Sandrine Gourdy - Accompagnement holistique corps - esprit

Sandrine Gourdy - Accompagnement holistique corps - esprit 🌿 Accompagnement global du corps et de l’esprit
Naturopathe & réflexologie auriculaire laser. Coach en santé & développement personnel. Aucun acte médical.

J'agis en soutien au bien-ĂȘtre, en complĂ©ment de la mĂ©decine. Je pourrais rĂ©sumer mon accompagnement avec cette seule phrase : J’ai vu un ange dans le marbre et j’ai seulement ciselĂ© jusqu’à l’en libĂ©rer.– Michel-Ange

Durant les accompagnements, je ne suis pas gentille, mais authentique et bienveillante. Il s’agit d’un accompagnement authentique de l’ĂȘtre
Or, durant cet accompagnement, la personne accompagnĂ©e, l’est dans toutes les dimensions de son ĂȘtre et en prenant en compte tout ce qui fait *qu'elle EST ! Et qui elle EST !
* lĂ  oĂč elle en est maintenant, au moment prĂ©sent. L’accompagnement est cocréé au moment prĂ©sent en fonction de l’Être. Ce voyage demande votre investissement. Vous cheminez et je marche avec vous. Je vous accompagne. J'ai ce rĂŽle de guide et aussi celui d’un enseignant. Un savoir et des enseignements doivent vous ĂȘtre transmis tout en favorisant votre autonomie et votre responsabilisation ! Lorsque je vous parle de spiritualitĂ© ou de dĂ©veloppement personnel, je ne vous parle pas d’une adaptation thĂ©rapeutique avec des thĂ©ories fumeuses , ce n'est pas l'endroit de "la spiritualitĂ© Doudou" non plus 😜😅

Non, je vous parle de vous, de votre vie, des lois cosmiques et de votre statut de crĂ©ateur. Je suis Ă  votre service pour vous accompagner, Ă  vous aider Ă  rĂ©aliser ce qui vous tient Ă  cƓur. L’important, ce n’est pas la thĂ©orie ou la mĂ©thode, c’est ce que vous vivez, dans la pratique : Ă  travers votre vie. Si vous souhaitez cheminer en ma compagnie. Il vous suffit de rĂ©server votre rendez-vous via messenger.

"Les ĂȘtres qui sont habitĂ©s par l'amour et la bontĂ©, laissent partout sur leur passage des empreintes tellement bĂ©nĂ©fiqu...
12/11/2025

"Les ĂȘtres qui sont habitĂ©s par l'amour et la bontĂ©,
laissent partout sur leur passage des empreintes tellement bénéfiques
que sans savoir pourquoi,
ceux qui viennent auprÚs d'eux se sentent éclairés,
réconfortés, vivifiés."
Omraam Mikhaël Aïvanhov

En Californie se trouve le plus grand arbre du Monde , il s'appelle Hyperion, c'est un séquoia à feuilles d'if de 3000 a...
12/11/2025

En Californie se trouve le plus grand arbre du Monde , il s'appelle Hyperion, c'est un sĂ©quoia Ă  feuilles d'if de 3000 ans et de 115,55 m de hauteur đŸŒČ

J'avais l'habitude de penser qu'il Ă©tait trĂšs important d'avoir ce qu'on appelle une raison d'ĂȘtre. J'ai passĂ© des annĂ©e...
12/11/2025

J'avais l'habitude de penser qu'il Ă©tait trĂšs important d'avoir ce qu'on appelle une raison d'ĂȘtre. J'ai passĂ© des annĂ©es Ă  essayer de la trouver. Je me suis rendu trĂšs malheureux en agissant ainsi. Tout le monde semblait en avoir une, mais je ne pouvais trouver la mienne.

Comme c'est magnifique de réaliser que la vie n'a besoin de remplir aucune fonction, que sa finalité est son apparence présente, sans finalité.
La musique a-t-elle une finalité ? Et le coucher de soleil ou la danse ont-ils une finalité ?
Leurs finalités résident dans l'écoute, la vision, la danse.
La vie est tout à la fois pleine de signification et dénuée de toute signification. Elle est les deux et ni l'un, ni l'autre.

Comme c'est magnifique de voir que ma raison d'ĂȘtre - si une telle chose existe - c'est d'ĂȘtre assis ici, la respiration se fait, le coeur bat, des sons se produisent.

Quelle magnifique liberté !

JEFF

Quand la vie choisit Ă  travers nous.Ces derniĂšres semaines, j’ai beaucoup luttĂ© contre moi-mĂȘme.Contre mon cƓur, surtout...
11/11/2025

Quand la vie choisit Ă  travers nous.

