.

J'agis en soutien au bien-ĂȘtre, en complĂ©ment de la mĂ©decine. Je pourrais rĂ©sumer mon accompagnement avec cette seule phrase : J’ai vu un ange dans le marbre et j’ai seulement ciselĂ© jusqu’à l’en libĂ©rer.– Michel-Ange

Durant les accompagnements, je ne suis pas gentille, mais authentique et bienveillante. Il s’agit d’un accompagnement authentique de l’ĂȘtre
Or, durant cet accompagnement, la personne accompagnĂ©e, l’est dans toutes les dimensions de son ĂȘtre et en prenant en compte tout ce qui fait *qu'elle EST ! Et qui elle EST !
* lĂ  oĂč elle en est maintenant, au moment prĂ©sent. L’accompagnement est cocréé au moment prĂ©sent en fonction de l’Être. Ce voyage demande votre investissement. Vous cheminez et je marche avec vous. Je vous accompagne. J'ai ce rĂŽle de guide et aussi celui d’un enseignant. Un savoir et des enseignements doivent vous ĂȘtre transmis tout en favorisant votre autonomie et votre responsabilisation ! Lorsque je vous parle de spiritualitĂ© ou de dĂ©veloppement personnel, je ne vous parle pas d’une adaptation thĂ©rapeutique avec des thĂ©ories fumeuses , ce n'est pas l'endroit de "la spiritualitĂ© Doudou" non plus 😜😅

Non, je vous parle de vous, de votre vie, des lois cosmiques et de votre statut de crĂ©ateur. Je suis Ă  votre service pour vous accompagner, Ă  vous aider Ă  rĂ©aliser ce qui vous tient Ă  cƓur. L’important, ce n’est pas la thĂ©orie ou la mĂ©thode, c’est ce que vous vivez, dans la pratique : Ă  travers votre vie. Si vous souhaitez cheminer en ma compagnie. Il vous suffit de rĂ©server votre rendez-vous via messenger.

Le bonheur n'est pas toujours dans un ciel éternellement bleu, mais dans les choses les plus simples de la vie.Belle jou...
07/12/2025

Le bonheur n'est pas toujours dans un ciel éternellement bleu, mais dans les choses les plus simples de la vie.
Belle journĂ©e Ă  vous ❀

https://www.refuge-alina-et-anda.com/Parce que derriùre Novak, il y a des centaines d’autres vies.L’hiver commence, et c...
04/12/2025

https://www.refuge-alina-et-anda.com/

Parce que derriùre Novak, il y a des centaines d’autres vies.

L’hiver commence, et c’est la pĂ©riode la plus difficile pour les chiens des rues en Roumanie et pour les refuges qui tentent de les sauver.

Le froid, la maladie, le manque de nourriture, les soins vétérinaires


Les besoins explosent Ă  cette pĂ©riode de l’annĂ©e.

Le refuge d’Alina & Anda et l’association CĂ©lestia fonctionnent uniquement grĂące Ă  des bĂ©nĂ©voles.
Pas de subventions.
Pas d’aides publiques.

Juste des femmes et des hommes qui donnent leur temps, leur énergie, leur argent personnel pour sauver des vies qui autrement seraient condamnées.

J’ai vu ce que leur engagement a permis pour Novak.

Et à mon niveau, j’aimerais contribuer à mon tour.

Si vous souhaitez les soutenir, mĂȘme modestement, voici leur lien officiel :

👉 cagnotte-de-noel-2025
https://www.helloasso.com/associations/association-celestia/collectes/cagnotte-de-noel-2025

👉https://www.facebook.com/RefugeDeAlinaEtAnda.SabineAdoptionChiensDeRoumanie

Découvrez le refuge d'Alina et Anda en Roumanie et ses plus de 400 animaux sauvés : des chiens et des chats. Adoptez un de nos protégés et offrez-lui une seconde chance.

04/12/2025

Novak.
Nouvelle vie.
Nouveau départ.

