Généaflo - Généalogiste Familiale

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Le mystérieux bateau de la Loge de Mer,  un symbole médiéval de Perpignan.Si vous avez déjà levé les yeux en passant dev...
08/12/2025

Le mystérieux bateau de la Loge de Mer, un symbole médiéval de Perpignan.

Si vous avez déjà levé les yeux en passant devant la Loge de Mer, place de la Loge à Perpignan, vous avez peut-être remarqué une étrange petite coque perchée au-dessus du bâtiment… un bateau suspendu dans le vide, comme une figure sortie d’une légende.
Ce n’est pas une sculpture récente, mais un élément historique chargé de symbole !

Le bateau visible aujourd’hui est en réalité une girouette-navire datant de la première moitié du XVe siècle. À l’époque, Perpignan est une ville commerçante très active, ouverte sur la Méditerranée.
Sa présence n’est pas décorative : c’était une enseigne, un repère.

Ce navire servait à signaler la Loge de Mer, véritable institution économique médiévale.
La Loge était : un lieu où se réglaient des questions commerciales, un espace d’échanges pour les marchands, un précurseur de ce qu’on appellerait aujourd’hui la Bourse ou même le Tribunal de Commerce.

Le bateau symbolisait l’importance du commerce maritime, essentiel pour Perpignan à cette époque.

Juste en dessous du bateau, on peut aussi voir une gargouille sculptée, spectaculaire, représentant un animal fantastique.
Cette gargouille, ainsi que la balustrade de la Loge, datent de 1398, soit plus d’un siècle avant la construction de nombreuses parties de l’hôtel de ville actuel.

Et l’histoire d’une inondation jusqu’au bateau ?

On entend parfois dire que, lors d’une crue exceptionnelle, l’eau serait montée jusqu’à ce petit navire.
Aucune source historique ne confirme cette histoire : aucune inondation connue n’a jamais atteint un niveau aussi haut, malgré les crues parfois sévères que Perpignan a connues.

Ce petit bateau perché est un témoin discret mais précieux de l’histoire commerçante et maritime de Perpignan.
C’est l’un des rares exemples de girouette médiévale en forme de navire encore visibles en France.

Dans la Haute Vallée de l’Aude, un mariage était bien plus qu’un jour de fête : c’était une histoire, une tradition, un ...
03/12/2025

Dans la Haute Vallée de l’Aude, un mariage était bien plus qu’un jour de fête : c’était une histoire, une tradition, un souvenir gravé dans toute une communauté.

Les mariages d’autrefois dans la Haute Vallée de l’Aude.

Autrefois, un mariage dans la Haute Vallée n’était pas seulement l’union de deux êtres.
C’était tout un village qui se préparait, tout un monde qui se rassemblait.

Les fêtes commençaient souvent dès l’aube.
Dans les ruelles encore fraîches, on entendait les pas, les éclats de voix, les portes qui claquaient : les femmes finissaient les coiffes et les rubans, les hommes préparaient les tables et les tonneaux.

La mariée, toujours vêtue avec simplicité mais une élégance rare, portait souvent une robe claire, parfois héritée d’une tante ou d’une grand-mère.
Le marié, lui, arborait son plus beau gilet, soigneusement repassé pour l’occasion.

La messe résonnait dans l’église du village : cloches, chants, bénédictions.
À la sortie, un cortège se formait.
On avançait ensemble dans les rues, au son de l’accordéon ou du fifre, avec des brassées de fleurs cueillies aux champs.

Puis venait le repas, cœur battant de la fête.
Une longue table dressée sous les platanes ou dans une grande salle communale :
soupe fumante, viande mijotée, fromage du pays, vin de la vallée…
Et surtout, les conversations qui allaient bon train, les rires, les toasts, les histoires racontées par les anciens.

Quand tombait la nuit, les musiciens s’installaient.
On dansait longtemps, parfois jusqu’à l’aube ; farandoles, valses, rondes traditionnelles.
Les enfants dormaient sur les bancs, les grands continuaient de danser, et la mariée gardait ce sourire que personne n’oublierait jamais.

