La voie de l’amour

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27/11/2025

Il A Survécu À Auschwitz Et A Découvert Que Le Sens De Ta Vie Détermine Si Tu Survis Ou Si Tu Meurs

1942, Viktor Frankl observe quelque chose qui le dérange profondément.

Il est psychiatre à Vienne. Il voit des patients qui ont tout pour être heureux selon les critères classiques, argent, famille, santé et pourtant ils sont désespérés, vides et suicidaires.

Pendant ce temps, d’autres patients qui ont tout perdu trouvent encore des raisons de vivre, de se battre et de continuer.

Même conditions matérielles. Réactions totalement opposées.

Pourquoi ?

Frankl n’a pas le temps de creuser cette question, parce qu’en 1942, il est déporté dans les camps de concentration n***s. Auschwitz, Dachau, trois ans d’enfer absolu.

Sa femme, son père, sa mère et son frère meurent dans les camps. Il perd tout, absolument tout.

Et dans cet enfer, Frankl observe quelque chose qui va changer la psychologie pour toujours.

Certains prisonniers s’effondrent en quelques semaines, abandonnent et meurent. D’autres survivent pendant des années contre toutes les probabilités.

La différence n’est pas la force physique, ni la chance, ni l’optimisme naïf.

C’est le sens. Le meaning.

Ceux qui avaient une raison de survivre survivaient. Ceux qui perdaient leur sens mouraient, même s’ils étaient physiquement forts.

Frankl survit. Il est libéré en 1945. Il écrit son expérience et développe une nouvelle approche psychologique qu’il appelle la logothérapie, la thérapie par le sens.

Aujourd’hui, son livre a été lu par des dizaines de millions de personnes et a sauvé des vies innombrables.

Mais ce qu’il va te dire va te mettre profondément mal à l’aise, parce que Frankl ne te promet pas le bonheur. Il te promet que la souffrance a du sens si tu choisis de lui en donner un.

Ce qu’il a observé dans les camps :

Frankl commence par décrire ce qui se passait psychologiquement dans les camps, parce que les camps étaient un laboratoire involontaire de psychologie humaine sous stress extrême.

Les prisonniers passaient par trois phases psychologiques selon Frankl.

Phase 1 : Le choc de l’admission

Les premiers jours dans le camp, le cerveau refuse la réalité et entre en état de choc. Frankl décrit comment les nouveaux prisonniers pensaient «ça ne peut pas être réel, ça ne peut pas durer, quelqu’un va nous sauver».

Cette phase protège temporairement contre l’horreur totale.

Phase 2 : L’apathie relative

Après quelques semaines, le cerveau s’adapte à l’horreur par l’apathie émotionnelle. Les prisonniers ne ressentent plus rien face à la violence, la mort ou la dégradation quotidienne.

C’était un mécanisme de survie selon Frankl, l’apathie permettait de continuer sans s’effondrer mentalement.

Phase 3 : Après la libération

Les survivants libérés devaient réapprendre à ressentir des émotions normales, ce qui prenait des semaines ou des mois.

Mais ce qui fascinait Frankl, c’était la variation massive entre prisonniers pendant la phase 2. Certains gardaient leur humanité, leur dignité et leur sens moral malgré l’apathie, d’autres devenaient aussi brutaux que leurs gardiens.

Qu’est-ce qui faisait la différence ?

La dernière liberté humaine.

Frankl introduit maintenant son insight le plus puissant, celui qui a créé toute sa thérapie.

Dans les camps, les n***s contrôlaient absolument tout. Ton corps, ton temps, ta nourriture, ton sommeil, ta survie.

Mais Frankl a découvert qu’ils ne pouvaient pas contrôler une chose : comment tu choisis de réagir à ce qui t’arrive.

Il écrit cette phrase qui a changé des millions de vies : entre le stimulus et la réponse, il y a un espace, et dans cet espace réside ta liberté de choisir ta réponse.

Les n***s pouvaient le torturer, mais ils ne pouvaient pas le forcer à les haïr. Ils pouvaient l’affamer, mais ils ne pouvaient pas le forcer à perdre sa dignité. Ils pouvaient tuer son corps, mais ils ne pouvaient pas tuer son sens intérieur.