Ces derniĂšres semaines, j’ai beaucoup luttĂ© contre moi-mĂȘme.
Contre mon cƓur, surtout.

La raison voulait avoir le dernier mot : elle voulait que je reste sage, cohérente, raisonnable.
Mais au fond, quelque chose d’autre continuait à frapper.
Un élan, une évidence.
Et malgrĂ© mes efforts pour rĂ©sister, c’est le cƓur qui a gagnĂ©.

Je crois qu’on a tous connu ça un jour : ce moment oĂč la tĂȘte dit non, mais oĂč tout le reste en nous dit oui.
OĂč l’on sent que quelque chose veut vivre, mĂȘme si ce n’est pas “le bon moment”, mĂȘme si ça ne rentre dans aucune case.
Ce n’est pas un coup de tĂȘte, ni une impulsion.
C’est un mouvement intĂ©rieur, plus fort que la logique.

Les philosophes ont parlĂ© d’élan vital, les psychologues d’appel intĂ©rieur, les traditions spirituelles d’intuition du cƓur, et la mĂ©decine chinoise du Shen, cette lumiĂšre de l’esprit qui nous remet doucement dans notre axe.
Peu importe le mot : c’est cette force qui traverse la peur, pour nous remettre sur le chemin du vivant.

Avant d’agir, on doute, on tergiverse, on se demande si on ne fait pas n’importe quoi.
On dresse des listes, on se raconte des histoires pour temporiser.
Et pourtant, malgré tout, quelque chose pousse.
Ça insiste, ça revient, ça gronde doucement Ă  l’intĂ©rieur.
On ne comprend pas pourquoi, mais on sent qu’il faut y aller.
Et souvent, le sens ne vient qu’aprùs.

Quand le pas est fait, quand c’est trop t**d pour reculer,
alors tout s’éclaire.
Mais avant ça, c’est flou, dĂ©routant, presque angoissant.
On marche dans le vide.
Et pourtant, c’est exactement là qu’on touche la vie.
Peut-ĂȘtre que la vraie boussole, c’est ça,
ce qui nous fait peur,
mais nous appelle quand mĂȘme.
Parce qu’au fond, la raison calcule,
mais le cƓur, lui, reconnaüt.
Je crois qu’on a tous vĂ©cu un moment comme ça.
Une dĂ©cision qui n’avait aucun sens sur le papier,
mais qui sonnait juste Ă  l’intĂ©rieur.

Et vous, est-ce que ça vous est déjà arrivé ?
De suivre un élan sans comprendre pourquoi ?
De dire oui Ă  quelque chose qui n’était pas raisonnable,
mais profondément vivant ?

Moi, je crois que je suis coutumiùre du fait 😅
Des dĂ©cisions qui n’avaient pas forcĂ©ment de sens au dĂ©part,
mais qui, chaque fois, m’ont ramenĂ©e plus prĂšs de moi-mĂȘme.

Et derniùrement, j’en ai pris une nouvelle.
Je vous en parlerai la semaine prochaine 😉🍁

✹Il y a des douleurs qui ne se voient pas,des fatigues qu’on dĂ©guise sous un sourire,et des corps qui parlent quand les ...
08/11/2025

✹
Il y a des douleurs qui ne se voient pas,
des fatigues qu’on dĂ©guise sous un sourire,
et des corps qui parlent quand les mots n’y arrivent plus

Ce texte est pour toutes celles qui avancent malgrĂ© tout. 🌙

Ce texte est nĂ© des histoires que j’entends chaque jour dans mon cabinet , des histoires de corps, de fatigue, de courage et d’amour retenu.

« Tu souris trop pour quelqu’un qui a vraiment mal. »
Je choisis ici de parler des femmes.
Non pas parce que la douleur des hommes n’existe pas,
mais parce que celle des femmes est souvent intérieurement censurée, portée en silence.
Pas seulement parce qu’on leur demande d’ĂȘtre fortes,
mais parce qu’elles en ont pris l’habitude.

Elles se sont persuadĂ©es qu’elles n’avaient pas le droit de flancher,
que souffrir devait rester discret, que pleurer faisait perdre du crédit et surtout rendait faible.

