France-Denturiste

France-Denturiste Formations professionnelles adultes prothèses dentaire Formation de Denturistes en France

𝐈𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐢𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞́𝐞𝐬 : 𝐥’𝐚𝐥𝐞𝐫𝐭𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐥’𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝’𝐚𝐠𝐢𝐫𝐕𝐢𝐝𝐞́𝐨 𝐁𝐅𝐌𝐓𝐕 : https://www.bfmtv.com/economie/entrep...
28/11/2025

𝐈𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐢𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞́𝐞𝐬 : 𝐥’𝐚𝐥𝐞𝐫𝐭𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐥’𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝’𝐚𝐠𝐢𝐫

𝐕𝐢𝐝𝐞́𝐨 𝐁𝐅𝐌𝐓𝐕 :
https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/video-aucun-controle-aucune-regle-le-cri-d-alerte-contre-la-concurrence-chinoise-de-laurent-munerot-prothesiste-dentaire-et-vice-president-de-l-u2p_VN-202511270651.html

La récente intervention de Laurent Munerot (UNPPD) met en lumière une réalité préoccupante :

une part importante des prothèses dentaires posées en France est importée d’Asie, sans contrôle réel, sans règles et sans responsabilité identifiée.
« Aucun contrôle, aucune règle » : cette phrase résume parfaitement la faille du système actuel.

Comment sécuriser le patient si personne n’est responsable de la fabrication ?

Aujourd’hui :
les cabinets externalisent massivement hors UE,
la traçabilité est insuffisante,
les prothésistes n’ont aucun accès au patient, et le modèle actuel entretient lui-même la dépendance à l’import.

Le denturiste : une solution française, moderne et responsable
Dans de nombreux pays, le denturiste permet :
✔ une fabrication locale, contrôlée et transparente
✔ une responsabilité directe envers le patient
✔ une réduction majeure des importations
✔ une cohérence avec la stratégie OMS 2023-2030
✔ une conformité avec la CJUE (C-940/19)

En France, les denturistes sont déjà formés, diplômés et enregistrés.
Il ne manque qu’une étape : leur intégration officielle.
Un simple amendement suffirait.
Cet amendement réalisable immédiatement permettrait :
d’ouvrir officiellement la nouvelle voie professionnelle denturiste,
de finaliser le cursus scolaire complet déjà prêt et aligné sur les standards internationaux, et de créer une profession responsable, locale et protectrice du patient.

Tout existe déjà :
✔ l’école
✔ le programme
✔ les diplômés
✔ la demande des territoires
✔ l’urgence sanitaire et économique

🇫🇷 Pourquoi agir maintenant ?

Parce que l’alerte BFMTV confirme ce que nous disons depuis longtemps :
👉 sécuriser les patients
👉 relocaliser la fabrication des prothèses
👉 garantir la traçabilité
👉 réduire les coûts du RAC0
👉 désengorger les cabinets
👉 renforcer l’économie française plutôt que financer les plateformes d’importation asiatiques

Il est temps de moderniser la filière prothétique.
Il est temps d’intégrer le denturiste.

🔗 www.france-denturiste.org

𝐀𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞𝐬 : 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐏𝐥𝐞𝐢𝐧𝐞 𝐕𝐢𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐢𝐠𝐧𝐨𝐫𝐞𝐫Le magazine Pleine Vie...
27/11/2025

𝐀𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞𝐬 : 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐏𝐥𝐞𝐢𝐧𝐞 𝐕𝐢𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐢𝐠𝐧𝐨𝐫𝐞𝐫

Le magazine Pleine Vie, référence auprès des seniors, publiait :
👉 « 𝐷𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑡ℎ𝑒̀𝑠𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒́𝑑𝑖𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 »

Un article clair, humain, et terriblement actuel.

𝑷𝙤𝒖𝙧𝒒𝙪𝒐𝙞 𝙚𝒔𝙩-𝙘𝒆 𝒊𝙢𝒑𝙤𝒓𝙩𝒂𝙣𝒕 ?
Parce qu’il concerne les personnes les plus fragiles de notre pays :
personnes âgées,
patients dépendants,
EHPAD,
zones sous-dotées,
familles en difficulté face aux délais et aux coûts.

