Isabelle Levraud - Les racines du coeur

Isabelle Levraud - Les racines du coeur Être à l'écoute active de Soi pour panser et repenser ses blessures...une version 2.0 de Vous existe

Un texte que j' Adore
07/12/2025

Un texte que j' Adore

Laisse les choses s’effondrer — cesse de t’épuiser à vouloir tout maintenir debout. Tout n’est pas fait pour durer, et forcer ce qui se brise déjà ne fera que t’épuiser davantage. Parfois, le plus sage, c’est simplement de lâcher prise.

Laisse les gens être contrariés. Laisse-les te mal comprendre. Laisse-les te critiquer, te juger. Leurs opinions ne sont que le reflet de leur propre perception, jamais le miroir de ta valeur. Tu n’as pas à te justifier auprès de ceux qui ont déjà décidé de ne pas te comprendre. Tu n’es pas responsable de la façon dont les autres choisissent de te percevoir ni de la manière dont ils réagissent à ta vérité.

Cesse d’avoir peur de l’inconnu. Ne te demande plus : Où vais-je ? Que vais-je faire ? comme si l’univers n’avait pas déjà tracé ton chemin. La perte peut sembler insupportable, mais elle est parfois le passage obligé vers quelque chose de meilleur. Ce qui doit partir partira, peu importe combien tu t’y accroches. Et ce qui doit rester trouvera toujours une voie, même lorsque tout paraît incertain. La vie sait retrouver son équilibre, même quand nous, nous ne le voyons pas.

Il existe un rythme dans la vie, une sorte d’ordre naturel fait de fins et de recommencements. Quand nous résistons à ce flux, nous créons notre propre souffrance. Nous nous accrochons à ce qui se brise, terrorisés à l’idée que rien de bon ne viendra le remplacer. Mais c’est une illusion. L’univers est généreux, en perpétuelle floraison. Il t’offre sans cesse de nouvelles chances, de nouveaux élans d’amour, de nouveaux sens à explorer. La seule chose qui t’en éloigne, c’est ton attachement à ce qui ne t’appartient plus.

Et surtout, ne crois jamais, même une seconde, que le meilleur est derrière toi. La vie ne cesse jamais d’offrir sa beauté, même après les épreuves. Le bien n’est pas épuisé. Il y a encore tant de joie à vivre, tant d’amour à accueillir, tant de paix à découvrir. Mais pour cela, il faut lui faire de la place.

Alors pose-toi cette question — Qu’est-ce que je retiens encore, qui m’empêche d’avancer ? Et lorsque tu trouveras la réponse, aie confiance en toi. Lâche. Quelque chose de meilleur est déjà en route.

Meryl Streep

Un joli post de 'écriture
06/12/2025

Un joli post de 'écriture

Un appel à la conscience pour se protéger et éviter les parasites qui veulent s'engraisser de votre énergie ou sur votre...
06/12/2025

Un appel à la conscience pour se protéger et éviter les parasites qui veulent s'engraisser de votre énergie ou sur votre dos ! Un nettoyage nécessaire pour éviter les faux amis, les relations d'obligations, les personnes qui disent avoir des valeurs et n'en n'incarnent aucune ! Et n'oubliez pas que ce que les personnes disent de Vous, se fait par le biais de leur histoire personnelle, de leur prisme, de leurs souffrances, de leurs blessures cachées, de leurs limitations, pas des vôtres ! Les projections vont bon train quand le travail thérapeutique n'a jamais été fait ou de manière superficielle.