Ces mariages n’étaient pas seulement des célébrations : ils étaient les racines vivantes d’une communauté, la transmission des valeurs, la promesse que la vie, malgré tout, continuerait de battre au cœur des montagnes de l’Aude.

Et vous, avez-vous des photos ou des souvenirs de mariages d’autrefois dans votre famille ?



Sournia ;  Sentinelle tranquille des Fenouillèdes.Blotti au cœur des Fenouillèdes, Sournia est l’un de ces villages disc...
29/11/2025

Sournia ; Sentinelle tranquille des Fenouillèdes.

Blotti au cœur des Fenouillèdes, Sournia est l’un de ces villages discrets qui possèdent une âme profonde. Niché entre collines douces et plateaux sauvages, il occupe depuis toujours une position stratégique : un passage naturel entre le Conflent, la haute vallée de l’Agly et le Pays de Sault.
C’est sans doute pour cette raison que, dès le Moyen Âge, muletiers, colporteurs et voyageurs y faisaient halte, transformant le village en petit carrefour de vie rurale.

Au centre, domine l’église romane Sainte-Marie, fondée au XIIᵉ siècle. Elle dépendait autrefois du prieuré de Serrabona, ce qui explique son architecture simple mais solide, typiquement romane, avec ses murs épais et sa silhouette protectrice. Autour d’elle, les ruelles se resserrent, laissant apparaître des porches anciens, des maisons de schiste, et l’empreinte d’anciens remparts aujourd’hui intégrés au tissu du village.

Sournia, ce fut longtemps un monde de travailleurs de la terre et de la forêt :
charbonniers, qui montaient leurs meules dans les bois environnants, bergers menant leurs troupeaux sur les terres hautes, paysans cultivant ce que le climat permettait, artisans, aubergistes et commerçants assurant la vie du bourg.

Chaque pierre, chaque chemin garde encore l’écho de cette activité rurale intense.

Perché mais accessible, à la fois isolé et tourné vers les routes, le village offre aujourd’hui un calme authentique, un charme intact, et des panoramas magnifiques sur les collines du Fenouillèdes, un paysage où dominent la garrigue, les chênes verts et les senteurs de montagne.

Sournia, c’est la douceur d’un village peu connu, mais profondément ancré dans l’histoire du Roussillon rural , un lieu qui mérite qu’on s’y arrête, ne serait-ce que pour sentir son rythme paisible et sa mémoire encore vivante.

Dans l’Aude et les P.O., le laboureur était plus qu’un simple paysan : riche de son matériel, il aidait ses voisins et f...
25/11/2025

Dans l’Aude et les P.O., le laboureur était plus qu’un simple paysan : riche de son matériel, il aidait ses voisins et façonnait la terre du Sud de la France.

Le laboureur : l’âme des campagnes dans l’Aude et les P.O.

Au XIXᵉ et début XXᵉ siècle, le laboureur était un pilier de la vie rurale. Chargé de préparer la terre pour les semailles, il travaillait avec des charrues adaptées aux saisons et aux sols, tirées par des bœufs ou des chevaux selon sa richesse.

Dans l’Aude, il labourait des terres argilo-calcaires pour les vignes, les blés ou les oliviers, souvent en collaboration avec ses voisins. Dans les Pyrénées-Orientales, le relief vallonné et montagneux obligeait à des labours plus courts et parfois en terrasses pour protéger le sol.

Le laboureur était considéré comme un paysan aisé, car il possédait son matériel et ses animaux. Certains avaient des bœufs, d’autres, les plus riches, des chevaux, plus rapides mais plus coûteux à entretenir. Il aidait volontiers les autres paysans, en prêtant son attelage ou en participant aux travaux collectifs, ce qui lui valait respect et reconnaissance dans le village.

Son quotidien restait exigeant : travail physique, dépendance à la météo et respect du calendrier agricole pour réussir les récoltes. Ses outils principaux étaient la charrue, la houe et la bêche.

Aujourd’hui, le souvenir des laboureurs perdure à travers des démonstrations, des fêtes rurales et des musées, rappelant l’ingéniosité, la solidarité et la persévérance de ceux qui ont façonné la terre du Sud de la France.