Novak ...L’histoire d’une rencontre.L’histoire d’un chien rescapĂ© de Roumanie.Le 11 novembre, j’ai publiĂ© un article int...
04/12/2025

Novak ...L’histoire d’une rencontre.
L’histoire d’un chien rescapĂ© de Roumanie.

Le 11 novembre, j’ai publiĂ© un article intitulĂ© « Quand la vie choisit Ă  travers nous ».

J’y parlais de ces moments oĂč la raison nous retient, oĂč tout invite Ă  rester dans ce que l’on connaĂźt, alors qu’un mouvement plus profond rĂ©siste, insiste, pousse Ă  avancer.

Ce que je ne vous disais pas, c’est que pendant que j’écrivais ce texte, j’étais en plein dedans. DĂ©chirĂ©e entre la logique, la peur de sortir de ma zone de confort, et un Ă©lan intĂ©rieur que je n’arrivais pas Ă  faire taire.

Ce choix avait une histoire, un regard, et quelque chose qui m’a appelĂ©e sans que je comprenne pourquoi.

Ce choix s’appelait Novak.

Un chien venu de Roumanie.

D’oĂč vient Novak?
Pour comprendre ce chien, il faut comprendre son pays.

En Roumanie, la prĂ©sence massive de chiens errants n’est pas un hasard ni une simple nĂ©gligence. Elle vient directement de l’histoire politique du pays. À la fin des annĂ©es 1970 et au dĂ©but des annĂ©es 1980, sous la dictature de Ceaușescu, d’immenses quartiers ont Ă©tĂ© rasĂ©s pour construire des blocs d’appartements standardisĂ©s. Les familles ont Ă©tĂ© relogĂ©es de force dans ces immeubles oĂč les chiens Ă©taient interdits. Des milliers d’animaux domestiques ont Ă©tĂ© laissĂ©s dehors. Ils se sont reproduits dans la rue.

Pendant des dĂ©cennies, il n’y a eu aucune politique nationale de stĂ©rilisation. Les municipalitĂ©s ont laissĂ© la situation exploser. Les portĂ©es se sont succĂ©dĂ©. Et les chiens errants sont devenus une donnĂ©e du paysage urbain.

Dans ce contexte, le chien de rue n’est pas perçu comme un compagnon, mais comme un problĂšme sanitaire ou un nuisible. On apprend aux enfants, dĂšs le plus jeune Ăąge, Ă  les chasser, souvent Ă  coups de pierres, parce que c’est ce qu’on leur montre. Et de nombreux adultes, dans certaines rĂ©gions, les maltraitent ouvertement, non par accident, mais parce que cela est culturellement acceptĂ©.

Pour gĂ©rer la surpopulation, l’État a mis en place des Ă©quipes de capture, les dogcatchers, payĂ©s au chien attrapĂ©. Les chiens sont envoyĂ©s dans des fourriĂšres publiques oĂč les conditions sont extrĂȘmes : surpopulation, absence de soins, faim, maladies, froid, absence totale d’hygiĂšne. Les ONG rapportent rĂ©guliĂšrement des cas de chiens battus, pendus, tuĂ©s Ă  coups de pelle ou laissĂ©s Ă  l’agonie.

Il faut le dire clairement : ce dispositif n’a rien d’un systùme de protection animale. C’est seulement une politique de gestion administrative du vivant, dont l’objectif est de vider les rues des chiens, quelle qu’en soit la maniùre.

Dans ces conditions, un chien n’apprend pas la confiance ; il apprend à survivre.

Et cet apprentissage dĂ©passe l’individu. Depuis quarante ans, il existe un hĂ©ritage comportemental : des chiens qui naissent dans l’hypervigilance, la fuite, la prudence extrĂȘme. Ils n’ont pas besoin de vivre un traumatisme personnel ; ils naissent dĂ©jĂ  traumatisĂ©s, parce que l’environnement depuis plusieurs gĂ©nĂ©rations leur enseigne que l’humain est une menace.