"Je n’ai pas de patience pour certaines choses, non pas parce que je suis devenue arrogante, mais simplement parce que je suis arrivée à un stade de ma vie où je n’ai pas envie de perdre davantage de temps avec ce que je n’aime pas ou qui me blesse. Je n’ai aucune patience avec le cynisme, la jalousie, la critique excessive et les exigences de toute sorte. J’ai perdu la volonté de plaire à qui je n’aime pas, d’aimer qui ne m’aime pas et de sourire pour ceux qui ne veulent pas me sourire. Je ne perds plus une minute de mon temps pour quelqu’un qui ment ou qui veut me manipuler ou manipuler d’autres.
J’ai décidé de ne plus cohabiter avec le faux-semblant, l’hypocrisie, le superficiel, la malhonnêteté et les éloges bon marché. Je ne peux plus tolérer l’érudition sélective et l’arrogance académique. Je ne supporte pas les conflits et les comparaisons. Je crois en un monde d’opposés et pour cette raison j’évite les personnes au caractère rigide et inflexible."
Meryl Streep

Ce ne sont pas les évènements qui troublent la vie des Hommes mais les idées qu'ils s'en font.
05/12/2025

Ce ne sont pas les évènements qui troublent la vie des Hommes mais les idées qu'ils s'en font.

Être parent solo, ce n’est pas pour les fragiles.C’est pour les âmes courageuses.Ce n’était pas ton rêve.Ce n’était pas ...
05/12/2025

Être parent solo, ce n’est pas pour les fragiles.
C’est pour les âmes courageuses.

Ce n’était pas ton rêve.
Ce n’était pas ton plan.
Tu ne t’étais jamais imaginé être à la fois père et mère,
te réveiller sans soutien, t’endormir avec les angoisses,
et te demander parfois comment tu vas tenir jusqu’au lendemain.

Et pourtant… te voilà.
Chaque jour, tu te lèves.

Tu avances avec le cœur en morceaux,
mais les bras pleins d’amour.
Parfois avec les poches vides,
mais un cœur rempli de dévouement.

Être parent solo, c’est vivre avec la peur au ventre,
mais continuer quand même,
parce qu’on n’a pas le droit de s’effondrer.

C’est essuyer tes larmes avant qu’ils ne te voient,
c’est respirer doucement quand tu voudrais hurler,
c’est douter mille fois,
mais avancer mille fois encore.

C’est être tout en une seule personne :
repère, maison, douceur, fermeté,
et solidité silencieuse quand tout vacille à l’intérieur.

Et même quand tu te sens épuisé, transparent,
quand tu crois que personne ne voit tes efforts,
eux, tes enfants, te regardent autrement.

Si tu pouvais voir la lumière dans leurs yeux
quand ils te regardent…
tu comprendrais que tu es leur monde.
Tu es leur sécurité.
Tu es leur modèle.
Tu es leur force tranquille.

Tu n’es pas seul(se).
Même si personne ne t’applaudit,
même si personne ne te soutient,
même si personne ne remarque tes sacrifices…
Dieu, la vie, l’univers — peu importe le nom —
voit tout.

Continue.
Même quand la route semble interminable,
même lorsque la fatigue est immense.
Ils voient.
Ils ressentent.
Ils savent.

L’amour que tu donnes aujourd’hui
sera la fondation solide de leur avenir.

Être parent solo n’est ni un échec, ni une faiblesse.
C’est un acte d’amour, de patience et de foi
que peu sont capables de porter.

Et un jour, quand ils seront grands,
ils comprendront.
Ils te serreront fort
et te diront :
« Merci de n’avoir jamais renoncé.
Merci d’avoir été tout pour moi. »

Être parent solo, ce n’est pas pour les fragiles.
C’est pour les âmes courageuses.
Et tu en fais partie.

04/12/2025
04/12/2025
26/11/2025

Le viol conjugal chez les adolescentes
« Si tu n’as pas envie, tu te forces, parce que moi j’en ai envie »
Une violence que l’on ne sait même pas nommer

Elles ont 14 et 16 ans. Elles sont en troisième, en lycée technologique ou à la fac. Elles croient vivre leur premier grand amour. En réalité, elles subissent des viols répétés de la part de leur compagnon. Et la plupart ne le comprennent que des années plus t**d.

