Généaflo - Généalogiste Familiale

Généaflo - Généalogiste Familiale Chaque famille a une histoire à raconter. Généalogiste familiale et auteure, je vous accompagne pour retrouver vos ancêtres, ici et ailleurs.

Titulaire d'une autorisation S.I.A.F. Généalogiste familiale professionnelle
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11/11/2025

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François Arago, le savant d’Estagel, lumière du RoussillonNé à Estagel le 26 février 1786, Dominique François Arago dit ...
06/11/2025

François Arago, le savant d’Estagel, lumière du Roussillon

Né à Estagel le 26 février 1786, Dominique François Arago dit François est l’un de ces hommes qui ont su faire rayonner le Roussillon bien au-delà de ses frontières. Savant, astronome, physicien, homme politique et ardent républicain, il incarne à lui seul le génie et la liberté d’esprit catalane.

Fils de François Bonaventure Arago, receveur de l’enregistrement, et de Marie Roig, il grandit dans ce village du Roussillon, entre vignes et collines, où l’observation de la nature aiguisa sa curiosité. Très tôt, son goût pour les mathématiques et la physique le mena à Paris, à l’École polytechnique.

Son nom reste attaché à de grandes découvertes scientifiques : il contribua à la mesure du méridien, poursuivant les travaux de Delambre et Méchain, établissant ainsi les bases du système métrique. Astronome passionné, il étudia la lumière et découvrit le phénomène de la polarisation rotatoire, ouvrant la voie à de nouvelles avancées en optique.

Mais Arago ne fut pas qu’un savant enfermé dans un observatoire : c’était aussi un homme engagé, un défenseur des libertés et de la République. Ministre de la Guerre et de la Marine en 1848, il abolit l’esclavage dans les colonies françaises, affirmant ainsi la grandeur morale de son engagement.

François Arago s’éteint à Paris en 1853, mais son souvenir demeure vivant sur sa terre natale. À Estagel, son village, une statue dresse encore son regard vers les Corbières, comme pour rappeler que la lumière du savoir n’a pas de frontières. À Perpignan, une place et une statue portent également son nom, témoignant de l’admiration que lui voue toujours le pays catalan.

Homme de science et de cœur, François Arago fut avant tout un homme libre , fils du Roussillon, citoyen du monde.

La ToussaintLa Toussaint est une fête célébrée chaque année le 1er novembre. Elle rend hommage à tous les saints, connus...
01/11/2025

La Toussaint

La Toussaint est une fête célébrée chaque année le 1er novembre. Elle rend hommage à tous les saints, connus ou inconnus, qui ont marqué l’histoire par leur bonté, leur courage ou leur foi.

Aux débuts du christianisme, on honorait surtout les martyrs, c’est-à-dire les personnes mortes pour leur croyance.
Plus t**d, l’Église a décidé de consacrer une journée à tous les saints. Au VIIIᵉ siècle, le pape Grégoire III a fixé cette fête au 1er novembre, et le pape Grégoire IV l’a ensuite rendue universelle.

Le 2 novembre, on célèbre le Jour des Morts, dédié au souvenir de tous les défunts. En France, il est courant de fleurir les tombes dès la Toussaint, notamment avec des chrysanthèmes, symboles de mémoire et de respect.

Aujourd’hui, la Toussaint est à la fois un moment de recueillement et une tradition familiale, où l’on prend le temps de se souvenir de ceux qui ont compté pour nous.

Halloween : entre légende et tradition.« En ce jour d’Halloween, voici quelques origines et légendes de cette fête mysté...
31/10/2025

Halloween : entre légende et tradition.

« En ce jour d’Halloween, voici quelques origines et légendes de cette fête mystérieuse. Circonstances obligent ! »

Avant d’être une fête faite de citrouilles et de déguisements, Halloween plonge ses racines dans une très ancienne célébration celtique : Samhain. Il y a plus de deux mille ans, les Celtes marquaient à cette date la fin de l’été et le début de la saison sombre. On croyait alors que la nuit du 31 octobre, le voile entre le monde des vivants et celui des esprits devenait si mince que les âmes pouvaient revenir hanter les foyers.