𝑪𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒆𝒕 𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒍𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒍𝒊𝒈𝒏𝒆 𝒕𝒓𝒆̀𝒔 𝒋𝒖𝒔𝒕𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕
✔ Un besoin massif : trop de patients abandonnent l’idée même d’obtenir une prothèse amovible.
✔ Des parcours impossibles : transports lourds, délais interminables, impossibilité de se déplacer.
✔ Une alternative de proximité : le denturiste, un professionnel centré sur la prothèse amovible, capable d’accompagner les personnes âgées avec écoute, disponibilité et suivi.
✔ Une solution humaine : redonner le sourire, la mastication, la dignité.
✔ Une réponse française : prothèses réalisées localement, sans dépendre d’importations massives.

𝐄𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭, 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐱𝐢𝐬𝐭𝐞.
Elle est reconnue dans de nombreux pays, elle fonctionne, et elle apporte du concret là où les patients en ont le plus besoin.

𝘾𝒐𝙢𝒑𝙡𝒆́𝙢𝒆𝙣𝒕𝙖𝒓𝙞𝒕𝙚́, 𝒑𝙖𝒔 𝒄𝙤𝒏𝙘𝒖𝙧𝒓𝙚𝒏𝙘𝒆

Le denturiste ne remplace pas le dentiste.
Il intervient exclusivement sur les prothèses amovibles, et uniquement après validation d’un chirurgien-dentiste.

C’est un renfort.
C’est un soutien.
C’est une réponse moderne à un besoin vieux de 30 ans.

🇫🇷 Un message simple pour la France
Pleine Vie montre qu’il ne s’agit pas de polémique.
𝑰𝙡 𝙨’𝙖𝒈𝙞𝒕 𝒅𝙚 𝙥𝒂𝙩𝒊𝙚𝒏𝙩𝒔, 𝙙𝒆 𝒅𝙞𝒈𝙣𝒊𝙩𝒆́, 𝙙𝒆 𝒑𝙧𝒐𝙭𝒊𝙢𝒊𝙩𝒆́, 𝙙𝒆 𝒔𝙖𝒏𝙩𝒆́ 𝒑𝙪𝒃𝙡𝒊𝙦𝒖𝙚.

Le débat doit maintenant avancer.

🔗 L’article :
https://www.pleinevie.fr/vie-quotidienne/des-protheses-realisees-sans-intermediaire-en-france-86064.html

🇫🇷 La denturologie : une solution reconnue pour la santé publique françaiseL’un des médias économiques les plus respecté...
27/11/2025

🇫🇷 La denturologie : une solution reconnue pour la santé publique française

L’un des médias économiques les plus respectés, Challenges, publiait récemment un article clair et sans ambiguïté :

— « France Denturiste : la reconnaissance d’une profession aux nombreux bénéfices pour la santé publique »
🔗 https://www.challenges.fr/partenaires/france-denturiste-la-reconnaissance-dune-profession-aux-nombreux-benefices-pour-la-sante-publique_594237
Ce n’est pas un détail.
Ce n’est pas une exception.

C’est un signal fort dans un débat national qui concerne l’accès aux soins, le vieillissement, la crise des prothèses, et le manque de solutions pour les patients.

Ce que souligne l’article et que les faits confirment
— Un besoin massif : les personnes âgées, les patients isolés, les zones sous-dotées et les EHPAD manquent cruellement de solutions pour les prothèses amovibles.
— Une réponse moderne : le denturiste est un professionnel spécialisé, centré sur la prothèse amovible, complémentaire du chirurgien-dentiste.
— Un modèle vertueux : transparence, proximité, réduction des renoncements aux soins, traçabilité des matériaux.
— Une solution déjà validée par l’Europe : l’accès partiel issu de la CJUE permet la reconnaissance du métier lorsque les compétences sont définies et vérifiées.