Capucine : « Je devais être à sa disposition »

Capucine a 14 ans quand elle tombe follement amoureuse d’un garçon plus âgé, en internat à Saint-Nazaire. Les débuts sont idylliques. Puis la mécanique s’installe.
« Il ne supportait pas la frustration. Il me disait : “Si tu n’as pas envie, tu dois te forcer, parce que moi j’en ai envie.” »
Quand elle refuse, il boude pendant des heures, la menace de rompre, devient agressif. Il la punit : elle doit rester au pied du lit, sans oreiller, sans couverture, sans rien, jusqu’à ce qu’elle « change d’avis ».
« J’étais épuisée, je finissais toujours par céder pour avoir la paix. »
Trois ans durant, Capucine vit cela. Trois ans sans jamais entendre le mot « viol ». Pour elle, un viol, c’est une inconnue agressée la nuit dans une ruelle sombre. Pas son petit copain qui l’aime.
Même en pleine vague , elle ne fait pas le lien. Les campagnes de prévention montrent des femmes plus âgées, mariées, avec un œil au beurre noir. Rien qui ressemble à une ado en couple.

Clémentine : « Je me suis figée »

Le 4 décembre 2016, Clémentine a 16 ans. C’est son anniversaire. Son copain de 18 ans, avec qui elle est en relation à distance depuis cinq mois, vient enfin la voir. L’après-midi est parfait : marché de Noël, petits cadeaux, photos. Le soir, les parents partent travailler. Ils se retrouvent seuls.
Depuis des mois, il la presse : « Les couples, ça doit le faire. » Elle répète qu’elle n’est pas prête. Ce soir-là, il tranche : « On le fait. »
« Il a commencé à me déshabiller. Je me suis figée. Je n’ai pas bougé, j’ai eu très mal, j’étais comme hors de mon corps. »
Ensuite, elle se sent « extrêmement sale ». Elle reste une heure sous la do**he à se frotter. Au moment de dormir, elle se colle tout au bord du lit, le plus loin possible de lui.
Cette scène se répétera tout au long de leur relation d’un an. Clémentine la résume aujourd’hui d’une phrase qui glace le sang : « Un bouquet de fleurs pour une claque. »

Une violence que l’on ne sait pas voir

Une enquête du collectif NousToutes (février 2020, plus de 96 000 répondantes) est accablante : une femme sur six a fait ses premiers pas dans la sexualité par un rapport non désiré et non consenti.
Louise Delavier, directrice des programmes de l’association En avant toute(s), l’explique simplement :
« Les adolescentes sont particulièrement vulnérables. C’est souvent leur première relation, elles n’ont aucun repère sur ce qui est sain ou non. Tout ce que fait leur copain est vu comme normal, surtout s’il est plus âgé et a déjà eu des expériences. »

Sur le tchat anonyme « Comment on s’aime », les messages arrivent par centaines :
« Est-ce que c’est normal ce que je vis ? »
« Il dit que tous les couples font des fellations tous les matins, c’est vrai ? »
« Je finis toujours par accepter parce qu’il boude sinon, je suis trop sensible ? »
Les écoutantes posent alors les mots que les jeunes filles n’osent pas dire : viol, contrainte, chantage affectif, pression.

L’école absente

La loi du 4 juillet 2001 impose pourtant trois séances annuelles d’éducation à la vie affective et sexuelle dans tous les collèges et lycées.
Dans les faits ?
Clémentine : « J’ai eu un seul cours au collège : un prof a mis un préservatif sur une banane. Rien sur le consentement, rien sur le viol. »
C’est seulement des années plus t**d, lors d’un cours de psycho à l’université sur le viol conjugal, qu’elle a fondu en larmes et quitté la salle.

Les conséquences invisibles

Les séquelles sont immenses :

- Clémentine n’a plus approché un garçon pendant cinq ans. Au début de sa relation actuelle, elle paniquait dès qu’on la touchait.

- Capucine a mis des années à comprendre qu’elle n’était pas coupable.

