08/12/2025
VALENCIA MI AMOR ❤️❤️
3h19 au marathon de Valence .
Un chrono qui me place dans les 5 % les plus rapides, tout âge confondu, parmi ceux qui terminent un marathon… eux-mêmes ne représentant que 1 à 2 % de la population.
J’ai 48 ans.
Et il y a un peu plus de quatre ans, tout a commencé un soir d’hiver, en enfilant une paire de baskets et en courant… 800 mètres. C’était tout. Mais c’était un début. Fin 2021 je cours mon premier marathon à Paris , en 5h31.
Depuis, rien n’a été improvisé.
J’ai retrouvé dans la course à pied les mêmes exigences que dans la chirurgie :
• rigueur,
• discipline,
• organisation,
• préparation millimétrique,
• et surtout, la capacité à ne rien laisser au hasard.
Le marathon ne pardonne pas l’approximation.
L’allure doit être tenue avec une précision quasi chirurgicale, du premier au dernier kilomètre.
Aujourd’hui , à Valence, j’ai vu le résultat de cette méthode.
Pas un exploit. Pas un “talent”.
Simplement la preuve que la constance, appliquée jour après jour, finit par déplacer les lignes.
Du canapé aux 800 mètres.
Des 800 mètres aux 42,195 kilomètres.
Et demain, encore un pas de plus.