Caroline Maurin Psychologue

Caroline Maurin Psychologue Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Caroline Maurin Psychologue, Psychologue, 256 Avenue Éole, Perpignan.

09/01/2022

Pour 2022, je vous souhaite :
Des t'as d'beaux yeux tu sais, des yeux revolver et un regard qui tue, des pour un flirt avec toi je ferais n'importe quoi, des mots tendres un peu artificiels, quelques fois, des j'irai où tu iras, des je vais t'aimer, des m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi et regarder les gens tant qu'y en a, des dreams are my reality, des vas-y, fonce sur un malentendu ça peut marcher, des emmenez-moi au bout de la terre, des périls jeunes, des auberges espagnoles, des fabuleux destins, des premiers jours du reste de ta vie, des partenaires particuliers, des je t'aime moi non plus, des on s'est connus, on s'est reconnus, on s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue, des non je ne regrette rien, des résiste prouve que tu existes, des love me please love me, des amitiés for me formidables, des laisse tomber les filles, des copains d'abord, des diners de cons, des grandes vadrouilles.
Bref, la VIE et ses tumultes quoi !!!

Et oui c’est triste d’en arriver là mais s’il le faut ! Boycott !!!!
29/09/2021

Et oui c’est triste d’en arriver là mais s’il le faut ! Boycott !!!!

Une catastrophe annoncée !… ça n’est bon ni pour les patients ni pour notre profession.
29/09/2021

Une catastrophe annoncée !… ça n’est bon ni pour les patients ni pour notre profession.

Ce remboursement par l'Assurance maladie interviendra "dans le cadre d'un forfait de consultations qui pourra être renouvelé si la prescription médicale le propose", a précisé le président lors des Assises de la santé mentale. 

Alors ??? Que pensez-vous de cette série ? Elle reflète la réalité de notre profession selon vous ? Je suis curieuse, do...
17/05/2021

Alors ??? Que pensez-vous de cette série ? Elle reflète la réalité de notre profession selon vous ? Je suis curieuse, donnez moi votre avis

Au lendemain des attentats du 13 novembre, un psychanalyste reçoit cinq patients. À travers leurs séances, la série sonde les failles d’une société en état de choc. Portée par des interprètes au sommet, “En thérapie”, adaptation par Éric Toledano et Olivier Nakache de la série isra...

Enfin une bonne nouvelle et une sacrée avancée pour les patients
03/05/2021

Enfin une bonne nouvelle et une sacrée avancée pour les patients

Dans les prochaines semaines, les consultations chez le psychologue pourront être prises en charge par les assurances et les mutuelles. Si les professionnels saluent ce nouveau dispositif, ils déplorent la nécessité d’une prescription.

Un de mes livres de chevet... que je relie à l’heure actuelle tant le contexte est perturbant voire traumatique pour cer...
07/04/2021

Un de mes livres de chevet... que je relie à l’heure actuelle tant le contexte est perturbant voire traumatique pour certain

Chapitre 1. Le psychotraumatisme
Gérard Lopez, Anissa Bouasker
Dans Traiter les psychotraumatismes (2016), pages 2 à 28

Ce chapitre est destiné à aider le lecteur qui voudrait rafraîchir ses connaissances sur le psychotraumatisme avant d’entreprendre la lecture d’un ouvrage consacré à son traitement. De nombreux ouvrages français et anglo-saxons pourront avantageusement l’aider à les approfondir (Jehel, Lopez et al., 2006 ; Kédia, Séguin-Sabouraud et al., 2013 ; Van der Kolk et al., 1996). Le DSM-5 a modifié les items de ce qu’il convient désormais d’appeler « trouble de stress post-traumatique » (TSPT) dans la traduction française.
Pour notre part, nous traiterons succinctement la clinique et les conséquences des traumatismes uniques (type 1) avant davantage insister sur les traumatismes répétés (type 2) qui sont beaucoup plus fréquents bien que souvent négligés voire ignorés au profit du TSPT dont l’importance nous paraît exagérée.
La psychopathologie infantile est traitée dans le chapitre consacré à la thérapie des enfants psychotraumatisés, victimes de maltraitances pour l’essentiel.
Nous étudierons successivement les réactions immédiates à l’impact traumatique : la dissociation et la détresse péritraumatique, puis l’état de stress aigu dont la durée n’excède pas un mois.
Classiquement, un événement traumatique confronte classiquement le sujet à ce qui est lui impossible d’élaborer, sa propre mort.Monsieur Albert présente une réaction typique appelée dissociation péritraumatique qui lui permet, en le mettant dans un état second, auto hypnoïde, de s’abstraire de la situation…