Enjeux pour la France
Ce que Challenges met en avant, c’est simple :
— La France est en re**rd sur un dispositif qui fonctionne déjà dans de nombreux pays (Canada, Australie, Pays-Bas, Royaume-Uni…).
— Et pourtant, nos besoins sont immenses : près de 2 millions de personnes ont besoin de prothèses, et nombre d’entre elles renoncent faute d’accès.

La denturologie n’est pas un débat corporatiste.
C’est un sujet de santé publique, aligné avec :
la stratégie OMS 2023–2030,
la demande des territoires,
l’évolution démographique,
et les attentes des patients.

Complémentarité, pas concurrence
Le denturiste :
n’effectue pas d’actes médicaux,
ne prescrit pas,
intervient uniquement après validation du chirurgien-dentiste,
se concentre sur les prothèses amovibles, avec un haut niveau d’expertise technique.

C’est un renfort précieux, pas un remplaçant.

🇫🇷 Le message de Challenges est clair
— Reconnaître le métier de denturiste, c’est améliorer la vie des patients.
— C’est apporter une réponse humaine, efficace et pragmatique à une demande de santé publique urgente.
— C’est aussi renforcer notre souveraineté sanitaire en relocalisant fabrication et savoir-faire.

𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐭𝐢𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐞𝐧𝐭 : 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐝 𝐚̀ 𝐮𝐧 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧 𝐫𝐞́𝐞𝐥Même s’il ne date ...
26/11/2025

𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐭𝐢𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐞𝐧𝐭 : 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐝 𝐚̀ 𝐮𝐧 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧 𝐫𝐞́𝐞𝐥

Même s’il ne date pas d’hier, l’article de Closer
« Les denturistes redonnent le sourire aux patients »
reste d’une actualité frappante.

— Dans un contexte 2022–2025 marqué par :
• le vieillissement massif de la population,
• l’augmentation des renoncements aux prothèses,
• les tensions sur le système dentaire,
• les débats du PLFSS,
• la stratégie OMS 2023-2030,
• et l’obligation européenne d’accès partiel (CJUE C-940/19),
cet article grand public vient rappeler une réalité :
les patients veulent des solutions simples, humaines et accessibles.

Ce que l'article met en lumière… et qui colle parfaitement avec les défis actuels
— Du temps : des rendez-vous longs, centrés sur l'écoute.
— De la proximité : un accompagnement personnalisé, voire à domicile ou en EHPAD.
— De la transparence : matériaux traçables, coûts maîtrisés, sans “surcouches”.
— Du concret : un professionnel qui se concentre uniquement sur la prothèse amovible, sans acte médical, sans prescription.

À l’heure où les patients dénoncent :
— des délais trop longs,
— des coûts incompris,
— des renoncements encore trop fréquents,
le modèle denturiste apporte une réponse pragmatique et centrée sur la vie réelle des gens.

— Une évolution qui va dans le sens de la santé publique
Il ne s’agit pas de créer un conflit avec les dentistes.

Au contraire.
C’est complémentaire,
aligné avec l’OMS, respectueux du parcours de soins, et indispensable dans un pays confronté à des déserts médicaux croissants.

Le denturiste ne concurrence pas les actes médicaux :
— il les décharge.
— il soutient les dentistes.
— il permet aux patients d’accéder plus vite à une solution adaptée.
Un système moderne s’appuie sur la diversité des compétences pas sur leur concentration.

En résumé
Cet article, même publié il y a quelque temps,
résonne encore plus fort aujourd’hui.
Parce que les besoins des patients n’ont pas changé… et que l’urgence d’adapter notre système, elle, n’a fait que s’accentuer.

📄 Lire l’article :

Les prothèses dentaires concernent un nombre important de patients, mais constituent un coût élevé à la fois pour eux et pour la sécurité sociale. Thierry Supplie, spécialiste du sujet, contribue à installer l’activité de denturiste, qui existe déjà dans d’autres pays, en France.