Cette croyance s’est inscrite dans les corps au fil des gĂ©nĂ©rations,
comme une mémoire cellulaire de survie :
« Tiens bon, ne dis rien, avance. »
Nos mÚres, nos grands-mÚres, nos arriÚre-grands-mÚres ont porté sans se plaindre,
et souvent, sans qu’on les Ă©coute.
Alors, Ă  force, les femmes se sont condamnĂ©es elles-mĂȘmes Ă  ce mutisme.
Elles se taisent pour ne pas déranger,
pour ne pas passer pour faibles,
par loyauté inconsciente envers toutes celles qui ont tenu avant elles.

Et le plus cruel, c’est que mĂȘme entre femmes, on ne se fait pas toujours de cadeau.
On se juge, on se compare, on se critique, on se mesure.
On parle de sororitĂ©, mais la rĂ©alitĂ©, souvent, c’est la compĂ©tition.
Celle qui reprend le travail trop tĂŽt passe pour courageuse,
celle qui s’arrĂȘte un peu trop longtemps passe pour fragile ou pire encore.....
On ne s’aide pas toujours.
Parce qu’on a appris Ă  se mĂ©fier, Ă  survivre seules,
et à confondre la force avec l’endurance.

Elles portent tout à la fois : les enfants, le travail, la maison, les parents ùgés,
la charge mentale, les hormones, la culpabilité,
et cette fatigue qu’on appelle courage.
Et malgré tout, elles sourient.

Dans mon cabinet, je vois ces femmes debout, dignes, polies,
mais dont le corps parle, parfois crie,
ce que la bouche n’ose plus dire.

Certaines se lĂšvent avec des douleurs au ventre, des migraines tenaces,
des douleurs dorsales ou articulaires que personne n’explique.
D’autres vivent avec une fibromyalgie, une endomĂ©triose, une anxiĂ©tĂ© sans nom,
ou cette lassitude qui colle Ă  la peau.

Beaucoup travaillent malgrĂ© les nuits blanches, les rĂšgles douloureuses, les rĂ©veils d’enfants,
les bouffées de chaleur de la ménopause.
Certaines reprennent trop tît aprùs une grossesse parce qu’elles n’ont pas le choix,
parce qu’il faut « assurer »,
parce qu’on valorise encore celles qui ne s’arrĂȘtent jamais.

Et tant de femmes font semblant d’aller bien,
par peur qu’on leur dise qu’elles exagùrent.
« C’est peut-ĂȘtre le stress », dit le mĂ©decin.
« Tu devrais te reposer », dit le conjoint.
« Moi aussi je suis fatiguĂ©e », rĂ©pond l’amie.
Alors elles se taisent, elles sourient, elles s’adaptent.

Et petit à petit, la douleur devient un secret partagé avec leur propre corps.
La société, elle, glorifie la performance, pas la présence à soi.
Elle admire la ministre qui revient travailler quelques jours aprĂšs son accouchement,
comme si c’était une preuve de force.
Mais quel message cela envoie-t-il Ă  toutes les femmes de France ?
Que pour exister, il faut nier le corps ?
Que pour ĂȘtre crĂ©dible, il faut effacer la maternitĂ©, le sang, la fatigue, la douleur ?

Ce modĂšle a un prix : celui d’une gĂ©nĂ©ration de femmes Ă©puisĂ©es,
culpabilisĂ©es, convaincues qu’elles doivent mĂ©riter leur place mĂȘme quand elles souffrent.
Le corps, lui, sait.

Il traduit tout ce que la bouche n’ose pas dire.
Les colÚres rentrées deviennent tensions musculaires,
les peurs se logent dans le ventre,
les non-dits se nouent dans la gorge.
Chaque émotion devient chimie :
le cortisol grimpe, les neurotransmetteurs s’épuisent, les nerfs s’enflamment.
Et quand le mental s’acharne à tenir, c’est le corps qui lñche.

Les douleurs chroniques ne crient pas toujours, elles s’infiltrent.
Elles se glissent dans les articulations, les muscles, la nuque, le dos.
Elles ne couchent pas, elles usent lentement
Et le plus Ă©puisant n’est pas toujours la douleur,
mais le doute constant qu’on fait peser sur elle.
Pendant ce temps-lĂ , le monde continue de tourner comme si de rien n’était.

Notre médecine moderne écoute de moins en moins.
Elle soigne, mais souvent sans guérir.
Non par manque de cƓur, mais parce qu’elle s’est enfermĂ©e
dans un systĂšme qui gĂšre les symptĂŽmes plus qu’il n’accompagne les ĂȘtres.
Le corps est découpé en organes, les maux en cases, les vies en protocoles.

On éteint les alarmes pour que le corps se taise,
comme on coupe un dĂ©tecteur de fumĂ©e sans chercher l’origine du feu.
On ne cherche plus le pourquoi, encore moins le sens.