Pour se protéger ou pour se jouer de ces esprits, les gens allumaient de grands feux, se déguisaient, et déposaient devant leur porte des offrandes destinées aux âmes errantes. Parmi ces coutumes, l’ancêtre de la célèbre lanterne de Jack-o’-Lantern avait une fonction très pratique : les paysans irlandais creusaient des navets ou des rutabagas pour y mettre une petite flamme, servant à la fois de veilleuse de jardin et de protection. Elle éloignait les rongeurs, les belettes, et, symboliquement, les mauvais esprits de l’hiver.

Avec le temps, la fête de Samhain s’est mêlée aux traditions chrétiennes, devenant la Toussaint (All Hallows’ Day) et sa veille, All Hallows’ Eve… qui donna plus t**d « Halloween ». Les immigrants irlandais ont emporté cette coutume jusqu’en Amérique, où elle s’est transformée en une fête populaire colorée, peuplée de citrouilles sculptées, de bonbons et de farces. C’est là que le navet devint citrouille et que la lanterne acquit son visage mythique, celui du pauvre Jack condamné à errer avec sa lumière dans la nuit éternelle.

Aujourd’hui encore, Halloween garde ce parfum de mystère et de lumière dans la nuit. Entre rire et frisson, elle rappelle cette frontière fragile entre les mondes et la force des traditions venues du fond des âges, tout en conservant un petit clin d’œil à l’ingéniosité paysanne qui a donné naissance à la plus célèbre des lanternes.

Mémoire des chapelleries de la Haute Vallée de l’Aude.L’histoire de la Haute Vallée de l’Aude est profondément liée à ce...
27/10/2025

Mémoire des chapelleries de la Haute Vallée de l’Aude.

L’histoire de la Haute Vallée de l’Aude est profondément liée à celle de la chapellerie.
Pendant des décennies, des familles entières ont consacré leur vie à cet artisanat d’excellence, faisant rayonner nos villages bien au-delà de nos frontières.
Ce texte est un hommage à leur travail, à leur transmission, et à la mémoire vivante qu’ils nous ont laissée.

Dans la Haute Vallée de l’Aude, l’industrie chapelière a profondément marqué la vie des villages de Couiza, Espéraza, Montazels et Quillan. Pendant plus d’un siècle, ces lieux ont résonné du bruit des machines et des gestes précis des artisans qui façonnaient, avec passion et rigueur, des chapeaux de feutre réputés dans le monde entier.

Chaque atelier était un véritable foyer d’activité, un lieu où se mêlaient savoir-faire, solidarité et transmission. Les hommes et les femmes y travaillaient côte à côte, souvent en famille, perpétuant un art exigeant où rien n’était laissé au hasard. Travailler la laine, modeler la feutrine, donner forme à un chapeau : tout reposait sur la patience et la maîtrise de gestes transmis de génération en génération.

À Espéraza et Couiza, la chapellerie a été le poumon économique et social de toute une région. Des milliers de chapeaux sortaient chaque année des ateliers, partant vers les grandes villes et l’étranger. Aujourd’hui, le Musée de la Chapellerie d’Espéraza veille sur ce patrimoine et rappelle la grandeur de cette épopée ouvrière et artisanale.

À Montazels, la tradition perdure grâce à la chapellerie "MontCapel", la dernière en France à fabriquer des chapeaux de A à Z, de la laine au produit fini. Héritière directe des manufactures d’autrefois, elle perpétue un savoir-faire rare, symbole d’une mémoire encore vivante.

Et à Quillan, la chapellerie "Bourrel", fondée par Jean Bourrel au début du XXᵉ siècle, a marqué durablement le paysage industriel. Véritable moteur pour la vallée, elle a fait vivre des générations d’ouvriers avant de se reconvertir, laissant une empreinte forte dans la mémoire collective.