🌍🦷 𝐎𝐌𝐒 : 𝐋𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐛𝐮𝐜𝐜𝐨-𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥’𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝’𝐚𝐠𝐢𝐫 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞L’Organisation mondiale de la...
20/11/2025

🌍🦷 𝐎𝐌𝐒 : 𝐋𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐛𝐮𝐜𝐜𝐨-𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥’𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝’𝐚𝐠𝐢𝐫 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞

L’Organisation mondiale de la santé a posé un diagnostic sans ambiguïté : les maladies bucco-dentaires sont aujourd’hui l’un des problèmes de santé les plus répandus… et les plus négligés.
Caries non traitées, édentements, inégalités territoriales, accès limité aux dispositifs médicaux dentaires : la situation exige une transformation profonde.

🔎 L’OMS identifie 5 axes majeurs pour les pays membres :

1️⃣ Réduire la charge mondiale des maladies bucco-dentaires
2️⃣ Faciliter l’accès aux dispositifs médicaux, notamment les prothèses amovibles
3️⃣ Diversifier les ressources humaines (nouveaux profils, innovation professionnelle)
4️⃣ Déployer les soins de proximité
5️⃣ Combattre les inégalités sociales et géographiques
➡️ Ces recommandations s’appliquent pleinement à la France, où les déserts médicaux s’étendent, où les EHPAD manquent de solutions, et où 65–70 % des prothèses sont encore importées.

💡 Et si la France s’inspirait enfin des pays qui ont déjà réformé ?
Dans de nombreux États (Canada, Australie, Royaume-Uni, Suisse, Scandinavie…), l’intégration d’un professionnel spécialisé dans la prise en charge prothétique, le denturiste a permis :

✔ une réduction massive des délais d’accès
✔ un désengorgement des cabinets dentaires
✔ une baisse des coûts pour les patients et les systèmes de santé
✔ des soins de proximité pour les personnes âgées, dépendantes ou isolées

🇫🇷 La France peut rattraper son re**rd
La stratégie OMS 2023-2030 montre très clairement que :
👉 Diversifier les ressources humaines n'est pas une option, c’est une nécessité.
👉 Les dispositifs médicaux dentaires doivent être accessibles, abordables et locaux.
👉 Les modèles trop centralisés ne répondent plus aux besoins du public.
La denturologie s’inscrit exactement dans ces axes :

➡️ profession dédiée à la prothèse amovible
➡️ formation spécialisée, pratique directe du patient
➡️ proximité, qualité, efficacité
➡️ réduction des dépenses de transports médicaux et meilleure couverture RAC0

📘 Pour aller plus loin :
🔗 Article complet : « OMS – Enjeux mondiaux & constats »
https://france-denturiste.org/oms-enjeux-mondiaux-constats/

Prothèses dentaires : opacité, marges excessives… et si la solution existait déjà ?Le rapport du Sénat sur le PLFSS 2026...
18/11/2025

Prothèses dentaires : opacité, marges excessives… et si la solution existait déjà ?

Le rapport du Sénat sur le PLFSS 2026 est très clair :

🟥 hors nomenclature opaque

🟥 absence totale de transparence pour les patients

🟥 marges impossibles à contrôler

🟥 aucune réforme structurelle pour améliorer l’accès aux soins

Les articles 24, 25 et 25 bis confirment un modèle à bout de souffle :

on parle de taxer la “rentabilité excessive”, mais on ne traite pas ce qui la génère.

Pendant ce temps :

les seniors restent sans solutions,

les EHPAD multiplient les transports médicaux,

les cabinets débordent,

les patients paient… sans comprendre ce qu’ils paient.

✔️ Et si la vraie solution était simple, déjà existante, et déjà reconnue en Europe ?

👉 Le denturiste.

Dans tous les pays qui l’ont intégré (Canada, Norvège, Suisse, Australie…), on observe :

✔️ baisse massive des coûts,

✔️ transparence totale fabrication–prix,

✔️ traçabilité complète,

✔️ accès direct pour les patients édentés,

✔️ prise en charge adaptée en EHPAD,

✔️ délestage des cabinets dentaires,

✔️ relocalisation de la fabrication.

