Un café, un cerveau

Un café, un cerveau Un autre regard sur la santé mentale. Des rencontres inspirantes pour démocratiser la psychologie

J’ai vu passer la nouvelle la semaine dernière :le  s’associe à  pour parler de santé mentale aux enfants.Deux livrets i...
16/10/2025

J’ai vu passer la nouvelle la semaine dernière :
le s’associe à pour parler de santé mentale aux enfants.
Deux livrets inspirés de Vice-Versa, diffusés dans les écoles, les hôpitaux, les structures périscolaires.

Sur le papier, c’est joli.
Dans la réalité, c’est un peu déroutant. (Pour ne pas dire flippant)

Parce qu’on ne parle pas ici d’un simple outil ludique,
mais d’un glissement :
celui qui fait passer un géant du divertissement
du côté de la prévention en santé publique.

On pourrait s’en réjouir. Ou s’interroger.

👉 Sur la confusion des rôles :
depuis quand la sensibilisation devient-elle un storytelling de marque ?
On a déjà vu ce que ça donne : Coca-Cola et “l’activité physique”, McDo et “l’équilibre alimentaire”,
et maintenant Disney et “la santé mentale”.

👉 Sur l’effacement des acteurs de terrain :
des associations travaillent depuis des années,
avec des enseignants, des familles, des chercheurs.
Mais au lieu de les soutenir, on leur préfère un logo qui fait consensus.

👉 Et sur le fond : les livrets parlent d’émotions à apprivoiser, pas d’isolement, de pauvreté, de harcèlement, de discrimination, ni des causes sociales de mal-être.
Aucune source scientifique.
Juste des couleurs et des slogans.

Le message est doux, les visuels sont beaux,
mais le sens se vide.

À force de vouloir “dédramatiser”, on finit par dépolitiser.
Considérer la prévention uniquement comme du contenu à colorier, c’est passer complètement à côté du sujet et c’est flippant.

✍🏻 J’ouvre un petit journal de ma traversée de 21 jours : santé mentale , douleurs chroniques et cure thermale. À retrou...
15/07/2025

✍🏻 J’ouvre un petit journal de ma traversée de 21 jours : santé mentale , douleurs chroniques et cure thermale. À retrouver sur Instagram

👉🏻 https://www.instagram.com/uncafe_uncerveau

☀️ L’été a ce truc particulier : une liberté de mouvements, une légèreté dans l’air — et dans les vêtements. On respire ...
08/07/2025

☀️ L’été a ce truc particulier : une liberté de mouvements, une légèreté dans l’air — et dans les vêtements. On respire un peu plus large. Mais c’est aussi la saison où le tissu colle à la peau, où la chaleur souligne les contours, où tout semble prévu pour ceux qui peuvent s’y glisser sans friction.

Moi, j’ai toujours aimé l’idée des sandales. Non pour ce qu’elles montrent, mais pour ce qu’elles autorisent : sentir le vent sur les pieds, sans interface presque nu. Une simplicité du geste qui, chez moi, se heurte à une consigne du corps : une jambe plus courte, une posture désaxée, et la nécessité de porter une semelle. Une correction qui ne se négocie pas.

Alors je ferme mes chaussures. Même quand il fait 35 degrés. Même quand tout appelle l’inverse. Même quand les pieds des autres s’ouvrent à l’air. Et ce détail infime suffit à faire que mon été ne se glisse pas tout à fait dans les mêmes formes que celui des autres.

Parce que c’est aussi ça, habiter un corps qui a ses appuis particuliers : une série d’arbitrages concrets, silencieux, invisibles. Des gestes qu’on choisit sans les choisir, des équilibres qu’il faut inventer chaque matin.

Pas une envie spectaculaire. Juste un mouvement en creux. Mais il y a cette semelle qui ne rentre nulle part. Ce n’est pas grave. Mais ça s’installe dans le quotidien : le moment où il faut forcer un pied à rentrer, le cou tordu, le souffle suspendu, chercher le bon appui, ajuster le laçage au millimètre.
Passer un quart d’heure à faire un lacet, en équilibre précaire, ça remet dans ses baskets d’humilité le matin.