Il ne faut pas oublier non plus que, dans ces ateliers, beaucoup d’enfants travaillaient aux côtés des adultes. Certains y entraient très jeunes, pour aider leurs parents ou apprendre le métier. Les tâches étaient souvent dures : trier la laine, transporter les ballots, alimenter les machines, ou simplement supporter la chaleur et le bruit des ateliers. Les journées étaient longues, mais ces jeunes ouvriers faisaient preuve d’un courage immense.
Malgré la difficulté, beaucoup gardaient un profond attachement à cette vie de l’usine, symbole de solidarité et de fierté partagée. Leur contribution mérite tout autant d’être rappelée : ils ont participé, à leur manière, à faire vivre les chapelleries et à transmettre un savoir-faire qui reste aujourd’hui un véritable patrimoine humain.

Ces chapelleries n’étaient pas de simples usines : elles représentaient l’âme de nos villages. Elles ont façonné des vies, des familles et des destins, donnant à la vallée une identité tissée de travail, de fierté et d’un savoir-faire incomparable.

Cet hommage s’adresse à toutes celles et ceux qui ont participé à cette grande histoire, à leurs descendants qui en gardent le souvenir, et à cette mémoire commune qui continue de vivre à travers les récits, les photos et la reconnaissance de leur héritage.

Si vous avez des photos, souvenirs ou documents familiaux liés à ces chapelleries, n’hésitez pas à les partager ici. Chaque témoignage fait revivre un peu cette belle histoire.

La Fête des Moissons dans la Haute Vallée de l’Aude Dans la Haute Vallée de l’Aude, la fin des moissons n’était pas qu’u...
23/10/2025

La Fête des Moissons dans la Haute Vallée de l’Aude

Dans la Haute Vallée de l’Aude, la fin des moissons n’était pas qu’une simple récolte : c’était un véritable rituel, une célébration de la terre et de la communauté. Les champs dorés ondulaient sous le vent, et le parfum du blé mûr se mêlait à celui de la terre chaude, annonçant le moment tant attendu de la fête. Chaque village s’animait alors d’une énergie particulière, où le travail de toute une saison se transformait en joie partagée.

Dès le matin, les habitants s’affairent à décorer la place principale. Des guirlandes de fleurs sauvages, des couronnes de blé et des banderoles colorées donnent au village une atmosphère de conte ancien. Les enfants tressent de petites g***es qu’ils offriront à leurs parents, tandis que les anciens racontent avec un sourire les histoires des moissons passées : les pluies imprévues, les machines capricieuses et les nuits passées à veiller sur les champs.

Le repas partagé est un véritable festin : pains croustillants sortis du four communal, fromages fermiers, miel parfumé des ruches locales et vins rouges et blancs sont dégustés dans une ambiance conviviale. Chacun se sert les uns les autres, échangeant anecdotes, rires et parfois même secrets de recettes ancestrales.

Puis vient le moment solennel de la couronne de la Reine des Moissons. Élue pour sa gentillesse et son lien avec la terre, elle est vêtue d’une robe faite de fleurs des champs et de rubans, et son couronnement est accompagné de chants traditionnels que tout le village reprend en chœur. Les danses commencent alors : quadrilles et farandoles entraînent jeunes et anciens dans un tourbillon de joie, tandis que l’accordéon, le violon et la flûte donnent le rythme. Chaque pas, chaque note est un hommage au travail accompli et à la solidarité villageoise.

Parfois, des traditions plus insolites refont surface : le « lancer de g***es », où les jeunes jettent des bottes de blé en l’air pour prédire l’abondance de l’année suivante, ou le « chant des laboureurs », murmuré à l’aube pour remercier la terre. Ces rituels, parfois oubliés, ajoutent un parfum de mystère et de magie à la fête.

Aujourd’hui, certaines communes s’efforcent de raviver ces célébrations, mêlant souvenirs anciens et créations nouvelles. Ces fêtes rappellent la richesse culturelle et humaine de la Haute Vallée de l’Aude, où la nature, le travail et la convivialité continuent de s’entrelacer. Dans cette vallée, chaque sourire, chaque danse et chaque g***e de blé raconte une histoire de vie et de partage.


22/10/2025

✈️ APPEL À TÉMOIGNAGES – VOL 6031 PERPIGNAN / RIVESALTES

Le 30 mars 1985, un vol de la compagnie Air Inter a connu un atterrissage mouvementé à l’aéroport de Perpignan-Rivesaltes.
Heureusement, aucun drame humain n’avait été à déplorer, mais cet incident reste marquant.