Le tonnelier, gardien du vin et du boisDans l’ombre fraîche de son atelier, le tonnelier façonne le silence.Autour de lu...
18/11/2025

Le tonnelier, gardien du vin et du bois

Dans l’ombre fraîche de son atelier, le tonnelier façonne le silence.
Autour de lui s’empilent les douelles, ces planches de chêne blond ou de châtaignier, soigneusement taillées, que le feu et le fer transformeront en tonneaux.

Avant que les cuves d’acier n’envahissent les chais, chaque vin du Roussillon dormait dans ces fûts de bois, patiemment montés à la main.
C’était un savoir-faire exigeant : choisir le bois, le chauffer, l’assouplir, ajuster les cercles, écouter le craquement juste.
Pas une vis, pas un clou : seulement le feu, l’eau et la main de l’homme.

À Banyuls, Rivesaltes ou Maury, on reconnaissait les meilleurs tonneaux à l’odeur du bois neuf, au son clair quand on les frappait du plat de la main.
Et puis, dans les caves, le vin s’y arrondissait, s’y teintait d’arômes.
Le tonnelier n’était pas seulement un artisan : il était le confident du vigneron.

Aujourd’hui encore, quelques maîtres perpétuent ce geste précis, presque rituel, celui de « fermer » un tonneau.
Le bois, le feu et la patience demeurent : trois éléments pour contenir l’âme du vin.

En ce début de période de fêtes, il n’est pas rare de voir un peu partout dans nos villes et nos villages  de Catalogne,...
15/11/2025

En ce début de période de fêtes, il n’est pas rare de voir un peu partout dans nos villes et nos villages de Catalogne, des géants.
Mais au fait… quelle est leur histoire ?

Les géants de Perpignan : une tradition vivante !

À Perpignan et dans toute la Catalogne, lors des fêtes populaires, on peut voir des géants danser dans les rues. Ces impressionnantes figures mesurent plusieurs mètres de haut et sont animées par des porteurs cachés à l’intérieur.

Mais d’où viennent-ils ?
Les géants catalans trouvent leur origine au Moyen Âge, dans les processions religieuses et les fêtes populaires. Ils représentaient des rois, des héros ou des personnages légendaires et servaient à raconter des histoires, montrer le pouvoir ou célébrer la communauté.

À Perpignan, les plus célèbres sont :
Matias et Roseta, le couple emblématique, symbole de la vie et des traditions catalanes.

Trobador et Comtessa, un troubadour et une comtesse rappelant l’époque médiévale et l’amour courtois.

D’autres géants représentent des figures historiques ou mythiques locales.
Aujourd’hui, ils sont avant tout festifs et rassembleurs, un vrai symbole de l’identité catalane et du patrimoine vivant !

Les géants sur la photo sont inspirés de la tradition catalane, pas ceux d’un village particulier. Ils représentent l’esprit des fêtes populaires, mais ne correspondent à aucun couple réel. »



Aujourd’hui, ils sont avant tout festifs et rassembleurs, un vrai symbole de l’identité catalane et du patrimoine vivant !

11/11/2025

🙏🇫🇷

François Arago, le savant d’Estagel, lumière du RoussillonNé à Estagel le 26 février 1786, Dominique François Arago dit ...
06/11/2025

François Arago, le savant d’Estagel, lumière du Roussillon

Né à Estagel le 26 février 1786, Dominique François Arago dit François est l’un de ces hommes qui ont su faire rayonner le Roussillon bien au-delà de ses frontières. Savant, astronome, physicien, homme politique et ardent républicain, il incarne à lui seul le génie et la liberté d’esprit catalane.

Fils de François Bonaventure Arago, receveur de l’enregistrement, et de Marie Roig, il grandit dans ce village du Roussillon, entre vignes et collines, où l’observation de la nature aiguisa sa curiosité. Très tôt, son goût pour les mathématiques et la physique le mena à Paris, à l’École polytechnique.

Son nom reste attaché à de grandes découvertes scientifiques : il contribua à la mesure du méridien, poursuivant les travaux de Delambre et Méchain, établissant ainsi les bases du système métrique. Astronome passionné, il étudia la lumière et découvrit le phénomène de la polarisation rotatoire, ouvrant la voie à de nouvelles avancées en optique.