Je ne le vis pas comme une injustice. Plutôt comme une note décalée dans une partition que je connais pourtant bien. Un contretemps dans le rythme général. Une autre manière d’être là, en sandales imaginaires. Le vent sur mes pieds, je l’invente. Je l’imagine. Et peut-être que ça aussi, c’est une façon de marcher.



“Elle est complètement f***e, elle !”(J’aurais pu dire il/iel comme elle)J’ai l’impression de l’entendre tout le temps e...
01/06/2025

“Elle est complètement f***e, elle !”
(J’aurais pu dire il/iel comme elle)
J’ai l’impression de l’entendre tout le temps en ce moment. Pas méchamment. Juste une phrase lancée en l’air. Comme on en dit mille.
Et pourtant, je ne peux plus l’entendre comme avant.

Depuis que je suis en formation (en psychothérapie, pas en prestidigitation 🔮), ce mot me gratte.
“Folle”. “Fou”. Ça sort encore et encore.
Pour désigner la copine intense, l’artiste trop sensible, l’ex envahissant·e, ou parfois juste… quelqu’un qui pleure.
Par automatisme, par habitude, parce que c’est dans le langage.

Mais ce qui est dans le langage dit aussi ce qui est dans nos têtes. Et souvent, ce qu’on ne veut pas voir.

Parce que oui, la folie existe.
Pas celle des films d’horreur ou des punchlines de comptoir.
Pas celle qu’on balance pour rire ou pour disqualifier.
Mais celle, bien réelle, qui fait peur parce qu’elle déborde. Qui déstabilise. Qui fait vaciller les repères.
Et qui mérite mieux que d’être réduite à une insulte déguisée.

Alors je me demande : c’est quoi, ce besoin qu’on a de nommer “f***e” ce qui dépasse ?
Pourquoi est-ce qu’on ne dit pas :
• Elle est hypersensible, traversée, vivante, intense ?
• Il est en crise, ou juste paumé ?
• Iel vit peut-être un trouble, une détresse, ou une rupture de sens ?
Ou plus simplement : “je ne comprends pas ce qu’iel traverse”.

On pourrait dire tout ça. Mais ça demande un pas de côté. Une forme de responsabilité.
Et aussi… de se demander ce que ce mot déclenche chez soi.

Parce que derrière ce “f***e”, souvent, il y a la peur de notre propre fragilité.
Et peut-être aussi de notre propre capacité à basculer.
Car la santé mentale, ce n’est pas une ligne droite. C’est un équilibre mouvant.
Et personne n’est à l’abri de perdre pied un jour.

Alors, on fait quoi ?
On invente d’autres mots ?
On apprend à dire autrement ?
Ou au moins, à se taire quand on ne sait pas ?

Moi, je ne suis pas parfaite. Ce mot m’échappe encore parfois.
Mais j’ai appris à l’entendre autrement.
Et c’est déjà un début. Et vous ?

***e

🚲 Cette semaine, je me suis fait insulter deux fois dans la rue.Par des cyclistes.Je marchais, tranquillement, en tant q...
13/05/2025

🚲 Cette semaine, je me suis fait insulter deux fois dans la rue.
Par des cyclistes.
Je marchais, tranquillement, en tant que piétonne. Rien d’extraordinaire.
Et pourtant, deux fois, à deux jours d’intervalle, des personnes à vélo m’ont hurlé dessus.
Pas juste un mot, pas quelques noms d’oiseaux jetés à la va-vite.
Une véritable volée d’insultes. De la haine.

🚶‍♀️ Je ne marchais pas sur la piste cyclable. Je ne les empêchais pas de passer.
Ils roulaient vite, moi j’étais à pied.
Il n’y avait rien à me reprocher.
Rien.
Et c’est peut-être ça, le plus déroutant.