La résistance : ces refuges qui se battent pour chaque vie

Heureusement, il existe en Roumanie une autre force :celle des femmes et des hommes qui ont décidé de ne pas détourner les yeux.

C’est le cas du refuge d’Alina & Anda, l’un des plus respectĂ©s du pays.

Elles rĂ©cupĂšrent des chiens partout :dans les rues, dans les fossĂ©s, devant les magasins, dans les fourriĂšres oĂč ils n’ont plus aucune chance.

Elles vivent avec 350 à 400 chiens à sauver, nourrir, soigner, sécuriser.Elles sont souvent débordées, toujours épuisées, mais elles tiennent.
Parce que pour elles, une vie est une vie.

Et c’est lĂ  que des associations comme CĂ©lestia entrent en jeu : elles font le lien entre ces refuges roumains et des familles en France, Belgique, Suisse, Luxembourg et Pays-Bas capables d’offrir un vrai foyer.

C’est de là que vient Novak.

La suite de son parcours en France n’a pas Ă©tĂ© simple, et la premiĂšre adoption a malheureusement ajoutĂ© une couche de fragilitĂ© Ă  ce qu’il portait dĂ©jĂ .

Une premiĂšre adoption qui l’a encore fragilisĂ©, un rappel essentiel
Quand Novak est arrivé dans sa premiÚre famille, il était dans un état de sidération profonde, une forme de détresse acquise.

La dĂ©tresse acquise vient du fait qu’au fil des expĂ©riences, le chien comprend que quoi qu’il fasse, il est en danger. Qu’il essaye de fuir, d’appeler Ă  l’aide ou de se cacher, il finit par apprendre que cela n’a aucun effet. Alors il arrĂȘte d’essayer. Il vit dans un profond dĂ©sespoir, Ă©teignant peu Ă  peu tout ce qui pourrait le relier au monde.

L’environnement dans lequel il a Ă©tĂ© placĂ© Ă©tait inadaptĂ© Ă  un chien dans cet Ă©tat-lĂ . Ce n’est pas que la personne Ă©tait mal intentionnĂ©e. Elle Ă©tait certainement pleine de bonne volontĂ©, mais ce n’était pas une adoption suffisamment lucide ou consciente.

Pour ces chiens-là, la bonne volonté ne suffit pas.

Ils ont besoin d’un cadre calme, de rĂ©gularitĂ©, d’une comprĂ©hension fine de leurs besoins, parfois d’un accompagnement par des personnes expĂ©rimentĂ©es ou des professionnels.

Accueillir un chien roumain demande un engagement réel, de la patience, de la connaissance, et une vraie préparation.

Et parfois, malgrĂ© des dĂ©marches sĂ©rieuses en amont, certaines adoptions ne se passent pas bien. Dans le cas de Novak, non seulement son Ă©tat s’est aggravĂ©, mais il s’est retrouvĂ© confrontĂ© Ă  quelque chose de plus violent encore : la personne, dĂ©passĂ©e, s’en est dĂ©barrassĂ©e comme on se dĂ©barrasse d’un problĂšme. Pas comme on prend soin d’un ĂȘtre vivant, encore moins d’un ĂȘtre traumatisĂ© qui dĂ©pend entiĂšrement de nous.

Cela a créé un effondrement supplémentaire pour lui.

Il a fallu trouver une solution en urgence, car un chien dans cet Ă©tat ne peut pas ĂȘtre laissĂ© sans prise en charge et il Ă©tait impensable qu’il retourne en Roumanie.

C’est dans cette urgence-lĂ  que l'association CĂ©lestia a dĂ» intervenir de nouveau pour le mettre en sĂ©curitĂ©.

Ingrid : celle qui lui a offert une transition juste, et qui m’a appris à lire Novak

Novak a alors Ă©tĂ© confiĂ© Ă  Ingrid, famille d’accueil expĂ©rimentĂ©e de CĂ©lestia.

Et cette rencontre a été déterminante.