Et pourtant, le corps, lui, n’oublie rien.
Il rĂ©pĂšte ce qui n’a pas Ă©tĂ© entendu, encore et encore,
jusqu’à ce qu’on prenne enfin le temps de l’écouter.
Et parfois, ce n’est pas seulement la fatigue qui s’installe.
C’est la distance.

Quand la douleur prend toute la place,
le plaisir n’a plus de chemin.
La douleur contracte tout : le souffle, le ventre, le cƓur.
Comment s’abandonner Ă  l’autre quand la douleur epuise, le ventre brĂ»le,
quand les muscles sont tendus,
quand le dos hurle dùs qu’on respire trop fort ?
Comment s’ouvrir à l’amour quand on est en mode survie ?

Comment accueillir le dĂ©sir quand le corps ne veut plus qu’on le touche ?
La douleur ferme les portes.
Elle coupe la circulation du sang, du souffle, du sentiment.
Elle fige le bassin, le cƓur et la confiance.
Elle enferme dans un isolement invisible oĂč mĂȘme l’amour devient intrusif.
Et quand le corps s’éteint, c’est tout un monde intĂ©rieur qui s’éloigne.
On n’a plus envie de sĂ©duire, plus la force d’accueillir.
On devient Ă©trangĂšre Ă  soi-mĂȘme.
La souffrance chronique tue peu Ă  peu le lien au plaisir,
et avec lui, une part du vivant.
Ce n’est pas une pudeur, c’est une douleur.
Ce n’est pas un dĂ©sintĂ©rĂȘt, c’est un instinct de survie.
On ne peut pas donner quand on n’a plus d’espace pour recevoir.

Et pourtant, la vie continue Ă  murmurer Ă  travers nous.
MĂȘme dans le corps Ă©puisĂ©, il reste un souffle,
une lumiĂšre qui cherche encore la tendresse, la douceur, la paix.
La guĂ©rison commence peut-ĂȘtre lĂ  :
dans cet infime endroit oĂč quelque chose en nous veut encore vivre.
Parce qu’une autre lecture existe.
Celle qui relie la biologie Ă  l’émotion, la science Ă  l’élan vital.
Quand on comprend que la pensée influence la chimie du corps, tout change.

Un Ă©lan de joie, un moment d’amour, un souffle profond peuvent apaiser une inflammation.
La joie, quand elle renaĂźt malgrĂ© tout, n’est pas naĂŻvetĂ© : c’est un traitement.
Elle relĂąche le diaphragme, calme le systĂšme nerveux,
stimule la sérotonine, fait circuler la vie et rend la douleur plus douce.
Ce n’est pas du “penser positif”.
C’est du “penser vivant”.

Mais dans ce monde, la joie des femmes paraĂźt suspecte.
Quand elles rient, on dit qu’elles font semblant.
Quand elles pleurent, on dit qu’elles exagùrent.
Quand elles parlent, on dit qu’elles psychotent, qu’elles dramatisent, qu’elles en font toujours trop.
Comme si leur ressenti devait constamment ĂȘtre ramenĂ© Ă  une faiblesse Ă©motionnelle.
Alors elles se taisent.
Elles avancent, jour aprÚs jour, avec cette fatigue souterraine qui a remplacé la joie.
Elles font les courses, rĂ©pondent aux messages, s’occupent des enfants,
et quand tout le monde dort, elles s’allongent dans le noir,
la main sur le ventre, avec cette phrase en boucle :
« Je n’en peux plus. Mais je tiendrai encore demain. »

Alors oui, on peut souffrir et sourire.
Pas pour mentir, mais pour survivre.
Pour continuer Ă  aimer la vie, mĂȘme quand elle tremble.
Parce que le sourire, dans ces moments-là, n’est pas une façade : c’est un soin.
C’est une forme de priùre muette, une façon de dire au monde :
« Je suis encore là. »

Alors, quand on te dira encore :
« Tu souris trop pour quelqu’un qui a vraiment mal »,
tu pourras simplement répondre :
« C’est parce que j’ai mal que je souris. »

Parce que ce sourire-là n’est pas une faiblesse.
C’est une force ancienne.
Une mémoire de toutes les femmes avant nous,
celles qui ont eu mal sans jamais pouvoir le dire,
et qui pourtant, ont continuĂ© Ă  aimer. 🌙

✹ Et peut-ĂȘtre que maintenant, il est temps

De ne plus traverser tout ça seules.
De se souvenir que la douleur n’a jamais demandĂ© la compĂ©tition,
mais la compassion.
Que la vĂ©ritable force fĂ©minine n’est pas dans l’endurance,
mais dans la main tendue.
Nous vivons encore dans un monde façonné par le patriarcat,
oĂč la performance vaut souvent plus que la prĂ©sence.
Mais au lieu de lutter les unes contre les autres,
nous pourrions commencer par nous rassembler entre femmes,
par nous écouter, nous croire, nous porter.
C’est lĂ  que commence la guĂ©rison.