😶 Ce n’est même pas la peur.
C’est une sorte de sidération.
Une incompréhension qui colle à la peau.
Quand la violence surgit sans raison, sans logique.
Juste parce qu’on était là.
Juste parce que quelqu’un a décidé qu’on méritait d’être broyé de mots.

🧭 J’ai continué mon trajet.
Je suis allée à mes rendez-vous.
Ces trajets que je fais habituellement, en observant la vie, en écoutant les conversations.
Mais je n’étais plus tout à fait présente.
Mon corps avançait, et mon esprit rejouait la scène en boucle.
Essayer de comprendre. Chercher l’erreur. Chercher une raison.
Et ne rien trouver.

✍️ Alors j’écris.
Parce que ces moments-là, on les avale trop vite.
On les étouffe sous des couches de « c’est rien ».
Mais non, ce n’est pas rien.
C’était une agression. Une fracture soudaine dans le fil de ma journée.
Je ne sais pas si nommer, c’est résister,
mais c’est déjà refuser que ça devienne banal.

🚫 Je n’ai pas envie que ces épisodes conditionnent mon rapport à l’espace public.
Et pourtant, ils laissent une trace.
Un recul millimétré dans le corps.
Un demi-souffle en moins au moment de traverser.
Un infime mais tenace soupçon que peut-être, ici, je ne suis pas tout à fait à l’abri.

Ces « micro-agressions » sont autant de signes, ordinaires et invisibles,
d’un monde qui tolère la violence contre ce qui ne va pas assez vite,
ce qui dérange l’élan des autres,
ce qui simplement… existe.



« 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗽𝗹𝗲𝘂𝗿𝗼𝘁𝗲? »☕️ Dans un café de quartier, j’entends un jeune couple philosopher sur l’état du monde, les syst...
08/05/2025

« 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗽𝗹𝗲𝘂𝗿𝗼𝘁𝗲? »

☕️ Dans un café de quartier, j’entends un jeune couple philosopher sur l’état du monde, les systèmes industriels, l’économie globale. Vocabulaire soutenu, regard avisé, points de vue précis… leur échange m’intrigue. Je les imagine citadins, sortant sûrement de grandes écoles.

📝 — Vous avez choisi ? le serveur les interrompt.
Le jeune homme hésite.
— J’ai une question. C’est quoi “pleurote” ?
— Une pleurote ? Un champignon, monsieur. Comestible.
Le jeune homme hoche la tête.
— Ah… je ne connais pas.

👀 Et tout d’un coup, la scène change. Je lève la tête, interloquée.

🪞Cette table, ce couple, ce café deviennent un miroir flou de notre époque.

🧠 On sait parler du monde. On le commente, on le décortique. On connaît les grandes idées, les bons mots, les bons gestes même.
Mais on est coupé de ce qui nous entoure.
On ne sait plus ce qu’on sent, ce qu’on goûte. Ce qui est palpable.

🚶‍♂️ Comme si notre corps n’était plus qu’un transporteur de tête.
Un support logistique pour tout ce qui se pense.

🌍 On peut philosopher sur l’effondrement… et ne pas reconnaître un champignon sur l’étal.
Militer pour le vivant… sans jamais mettre les mains dans la terre.
Parler d’amour… sans savoir toucher.
Ni l’autre, ni soi.

⚡️ Il y a une cassure.
Un écart entre ce qu’on comprend et ce qu’on vit.
Entre la tête et le reste.
Entre l’idée de nature… et sa sensation.

🍄 C’est peut-être ça, une pleurote.
Un rappel discret que la vie ne se pense pas toujours.
Elle se goûte. Se respire. Se touche.

✨ Et que parfois, une simple question, posée à un serveur dans un bistrot, peut fissurer tout un système.
Et faire naître l’envie de revenir dans son propre corps.
Par les mains, la bouche, les tripes.
Se souvenir qu’on est vivant. Et que ça commence là.