Ingrid comprend ces chiens-là avec une précision et une douceur rares.

Elle observe avec patience.

Elle Ă©coute avant d’agir.

Elle respecte la peur au lieu d’essayer de la corriger.

Avec ces chiens traumatisés, elle ne force rien.

Elle laisse le choix, laisse l’espace, laisse le temps.

Avec Novak, elle a repris les toutes premiĂšres bases dont il avait besoin pour se stabiliser un peu : une routine simple, des gestes cohĂ©rents, une prĂ©visibilitĂ© totale, la libertĂ© d’avancer ou de s’éloigner Ă  son rythme. Pas de prouesses, pas de “techniques miracles”. Juste une justesse dans chaque petit geste rĂ©pĂ©tĂ©.

Et c’est dans ces gestes-lĂ , invisibles pour la plupart des gens, que Novak a connu l’extraordinaire : un espace oĂč il n’était plus obligĂ© de se dĂ©fendre.

Les chiens d’Ingrid, ses assistants poilus, ont jouĂ© un rĂŽle essentiel.

Ils lui ont montrĂ© que l’humain peut ĂȘtre fiable, doux, stable.

Ils lui ont offert un modùle de relation qu’il n’avait jamais connu.

Lors de nos Ă©changes, elle m’a appris Ă  regarder diffĂ©remment.

Elle m’a appris les signaux d’apaisement, les micro-« non », les micro-« oui », les nuances minuscules qui disent tout chez un chien traumatisĂ©.

Elle m’a transmis des ressources, des lectures, des pistes pour comprendre les bases du langage canin, ces clĂ©s simples mais essentielles qui changent tout.

Je n’avais jamais Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  un chien traumatisĂ© comme Novak.

Je n’étais pas consciente de mon ignorance.

Et c’est lĂ  que quelque chose a commencĂ© Ă  bouger pour moi.

DerniĂšrement, Ingrid m’a transmis une phrase qui a profondĂ©ment rĂ©sonnĂ© pour moi :

« Les chiens ont un moyen unique de trouver les personnes qui ont besoin d’eux et de remplir un vide que nous ne savions pas exister. »

Avec Novak, j’ai compris Ă  quel point c’était vrai.

⭐ Ce que Novak révÚle en moi

Avec Novak, j’apprends autrement.

Ce qu’il m’apporte n’a rien d’une jolie leçon de patience .

C’est plus intime, plus vrai, parfois mĂȘme dĂ©stabilisant, parce qu’il me renvoie Ă  des endroits de moi que j’avais laissĂ©s de cĂŽtĂ©.

Depuis des annĂ©es, j’ai avancĂ© avec force et luciditĂ©, mais aussi avec une certaine duretĂ© envers moi-mĂȘme.

J’ai tenu debout coĂ»te que coĂ»te, mĂȘme quand tout en moi demandait de lĂącher.

Par peur.

Par habitude de porter et de “faire avec”.

Par loyautĂ© envers ceux que j’aime.

Par nécessité, aussi.

À force, on finit par ne plus entendre ce qui se passe en soi.

On finit par perdre ses repÚres, par passer à cÎté de soi, parfois longtemps.

On finit mĂȘme par se nier.

Ce n’est ni un manque de conscience ni de courage.

C’est une maniĂšre d’avancer pour ne pas s’écrouler.

Mais cela a un coĂ»t : celui de s’oublier, de perdre l'Ă©quilibre.

Et puis Novak est arrivé.

Un chien qui ne cache rien, en perpétuel hypervigilance.

Sa fragilité a fait écho à la mienne.

Sa peur a rĂ©veillĂ© ce que j’avais laissĂ© de cĂŽtĂ©.

Sa retenue m’a forcĂ©e Ă  voir ce que j’avais nĂ©gligĂ©.

Sa sensibilitĂ© m’a renvoyĂ©e Ă  la mienne.

Dans son regard, j’ai reconnu une sensibilitĂ© proche de la mienne, une force douce et retenue.