Parce que les maris, les fils, les frĂšres, les pĂšres,
ont tous, quelque part, une femme qu’ils aiment ,
une Ă©pouse, une sƓur, une mĂšre, une grand-mĂšre ,
qui a traversé des années de douleurs tues,
de fatigue masquée, de vie volée.

Et quand la douleur n’est plus entendue,
c’est la dĂ©pression qui finit par parler Ă  la place de l’amour.

Alors oui, il est temps de se prendre la main.
De ne plus se juger, de ne plus se taire.
D’oser parler, partager, s’unir.
De retrouver, ensemble, ce souffle qui soigne et qui rassemble.

Parce que la sororitĂ© n’est pas un remĂšde,
c’est une force vivante,
une force qui nous relie, qui nous relĂšve,
et ouvre la voie d’un monde
oĂč la douceur ne sera plus jamais confondue avec la faiblesse. đŸŒč
✹

Sandrine Gourdy 🍁

🌿 Les leçons de La Ligne verte💚 Épisode 2 — La bontĂ© comme rĂ©sistanceAprĂšs avoir partagĂ© le premier Ă©pisode, La fatigue ...
07/11/2025

🌿 Les leçons de La Ligne verte

💚 Épisode 2 — La bontĂ© comme rĂ©sistance

AprĂšs avoir partagĂ© le premier Ă©pisode, La fatigue du monde, j’ai eu envie de poursuivre cette traversĂ©e Ă  travers La Ligne verte.

Aujourd’hui, j’avais envie de parler de la bontĂ©.
Celle qui ne s’affiche pas, mais qui transforme tout en silence.
Dans La Ligne verte, il y a de la douleur, des cris, de l’injustice.
Mais il y a surtout des hommes qui, au milieu de tout ça, essaient encore de rester bons.
C’est lĂ  que rĂ©side la vraie force du film.

Il montre que la bontĂ© n’est pas un Ă©lan naĂŻf. C’est une dĂ©cision consciente.
Une maniùre de dire au monde : “Tu ne me changeras pas.”

John Coffey est bon sans raison, sans attente.
Il ne cherche ni reconnaissance, ni justice.
Il fait le bien parce que c’est sa nature profonde.
Et c’est prĂ©cisĂ©ment ce qui dĂ©range.
Il y a quelque chose d’inconfortable Ă  ĂȘtre face Ă  une Ăąme qui ne rĂ©pond pas Ă  la violence par la violence.

Une Ăąme qui ne se dĂ©fend pas, mais qui continue d’aimer.
Dans le film, mĂȘme ceux qui le condamnent en sont bouleversĂ©s.
Parce qu’ils sentent confusĂ©ment que sa bontĂ© ne les juge pas.
Elle les éclaire, sans rien dire.

Et c’est sans doute la plus grande des rĂ©sistances :
continuer à agir avec bienveillance quand tout justifierait qu’on renonce.

Être bon, ce n’est pas ĂȘtre faible.
C’est garder le cƓur ouvert quand il serait plus simple de le fermer.
La bontĂ© est une force tranquille, une façon d’habiter le monde sans renoncer Ă  sa lumiĂšre.

Paul Edgecomb, le gardien, le sait.
Lui aussi résiste, à sa maniÚre.
Dans un univers de punition, il choisit la dignitĂ©, le respect, la tendresse mĂȘme.
Et c’est sans doute pour cela qu’il survit.
Parce qu’il ne laisse pas la noirceur contaminer ce qu’il a de lumineux.

Ce film nous rappelle que la vraie bontĂ© n’a pas besoin d’ĂȘtre vue pour exister.
Elle agit en silence.
Elle soigne les lieux oĂč la haine s’enracine.
Dans un monde oĂč tout pousse Ă  se protĂ©ger, Ă  se mĂ©fier, Ă  se durcir, rester bon devient une forme de courage.

Parce qu’aimer, malgrĂ© tout, c’est refuser de devenir ce qui nous blesse.