🩶 J’ai une tache.J’ai une tache sur mon jean, et pas n’importe laquelle : une tache noire, indélébile, sur un jean blanc...
03/05/2025

🩶 J’ai une tache.
J’ai une tache sur mon jean, et pas n’importe laquelle : une tache noire, indélébile, sur un jean blanc.
J’ai une tache noire sur mon jean blanc, et les gens ne peuvent pas s’empêcher de me le dire.
« T’as vu ? T’as une tache. »
Je sais. C’est ma tâche. On vit ensemble.

🧥 Il y a quelque temps, j’aurais jeté le jean. Ou je ne serais plus sortie avec. Ou j’aurais marché avec le manteau noué autour de la taille, façon camouflage discret.
Mais aujourd’hui, j’ai décidé que je sortirais avec.
Je sors avec ma tache.
Comme si j’avais arrêté de m’excuser d’être froissée.

👀 C’est fou comme une tache attire l’attention.
Comme si elle trahissait quelque chose qu’on n’avait pas envie de voir. Une faille, un débordement, un écart.
Un truc pas fini, pas nickel, pas sous contrôle.
Une petite entorse à la normalité.

🪡 Et si on arrêtait d’effacer ?
Les taches. Les doutes. Les trucs qui dépassent.
Et si on arrêtait de se recoudre proprement à chaque déchirure ?

🫟 Cette tache, je ne sais pas ce qu’elle raconte.
Peut-être rien. Peut-être juste : « Je suis là, et alors ? »
C’est pas une revendication. Pas une blessure. Pas une performance.
❓C’est un point d’interrogation portable.

Je pourrais inventer une histoire pour la rendre plus acceptable.
Dire que c’est de l’encre, une œuvre abstraite. Ou un acte militant.
Mais non. C’est juste une tache.
Elle est arrivée, elle est restée, elle ne s’explique pas.

🫶
Alors je la garde.
Et je la regarde.
Elle me rappelle que je ne suis pas obligée d’être lisse. Que je peux sortir un jour sans être au top.
Que je peux être marquée, étrange, imprévisible — et quand même continuer à marcher, à respirer, interemagir et à commander un café.

🌀 Je ne milite pas pour les taches.
Mais je commence à leur trouver un certain charme.

☁️ Je me dis que c’est aussi une façon d’habiter le monde :
Avec des accrocs. Des mystères. Des trucs qui collent pas.
Et peut-être que c’est là, dans ces zones un peu sales, un peu floues, qu’on respire enfin.

☕️ Alors j’ai gardé le jean.
J’ai commandé un café.
Noir, sans sucre.
Avec ma tache.

Et, vous en avez une tache ?

𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 à 𝗶𝗱é𝗲𝘀 / 𝗯𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲-à-𝗼𝗿𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻𝘃𝗲𝗻𝘂 ! 👄 👂🏻 Je cherche un nouveau lieu pour accueillir le Café Psycho à la rentrée ...
13/04/2025

𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 à 𝗶𝗱é𝗲𝘀 / 𝗯𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲-à-𝗼𝗿𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻𝘃𝗲𝗻𝘂 ! 👄 👂🏻

Je cherche un nouveau lieu pour accueillir le Café Psycho à la rentrée prochaine.

🌷L’idée ? Une soirée par mois (et + si affinités), dans un endroit chaleureux, vivant, propice aux échanges – pas une salle de réunion, mais plutôt un café associatif, culturel, ou un lieu hybride où il fait bon se poser pour parler santé mentale de manière décontractée. ☕️ 🍪

🫱🏻‍🫲🏽 Capacité : 30 à 40 personnes assises
Zone recherchée : 10e, 11e, 18e, 20e assez central et Accessible facilement en transports
Jour / horaire à déterminer avec le lieu
Hôtes chaleureux et sensible au sujet ! 🙏🏻

👂🏻Si vous avez des pistes, contacts, envies de collaboration, je suis toute ouïe !
Merci d’avance pour vos partages.