Frankl raconte comment certains prisonniers partageaient leur dernier morceau de pain avec d’autres, comment certains consolaient les mourants, comment certains trouvaient de la beauté dans un coucher de soleil malgré l’horreur.

Ces actes prouvaient que l’esprit humain garde toujours un espace de liberté, même dans les pires conditions imaginables.

Cette liberté intérieure est indestructible selon Frankl, c’est la dernière liberté humaine que personne ne peut te retirer sauf si tu l’abandonnes toi-même.

Frankl identifie maintenant ce qui donnait du sens aux prisonniers qui survivaient, parce que le sens n’est pas abstrait, il vient de sources concrètes.

Source 1 : Créer une œuvre ou accomplir un acte

Frankl lui-même survivait parce qu’il avait un projet, reconstruire le manuscrit de son livre détruit par les n***s. Il visualisait les conférences qu’il donnerait après la guerre sur la psychologie des camps.

D’autres prisonniers survivaient parce qu’ils avaient une entreprise à reconstruire, un champ à cultiver ou une invention à terminer.

Source 2 : Vivre quelque chose ou rencontrer quelqu’un

L’amour donne du sens selon Frankl. Il pensait à sa femme chaque jour, ne sachant même pas si elle était encore vivante, et cet amour lui donnait une raison de continuer.

D’autres survivaient pour revoir leurs enfants, leurs parents ou pour témoigner de ce qui s’était passé.

Source 3 : L’attitude face à la souffrance inévitable

C’est la source la plus profonde selon Frankl. Quand tu ne peux pas changer ta situation, tu peux encore changer ton attitude face à elle.

Frankl raconte un prisonnier qui était médecin avant les camps et qui soignait les autres prisonniers avec les moyens du bord, transformant sa souffrance en service.

Le sens ne vient pas de l’absence de souffrance selon Frankl, il vient de ce que tu fais de ta souffrance.

Pourquoi chercher le plaisir te rend malheureux ?

Frankl détruit maintenant le dogme moderne du bonheur, parce que notre société est obsédée par la recherche du plaisir et de l’évitement de la souffrance.

Faux selon Frankl. Cette approche mène directement à la dépression et au vide existentiel.

Il explique que le bonheur ne peut pas être poursuivi directement, le bonheur est un effet secondaire de vivre une vie qui a du sens.

Frankl cite Nietzsche : «Celui qui a un pourquoi peut supporter presque n’importe quel comment.»

Les prisonniers qui cherchaient le plaisir dans les camps mouraient rapidement, parce qu’il n’y avait aucun plaisir à trouver. Ceux qui cherchaient le sens survivaient, parce que le sens peut exister même dans l’enfer.

Il applique cette leçon au monde moderne. Beaucoup de gens ont des vies matériellement confortables mais sont désespérés, parce qu’ils ont optimisé pour le plaisir au lieu du sens.

Ils changent de job pour plus d’argent mais le travail reste vide. Ils changent de partenaire pour plus d’excitation mais la relation reste superficielle. Ils accumulent des expériences pour Instagram mais leur vie reste creuse.

Le vide existentiel moderne vient de cette inversion selon Frankl, on cherche le bonheur directement au lieu de chercher le sens qui produit le bonheur comme effet secondaire.

La logothérapie en pratique :

Frankl termine avec sa méthode thérapeutique concrète, parce que comprendre le problème ne suffit pas, il faut des outils pour le résoudre.

La logothérapie pose trois questions fondamentales à chaque patient.

Question 1 : Qu’est-ce que la vie attend de toi maintenant ?

Inversion complète de la question classique. On demande pas «qu’est-ce que tu veux de la vie ?» mais «qu’est-ce que la vie veut de toi ?»

Frankl explique que cette inversion change tout, parce que tu passes de consommateur passif à répondant actif. La vie te pose une question chaque jour et ta vie est ta réponse.

Question 2 : Quelle est la souffrance inévitable que tu dois accepter ?