Quelle que soit la méthode thérapeutique utilisée, le traitement d’un psychotraumatisé doit nécessairement se dérouler un cadre authentiquement thérapeutique, ce n’est pas toujours le cas. Mais avant de commencer un traitement quelconque, une évaluation « victimologique » des besoins personnels, sociaux et judiciaires du patient est nécessaire pour mettre en place des mesures d’accompagnement et de protection qui vont concourir à la reconstruction globale du patient. Le traitement ne peut par conséquent s’envisager qu’en travaillant avec un réseau de partenaires dans les domaines que les thérapeutes maîtrisent plus ou moins bien, parce qu’ils ne sont pas de leur compétence. Mais tous les intervenants, qu’ils soient professionnels de santé, enquêteurs, intervenants sociaux, juristes, doivent s’efforcer de mettre en place un cadre relationnel qui ne répète aucun aspect du scénario traumatique, seul capable de créer un climat de confiance, ce qui n’est pas toujours facile, surtout s’il s’agit d’un psychotraumatisme de type 2. Il s’agit de s’efforcer à ne pas tomber dans le piège de la répétition littérale qui a été décrit dans le chapitre précédent.
Nous aborderons successivement : le cadre thérapeutique, l’évaluation des besoins et le type de relation qui est indispensable pour aider un psychotraumatisé à se reconstruire.
L’évaluation des dynamiques sociales et familiales et le travail en réseau sont particulièrement importants en pédopsychiatrie. Ils seront traités dans le chapitre 7 concernant la thérapie des enfants psychotraumatisés…

Nous aborderons les fondements théoriques qui permettent de traiter une personnalité traumatique complexe par une approche psychodynamique avant de l’illustrer par plusieurs vignettes cliniques et de poser les indications de ces thérapies.Ces recommandations sont également applicables au trouble de stress post-traumatique (TSPT), de meilleur pronostic, parce qu’un psychotraumatisme de type 1 ne s’inscrit pas un passé traumatique qui complique la psychothérapie.
Les thérapies psychodynamiques se réfèrent peu ou prou à la psychanalyse freudienne qui, après le renoncement de Freud à sa « neurotica », va davantage s’intéresser à la réalité psychique qu’à la réalité, notamment traumatique. La théorisation lacanienne en revanche, retient un concept essentiel dans son élaboration théorique : la « réalité crue », laquelle n’est pas symbolisable. C’est pour éviter ces confusions que nous parlons dans cet ouvrage d’événement(s) traumatique(s) et non de trauma ou traumatisme. Car la question du trauma est un point d’achoppement important qui perdure dans les discussions passionnées sur l’étiologie possiblement traumatique de certains troubles de la personnalité.
La plupart des psychanalystes qui ont tenté de théoriser sur les conséquences et la prise en charge du psychotraumatisme ont été rejetés par leurs pairs : Sandor Ferenczi (1982), Marie Balmary (1979), Jeffrey Masson (1984) par exemple.
À cet égard, Marie Balmary écrit :
« […] là où la théorie n’est pas utilisée comme arme de terrorisme intellectuel, les analystes ont du mal à éclaircir et à élaborer ensemble les modifications de leur écoute où ils les vivent plus ou moins comme des insuffisances ou des transgressions de leur part […] ils deviennent ces travailleurs acharnés qui hantent les sociétés psychanalytiques, cherchant sans cesse auprès d’un maître ou d’un groupe quelques choses qu’ils n’auraient pas compris, ou bien […] ils s’éloignent […] »…

Avant de commencer une thérapie dans le cadre du TSPT, on procédera à une évaluation des conséquences personnelles, sociales et éventuellement judiciaires des faits traumatiques sur la personne pour l’orienter au mieux dans le réseau d’accompagnement (voir chap. 2) et protéger le cadre thérapeutique.
Les problèmes de comorbidité ne seront pas traités dans ce chapitre.
Les techniques cognitivo-comportementales (TCC), développées dans la gestion de l’angoisse ou pour traiter les troubles phobiques, obsessionnels, ont montré leur efficacité pour traiter les troubles anxiodépressifs. Devant la souffrance des vétérans du Vietnam, leurs troubles d’allure phobique ou obsessionnel et les éléments dépressifs qu’ils présentaient, les thérapeutes ont mis en œuvre les techniques TTC dans le but de diminuer l’intensité de leurs symptômes. En même temps qu’ils étudiaient leur efficacité dans ce trouble, ils ont posé les bases d’une théorisation sur la survenue et le maintien de ce trouble.
Les modèles comportementaux reposent sur les théories de l’apprentissage (apprentissage des réponses de peur) et le conditionnement opérant (apprentissage du comportement de fuite). Les modèles cognitifs qui prennent leur origine à la fois dans la psychanalyse et dans la théorie de l’apprentissage, impliquent des modifications des schémas internes interagissant avec les affects et les comportements. Ces approches se sont encore élargies par l’observation de variables médiatrices. La recherche sur le TSPT a suivi l’évolution de la recherche sur les troubles anxieux et débouche sur des propositions thérapeutiques évaluables et reproductibles…

