01/10/2025
Quand un syndicat de généalogistes familiaux interroge ses membres, le constat est assez accablant sur l'état de la profession.
Manque d'expérience, faible rémunération, activité de passion, mais à temps partiel, forte féminisation.
Il s'agit d'une activité libérale mal rémunérée par rapport à l'investissement personnel qu'elle demande.
Les généalogistes amateurs pensent pouvoir réaliser eux-mêmes leurs recherches, quitte à y passer plus de temps.
Nous pouvons aider les généalogistes nouvellement installés à booster leur activité, en leur apportant notre expérience et des activités annexes, qu'ils ne soupçonnent pas.
L’Union professionnelle de généalogistes familiaux (U-ProG) publie sa première étude d’ampleur sur le métier. Elle dresse un portrait précis d’une profession en plein essor, exercée par des chercheurs qualifiés et passionnés, mais économiquement fragiles et souvent contraints à la p...