Certaines souffrances sont évitables et doivent être changées. D’autres sont inévitables et doivent être acceptées avec dignité.

La sagesse est de distinguer les deux selon Frankl.

Question 3 : Comment peux-tu transformer cette situation en quelque chose de significatif ?

Même les pires situations peuvent être transformées en opportunités de croissance, de service ou de témoignage.

Frankl raconte un patient âgé qui pleurait la mort de sa femme deux ans après. Frankl lui demande : «Et si vous étiez mort en premier, qu’est-ce qui lui serait arrivé ?»

Le patient répond : «Elle aurait terriblement souffert.»

Frankl dit : «Vous voyez, vous lui avez épargné cette souffrance en survivant et en portant cette douleur à sa place.»

Le patient sort transformé, sa souffrance avait maintenant du sens.

Ce que j’ai compris en refermant ce livre :

«Man’s Search for Meaning» n’est pas un livre sur les camps de concentration, c’est un livre sur ce qui rend la vie humaine supportable.

Frankl ne te dit pas que la souffrance est bonne, il dit que la souffrance sans sens est intolérable mais que la souffrance avec sens est supportable.

La dernière liberté humaine est indestructible, tu peux toujours choisir ton attitude face à ce qui t’arrive même quand tu ne peux pas choisir ce qui t’arrive.

Le sens vient de trois sources : créer quelque chose, aimer quelqu’un ou transformer ta souffrance en quelque chose de plus grand.

Chercher le bonheur directement mène au vide. Chercher le sens produit le bonheur comme effet secondaire.

Frankl a raison sur un point clair : la vie ne te doit rien, c’est toi qui dois quelque chose à la vie, et ta tâche est de découvrir ce que c’est.

Quelle est ta réponse à la question que la vie te pose aujourd’hui ? Si tu cherches le plaisir au lieu du sens, tu as déjà raté la question.

25/11/2025

Je crois que le plus IMPORTANT est de vivre . Il n’y a rien de pire que de refuser de vivre par peur de souffrir. Qu’est-ce que la vie ? Si ce n’est d’expérimenter, de goûter à tout, de tomber mille fois, puis de se relever encore et encore. Il n’y a aucune grandeur à se limiter, à vivre petitement alors que notre âme ne demande qu’une seule chose, EXPLORER la vie.

Ose sortir de ta zone de confort, quitte à te prendre un mur, c’est toujours mieux que de rester sagement assis dans ton canapé à attendre quelque chose ou quelqu’un qui ne viendra sans doute jamais. La mort viendra t’y trouver également. Alors autant mourir en l’ayant défiée. On ne bat pas la faucheuse en vivant plus longtemps, on bat la mort en vivant bien et entièrement. Parce que la mort viendra pour chacun d’entre nous. La question est : Qu’est-ce que nous faisons entre maintenant et le moment ou la faucheuse vient nous chercher ? Car lorsqu’elle vient, c’est trop t**d pour faire toutes les choses que tu repoussais à plus t**d.

De quoi as-tu envie au plus profond de toi? Sans jamais oser le vivre ?
Démissionner ? Te séparer d’un partenaire de vie ? Faire un tour du monde ? Déclarer ta flamme à quelqu’un? Faire un saut en parachute ? Qu’importe ce qui te fait rêver. Fait le maintenant. Demain ne viendra peut-être jamais.

Vivre c’est ça. Ça veut dire prendre le risque d’échouer et de se faire mal. Il n’y a rien de glorieux à vivre dans la peur.
La peur te limite, t’enferme dans ta prison intérieure, et t’empêche de rayonner qui tu es en ce bas monde. Être raisonnable, n’a jamais rendu heureux.

Assume tes envies, tes désirs et ta personnalité même si cela suppose de vivre à contre-courant. Ton besoin d’appartenance peut te rendre invisible dans ce monde. Refuse de courber l’échine pour plaire aux autres. Refuse de renier qui tu es pour te faire aimer. Tu es unique, trouve le courage d’être pleinement qui tu es en ce bas monde.

Auteure : Swan

25/11/2025

Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapie

Nous sommes les enfants de ceux qui ont fait du mieux qu’ils pouvaient, avec ce qu’ils avaient.