Reconnue comme thérapie complémentaire par l’Académie Nationale de Médecine en 2013 (Bontoux et al., 2013), l’hypnose est une pratique très ancienne, ayant connu de nombreux remaniements conceptuels et idéologiques tout au long de son histoire. Avant d’être abandonnée, son efficacité a été remarquée dans le contexte traumatique lors des deux Guerres Mondiales. L’hypnose a été réintroduite en France dans les années 1980 avec notamment Léon Chertok. Elle est de nouveau appliquée dans la prise en charge des traumatismes, toutefois sous différentes formes. L’hypnose L’hypnose peut être définie comme « un état de conscience (consciousness) qui induit une absorption de l’attention et une diminution de la conscience (awareness) caractérisé par une plus grande capacité à répondre aux suggestions » (American Psychological Association, 2015). Une modification du vécu d’une situation ou d’un éprouvé est ainsi possible.
Avant d’aborder l’efficacité de l’hypnose dans la thérapie du psychotraumatisme, il convient au préalable d’exposer brièvement le concept de dissociation qui est un phénomène commun à l’état traumatique et à l’état hypnotique (Voir Chap. 1). Puis nous présenterons les apports spécifiques de l’hypnose dans les traumatismes psychiques avant de discuter les controverses qu’elle soulève notamment au sujet du risque d’émergence de faux souvenirs.
Le terme de « dissociation » dénote des degrés variés d’un même processus psychologique qui diffèrent sur des aspects tels que la contrôlabilité et l’interférence avec le fonctionnement normal (Brown, 2006 ; Debecke…

La qualité des prises en charge thérapeutiques des personnes souffrant de troubles psychotraumatiques, dont le Trouble Stress Post-Traumatique (TSPT) est la forme la plus connue, mais pas la plus fréquente en psychotraumatologie, dépend de plusieurs facteurs. Quatre conditions initiales doivent être réunies pour assurer ces soins : 1- les traitements doivent être assurés par des professionnels de la santé qualifiés et formés en psychotraumatologie ; 2- les traitements proposés doivent être validés et recommandés pour le traitement du trauma ; 3- le cadre dans lequel sont assurés les soins doivent satisfaire à des aménagements qui répondent aux spécificités du trauma ; 4-travailler en réseau (voir chap. 2)
Parmi les thérapies recommandées pour le traitement du trauma, la thérapie EMDR est une des thérapies validées et recommandées par les guides des bonnes pratiques (Foa, Keane et Friedman, 2000), les instances, organisations et autres associations françaises (Haute Autorité de Santé 2007 ; Inserm 2004, Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé, 2003), européennes (National Institute for Health and Care Excellence, 2005 ; Dutch National Steering Committee Guidelines Mental Health Care, 2003), américaines (Association Américaine de Psychiatrie 2004 ; Department of Veterans Affairs and Department of Defense 2010), et internationales de santé (Organisation Mondiale de la Santé, 2013).
L’EMDR a une force de recommandation de grade A/B (établie par l’ANAES) pour le traitement du TSPT (Séguin-Sabouraud, 2003), après la thérapie cognitive comportementale qui reste la seule recommandation de force A (Chap…