🔍 J’avais un texte qui dormait dans mes tablettes depuis quelques semaines sur le prix du banal. Je n’arrivais pas à le ...
28/03/2025

🔍 J’avais un texte qui dormait dans mes tablettes depuis quelques semaines sur le prix du banal. Je n’arrivais pas à le terminer. Et puis j’ai entendu Nicolas Demorand réclamer le “droit à la banalité” en parlant de sa bipolarité tout juste révélée.

Cette revendication m’a fait réfléchir à notre rapport collectif à la différence. Face à la maladie ou au handicap, nous oscillons souvent entre deux extrêmes : l’invisibilisation complète ou la surexposition héroïsante. Rarement la banalité.

🎭 D’un côté, on détourne le regard, mal à l’aise. De l’autre, on survalorise, on transforme chaque geste du quotidien en prouesse.
« Tu es tellement courageux·se » devient le refrain automatique adressé à celles et ceux qui, simplement, vivent avec leurs particularités.

Ce que cela trahit, c’est peut-être notre malaise face à la vulnérabilité. Comme si reconnaître la banalité de l’autre dans sa différence nous ramenait à la nôtre.

☕ La banalité, ce n’est pas l’indifférence. C’est l’espace où l’on peut exister sans être réduit à ce qui nous distingue. Où l’on n’est ni invisible, ni mis sur un piédestal. Juste là.

🧠 Phénoménologiquement, c’est être-au-monde sans que notre corps ou notre esprit ne soient constamment ramenés à l’exception. Sociologiquement, c’est accéder à un quotidien où la différence fait partie du paysage, sans être toute la carte.

💥 Il y a une forme de violence douce dans les regards, même bienveillants, qui nous extraient sans cesse de l’ordinaire. Ce rappel constant à notre singularité empêche parfois de juste… être.

💭 Revendiquer le droit à la banalité, c’est demander de pouvoir être pleinement humain·e. Ni héros, ni victime. Complexe, simple. Présent·e.

Et si notre regard sur l’autre devenait à la fois attentif et détendu ?
Conscient sans être pesant ? Présent sans être intrusif ?

☕️🧠 Plus d'un an, douze Cafés Psycho, des centaines de réflexions partagées et autant de rencontres...! Après cette bell...
21/03/2025

☕️🧠 Plus d'un an, douze Cafés Psycho, des centaines de réflexions partagées et autant de rencontres...! Après cette belle année de partages, je ressens le besoin de faire une pause – non pas pour m'éloigner, mais pour mieux revenir.
💭 Depuis la création d' , j'ai vu naître ces espaces où les conversations profondes émergent , où les pensées trouvent un lieu d'expression sans jugement. Ce projet est une aventure passionnante, et c'est justement pour préserver son essence que je prends aujourd'hui un temps de pause.
🌱 Les imprévus des derniers mois, avec les annulations en mars et avril, m'offrent un moment de recul inattendu. Ce temps suspendu me permet de réaliser que pour continuer à vous proposer des échanges de qualité, il me faut reprendre mon souffle. Une jachère créative, en quelque sorte !
🫂 Je tiens à exprimer ma profonde gratitude envers vous tous qui avez fait vivre ces espaces d'échange. Aux intervenants qui ont partagé leur expertise avec générosité. Aux participants qui, par leurs questions, leurs doutes, leurs témoignages, ont transformé chaque rencontre en une conversation vivante. C'est votre présence qui a donné vie à ce projet.
📝 Concrètement, les rencontres prévues en mai et juin sont annulées, et toutes les places réservées seront remboursées. Cette pause n'est pas une fin, mais une parenthèse réflexive pour revenir avec un Café Psycho peut-être un peu différent, mais toujours aussi chaleureux.
🔭 Des idées foisonnent déjà, des envies , de nouvelles thématiques à explorer ensemble. Cette pause est aussi un temps d'écoute – vous pouvez me partager vos impressions, reflexions, envies de contribuer à : bonjour@uncafeuncerveau.fr.
📱 Rassurez-vous, je continuerai à alimenter ce compte et les newsletters avec mes partages habituels, recommandations culturelles et réflexions diverses. Ces espaces resteront vivants, comme autant de fils tendus entre nous.

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