Nous avons grandi dans les silences, ceux qui recouvraient ce qui ne s’est jamais dit. Dans des règles qu’on ne remettait pas en question, dans des émotions contenues jusqu’à devenir invisibles.

Nous avons appris à lire les gestes plutôt que les mots, à survivre dans l’incertitude de ce qui ne se disait pas, à chercher un sens dans ce qui, pour eux, n’avait même pas de nom.

Il ne s’agit pas de juger leur niveau de conscience, mais de comprendre que chaque génération porte le poids de sa propre histoire. Nos parents furent eux aussi les enfants d’un temps où la vulnérabilité était un luxe, et l’introspection, un sentier peu emprunté. Ils ont grandi dans un monde où les blessures ne se nommaient pas : on les endurait, simplement. Où les limites étaient soit rigides, soit absentes. Où l’amour se prouvait par le sacrifice, non par les mots.

Et pourtant, nous sommes là. Apprenant à nommer ce qu’ils n’ont pas su dire. À reconnaître les peurs qu’on nous a léguées sans le vouloir. À nous accorder le droit de ressentir sans craindre d’être jugés. Car guérir, ce n’est pas accuser, c’est comprendre : ce que nous avons reçu, c’est tout ce qu’ils ont su offrir.

C’est regarder leur histoire avec compassion, et la nôtre avec responsabilité.

Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapie, mais nous avons choisi un autre chemin. Il nous revient de dépasser ce que nous avons appris sans le renier, de construire sans démolir, d’honorer sans répéter. Il nous appartient d’accepter que le passé ne peut être changé, mais que son écho peut être transformé dans notre vie.

Il nous revient d’accueillir nos blessures avec tendresse, d’en faire des sources de sagesse, et de nous permettre d’être, à chaque pas, la génération qui ouvre la voie à de nouvelles façons d’aimer, de vivre, d’exister, d’Être.

23/11/2025

SI VOUS SOUFFREZ, VOUS N’ÊTES PAS DANS UNE RELATION D’AMOUR.

L’amour ne fait JAMAIS souffrir, l’absence d’amour oui.

Si vous souffrez dans une relation que vous entretenez avec quelqu’un, c’est que vous êtes dans une relation qui n’a pas pour fondation l’amour. Vous êtes dans une relation toxique, malsaine, dans une dépendance affective ou dans une relation abusive. Ce n’est pas parce que vous formez un couple aux yeux de la société que vous êtes forcément dans une relation d’amour. Si vous souffrez, c’est par manque d’amour de soi et de l’autre.

La dépendance affective n’est pas de l’amour, c’est une dépendance, semblable à une dépendance à l’alcool ou une drogue. Elle vous autodétruit. De même, les violences physiques et verbales, ne sont pas des signes d’amour mais des manifestations d’absence d’amour.
Une personne qui vous insulte et/ou vous malmène physiquement, ne vous aime pas.
Une personne qui veut vous posséder et vous contrôler, ne vous aime pas.
Une personne qui vous manque de respect, vous ignore et profite de vous, ne vous aime pas.

Liam Neeson disait ceci :

Tout le monde croit que l’amour fait mal, mais c’est faux. La solitude fait mal, se faire rejeter fait mal, perdre quelqu’un fait mal. Tout le monde confond ces petites choses avec l’amour, mais en réalité, l’amour est la SEULE chose dans ce monde capable de faire fuir tout ce mal et te faire sentir bien à nouveau. L’AMOUR est la seule chose dans ce monde qui ne fait pas mal.

Peut-être que vous n’avez pas encore rencontré l’amour, le VRAI, c’est pourquoi, vous le confondez avec d’autres émotions fortes mêmes si elles sont destructrices.

L’amour ne fait JAMAIS mal. Il apporte de la chaleur, de la bienveillance et de la compassion. Il réconforte. Il est la gentillesse incarnée. Il encourage. Il protège. Il aide et guérit. L’amour fait grandir. L'amour vous tient toujours la main.