La pratique clinique avec des enfants victimes permet de nettement différencier l’enfant victime sans antécédents traumatiques précoces et l’enfant victime soumis à des situations traumatiques chroniques et récurrentes. Selon la catégorisation de Terr (1991) dans le premier cas, l’enfant subit un événement traumatique de type I qui se caractérise par la confrontation à une expérience unique et dont la durée est limitée dans le temps. Cette catégorie recouvre les catastrophes naturelles, les accidents, les viols ou les agressions ponctuelles, qui confrontent les victimes à leur propre mort ou à celle des autres. Le DSM-5 introduit des critères pour définir le trouble de Stress Post-Traumatique (TSPT) pour les enfants âgés de 6 ans et moins, ce qui constitue une étape capitale dans la reconnaissance du trouble chez l’enfant.
La nature et l’origine des événements jouent un rôle important dans le vécu subjectif des victimes. Ainsi, les événements traumatiques infligés par l’agent humain sont plus dévastateurs et lourds de conséquences que les accidents ou les catastrophes.
L’événement traumatique de type II correspond aux situations traumatiques chroniques et récurrentes. Il s’agit de situations de maltraitance prolongées et d’intensité variable, qui entravent profondément et durablement le développement psychoaffectif de l’enfant. Dans ce cas, l’étendue et la gravité des conséquences sont d’autant plus importantes que la maltraitance a commencé précocement.
La clinique du trauma de type II représente le sujet central de ce chapitre qui portera une attention particulière aux violences commises au sein du couple…

Le travail avec les familles au sein desquelles surgit la violence montre que son apparition est régulièrement l’issue dramatique d’une crise non résolue au sein du couple parental, une crise qui s’enracine dans l’histoire de chacun des parents. Reconsidérer, reconstituer l’histoire de cette crise s’avère être un facteur de protection important pour l’enfant victime qui sinon risque de s’attribuer durablement la responsabilité de la violence subie et donc avoir une image altérée de lui-même.
Pour autant, concernant plus précisément les violences sexuelles, si la prise en compte du contexte relationnel dans lequel elles ont surgi nous paraît essentielle, il est cependant fondamental d’avoir à l’esprit certains aspects spécifiques régulièrement présents dans ces familles ainsi que les conséquences du psychotraumatisme pour la victime. Le format habituel préconisé par les systémiciens et consistant à réunir l’ensemble du groupe familial, sera pour ces situations le plus souvent contre-indiqué dès lors que l’auteur des violences est un parent ou un membre de la fratrie d’une tranche d’âge différente de celle de la victime, par exemple un adolescent de 17 ans avec un frère ou une sœur de 6 ou 7 ans. La réalisation d’entretiens familiaux, lorsqu’ils s’avèrent utiles, signera plus souvent l’issue d’un processus thérapeutique plutôt que sa mise en place.
Plusieurs aspects doivent donc être pris en compte afin de déterminer le format des séances parmi lesquels le cycle de vie de la victime, son âge au moment des faits, la personnalité de l’auteur, la durée des violences… Selon les cas, des entretiens réunissant le parent supposé protecteur avec le ou les enfants, des entretiens individuels ou dyadiques, des entretiens de fratrie pourront être envisagés…

Si l’exposition à un événement potentiellement traumatogène est fréquente au cours d’une vie, seule une faible proportion de la population exposée développera un Trouble de Stress Post-Traumatique (TSPT). En effet, l’apparition de symptômes de stress péritraumatiques (détresse et dissociation péritraumatiques) transitoires est fréquente, mais ils sont le plus souvent spontanément résolutifs en quelques heures ou quelques jours, et l’évolution vers un TSPT est rare (10 à 20 % de la population exposée, variable selon le sexe, le type de traumatisme, les antécédents psychiatriques et biographiques personnels…)
Le TSPT constitué « complet » associe des manifestations neuro-végétatives de peur (regroupées sous le terme d’hypervigilance), des phénomènes de répétition traumatique (reviviscences sensorielles intrusives de l’événement traumatique), des conduites d’évitement, et des manifestations de dissociation psycho-émotionnelle.
Il peut fréquemment se compliquer d’un État Dépressif Majeur (EDM) avec un risque suicidaire élevé, et de conduites addictives (abus de substances psychoactives : tabac, alcool, cannabis…).
Un traitement chimique symptomatique (anxiolytique) peut être proposé pour apaiser les manifestations aiguës péritraumatiques.
Le traitement chimique de fond intervient dans la forme constituée du TSPT.
Dans tous les cas, il est indispensable d’associer le traitement médicamenteux à une prise en charge psychothérapeutique spécifique.
Le modèle de la peur conditionnée est le plus fréquemment utilisé pour expliquer le mécanisme psychobiologique du TSPT…

https://www.cairn.info/traiter-les-psychotraumatismes--9782100745906-page-48.htm

Pour les parents qui se questionnent  voici un article de ma consoeur  Junier sur les limites à poser aux enfants...http...
25/02/2021