Exactement ce qui manque aujourd’hui en France.

🇫🇷 La denturologie n’est pas une dépense : c’est une réforme structurelle d’intérêt public.

Elle répond :

🟩 aux problèmes identifiés par le Sénat,

🟩 aux besoins des patients,

🟩 aux enjeux budgétaires,

🟩 et à la transparence que la France réclame depuis 20 ans.

👉 La denturologie n’est pas une alternative : c’est la solution logique.

“Hors nomenclature dentaire : opacité, marges excessives et absence totale de mesures pour les patients”Le rapport du Sé...
18/11/2025

“Hors nomenclature dentaire : opacité, marges excessives et absence totale de mesures pour les patients”

Le rapport du Sénat sur le PLFSS 2026 confirme enfin un problème que le terrain dénonce depuis des années :

Les actes et prothèses hors nomenclature (HN) sont totalement opaques.
Ni la Sécurité sociale, ni les patients ne peuvent connaître :
– les coûts réels,
– l’origine des prothèses,
– la sous-traitance,
– les marges appliquées.
Cette opacité est telle que le Gouvernement envisage désormais…
➡️ une taxation des marges jugées “excessives” (articles 24 et 24 bis).
Même si le texte ne nomme pas directement le secteur dentaire, la description correspond exactement à sa réalité.

❗ Et pour les patients ? Toujours rien.
Le rapport du Sénat est explicite : aucune mesure structurelle n’améliore l’accès aux soins dentaires.

🔎 Articles 25 et 25 bis : un cadre opaque… qui le reste

➡️ Article 25 – “Mieux réguler les dépenses dans le secteur des soins dentaires”
Ce point reconnaît un problème de maîtrise des dépenses dentaires, mais ne traite absolument pas la question centrale : l’opacité du hors nomenclature.
Pas de transparence obligatoire.
Pas de contrôle des marges.
Pas de traçabilité des prothèses.
Rien pour les patients, rien pour les EHPAD, rien pour les zones sous-dotées.

➡️ Article 25 bis – intégration de l’optique et du dentaire dans les accords de maîtrise des dépenses
Sur le papier : une mise sous surveillance de la dépense.
Dans les faits : un encadrement administratif, mais aucune réforme de fond, aucune transparence imposée, aucun changement pour l’accès aux soins.

On surveille les dépenses…
❌ mais on n’agit pas sur la cause :
l’architecture opaque du hors nomenclature.
❗ Une représentativité très faible… mais qui verrouille tout
On parle souvent du “secteur prothétique” comme d’un bloc homogène.

La réalité est tout autre :
📌 450 laboratoires adhèrent à l’UNPPD, sur 3 000 à 3 500 en activité.
➡️ Moins de 15 % du secteur influence les discussions nationales.
➡️ 85 % des prothésistes n’ont aucune voix.
➡️ Résultat : statu quo assuré.

🔍 Pourquoi continuer à financer un système opaque et incontrôlé ?
Aujourd’hui, la France accepte :
– des prothèses importées à bas coût revendues plusieurs milliers d’euros,
– un hors nomenclature impossible à auditer,
– l’absence totale de transparence pour les patients,
– une dérive des coûts sans amélioration de l’accès aux soins.

Dans d’autres pays, la transparence est la règle, les coûts sont encadrés, et des modèles intermédiaires existent (denturologie) pour répondre aux besoins réels.

👉 La réforme peut commencer dès maintenant.
Les patients n’ont plus le luxe d’attendre.

PLFSS 2026 : enseignements provisoires pour le secteur dentaireLe dernier état du PLFSS 2026 apporte plusieurs éléments ...
17/11/2025

PLFSS 2026 : enseignements provisoires pour le secteur dentaire
Le dernier état du PLFSS 2026 apporte plusieurs éléments utiles pour comprendre les évolutions en cours dans le secteur dentaire sans tirer de conclusions définitives.