L’amour ne démunit pas l’autre, ni ne l’enferme dans quoi que ce soit. L’amour n’éteint pas votre lumière intérieure. L'amour apporte beaucoup de joie. Il vous épanouis jour après jour.

L’amour vous rend LIBRE. Il ne fait pas de vous un esclave mourant de soif, enfermé dans une prison.

L’AMOUR ne fait pas pleurer de tristesse mais de joie.

Auteur Swan 🙏

22/11/2025

**LIBÉREZ-VOUS, QUOI QU’IL VOUS EN COÛTE.**

Libérez-vous de n’importe quelle prison dans laquelle la vie vous a enfermés.
Libérez-vous de la prison de votre mental et écoutez votre cœur.
Libérez-vous d’une profession qui vous ennuie, qui ne vous passionne pas.
Libérez-vous d’une addiction qui vous rend faible et malade.
Libérez-vous d’un amour qui vous fait mal, qui vous diminue, qui ne vous nourrit pas, et exigez le meilleur pour vous-même.
Libérez-vous de la médiocrité et visez l’excellence.
Libérez-vous de n’importe quelle relation amicale ou familiale qui vous rend malheureux.

Libérez-vous de la PEUR insidieuse qui dévore tout.
Ayez le COURAGE de vous choisir, peu importe ce que ça vous coûte. Osez dire OUI à la vie et dire NON à la souffrance.
Vous n’êtes pas obligés de SUBIR. EXIGEZ la LIBERTÉ et rien d’autre.
Libérez-vous du manque d’amour de vous-même : apprenez à vous aimer, à vous respecter et à prendre soin de vous.

Et si personne ne peut vous aimer pour qui vous êtes, à votre juste valeur, levez-vous et tenez-vous prêt à vous aimer.
Si la seule personne sur terre capable de vous aimer doit être vous, alors soyez cette personne et ne vous laissez JAMAIS tomber. Rayonnez votre lumière intérieure de mille feux.
Oui, vous méritez l’amour. Oui, vous méritez d’être heureux.
Et si vous devez marcher seul, alors que la moitié de la terre vous tourne le dos, continuez à avancer, fier, sur le chemin de votre vie.

Libérez-vous du désespoir, ne renoncez pas à vos rêves.
Quelque part, il y a toujours une lumière au bout du tunnel.

Parfois, la vie vous frappe si fort qu’elle vous laisse comme mort près du sol, sans personne pour vous tendre la main. Encore une fois, LEVEZ-VOUS ET AIMEZ-VOUS.

Ayez le COURAGE de vivre à la folie. Et peu importe combien de fois la vie vous mettra à terre, combien de fois elle vous giflera, levez-vous et tenez bon.
Et même si elle tente de vous tuer avant l’heure, survivez.

Si vous ne vous laissez pas tomber, si vous n’abandonnez pas, si vous avez le courage d’affronter chaque bataille avec dignité, un jour, vous comprendrez avec une absolue clarté que les combats que vous avez dû affronter n’étaient pas faits pour vous briser, mais qu’ils avaient un seul but : faire de vous l’être que vous êtes aujourd’hui, immensément beau dans sa pureté d’âme.

La vie ne frappe pas pour vous blesser, elle frappe fort pour vous élever, pour vous apprendre à voler toujours plus haut, toujours plus loin. Elle n’exige pas moins de vous que l’absolu de vous-même.

Que la FOI soit votre guide et le COURAGE votre cheval de bataille.

**Auteure :
Swan, Hypnopraticienne**

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21/11/2025

"Quand on couche avec plein de femmes, en réalité c'est toujours la même. Elle change seulement de prénom, de peau, de taille, de voix. La longueur de ses cheveux, le tour de sa poitrine, la couleur de ses sous-vêtements peuvent évoluer. Mais on lui dit toujours les mêmes phrases, on lui fait les mêmes choses. Tous ces mots répétés tous les soirs à des filles différentes avec le regard émerveillé d'un enfant qui ouvre un paquet cadeau. Le changement induit la répétition. C'est de rester avec la même qui permet, paradoxalement, la nouveauté. Les Don Juan sont sans imagination. On croit que Casanova est un stakhanoviste alors qu'il est paresseux. Parce qu'on a beau changer de femme, on reste toujours le même homme, partisan du moindre effort. Rester demande plus de talent".