🌿 À ceux qui continuent d’ĂȘtre bons quand le monde les abĂźme :
ne doutez pas de votre force.
Ce que vous portez est rare.
Et c’est souvent ce qui sauve, sans qu’on le sache.

Prochain Ă©pisode : La loi des hommes et celle du cƓur.
Quand la justice se heurte à la conscience, que reste-t-il à écouter ?


Sandrine Gourdy 🍁

07/11/2025

Un cùlin à la petite fille que j'ai été, timide et peu sûre d'elle...
À cette enfant dĂ©licate et sensible qui pleurait, souffrait, se sentait si seule.
Un pensĂ©e Ă  la femme que je suis devenue, tĂȘtue et imparfaite, une vraie guerriĂšre au cƓur toujours trop ouvert !
À la femme qui essaie de se pardonner et qui ne cesse jamais de rĂȘver...
Pour la femme que je suis, pour mes victoires et mes défaites, pour tout l'Amour que j'ai à l'intérieur.
Pour toutes les fois oĂč j'ai Ă©tĂ© brisĂ©e, puis je me suis levĂ©e, pour tous ces monstres dans ma vie, que j'ai vaincus !
Une tendresse Ă  cette petite fille que je serai toujours, avec des contes de fĂ©es dans mon cƓur et mille rĂȘves... dans mes yeux .
~Chiara Trabalza

🌿 Les leçons de La Ligne verteEn parcourant mes souvenirs Facebook, je suis retombĂ©e sur une image du film La Ligne vert...
06/11/2025

🌿 Les leçons de La Ligne verte

En parcourant mes souvenirs Facebook, je suis retombée sur une image du film La Ligne verte.
Ce film m’avait profondĂ©ment marquĂ©e Ă  l’époque, et il continue de me bouleverser aujourd’hui.

En revoyant cette image, j’ai repensĂ© Ă  tout ce que ce film raconte de l’humain, de la bontĂ©, de la souffrance, du courage, de la foi, et de cette lumiĂšre qu’on porte encore, mĂȘme quand le monde nous fatigue.

Ça m’a donnĂ© envie d’écrire.
D’abord quelques lignes, puis un peu plus
 jusqu’à en faire une sĂ©rie de textes inspirĂ©s de ses grands thĂšmes.
Voici le premier épisode.

💚 Épisode 1 — La fatigue du monde

« Je suis fatiguĂ©, patron
 fatiguĂ© de voir les hommes se battre les uns contre les autres. FatiguĂ© de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde. »

Cette phrase, beaucoup s’en souviennent.
Elle est simple, mais elle touche lĂ  oĂč rien ne ment ... au cƓur.
Il y a dans cette lassitude quelque chose que nous avons tous ressenti un jour.
Ce moment oĂč l’on ne supporte plus la laideur, l’injustice, la mĂ©chancetĂ© gratuite.
Ce moment oĂč le monde paraĂźt trop lourd Ă  porter, trop bruyant, trop violent pour des Ăąmes qui aspirent Ă  la paix.
John Coffey ne se plaint pas.
Il constate.
Il dit tout haut ce que beaucoup ressentent en silence.
Cette fatigue n’est pas celle du corps, mais celle de l’ñme.
Celle de ceux qui perçoivent trop, qui absorbent trop, qui veulent comprendre, aider, rĂ©parer
 jusqu’à s’oublier parfois.
Ressentir profondĂ©ment, c’est beau.
Mais c’est aussi Ă©puisant.

Parce que le monde ne parle pas toujours la mĂȘme langue que les cƓurs sensibles. Parce que la douceur y semble parfois dĂ©placĂ©e, et la bontĂ© suspecte.

Pourtant, cette fatigue n’est pas un signe de faiblesse.
Elle dit simplement que quelque chose en nous refuse de s’endurcir.
Elle dit que malgrĂ© la violence, malgrĂ© la peur, nous continuons d’espĂ©rer.
Peut-ĂȘtre que la vĂ©ritable force, c’est justement ça, continuer Ă  ressentir.

Refuser de devenir indifférent.

Ne pas laisser la lassitude Ă©teindre ce qu’il y a de vivant en nous.
John Coffey est fatigué, oui, mais il reste bon.
Il continue d’aimer. Il continue de guĂ©rir.
Il ne lutte pas contre la noirceur, il l’apaise.

Il nous rappelle que la lumiĂšre ne fait pas de bruit.
Qu’elle agit en silence, par la prĂ©sence, par le regard, par la tendresse.

