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TIP DECONNEXION !Explosion des ventes de puzzles en confinement... du "jamais vu" pour les professionnels du secteur ! S...
17/02/2021

TIP DECONNEXION !
Explosion des ventes de puzzles en confinement... du "jamais vu" pour les professionnels du secteur !
Se réserver des moments méditatifs ou de partage sans écrans. Travailler sa mémorisation, son esprit logique, son sens de l'effort. Etre actif plutôt que passif et ressentir un grand sentiment de satisfaction (et un petit shoot de dopamine) à chaque fois qu'on trouve la bonne pièce... Un bon cadeau à se faire à soi-même !
https://www.ladepeche.fr/2021/02/15/boom-du-puzzle-la-revanche-du-jeu-ennuyeux-9375008.php

On ne pensait pas être autant affecté -et aussi souvent- par la perte d'êtres fictifs... Et pourtant...Quelle série vous...
03/02/2021

On ne pensait pas être autant affecté -et aussi souvent- par la perte d'êtres fictifs... Et pourtant...
Quelle série vous a donné l’impression de perdre tout goût à la vie quand elle s’est terminée ? (avec une question comme ça, Netflix génère des centaines de milliers de posts !!!).



Comment vous sentez-vous quand vous venez de finir l’ultime épisode d’une série qui est définitivement la best série ever ? Au bout de votre vie ou profondément soulagé parce que vous pouvez enfin reprendre une vie normale ? Les deux probablement. Le sentiment de liberté retrouvée se mê...

Quoi de mieux pour déconnecter que 5 jours de yoga, de méditation, de respiration et d'échanges dans un lieu sublime ? I...
11/01/2021

Quoi de mieux pour déconnecter que 5 jours de yoga, de méditation, de respiration et d'échanges dans un lieu sublime ? Infos en MP.

Bonne année 2021 !Bonne année 2021 !Bonne année 2021 !Bonne année 2021 !Bonne année 2021 !(on conjure le sort)
07/01/2021

Bonne année 2021 !
Bonne année 2021 !
Bonne année 2021 !
Bonne année 2021 !
Bonne année 2021 !
(on conjure le sort)

Pour dénoncer l’hyperconnexion, l'omniprésence des écrans et l’appauvrissement des relations sociales qui en découle, l’...
15/12/2020

Pour dénoncer l’hyperconnexion, l'omniprésence des écrans et l’appauvrissement des relations sociales qui en découle, l’artiste Eric Pickersgill a conçu une série de photos dans lesquelles il a supprimé tous les appareils numériques, révélant ainsi notre absence aux autres.
Intitulée « Removed », cette série en noir et blanc met en scènes des situations du quotidien, des fragments de vie aux Etats-Unis mais aussi au Vietnam.
Attitudes figées, regards perdus… les scènes deviennent absurdes ou glaçantes et un seul sentiment émerge, partout, quel que soit le contexte : la solitude.
A découvrir.

Merci Jean-Baptiste Jumeau & Konbini arts
https://www.removed.social/united-states

Removed is a photographic series that explores the way personal devices play a role in society, relationships, and the body. Artist Eric Pickersgill physically removes screens from the hands of his subjects. The resulting images cause the viewer to question their own relationship to technology. Remo

Extrait de "The social dilemna", le docu qui éclaire sur l'envers du décor des Google, Facebook et autres grandes platef...
25/11/2020

Extrait de "The social dilemna", le docu qui éclaire sur l'envers du décor des Google, Facebook et autres grandes plateformes numériques, toujours disponible sur... Netflix !
(qui, pour mémoire, raccourcit constamment le temps d'attente entre 2 épisodes d'une série, histoire que notre cerveau n'ait vraiment pas le temps de se dire que non, ce n'est pas raisonnable).