Pour les parents qui se questionnent voici un article de ma consoeur Junier sur les limites à poser aux enfants...
https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Flesprosdelapetiteenfance.fr%2Fbebes-enfants%2Fpsycho-pedagogie%2Ffiches-pratiques%2Fil-ne-respecte-pas-les-limites-ni-les-interdits%3Ffbclid%3DIwAR1vBVTg8Bv82Zct2NqtbQw1u-3ahm0201NQlZGvbElou67VAj7pkKtjcS4&h=AT390NRZr2cm-C6CPegh2RFIdryCMizH3D0br_nzYRzdevkRkt-szPL6d7Eq7uyXNJhXm1Hh0fVRkA6na4q-qcISXeEG65RyC0owEZOnC8laGEM7KKWTAY_CVUkX3dznx1beHdFzoA

Certains enfants cherchent à se différencier de l’adulte et ne souhaitent pas toujours respecter les limites fixées par les professionnels (voir notre fiche sur l’enfant qui s’oppose). Pour d’autres, plus jeunes, ce n’est pas qu’ils ne « veulent pas », c’est qu’ils ne « peuvent...

Des câlins, des câlins !!!
31/01/2021

Des câlins, des câlins !!!

Neurologul Rebecca Saxe a prezentat cea mai frumoasă ”fotografie” a anului. De fapt, imaginea unei rezonanțe magnetice surprinsă în momentul în care o mamă își sărută fiul de numai două luni. Buzele puse pe căpșorul omulețului declanșează, imediat, în creierul acestuia, o reacție. Se eliberează dopamină, cea care ne dă senzația de bine, dar și oxitocină, botezată ”hormonul iubirii”, pentru că este resposabilă cu afecțiunea și cu atașamentul.
Sărutul provoacă o reacție chimică în creierul celui mic. Se declanșează o ”explozie” a oxitocinei, denumită ”hormonul iubirii”. Acesta reduce temerea și crește încrederea, stârnește sentimente de afecțiune și de atașament, semn că bebelușul a priceput că este protejat. De asemenea, se eliberează dopamină, cea care face să ne simțim bine și vasopresină, ”liantul” ce leagă mamele de bebeluși în primele luni de viață ale acestora. S-a semnalat și prezența serotoninei, cea care reglează starea noastră de spirit.
Olivia Butnariu.

14/01/2021

Il n'y a pas de moment mieux choisi pour vous dire merci de la confiance que vous m'avez témoignée tout au long de l'année. Aussi éprouvante fût-elle, 2020, est derrière nous et je vous souhaite pour l'avenir de revenir à l'essentiel : le partage, la joie, la sérénité, l'enthousiasme !
Ensemble, explorons de nouveaux horizons.
Que 2021 soit infiniment positive !!!

À lire absolument les parents !
11/12/2020

À lire absolument les parents !

La pandémie de Covid-19 et la crise qui en a découlé ont profondément affecté les adolescents. Ils ont vécu les confinements et vivent les limitati...

Une visio qui poursuit mon propos de jeudi sur Francebleu
24/11/2020

Une visio qui poursuit mon propos de jeudi sur Francebleu

Cette conférence (04/12/2020 à 20h) vise à prévenir le stress post-traumatique pendant la crise sanitaire. Vous pourrez poser vos questions en direct aux experts.

Adresse

256 Avenue Éole
Perpignan
66000

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 19:00
Mercredi 13:00 - 19:00
Jeudi 09:00 - 19:00

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Un bout de mon histoire

Dès petite j’ai compris que j’avais un grand sens de l’observation et que celui-ci me permettait très vite de “capter” des choses chez l’autre. Alors naturellement en grandissant je me suis dirigée vers la psychologie. Pourquoi pas médecine ? Parce que j’étais passionnée par la criminologie et “ ce qui se passe dans la tête d’un individu pour qu’il passe à l’acte”.

J’ai donc suivi mon parcours universitaire à l’Université de Rennes II, en double cursus : Psychologie clinique et criminologie. La psycho clinique ? Qu’est- ce que c’est ? Tout simplement : être au plus près du patient. A son écoute, à son rythme, avec ses mots/maux, de façon bienveillante et empathique. Mais néanmoins dynamique !

Impossible pour moi de rester impassible. Je ne suis ni dans le jugement ni dans le parti pris mais je réagis, je vis, je questionne, je suis humaine et vous le verrez.

Après avoir travaillé longtemps avec les ados en souffrance en institution, j’ai travaillé auprès de mères en grande précarité. Et je me suis formée, bien qu’en soit cette expérience humaine ait été déjà très intense, à la psychopérinatalité, au développement et à la prise en charge des tout-petits, à l’accompagnement des parcours de grossesse difficiles (PMA, Deuils, IVG, IMG...), à la guidance parentale, à la théorie de l’attachement, etc.