Mais Arago ne fut pas qu’un savant enfermé dans un observatoire : c’était aussi un homme engagé, un défenseur des libertés et de la République. Ministre de la Guerre et de la Marine en 1848, il abolit l’esclavage dans les colonies françaises, affirmant ainsi la grandeur morale de son engagement.

François Arago s’éteint à Paris en 1853, mais son souvenir demeure vivant sur sa terre natale. À Estagel, son village, une statue dresse encore son regard vers les Corbières, comme pour rappeler que la lumière du savoir n’a pas de frontières. À Perpignan, une place et une statue portent également son nom, témoignant de l’admiration que lui voue toujours le pays catalan.

Homme de science et de cœur, François Arago fut avant tout un homme libre , fils du Roussillon, citoyen du monde.

La ToussaintLa Toussaint est une fête célébrée chaque année le 1er novembre. Elle rend hommage à tous les saints, connus...
01/11/2025

La Toussaint

La Toussaint est une fête célébrée chaque année le 1er novembre. Elle rend hommage à tous les saints, connus ou inconnus, qui ont marqué l’histoire par leur bonté, leur courage ou leur foi.

Aux débuts du christianisme, on honorait surtout les martyrs, c’est-à-dire les personnes mortes pour leur croyance.
Plus t**d, l’Église a décidé de consacrer une journée à tous les saints. Au VIIIᵉ siècle, le pape Grégoire III a fixé cette fête au 1er novembre, et le pape Grégoire IV l’a ensuite rendue universelle.

Le 2 novembre, on célèbre le Jour des Morts, dédié au souvenir de tous les défunts. En France, il est courant de fleurir les tombes dès la Toussaint, notamment avec des chrysanthèmes, symboles de mémoire et de respect.

Aujourd’hui, la Toussaint est à la fois un moment de recueillement et une tradition familiale, où l’on prend le temps de se souvenir de ceux qui ont compté pour nous.

Halloween : entre légende et tradition.« En ce jour d’Halloween, voici quelques origines et légendes de cette fête mysté...
31/10/2025

Halloween : entre légende et tradition.

« En ce jour d’Halloween, voici quelques origines et légendes de cette fête mystérieuse. Circonstances obligent ! »

Avant d’être une fête faite de citrouilles et de déguisements, Halloween plonge ses racines dans une très ancienne célébration celtique : Samhain. Il y a plus de deux mille ans, les Celtes marquaient à cette date la fin de l’été et le début de la saison sombre. On croyait alors que la nuit du 31 octobre, le voile entre le monde des vivants et celui des esprits devenait si mince que les âmes pouvaient revenir hanter les foyers.

Pour se protéger ou pour se jouer de ces esprits, les gens allumaient de grands feux, se déguisaient, et déposaient devant leur porte des offrandes destinées aux âmes errantes. Parmi ces coutumes, l’ancêtre de la célèbre lanterne de Jack-o’-Lantern avait une fonction très pratique : les paysans irlandais creusaient des navets ou des rutabagas pour y mettre une petite flamme, servant à la fois de veilleuse de jardin et de protection. Elle éloignait les rongeurs, les belettes, et, symboliquement, les mauvais esprits de l’hiver.

Avec le temps, la fête de Samhain s’est mêlée aux traditions chrétiennes, devenant la Toussaint (All Hallows’ Day) et sa veille, All Hallows’ Eve… qui donna plus t**d « Halloween ». Les immigrants irlandais ont emporté cette coutume jusqu’en Amérique, où elle s’est transformée en une fête populaire colorée, peuplée de citrouilles sculptées, de bonbons et de farces. C’est là que le navet devint citrouille et que la lanterne acquit son visage mythique, celui du pauvre Jack condamné à errer avec sa lumière dans la nuit éternelle.

Aujourd’hui encore, Halloween garde ce parfum de mystère et de lumière dans la nuit. Entre rire et frisson, elle rappelle cette frontière fragile entre les mondes et la force des traditions venues du fond des âges, tout en conservant un petit clin d’œil à l’ingéniosité paysanne qui a donné naissance à la plus célèbre des lanternes.