🗣️ Aujourd’hui, pour un article en préparation, je recherche des témoignages de passagers, de personnels de l’aéroport, de secours ou de témoins présents ce jour-là.

Vos souvenirs, vos photos ou simples anecdotes permettront de mieux comprendre cet épisode oublié de l’histoire aérienne de Perpignan.

📩 Vous pouvez me contacter directement par message privé ou en commentaire sous cette publication.

Merci à toutes celles et ceux qui aideront à faire revivre ce moment du passé.

Aristide Maillol, l’âme catalane de la sculpture. Dans le paysage artistique du Roussillon, peu de noms résonnent aussi ...
18/10/2025

Aristide Maillol, l’âme catalane de la sculpture.

Dans le paysage artistique du Roussillon, peu de noms résonnent aussi fort que celui d’Aristide Maillol né à Banyuls-sur-Mer le 8 décembre 1861. Son père, Raphaël Maillol, était un petit négociant, et sa mère, Catherine Rougé, appartenait à une ancienne lignée banyulencque attachée à la terre et à la mer.

Il grandit entre la mer et les collines, dans cette lumière catalane qui marquera à jamais son œuvre. Très tôt, il se passionne pour le dessin et la sculpture, puis quitte son village pour rejoindre Paris, où il entre à l’École des Beaux-Arts.

Après des débuts difficiles, Maillol s’éloigne peu à peu des influences symbolistes et décoratives pour créer un style qui deviendra sa signature : des formes pleines, simples et équilibrées, célébrant la beauté du corps féminin. Ses sculptures, comme La Méditerranée ou La Rivière, incarnent cette recherche d’harmonie et de sérénité.
Mais l’artiste n’a jamais rompu avec sa terre natale. Son atelier de Banyuls-sur-Mer est resté son refuge, son ancrage, son lieu d’inspiration. C’est là qu’il recevait ses amis artistes et écrivains, parmi lesquels Raoul Dufy, Gide ou Matisse, tous fascinés par la force tranquille du maître catalan.
En septembre 1944, alors qu’il revenait de Céret où il avait rendu visite à son ami peintre Raoul Dufy, Aristide Maillol est victime d’un accident de voiture. Il s’éteindra peu après, à l’âge de 83 ans.

Aujourd’hui encore, son œuvre continue de rayonner bien au-delà de nos frontières. Le musée Maillol de Banyuls-sur-Mer, installé dans son ancienne métairie, perpétue le souvenir de celui qui sut unir la force de la nature catalane et la pureté de la forme classique.
Maillol, plus qu’un sculpteur, reste l’un des plus beaux symboles de l’alliance entre art, humanité et enracinement.

Les Garcerie et la fabrique d’espadrilles de Saint-Laurent-de-Cerdans : une histoire de famille et de traditionÀ Saint-L...
03/10/2025

Les Garcerie et la fabrique d’espadrilles de Saint-Laurent-de-Cerdans : une histoire de famille et de tradition

À Saint-Laurent-de-Cerdans, au cœur du Vallespir, certaines familles ont profondément marqué l’histoire locale. Parmi elles, la famille de Rose Garcerie, présente dans le village depuis plusieurs générations, incarne le lien entre généalogie et mémoire d’un temps où l’artisanat et le travail manuel structuraient toute la vie du village.

Originaires du village depuis la fin du XVIIIᵉ siècle, les Garcerie étaient d’abord négociants. Plusieurs membres de la famille tenaient des commerces, comme l’un des oncles de Rose, qui était épicier, mais c’est surtout dans le textile que la famille allait se distinguer.

Pas dans la soie ni dans les étoffes précieuses, mais dans la toile solide, celle qui servait à confectionner les espadrilles catalanes, les célèbres vigatanes (prononcer bigatanes), indispensables au costume traditionnel du pays catalan.

Dans la seconde moitié du XIXᵉ siècle, Abdon Garcerie, cousin de Rose et alors maire de Saint-Laurent, s’associe avec Joseph Sans pour fonder une fabrique d’espadrilles.