Avec lui, j’ai dĂ» apprendre Ă  ralentir, Ă  Ă©couter autrement, Ă  rĂ©pondre avec ma prĂ©sence plutĂŽt qu’avec mon mental.

Je comprends aujourd’hui que j’entre dans un nouveau cycle : un mouvement qui demande de respecter mes limites, de ne plus me renier, de ne plus Ă©touffer ce qui tremble en moi sous prĂ©texte d’ĂȘtre forte ou disponible.

Novak m’aide Ă  rĂ©apprendre cela :

une présence qui ne se sacrifie plus,

une Ă©coute qui ne s’efface plus,

un soin de l’autre qui ne doit jamais coĂ»ter le soin de soi.

Le sens de son prénom, Novak

J’ai dĂ©couvert que Novak veut dire « le nouveau », « celui qui arrive », « celui qui ouvre un autre chapitre ».

C’est un nom qui parle de recommencement, d’un nouveau dĂ©part possible, mĂȘme quand on vient de loin, mĂȘme quand on a connu l’abandon et la maltraitance, mĂȘme quand la vie nous a mis Ă  l’épreuve dĂšs le dĂ©part.

Et moi aussi, j’étais dans un moment de transition, de rĂ©organisation.

Tout se dĂ©plaçait, tout demandait Ă  ĂȘtre revu autrement.

Le sens de son prĂ©nom n’avait rien d’un signe Ă©trange : il a simplement confirmĂ© ce que je ressentais dĂ©jĂ , sans rĂ©ussir Ă  le manifester clairement.

Je n’ai pas choisi son nom.

Il s’est imposĂ© comme une Ă©vidence.

Et aujourd’hui, il reflĂšte ce qu’il apporte dans ma vie : une autre maniĂšre d’avancer, un nouveau chapitre, une façon plus juste d’ĂȘtre prĂ©sente Ă  moi-mĂȘme, mais aussi Ă  lui.

Parce que ce chemin n’est pas seulement le mien.
C’est le nître.

Novak trouve sa place, et moi je trouve une maniÚre différente de me tenir au monde.

Et au milieu de tout ça, il y a aussi Solly, Tchoupi et les cinq chats, notre petite tribu qui se réorganise autour de cette nouvelle présence.

Cela crée du mouvement, une nouvelle dynamique, un autre équilibre qui se cherche.

Chacun ajuste un peu sa place, et moi avec eux.

Quand je repense à ce qui m’a conduite jusqu’à lui, je ne crois pas avoir vraiment “choisi” Novak.

J’ai plutĂŽt l’impression que nos trajectoires se sont rejointes au moment prĂ©cis oĂč elles le pouvaient.

Aujourd’hui, cela fait presque trois semaines qu’il est là.

Et en si peu de temps, il a déjà fait des progrÚs immenses.

Il mange, il se repose, il s’autorise des Ă©lans, il cherche le contact.

Ingrid me l’avait dit : « Novak choisit ».

Et il m’a choisie, lui aussi.

Avec prudence, mais clairement.

Ce n’est pas l’histoire d’un sauvetage.

Ce n’est pas celle d’une hĂ©roĂŻne.

C’est l’histoire d’une rencontre.

Celle d’un ĂȘtre vivant qui a traversĂ© l’effroi,

et d’une femme qui avait besoin de bouger les lignes pour enfin habiter sa vie autrement.

Novak n’a pas seulement trouvĂ© un foyer.

Il a ouvert un chapitre que je n’aurais jamais Ă©crit seule.

Et je crois que, moi aussi, d’une certaine façon, je suis devenue “nouvelle” avec lui.

Conclusion :
On croit sauver un chien
 puis on dĂ©couvre que c’est lui qui nous sauve un peu

Novak vient d’un monde dur,mais il porte une lumiùre douce.
Il vient de l’invisibilitĂ©,et pourtant il rĂ©vĂšle.
Il vient de la peur,et pourtant il m’apprend la confiance.
Il vient de la rue,et pourtant il ouvre un espace en moi que je n’avais pas encore explorĂ©.