🔎 Constats principaux
Pas de dérive de dépenses : le Sénat estime que les soins dentaires ne présentent pas de risque de hausse incontrôlée.
Inégalités territoriales record : les soins dentaires sont ceux où l’accès est le plus inégal en France.
Baisse de l’activité libérale au profit des centres de santé.
Financiarisation rapide du secteur (90 % des grands groupes dentaires européens sont détenus par des fonds).
Prothèse : angle mort statistique avec des actes hors CCAM mal mesurés.

🔎 Difficultés rencontrées
Désertification de nombreux territoires
Fragilisation des petites structures
Offre concentrée dans les zones rentables
Dépendance accrue aux modèles financiers
Manque de solutions adaptées aux personnes âgées et aux publics fragiles

🔎 Pistes potentielles à explorer
Sans anticiper les arbitrages parlementaires, plusieurs axes émergent :
renforcer l’offre de proximité,
diversifier les modes d’organisation,
mieux structurer la filière prothétique locale,
introduire des compétences intermédiaires spécialisées, comme dans plusieurs pays,
améliorer la traçabilité des dispositifs dentaires.

Conclusion
Le PLFSS 2026 met en lumière un secteur qui évolue rapidement et qui doit s’adapter à de nouveaux enjeux : proximité, souveraineté, équité et continuité des soins.
L’objectif est simple : observer, analyser et proposer des solutions opérationnelles pour améliorer l’accès aux soins dentaires partout en France.

𝐏𝐚𝐫𝐢𝐭𝐚𝐫𝐢𝐬𝐦𝐞 : 𝐥’𝐔𝐍𝐏𝐒 𝐭𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐝’𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞. 𝐄𝐭 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐟𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫.L’amendement du PLFSS 2026 conf...
13/11/2025

𝐏𝐚𝐫𝐢𝐭𝐚𝐫𝐢𝐬𝐦𝐞 : 𝐥’𝐔𝐍𝐏𝐒 𝐭𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐝’𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞. 𝐄𝐭 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐟𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫.

L’amendement du PLFSS 2026 confiant la négociation des accords conventionnels à des structures plutôt qu’aux représentants des professionnels marque un tournant majeur.

Ce n’est pas un détail technique :
👉 c’est la remise en cause d’un principe fondateur de notre système de santé.

Le paritarisme n’a jamais été le problème.
Ce qui pose difficulté, ce sont :
-des syndicats verrouillés depuis 20 ans,
-une perte de légitimité démocratique,
-une absence de renouvellement,
-une déconnexion croissante du terrain.

Ce vide a permis une recentralisation massive par l’administration :
DGOS, UNCAM, labels “France Santé”, gouvernance par appels à projets…
Résultat ?
-Les professionnels ne sont plus entendus.
-Les patients n’y gagnent rien.
-Le terrain reste sous-doté.

Et dans ce contexte, la situation de la denturologie illustre parfaitement cette dérive :
des solutions existantes, conformes au droit européen, ignorées sans débat.

L’UNPS alerte.
Les professionnels alertent.
Les acteurs du terrain alertent.

Il est temps d’entendre le message :
👉 Renouveler le paritarisme.
👉 Ouvrir la concertation.
👉 Recentrer le système sur l’accès réel aux soins.

📄 Analyse complète publiée sur France-Denturiste :

https://france-denturiste.org/unps-paritarisme-fin-du-dialogue-social/

L’UNPS dénonce un tournant majeur du PLFSS 2026 : contournement du paritarisme, décisions centralisées et perte de représentativité. Analyse France-Denturiste.

12/11/2025

⚖️ « France Santé » : alerte sur le futur du système de santé libéral.

L’UNPS (Union Nationale des Professionnels de Santé) dénonce une réforme du PLFSS 2026 qui centralise le pouvoir, complique le terrain et fragilise les soignants.

Le Sénat, dans son rapport MECSS, parle d’un “millefeuille administratif et financier illisible”.

Et pendant ce temps, des solutions concrètes — comme la denturologie, reconnue partout en Europe — restent bloquées par des intérêts corporatistes.

🗣️ La santé ne doit pas être une rente.