Nous sommes aux alentours de 1873 : le succès est immédiat. Ces chaussures légères et robustes sont portées partout, de la plaine à la montagne, sur les marchés, aux champs comme aux fêtes. L’association Sans et Garcerie devient rapidement une véritable institution.

L’usine emploie de nombreux ouvriers du village, perpétuant un savoir-faire transmis de génération en génération. Dans ces ateliers bourdonnants, les ouvrières cousaient à la main les semelles de corde et les toiles colorées. La production d’espadrilles devient vite une activité essentielle, ancrant durablement Saint-Laurent-de-Cerdans dans le paysage économique et culturel du Roussillon.

Pour assurer la pérennité de l’entreprise familiale, les alliances se renforcent : le fils d’Abdon Garcerie épousera une fille de Joseph Sans. L’histoire de la famille révèle ainsi une véritable dynastie du travail et de la transmission.

Le père d’Abdon, Jean Raphaël Pierre, dit Jean Garcerie (1818–1883), marié à Marguerite Baus, était le frère de Joseph Garcerie (1826–1865), industriel marié à Rose Marie Thérèse Truillet, originaire de Prats-de-Mollo. De l’union de Joseph naît Rose Garcerie, en 1871, à Barcelone, lors d’un déplacement professionnel de son père.

Rose épousera plus t**d Albert Salsas, receveur de l’enregistrement des domaines et historien érudit établi à Palau-de-Cerdagne, tissant ainsi des liens entre le Vallespir et la Cerdagne.

Aujourd’hui, si l’usine Sans et Garcerie a changé de mains au fil du temps, elle demeure vivante dans la mémoire locale. Son héritage se prolonge à travers Les "Toiles du Soleil", héritières de ce savoir-faire ancestral. Les couleurs vives, les toiles rayées et la tradition du tissage perpétuent encore l’esprit des pionniers du XIXᵉ siècle.

Derrière les murs des anciennes usines, ce sont des histoires de familles, de travail et de passion qui continuent de résonner. Le nom des Garcerie, comme celui des Sans, reste à jamais associé à la renaissance économique et culturelle de Saint-Laurent-de-Cerdans.

L’école d’autrefois dans la Haute ValléeDans chaque village de l’Aude, même le plus petit, il y avait autrefois une écol...
26/09/2025

L’école d’autrefois dans la Haute Vallée

Dans chaque village de l’Aude, même le plus petit, il y avait autrefois une école. Une salle unique, souvent froide l’hiver, où garçons et filles se retrouvaient autour de longs pupitres de bois.

On écrivait à la plume, trempée dans l’encrier de porcelaine blanche. Les doigts tachés d’encre racontaient les efforts du jour. Sur le tableau noir, la craie crissait, traçant lettres et chiffres sous l’œil attentif du maître ou de la maîtresse.

L’école n’était pas seulement un lieu d’apprentissage : c’était aussi un espace d’ordre et de rigueur. On portait la blouse, on récitait les leçons à haute voix, on apprenait la morale et la discipline. Mais c’était aussi l’endroit où les enfants des fermes isolées retrouvaient leurs camarades, partageaient un jeu, un sourire, parfois un morceau de pain.

À la sortie, les cartables en cuir s’ouvraient sur des chemins de poussière ou de neige. On rentrait à la maison en courant, les joues rougies, pressés de raconter la journée. Souvent en hiver, on faisait le chemin à pieds et dans le froid ou la neige

Aujourd’hui, beaucoup de ces écoles de village ont fermé, leurs salles silencieuses transformées en mairies, bibliothèques ou logements. Mais dans la mémoire, elles restent vivantes : celles des premiers mots lus, des premières punitions, des premières amitiés.

Et vous, avez-vous des souvenirs ou des récits de l’école de vos villages ? Racontez nous vos souvenirs ou vos anecdotes.

Adresse

Perpignan

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 18:00
Mardi 09:00 - 18:00
Mercredi 09:00 - 18:00
Jeudi 09:00 - 18:00
Vendredi 09:00 - 18:00

Téléphone

+33686894542

Site Web

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