Mémoire des chapelleries de la Haute Vallée de l’Aude.L’histoire de la Haute Vallée de l’Aude est profondément liée à ce...
27/10/2025

Mémoire des chapelleries de la Haute Vallée de l’Aude.

L’histoire de la Haute Vallée de l’Aude est profondément liée à celle de la chapellerie.
Pendant des décennies, des familles entières ont consacré leur vie à cet artisanat d’excellence, faisant rayonner nos villages bien au-delà de nos frontières.
Ce texte est un hommage à leur travail, à leur transmission, et à la mémoire vivante qu’ils nous ont laissée.

Dans la Haute Vallée de l’Aude, l’industrie chapelière a profondément marqué la vie des villages de Couiza, Espéraza, Montazels et Quillan. Pendant plus d’un siècle, ces lieux ont résonné du bruit des machines et des gestes précis des artisans qui façonnaient, avec passion et rigueur, des chapeaux de feutre réputés dans le monde entier.

Chaque atelier était un véritable foyer d’activité, un lieu où se mêlaient savoir-faire, solidarité et transmission. Les hommes et les femmes y travaillaient côte à côte, souvent en famille, perpétuant un art exigeant où rien n’était laissé au hasard. Travailler la laine, modeler la feutrine, donner forme à un chapeau : tout reposait sur la patience et la maîtrise de gestes transmis de génération en génération.

À Espéraza et Couiza, la chapellerie a été le poumon économique et social de toute une région. Des milliers de chapeaux sortaient chaque année des ateliers, partant vers les grandes villes et l’étranger. Aujourd’hui, le Musée de la Chapellerie d’Espéraza veille sur ce patrimoine et rappelle la grandeur de cette épopée ouvrière et artisanale.

À Montazels, la tradition perdure grâce à la chapellerie "MontCapel", la dernière en France à fabriquer des chapeaux de A à Z, de la laine au produit fini. Héritière directe des manufactures d’autrefois, elle perpétue un savoir-faire rare, symbole d’une mémoire encore vivante.

Et à Quillan, la chapellerie "Bourrel", fondée par Jean Bourrel au début du XXᵉ siècle, a marqué durablement le paysage industriel. Véritable moteur pour la vallée, elle a fait vivre des générations d’ouvriers avant de se reconvertir, laissant une empreinte forte dans la mémoire collective.

Il ne faut pas oublier non plus que, dans ces ateliers, beaucoup d’enfants travaillaient aux côtés des adultes. Certains y entraient très jeunes, pour aider leurs parents ou apprendre le métier. Les tâches étaient souvent dures : trier la laine, transporter les ballots, alimenter les machines, ou simplement supporter la chaleur et le bruit des ateliers. Les journées étaient longues, mais ces jeunes ouvriers faisaient preuve d’un courage immense.
Malgré la difficulté, beaucoup gardaient un profond attachement à cette vie de l’usine, symbole de solidarité et de fierté partagée. Leur contribution mérite tout autant d’être rappelée : ils ont participé, à leur manière, à faire vivre les chapelleries et à transmettre un savoir-faire qui reste aujourd’hui un véritable patrimoine humain.

Ces chapelleries n’étaient pas de simples usines : elles représentaient l’âme de nos villages. Elles ont façonné des vies, des familles et des destins, donnant à la vallée une identité tissée de travail, de fierté et d’un savoir-faire incomparable.

Cet hommage s’adresse à toutes celles et ceux qui ont participé à cette grande histoire, à leurs descendants qui en gardent le souvenir, et à cette mémoire commune qui continue de vivre à travers les récits, les photos et la reconnaissance de leur héritage.

Si vous avez des photos, souvenirs ou documents familiaux liés à ces chapelleries, n’hésitez pas à les partager ici. Chaque témoignage fait revivre un peu cette belle histoire.

Adresse

Perpignan

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 18:00
Mardi 09:00 - 18:00
Mercredi 09:00 - 18:00
Jeudi 09:00 - 18:00
Vendredi 09:00 - 18:00

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