Ce n’est pas une adoption. C’est une rencontre.

Une de celles que la vie place sur votre route parce qu’elle sait trùs bien ce qu’elle fait.

Et ce chien-lĂ , ce chien dĂ©licat, ce chien sensible ,ce chien que personne ne regardait vraiment
a ouvert une porte que je n’avais jamais osĂ© pousser seule.
Ce choix s’appelle Novak.

Et je crois profondĂ©mentque ce choix-lĂ , c’est la vie qui l’a fait Ă  travers moi.

Et si aujourd’hui je vous parle de lui, ce n’est pas seulement pour raconter notre histoire.
C’est aussi pour attirer l’attention sur tous ceux qui, comme lui, attendent encore une chance.
Parce que derriùre Novak, il y a des centaines d’autres vies.

â€ïžđŸ™: À mes amis, merci Ă  AngĂ©lique et Carlos d’avoir embarquĂ© avec moi dans cette aventure un peu f***e. Novak et moi, on ne l’oubliera pasâ€ïžđŸ’‹

Appel aux dons

L’hiver commence, et c’est la pĂ©riode la plus difficile pour les chiens des rues en Roumanie et pour les refuges qui tentent de les sauver.

Le froid, la maladie, le manque de nourriture, les soins vétérinaires


Les besoins explosent Ă  cette pĂ©riode de l’annĂ©e.

L'association Célestia fonctionne uniquement grùce à des bénévoles.

Pas de subventions.

Pas d’aides publiques.

Juste des femmes et des hommes qui donnent leur temps, leur énergie, leur argent personnel pour sauver des vies qui autrement seraient condamnées.

J’ai vu ce que leur engagement a permis pour Novak.

Et à mon niveau, j’aimerais contribuer à mon tour.

Si vous souhaitez les soutenir, mĂȘme modestement, voici leur lien officiel :

👉 cagnotte-de-noel-2025
https://www.helloasso.com/associations/association-celestia/collectes/cagnotte-de-noel-2025

👉https://www.facebook.com/RefugeDeAlinaEtAnda.SabineAdoptionChiensDeRoumanie

Un don, quel qu’il soit, nourrit, soigne, rĂ©chauffe, transporte. Mais surtout
 il donne une chance.

Parfois la seule chance qu’ils auront.

Merci, vraiment, pour celles et ceux qui prendront le temps d’aider.

Et merci d’avoir lu jusqu’au bout.

Sandrine GourdyđŸŸđŸ•đŸŒŸâ€ïžđŸŽ„đŸŽđŸ™đŸ«¶

Chaque matin, on se rĂ©veille et on a un jour devant soi. On n’y pense pas toujours, mais c’est une rĂ©alitĂ© simple : on a...
03/12/2025

Chaque matin, on se rĂ©veille et on a un jour devant soi. On n’y pense pas toujours, mais c’est une rĂ©alitĂ© simple : on a une nouvelle journĂ©e Ă  vivre.

Une journĂ©e pour avancer un peu, pour essayer autrement, pour dire quelque chose qu’on n’a pas dit, pour comprendre ce qu’on n’avait pas vu la veille.

Et pourtant, il faut se le rappeler : ce n’est pas banal.
La vie elle-mĂȘme est un miracle.
On vit souvent comme si tout allait de soi, comme si le fait d’ouvrir les yeux le matin Ă©tait quelque chose de garanti.
Mais rien de tout cela n’est acquis.

Chaque jour est un cadeau que l’on a fini par oublier.
Ce jour-là n’a rien d’extraordinaire en apparence, mais il existe, il est là, et il nous est offert.

Un temps qui s’ouvre, un espace oĂč l’on peut faire diffĂ©remment, apaiser ce qui se bouscule, prendre soin d’un lien, ou simplement ĂȘtre plus honnĂȘte avec soi-mĂȘme.