Elles transforment leur douleur en lutte

Aujourd’hui, elles refusent le silence :

- Clémentine parcourt les lycées de son département pour parler consentement et violences. « Beaucoup de filles me demandent si ce qu’elles vivent est normal et si elles peuvent porter plainte. »

- Capucine anime le compte Instagram (près de 120 000 abonnés) avec des vidéos pédagogiques sur les violences sexuelles et la culture du viol.

Le consentement n’est pas négociable

Comme le dit Clémentine : « J’ai eu de la chance d’être tombée plus t**d sur un homme doux et patient. »
Avoir « de la chance » pour ne pas être violée par son compagnon.
Voilà où nous en sommes.

Tant qu’on continuera d’éduquer les filles à « faire plaisir » et les garçons à penser qu’un « non » est une invitation à insister, le viol conjugal restera cette violence ordinaire, quotidienne, qui détruit des milliers d’adolescentes avant même qu’elles entrent dans la vie adulte.

Il est urgent que l’école, les familles, les médias, la société entière cessent de fermer les yeux.
Le consentement enthousiaste n’est pas un luxe.
C’est un droit fondamental.
Et il commence dès le premier ba**er.

Ressources d’urgence

- Tchat « Comment on s’aime » (En avant toute(s)) : anonyme, gratuit – lundi-jeudi 10 h-minuit, vendredi-samedi 10 h-21 h

- Viols femmes info : 0 800 05 95 95 (anonyme et gratuit)

- Violences femmes info : 3919 (24 h/24, anonyme et gratuit)

Source : 20 minutes

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Le chemin démarre souvent par un symptôme, une souffrance devenue insupportable, une quête pour retrouver ce qui hurle s...
21/11/2025

Le chemin démarre souvent par un symptôme, une souffrance devenue insupportable, une quête pour retrouver ce qui hurle sans bruit à l'interieur de Soi...
L'amnésie dissociative qui a protégé jusque-là s'altère et devient un mécanisme de défense obsolète et défaillant...commence alors le travail pour retrouver cet Enfant en Soi qui appelle au secours et souhaite témoigner de Sa Vérité pour être reconnu ! Reprendre son plein pouvoir pour se libérer des schémas toxiques et limitants est le plus bel acte d'Amour à s'offrir.

L’un des états émotionnels les plus épuisants, c’est la cognitive empathie. Cette faculté rare qui empêche de haïr total...
09/11/2025

L’un des états émotionnels les plus épuisants, c’est la cognitive empathie. Cette faculté rare qui empêche de haïr totalement quelqu’un, même quand il t’a détruit. Parce que toi, au lieu de rester bloqué sur le geste, tu vois l’histoire derrière. Tu comprends les blessures qui l’ont façonné, les manques qui l’ont poussé, les failles qui l’ont conduit à t’abîmer.

Alors que beaucoup diraient : « Il m’a fait mal, point », toi tu rajoutes : « Oui, mais je comprends pourquoi ». Et c’est là que ça devient un fardeau. Parce que tu portes deux poids à la fois : la douleur de ce qu’on t’a fait, et la lucidité de comprendre pourquoi on te l’a fait.

Ça paraît noble, mais dans le quotidien, c’est un piège. Tu pardonnes trop vite. Tu restes trop longtemps dans des relations qui ne te respectent pas. Tu trouves des excuses à tes parents, à ton partenaire, à tes amis, aux gens qui te déçoivent… parce que tu vois au-delà de leurs actes, tu vois leurs blessures.

Mais voilà le paradoxe : comprendre ne signifie pas excuser. Oui, un père violent a peut-être été brisé dans son enfance. Oui, une partenaire infidèle cache peut-être un vide intérieur. Oui, un ami toxique est sûrement lui-même perdu. Tout ça peut avoir du sens. Mais avoir une explication ne transforme jamais une blessure en quelque chose de juste.