Katherine Pancol, Les yeux jaunes des crocodiles

21/11/2025

Tu sais, il y a un moment où le silence n’est plus un signe de force, mais un poids qui t’écrase lentement. Tu peux prétendre que tout va bien, te convaincre que tu es capable d’encaisser, mais la vérité, c’est que chaque mot que tu retiens devient une pierre de plus dans ton chest. Et à force d’en accumuler, tu finis par avancer penché, sans même comprendre pourquoi.

Garder pour toi ce que tu ressens, ce n’est pas de la maturité. C’est de la survie. Et la survie, ce n’est pas vivre. C’est exister sur pilote automatique, avec un cœur trop chargé pour respirer librement. Tu le sens, ce nœud qui ne part jamais vraiment ? Il vient de là : de ce que tu retiens, de ce que tu avales, de ce que tu n’oses pas libérer.

Parce que les choses non dites ne disparaissent pas. Elles fermentent. Elles s’accumulent dans ton corps, dans ta gorge, dans ton estomac, comme si ton système émotionnel essayait de te dire : « Hey, tu n’as pas réglé ça. » Et tant que tu fais semblant, tu payes le prix. Fatigue. Irritabilité. Doutes. Peur de déranger. Peur d’être un fardeau. Peur d’être toi-même.

La vérité, c’est que tu as appris à te taire pour ne pas perdre les autres. Mais en faisant ça, tu t’es perdu toi. Tu t’es rendu invisible dans ta propre vie. Et aujourd’hui, tu portes le poids d’une version de toi qui n’a jamais eu le droit de parler, de ressentir, de dire : « Ça me fait mal. » C’est cette version silencieuse qui t’épuise le plus.

Et je sais que parler fait peur. Tu crains de blesser, de décevoir, de passer pour trop sensible. Mais laisse-moi te dire quelque chose : dire la vérité ne casse pas les liens. Ça révèle ceux qui sont capables d’aimer pour vrai. Ce qui brise une relation, ce n’est jamais la vérité. C’est le silence qui pourrit tout de l’intérieur.

À un moment, tu vas devoir choisir entre plaire aux autres ou te libérer toi. Entre porter ce poids ou t’autoriser à respirer. Entre continuer à te taire ou enfin te laisser exister. Et ce choix-là, personne ne peut le faire à ta place. Personne ne peut ouvrir ta bouche et laisser sortir ce qui te ronge.

Mais quand tu vas le faire — quand tu vas dire ce que tu n’as jamais dit — tu vas sentir quelque chose d’incroyablement simple : ton cœur va redevenir léger. Pas parce que tout sera réglé, mais parce que tu n’auras plus à porter quelque chose qui n’a jamais été fait pour rester en toi. Et c’est là que commence ta vraie libération.

Et si vraiment tu ne peux pas en parler — parce que la personne n’écoutera pas, parce que la situation est trop sensible, ou simplement parce que ce n’est pas encore le bon moment — alors apprends à l’extérioriser autrement. Mets-le hors de toi. Donne-lui une forme. Donne-lui une sortie. Parce que si tu ne le fais pas, ça restera là, coincé, en train de te ronger pour l’éternité.

© Francis Machabée

20/11/2025

DE LA PRISE DE CONSCIENCE À L’AMOUR DE SOI

Comment pouvais-je croire qu’un homme pouvait me connaître et m’aimer si je n’étais pas en mesure de le faire moi-même ?

Mon âme occupait ce petit véhicule qu’on appelle le corps, mais elle refusait de l’aimer. J’étais la seule en mesure de me sauver. Durant toutes ces années, j’avais fait fausse route et je cherchais le grand amour dans la mauvaise direction. En réalité, le seul grand amour que je pouvais vraiment vivre éternellement, et qui ne me décevrait jamais, était celui que je vivrais avec moi-même. Je me devais d’apprendre à me soucier de moi-même, prendre soin de moi comme je prenais soin des autres, me rassurer comme je rassurais un enfant, veiller sur moi lorsque la maladie ou la mort rôdait autour de moi, me relever lorsque je tombais et trouver la lumière lorsque l’ombre s’emparait de moi.