Se souvenir de ça, ce n’est pas ĂȘtre naĂŻf.
C’est reconnaütre qu’on a encore une marge de manƓuvre.
Qu’on peut modifier un dĂ©tail, changer une attitude, poser un geste plus juste.
Que rien n’est totalement bloquĂ© tant qu’il reste un jour Ă  vivre.

Dans tout ça, la gratitude a un vrai rÎle.
Pas la gratitude qu’on force, mais celle qui revient quand on voit ce qu’on a plutît que ce qui manque.

Elle réoriente, elle remet du sens, elle allÚge.
Et la manifestation, ce n’est pas attendre un miracle supplĂ©mentaire.

C’est aligner nos pensĂ©es, nos choix et nos actes avec ce que l’on veut crĂ©er.
Ce n’est pas magique, c’est simplement cohĂ©rent avec la direction qu’on dĂ©cide de prendre.

Au fond, la question n’est pas de rĂ©ussir parfaitement.
C’est de voir ce jour pour ce qu’il est.
Une possibilité.
À chacun de dĂ©cider comment il veut l’habiter.

Sandrine Gourdy 🍁

Bon matin Ă  vous ❀❀❀
03/12/2025

Bon matin Ă  vous ❀❀❀

" J’aime bien ce verbe « rĂ©sister ». RĂ©sister, Ă  ce qui nous emprisonne, aux prĂ©jugĂ©s, aux jugements hĂątifs, Ă  l’envie d...
03/12/2025

" J’aime bien ce verbe « rĂ©sister ». RĂ©sister, Ă  ce qui nous emprisonne, aux prĂ©jugĂ©s, aux jugements hĂątifs, Ă  l’envie de juger, Ă  tout ce qui est mauvais en nous et ne demande qu’à s’exprimer, Ă  l’envie d’abandonner, au besoin de se faire plaindre, au besoin de parler de soi au dĂ©triment de l’autre, aux modes, aux ambitions malsaines, au dĂ©sarroi ambiant. RĂ©sister, et
 sourire. " Marc LĂ©vy- Les Enfants de la libertĂ© 2007

Jean D'Ormesson a dit de la vie : "Merci pour les roses et merci pour les Ă©pines. La vie n'est pas une fĂȘte perpĂ©tuelle,...
02/12/2025

Jean D'Ormesson a dit de la vie : "Merci pour les roses et merci pour les Ă©pines. La vie n'est pas une fĂȘte perpĂ©tuelle, c'est une vallĂ©e de larmes. Mais c'est aussi une vallĂ©e de roses. Si vous parlez des larmes, il ne faut pas oublier les roses et si vous parlez des roses, il ne faut pas oublier les larmes".

BĂȘtise de la tristesse : elle ne signale que ce qui nous manque. Doigt pointĂ© sur l’absence, elle montre ce qui n’est pl...
02/12/2025

BĂȘtise de la tristesse : elle ne signale que ce qui nous manque. Doigt pointĂ© sur l’absence, elle montre ce qui n’est plus. Une obsĂ©dĂ©e du nĂ©ant. Intelligence de la joie : elle nous dĂ©signe ce qui est. Les yeux ouverts, elle s’étonne d’ĂȘtre et d’avoir ce qu’elle a. Une Ă©merveillĂ©e.
Pour la tristesse, le monde est vide ; pour la joie, il est plein.
Tristesse, une sale gosse qui dénigre.
Joie, une fillette qui admire.
Tristesse, la grimace qui nie.
Joie, le sourire qui célÚbre.

Journal d'un amour perdu de Eric Emmanuel Schmitt.

Sans doute, la vie t'apprendra à aimer, l'expérience t'apprendra qui aimer, et les épreuves t'apprendront par qui tu es ...
29/11/2025

Sans doute, la vie t'apprendra à aimer, l'expérience t'apprendra qui aimer, et les épreuves t'apprendront par qui tu es aimé.e....
Belle journĂ©e Ă  vous ❀

29/11/2025

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422 Rue Du Bourg
Oeyreluy
40180

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