Se sentir un peu moins seul ! :)
09/11/2020

Se sentir un peu moins seul ! :)

La chronique de Thomas VDB - (9 Novembre 2020) Thomas VDB a appris qu’il y avait des cas contact dans l’émission, il doit donc se mettre au télétravail... Re...

Chacun sa route, chacun son chemin... mais au final, il est possible de reprendre le contrôle sur ses messageries ! Et d...
22/07/2020

Chacun sa route, chacun son chemin... mais au final, il est possible de reprendre le contrôle sur ses messageries ! Et de s'en sentir BEAUCOUP mieux.

Une journée de printemps, premier barbecue entre amis, le sujet tourne autour d’une longue lamentation : les mails. Ou plutôt, l’extraordinaire quantité de mails dans nos boites à lettres respectives. L’avalanche, le trop-plein, le débordement. Et si seulement ce n’était que des newsle...

C'est la bataille à la maison ? Quelques pistes pour mieux vivre l'attachement de nos ados à leurs écrans (parce que de ...
17/06/2020

C'est la bataille à la maison ? Quelques pistes pour mieux vivre l'attachement de nos ados à leurs écrans (parce que de leur point de vue, ça va très bien, merci !).

On ne pas se le cacher, c’était déjà difficile avant le confinement, mais là... Pour les télétravailleurs confinés, les écrans ont gommé les limites entre les sphères personnelles et professionnelles. Pour les ados confinés, les écrans ont gommé toutes les frontières entre le travail...

10/06/2020

Prendre de la distance face à la non-réponse à nos messages... ou comment s’épargner beaucoup d’anxiété et de questionnements douloureux !

Le FOMO, on connait bien. C’est le fait de saisir notre téléphone en plein milieu d’un film qui pourtant nous passionne,...
26/05/2020

Le FOMO, on connait bien. C’est le fait de saisir notre téléphone en plein milieu d’un film qui pourtant nous passionne, juste pour voir son feed. Et de se sentir plus apaisé ensuite, même si on a raté 2 ou 3 scènes majeures du film et qu'on ne peut pas ignorer les sourcils froncés de l’autre occupant du canapé.

Ce n’est pas seulement l’irrésistible attraction du téléphone, c’est l’angoisse provoquée par la sensation de rater quelque chose d’essentiel.

« Fear Of Missing Out ». Wikipédia nous annonce tout de même que c’est une phobie, on sent assez bien le côté anxiogène de l’histoire…

L’information, c’est le pouvoir. Rater une info, c’est perdre ce pouvoir. C’est effriter son existence.

Évidemment, on sait bien qu’on ne pourra pas tout voir et donc tout maîtriser. Et pourtant… ce flux infini de contenu incite notre cerveau à y retourner encore et encore, justement parce qu’il en cherche la fin…

Du coup, forcément, un mouvement de rébellion est né, une contre-révolution. Le JOMO : Joy Of Missing Out. Ou la mise en lumière du pouvoir de dire NON. La jouissance, l’euphorie provoquées après avoir repris le contrôle. Le soulagement de ne plus être constamment dans l’anxiété « de ne pas savoir ». L’acceptation et la délectation de l’ignorance. Surtout quand on sait ce qu’on a réussi à ignorer (on ne peut pas dire que nos réseaux sociaux soient un havre de paix et de pensées profondes).

Bref, un acte de résistance merveilleux, sans aucun risque.

Le premier pas étant de ne pas bouger sa main vers le téléphone ou l’application quand l’envie dévorante s’en fait sentir. De se dire non, juste pour une fois. Et de prendre le temps de sentir combien cela fait du bien.

La lettre de rupture d'Alain Damasio, écrivain, adressée à son écran, où il explique comment les écrans nous privent, à ...
15/05/2020

La lettre de rupture d'Alain Damasio, écrivain, adressée à son écran, où il explique comment les écrans nous privent, à notre insu, d'une partie de notre existence, de notre âme, et de notre humanité.