La société adore te dire : « Mets-toi à sa place, sois compréhensif ». Mais rarement on te dit : « Et toi, qui se met à ta place ? » Tu passes ta vie à comprendre les autres, et au fond, ton plus grand rêve serait qu’un jour, quelqu’un te comprenne avec la même intensité.

L’empathie cognitive, c’est donc un don, mais aussi une croix. Elle t’élève au-dessus du jugement binaire, mais elle te condamne aussi à vivre avec des douleurs que tu n’arrives jamais à transformer en colère libératrice. Tu restes suspendu entre le pardon et la cicatrice.

La vérité, c’est qu’il faut apprendre à poser une frontière : comprendre, oui. Mais se respecter, d’abord.
une messagère

01/09/2025

Chers Tous,

MERCI de PARTAGER pour que ce message arrive à CEUX qui en aurait BESOIN 🙏

Votre Psy 🥰 ouvre de nouveaux espaces de partages et d'écoute !
Dès le mois d'août, tous les mercredis de 18h à 19h15, je vais vous proposer des ATELIERS sur ZOOM 🥳 pour permettre d'en profiter où que vous soyez ! Ces temps seront des moments d'introspection et de compréhension composés d'un temps conceptuel, d'un temps d'exercice d'intégration et/ou d'un temps de partage et questions.
Si certains thèmes🙏 vous tiennent à Cœur plus particulièrement, n'hésitez pas à me le faire savoir et à me contacter en mp pour connaître les modalités de ces rencontres.
Un bel été à Tous d'ici là !
Rendez-vous Mercredi pour le 1er atelier 💫

L’orage de tes jours a passé sur ma vie ;J’ai plié sous ton sort, j’ai pleuré de tes pleurs ;Où ton âme a monté mon âme ...
30/08/2025

L’orage de tes jours a passé sur ma vie ;
J’ai plié sous ton sort,
j’ai pleuré de tes pleurs ;
Où ton âme a monté mon âme l’a suivie ;
Pour aider tes chagrins, j’en ai fait mes douleurs.

Mais, que peut l’amitié ? l’amour prend toute une âme !
Je n’ai rien obtenu ; rien changé ; rien guéri :
L’onde ne verdit plus ce qu’a séché la flamme,
Et le coeur poignardé reste froid et meurtri.

Moi, je ne suis pas morte : allons ! moi, j’aime encore ;
J’écarte devant toi les ombres du chemin :
Comme un pâle reflet descendu de l’aurore,
Moi, j’éclaire tes yeux ; moi, j’échauffe ta main.

Le malade assoupi ne sent pas de la brise
L’haleine ravivante étancher ses sueurs ;
Mais un songe a fléchi la fièvre qui le brise ;
Dors ! ma vie est le songe où Dieu met ses lueurs.

Comme un ange accablé qui n’étend plus ses ailes,
Enferme ses rayons dans sa blanche beauté,
Cache ton auréole aux vives étincelles :
Moi je suis l’humble lampe émue à ton côté.

Marceline Desbordes-Valmore
Recueil : Elégies

Adresse

Piré-sur-Seiche
35150

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 18:00
Mardi 09:00 - 17:00
Mercredi 09:00 - 17:00
Jeudi 09:00 - 17:00
Vendredi 09:00 - 17:00

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Généreux Bouleau

Dans une magnifique forêt de bouleau, j’étais fascinée par l’inter-connexion des arbres entre eux. En regardant au sol, je me suis aperçue qu’il y avait au sol quelques bourgeons non éclos. Heureuse de ma trouvaille, la personne présente à mes côtés a souhaité les collecter pour en faire un macérat (afin d’en faire usage en gemmothérapie). Rapidement, je me suis aperçue que la petite dizaine récoltée ne serait pas suffisante. Je me suis alors reliée à l’un d’entre eux, en demandant si il serait ok pour me faire un don. Dans l’instant qui a suivi, vous me croirez ou pas, des centaines de bourgeons nous sont tombés sur la tête !

CADEAU. GRATITUDE !