🔗 Lire l’analyse complète :
👉 https://france-denturiste.org/france-sante-unps-systeme-dentaire/

𝐋𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞 𝐝𝐮 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞… 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞Aujourd’hui encore, un chirurgien-dentiste déplore l’augmenta...
28/10/2025

𝐋𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥𝐞̀𝐦𝐞 𝐝𝐮 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞… 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞

Aujourd’hui encore, un chirurgien-dentiste déplore l’augmentation du reste à charge, expliquant que cela “pénalise les plus pauvres”.
C’est vrai… mais 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐧𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞𝐭.
Car le cœur du problème, ce n’est pas le remboursement, c’est le modèle verrouillé de l’exercice dentaire en France.

👉 Depuis 70 ans, le champ dentaire est bloqué :
-aucune profession intermédiaire n’a le droit d’exister,
-𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞 𝐚𝐜𝐜𝐚𝐩𝐚𝐫𝐞 𝟕𝟎 % 𝐝𝐮 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐧𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬,
-les patients modestes ou âgés 𝐧’𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬.

Pendant ce temps :
-les prothèses importées inondent le marché sans contrôle,
-les transports sanitaires dentaires explosent dans les EHPAD,
-l’État dépense des millions d’euros dans des dispositifs sans traçabilité réelle.

Dans 14 pays européens, les denturistes existent déjà.
Ils réalisent les prothèses amovibles simples, soulagent les cabinets dentaires, réduisent les coûts publics et garantissent un suivi de proximité.

⚖️ En France, rien n’empêche légalement cette évolution sauf la résistance d’un modèle qui refuse de s’adapter.

Le débat sur le reste à charge est donc un écran de fumée.

Le vrai enjeu, c’est de moderniser la chaîne de soins, pas de la défendre à tout prix.

🏭 𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐭𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞En France, plus de 70 % des prothèses dentaires fixées (couronnes, brid...
24/10/2025

🏭 𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥’𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐭𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞

En France, plus de 70 % des prothèses dentaires fixées (couronnes, bridges, implants) sont importées.
Chine, Maroc, Portugal, Turquie, Europe de l’Est… le monde entier fabrique pour la France.

Les chirurgiens-dentistes envoient leurs fichiers numériques à des plateformes industrielles à bas coût,
pendant que des milliers de laboratoires français ferment, faute de commandes.

🔍 En moins de 20 ans, le nombre de laboratoires indépendants a été divisé par deux.
Les techniciens restants n’ont plus de marge sur la prothèse fixée :
leur seule survie passe par l’amovible inadaptée au numérique.

Mais face à la baisse des tarifs et à l’absence de reconnaissance,
certains laboratoires n’ont plus le choix : ils ouvrent leurs portes au public,
proposent des réparations, ajustements ou fabrications « direct fabricant ».

Ce n’est pas de la fraude, c’est de la survie.
Et c’est précisément là que commence la dérive :
👉 sans cadre médical, sans formation clinique, et sans encadrement juridique clair.

Comment en est-on arrivé là ?
Parce que le système français a refusé d’évoluer.
Parce qu’au lieu de créer un métier intermédiaire moderne et réglementé,
on a laissé s’installer un vide entre la technique et le soin.

📉 Résultat :
– des prothésistes en détresse ;
– des laboratoires qui bricolent des solutions pour exister ;
– des patients livrés à un système opaque ;
– et toujours aucune réforme structurelle.

💡 Ce vide, ailleurs, a un nom : le Denturiste.
Un professionnel reconnu, formé à la fois à la fabrication et à la prise en charge clinique.
Là où la France laisse mourir sa filière, le monde forme, encadre et protège.

👉 Dans le prochain post : “Laboratoires ouverts au public : zone grise ou danger sanitaire ?”

Adresse

14 Bis Avenue Des Fougeres
Pontault-Combault
77340

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 17:00
Mardi 09:00 - 13:00
Mercredi 09:00 - 17:00
Jeudi 09:00 - 13:00
Vendredi 09:00 - 17:00

Téléphone

+33160285632

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