Peut-ĂȘtre que c’est ça, le message du film :
qu’on peut ĂȘtre Ă©puisĂ© du monde, et continuer Ă  croire en lui.
À ceux qui se sentent fatiguĂ©s, usĂ©s de trop ressentir, reposez-vous, mais ne vous Ă©teignez pas.

Le monde a encore besoin de votre lumiĂšre.
MĂȘme discrĂšte. MĂȘme vacillante.
C’est souvent elle qui empĂȘche tout de s’effondrer. ✹

💭 Prochain Ă©pisode : La bontĂ© comme rĂ©sistance.
Parce que dans un monde dur, choisir la douceur n’est pas une faiblesse

c’est une forme de courage.

Sandrine Gourdy 🍁

Ce soir, inutile de chercher Ă  m’approcher
 j’ai mon chien de garde en service de nuit đŸ¶Solly prend sa mission trĂšs Ă  cƓ...
05/11/2025

Ce soir, inutile de chercher Ă  m’approcher
 j’ai mon chien de garde en service de nuit đŸ¶
Solly prend sa mission trĂšs Ă  cƓur surtout quand il s’agit de m’empĂȘcher de bouger du canapĂ© đŸ˜…đŸ€Ł

J’en profite pour vous remercier du fond du cƓur pour tous vos gentils messages 💛

La fiÚvre est tombée, je reste encore bien fatiguée, mais je remonte doucement la pente.

Prenez soin de vous, et que quelqu’un veille sur vous ce soir, comme Solly veille sur moi .Douce nuit đŸŒ™đŸŸ

Dehors, il flotte.Un vrai temps de chien.Et moi, malade comme un chien justement😅FiĂšvre, plaid, pyjama, canapĂ©, cafĂ© et ...
02/11/2025

Dehors, il flotte.
Un vrai temps de chien.
Et moi, malade comme un chien justement😅
FiĂšvre, plaid, pyjama, canapĂ©, cafĂ© et mes poilus pas loin.â˜•ïžđŸ¶đŸ±
Je ne fais rien, et ça fait du bien.
Entre deux siestes et un ibuprofùne, j’ai eu envie de poser ces quelques mots.

🌟 De la peur à la lumiùre

Il arrive un moment dans la vie oĂč l’on sent qu’il faut avancer,
mĂȘme quand la peur nous paralyse.
Un moment oĂč l’on comprend que le vrai courage,
ce n’est pas de ne plus craindre,
mais de ne plus se laisser gouverner par cette peur, par ce vertige intérieur qui nous retient au bord du changement.

Nous avançons souvent avec l’idĂ©e que les autres nous regardent,
qu’ils attendent notre chute,
qu’ils commenteront nos erreurs.

Pourtant, qu’on Ă©choue ou qu’on rĂ©ussisse,
les gens parleront toujours.
La vĂ©ritĂ©, c’est que ce qui n’ose pas grandir critique toujours ce qui s’élĂšve,
non par mĂ©chancetĂ©, mais parce que la lumiĂšre des uns met en relief l’ombre des autres.

Chercher Ă  plaire, Ă  ĂȘtre aimĂ©, Ă  ĂȘtre validĂ©
est l’une des principales sources d’anxiĂ©tĂ©.
Oui, les autres nous jugent parfois.
Mais leurs jugements parlent davantage de leurs propres peurs que de notre valeur.

Pour grandir vraiment, il faut cesser de vivre Ă  travers les autres et revenir Ă  soi.
C’est ainsi qu’on retrouve le grand “Je suis”,
cette force intĂ©rieure, lucide et vivante, qui ne demande qu’à ĂȘtre entendue.
Et peu Ă  peu, en apprenant Ă  se recentrer
par la prĂ©sence, l’écoute de soi, ou simplement la conscience de l’instant , cette voix devient notre boussole,
plus fiable que tout ce qui nous entoure.

On ne vit plus pour prouver,
mais pour exprimer, offrir et transmettre ce que l’on porte en soi.
Et plus on avance, plus on comprend que ce chemin n’a pas besoin d’ĂȘtre approuvĂ© pour ĂȘtre juste.
MĂȘme si certains doutent, critiquent ou s’éloignent, CONTINUE !
Ta lumiÚre dérangera parfois,
mais elle éclairera toujours ceux qui cherchent la leur.

Et puis, il y a aussi ces moments oĂč tout semble s’effondrer.
Des pĂ©riodes oĂč tout vacille, oĂč plus rien ne tient.
OĂč chaque repĂšre s’écroule :
le travail, les liens, le corps, le sens mĂȘme de la vie.
On avance sans savoir oĂč l’on va, avec cette impression d’ĂȘtre projetĂ© dans le vide.
C’est un grand saut Ă  l’élastique, un saut dans l’inconnu, oĂč tout ce qu’on croyait solide se met Ă  trembler.