Marseille, le 13 mai 2020

Mon cher écran,

Longtemps j’ai cru que tu étais l’écrin où vient se loger le monde — et que tu me l‘offrais. Qu’à travers ta fenêtre, je pouvais voyager plus loin, plus profond et plus vite qu’avec mes trains et mes pieds. Avec toi, j’ai découvert que la lumière pouvait être carrée, devenir surface, tableau qui flue, film qui file. Que je n’avais plus besoin de papier pour lire, d’encyclopédie pour savoir, plus besoin de sortir de ton cadre pour accéder à tout ce qui se pense, se joue, bouge, se dit, se crie — que j’avais juste besoin de toi, dix heures par jour, d’un drôle d’animal que tu appelles souris, d’un drôle de clavier qui ne produit aucune note… Puis même plus : juste besoin désormais de ta peau que j’effleure de ma pulpe, juste besoin de ta vitre aussi petite que ma main, aussi sensible qu’un visage, pour pouvoir t’emmener partout avec moi, tout partager ensemble désormais, en amoureux tactiles.

Tu as fixé dans tes yeux de pixel tout ce qui compte pour moi, tu as fait de ma mémoire un diaporama, de mes filles des souvenirs qui courent bord à bord dans cinquante centimètres carrés. Tu as fait de ma femme un sourire qui me rappelle qu’aucun sourire n’est aussi beau que lorsque du balcon, si je pars, elle me hèle. Tu as fait de mes rires des smileys, de mes lettres d’encre des mails sans caractère autre que la police qui les dresse, toujours impeccable. Tu as fait de ma voix un message capté par tes oreilles qui ne sont que deux trous, puis restitué par tes lèvres qui dessinent un rectangle. Et j’ai trouvé ça fascinant. Et j’ai trouvé ça triste.

De toi, cher écran, j’ai longtemps espéré que tu retiennes ma vie qui coule. Que tu la cristallises dans tes entrailles de silice, dans ton piège à lucioles. Que tu en recadres les flous, en orpailles les pépites, en filtres les mètres cubes de boue claire qui font nos quotidiens.

J’ai cru que tu me libérerais, bel écran, mais après vingt ans, je mesure que je regarde moins le dehors que tes dedans, moins le ciel que tes logiciels qui fabriquent le ciel et y laisse en filigrane mes traces, que tu n’appelles plus nuages, mais cloud.

Une vie passée à caresser une vitre. Une vie nassée dans ce cocon d’ondes dont chaque tremblement de surface fait croire à un mouvement du monde. Une vie cassée à graisser ta peau lisse, mon écran, à y chercher le toucher perdu d’une bouche, la chaleur courbe et rêche d’une écorce, le tramé d’un chèche.

Le soir, après trois heures passées en ta seule compagnie, parfois je t’éteins et je reste face à toi, assis sur ma chaise. Tu souffles, c’est bref, et tu ne dis plus rien. Je te regarde alors et je me vois, indécis, imprécis, à ta surface — presque sans contour, ombre parmi tes nombres. Alors il n’y a plus de fenêtres qui poppe, plus de magie blanche. Il y a juste la vérité de ton miroir noir, qui me montre en creux le fantôme qui hante tes surfaces. Tu me chuchotes que c’est toi qui est vivant et que je suis devenu ton reflet dérisoire : un mime, un gif, un mème, moins que ça…

Ce miroir noir que tu es, sans doute que je devrais le baptiser un minoir. Et te chanter. En la, tiens : la’minoir. Ou en do, allez : do’minoir.

Ce matin, j’ai décidé de te quitter.

Tu trouveras mon âme derrière ta vitre. Mon corps, lui, est déjà dehors…

— Alain Damasio

Alain Damasio est né à Lyon. Il est écrivain. On le connait surtout pour ses romans d'anticipation. Dans cette lettre de rupture adressée à son écran, il explique comment les écrans nous privent, à notre insu, d'une partie de notre existence, de notre âme, et de notre humanité.

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