Peut-être qu’aucun homme ne prononcera jamais un sincère : « Je t’aime ». Et qu’il n’existe pas d’homme ici-bas en mesure de m’aimer pour toujours comme moi je pourrais aimer. Mais, à présent, j’ai découvert le plus grand des trésors, celui qui m’a libérée et a rempli le trou béant dans ma poitrine : l’amour de soi.

La leçon a été très douloureuse, elle m’a terrassée de nombreuses fois, me tenant éveillée jusqu’au petit matin. Mais ce cadeau déguisé de la vie est inestimable. Il vaut bien plus cher que tous les joyaux des rois.

Nous venons au monde sans apprendre que la seule personne que nous devons aimer plus que tout au monde, c’est nous-même, non pas d’un amour égoïste, mais d’un amour inconditionnel.

Nous nous sentons vides, tels des êtres inachevés, et naïvement nous croyons qu’il existe un étranger à nous-même qui sera en mesure de compléter notre être.

Lorsqu’on découvre que l’amour que nous portons en nous est un puits d’abondance sans fond, nous pouvons le distribuer autour de nous. Cette source est intarissable et elle est si puissante qu’elle soulève des montagnes.

J’ai également appris qu’on aimait une personne pour ce qu’elle est, et non pas pour ce qu’elle est en mesure de donner ou faire. Apprends à te donner cet amour que tu recherches tant à l’extérieur. C’est en t’aimant sincèrement d’un grand amour que tu accepteras de travailler sur toi-même, d’évoluer et de guérir ce qui s’est cassé en toi au fil des ans.

Et lorsque tu auras trouvé ce grand amour à l’intérieur de toi, tu comprendras que cette autre personne dont tu tomberas amoureux n’est pas là pour te compléter, mais pour t’accompagner dans le processus de vie. Elle n’est pas une nécessité dans ta vie, mais un plus.

Vous serez deux êtres totalement distincts, ayant des parcours de vie différents, qui souhaitent se réunir pour faire un bout de chemin ensemble. Dans cette union, il n’y aura pas de « toujours » ni de « à tout jamais », puisque la seule personne qui t’accompagnera toujours jusqu’à la fin, quoi qu’il arrive dans ta vie, c’est TOI.

**Auteur : Swan, Hypnopraticienne.**
Texte écrit le 22 janvier 2019.

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Libre&Spirituel

CARTOMANCIENNE, MEDIUM, COACH SPIRITUEL.

J’ai créé Libre&Spirituel.fr, le 8 mars 2018 après un long cheminement personnel et suite à un long voyage initiatique en Asie du Sud Est. J’étudie le développement personnel, les sciences comportementales, les neurosciences, la PNL, la psychologie et la spiritualité etc. depuis plus de 10 ans de manière intensive et quotidienne. Je suis également médium et cartomancienne, capacités que j’utilise pour mon travail d’accompagnement.

J’avais soif de comprendre l’être humain et ses modes de fonctionnement. Depuis, enfant je me posais sans cesse cette question : Pourquoi certaines personnes ayant grandi dans des conditions de vie similaires arrivent à être heureuses tandis que d’autres non?

J’ai passé ma vie à étudier l’être humain et son mode de fonctionnement car je souhaitais avant tout être heureuse et atteindre la paix et la sérénité intérieure. Je crois sincèrement que le bonheur est un état d’esprit et non pas une suite d’acquisitions matérielles et immatérielles. Et que selon notre vécu, nos épreuves et nos expériences de vie, on est conditionné à être heureux ou malheureux. On possède en nous des schémas défaillants qui nous sabotent au quotidien ou des schémas positifs conduisant à la réussite personnelle. Avant de croire au pouvoir des sciences du développement personnel, je me suis utilisé comme cobaye. D’un état d’esprit très négatif et défaitiste, je me suis transformé en une personne optimiste.