Et je parle de cela en connaissance de cause.
J’ai connu ces traversĂ©es-lĂ .
J’ai fait des choix qui n’étaient pas toujours raisonnables ni confortables ,
des choix qui pouvaient passer pour de l’audace, du culot, ou pour certains, du courage.

Des choix qui ont parfois fait vaciller ma famille
 et moi la premiùre.
Mais au fond, je savais qu’il fallait les faire.
J’ai suivi mon instinct, mon intuition, ma foi
sans certitude, sans garantie,
et souvent dans la douleur.

Il y a eu des nuits d’angoisse,
de grands moments d’isolement,
des larmes silencieuses,
et cette impression d’ĂȘtre terriblement seule au milieu du chaos.
Et pourtant, au cƓur de tout cela,
quelque chose de paisible s’est installĂ©.
Une forme de calme , de sérénité discrÚte
mais profondément solide.

Cette paix ne vient pas d’avoir gagnĂ© contre la peur,
mais d’avoir acceptĂ© qu’elle me malmĂšne,
qu’elle me confronte,
qu’elle me mette à genoux,
qu’elle me casse la gu**le,
jusqu’à ce que je comprenne qu’elle n’était pas lĂ  pour me dĂ©truire,
mais pour me rĂ©vĂ©ler, m’enseigner.

C’est lĂ  que j’ai trouvĂ© mes ressources :
dans cette capacité à avancer malgré la peur,
et parfois mĂȘme avec elle.

AprĂšs les « Pourquoi moi ? Ce n’est pas juste »,
aprĂšs avoir tournĂ© en rond dans la colĂšre, la lassitude, l’amertume,
jusqu’à oublier que quelque chose, en dessous,
continuait malgré tout de bouger.

J’ai compris que mĂȘme dans l’obscuritĂ©, la vie travaille en silence.
On ne traverse jamais une épreuve pour rien.
Comme le disent souvent François Lemay ou Natacha Calestrémé,
il y a toujours un cadeau, mĂȘme quand il est mal emballĂ©.
Mais ce cadeau, encore faut-il aller le chercher.
Il ne tombe pas tout cuit dans nos mains.
Il demande une présence, une ouverture,
la volontĂ© de croire qu’il existe quelque chose Ă  comprendre,
mĂȘme quand tout fait mal.

Parce que plus l’épreuve est grande,
plus l’expansion, les apprentissages et les rĂ©vĂ©lations qui en dĂ©coulent le sont aussi.

C’est une loi du vivant : une grande contraction prĂ©cĂšde toujours une grande ouverture.

On ne traverse jamais une épreuve pour rien.
Chaque secousse réveille une part de nous encore endormie.
Tant qu’on reste figĂ© ou qu’on rĂ©siste, on entretient la peur.
Mais dĂšs qu’on fait un pas, mĂȘme hĂ©sitant,
l’énergie se remet Ă  circuler.
Parce que l’énergie ne vient qu’avec le mouvement.

La vie ne connaĂźt pas la stagnation :
dùs qu’il n’y a plus de circulation, il y a blocage, maladie..... il y a mort.
La vie, elle, est mouvement.
Chaque pas, chaque geste, chaque choix, chaque dĂ©cision, mĂȘme minuscule,
rouvre la voie, redonne souffle, redonne sens.

Alors, la crainte se transforme en émoi,
l’émoi en Ă©lan,
et l’élan en enthousiasme.

C’est une vĂ©ritable transmutation intĂ©rieure :
la peur ne disparaĂźt pas,
elle se transforme, elle s’élĂšve,
elle devient mouvement, souffle, désir de vivre.

L’ego croit que changer, c’est disparaütre.
Mais en rĂ©alitĂ©, c’est renaĂźtre.

Et un jour , sans comprendre comment,
on rĂ©alise qu’on a traversĂ© le tunnel,
qu’on revoit la lumiùre,
et que cette lumiÚre, depuis le début,
venait de soi.

Prenez soin de vous, avancez Ă  votre rythme, la lumiĂšre finit toujours par revenir.

Et si tout devient trop lourd, contactez-moi.
Je vous accompagnerai pour retrouver un chemin plus lumineux,
et aller chercher ces cadeaux que la vie cache parfois derriĂšre les Ă©preuves.🎁🕯🔆

Sandrine Gourdy 🍁

Adresse

422 Rue Du Bourg
Oeyreluy
40180

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