Sylvaine Pittié Aleix Médecine Traditionnelle Chinoise

Sylvaine Pittié Aleix Médecine Traditionnelle Chinoise Soins Énergétiques | Naturopathie | Acupuncture

11/12/2025

« Sorties, regards, malaise : quand ils devraient “bien se tenir”, mais que l’orage est à l’intérieur »

On parle souvent des enfants TDAH, HP ou hypersensibles comme s’ils étaient « imprévisibles », « ingérables » ou « excessifs ».

Mais ce qu’on oublie de dire, c’est que bien souvent, leurs comportements les plus déroutants ne sont ni des caprices, ni un manque d’éducation, ni de la provocation volontaire.

Ce sont des réponses neurobiologiques à des situations nouvelles (ou non), chargées d’émotions, d’attentes implicites et de stimulations multiples. Face à un environnement inhabituel, socialement exigeant, bruyant, incertain, leur cerveau ne filtre pas l’information comme celui des autres.

Il est submergé. Et quand le cerveau est submergé, le comportement devient parfois incompréhensible… même pour l’enfant lui-même.

Les neurosciences sont très claires sur ce point : chez les enfants présentant un TDAH, une hypersensibilité ou un haut potentiel, les fonctions exécutives celles qui gèrent l’inhibition, la régulation émotionnelle, l’adaptation, la planification sont soit immatures, soit instables, soit suractivées.

Leur système nerveux capte tout, trop vite, trop fort, trop en même temps. Une nouveauté, une frustration, une attente, un changement de règle, un regard posé sur eux, une perte de repères… et tout peut basculer.

Le cerveau passe alors en mode survie : agitation, opposition, mutisme, provocation, grossièreté, retrait, débordement émotionnel. Ce ne sont pas des choix conscients.

Ce sont des mécanismes automatiques de protection.

Ce qui est le plus douloureux, c’est que ces réactions surgissent souvent dans des moments ordinaires de la vie sociale : une sortie, une fête, un magasin, un anniversaire, une activité sportive, un moment privilégié,...

Des lieux où l’on attend d’un enfant qu’il « se tienne bien », qu’il « s’adapte », qu’il « fasse comme les autres ». Alors l’écart devient visible. Et l’enfant devient « celui qui dérange », « celui qu’on évite d’inviter », « celui qu’on ne choisit pas dans l’équipe », « celui qui met mal à l’aise ou que l'on dit mal éduqué» .

Derrière ces comportements, il y a pourtant presque toujours une immense insécurité intérieure, une peur de perdre le contrôle, une surcharge émotionnelle, parfois une jalousie affective, parfois un sentiment d’exclusion anticipée, parfois simplement l’angoisse de ne pas savoir comment se comporter correctement.

Beaucoup de ces enfants veulent bien faire. Ils n’y arrivent pas.

Pour les parents, ces situations sont d’une violence silencieuse. Il y a la fatigue, bien sûr. Mais il y a surtout la honte, la peur du regard des autres, l’impression d’être jugé en permanence, le sentiment d’échec éducatif, parfois même l’envie de ne plus sortir pour éviter les scènes, les tensions, les remarques.

Certains parents finissent par s’isoler, non pas par choix, mais pour se protéger et protéger leur enfant du rejet social. Et cet isolement renforce encore la détresse de tous.

Pourtant, ces comportements ne sont pas une fatalité. Ils peuvent être anticipés, contenus, accompagnés.

La science nous montre que le cerveau de ces enfants a besoin de prévisibilité, de repères clairs, de sécurité émotionnelle, de stabilité, de temps de préparation et de décompression.

Préparer une sortie ou un événement, ce n’est pas « trop en faire ». C’est expliquer où l’on va, ce qui va se passer, combien de temps cela va durer, ce qu’on attend de l’enfant, ce qui sera difficile pour lui, ce qu’il peut faire s’il se sent débordé.

C’est poser un cadre rassurant avant même que l’angoisse ne monte.

C’est aussi accepter que certaines règles doivent être adaptées temporairement, non pas pour faire plaisir, mais pour éviter la saturation.

Après, le temps de retour est tout aussi essentiel. Non pas pour faire un procès du comportement, mais pour aider l’enfant à mettre des mots sur ce qu’il a ressenti, sur ce qui l’a envahi, sur ce qu’il n’a pas compris, sur ce qui l’a mis en difficulté.

Ce travail de verbalisation reconstruit peu à peu les circuits de régulation émotionnelle. Il permet à l’enfant de comprendre ce qui se passe en lui, au lieu de subir ses propres débordements. Et c’est là que la progression devient possible, sortie après sortie, expérience après expérience, moment après moment...

Ce qu’il faut comprendre, c’est que ces enfants ne manquent pas de volonté. Ils manquent souvent de filtres, de freins internes, de sécurité émotionnelle dans l’instant.

Leur comportement n’est pas un message contre l’adulte. C’est un signal de détresse.

Un signal que leur cerveau n’arrive plus à traiter correctement l’environnement. Et plus on répond à ce signal par la punition, l’humiliation, le rejet ou la pression sociale, plus le système nerveux s’emballe.

À l’inverse, plus on répond avec de la structure, du cadre (ferme mais bienveillant), de la prévisibilité, de l’explication, du soutien et du respect des particularités, plus l’enfant apprend à se réguler.

Et puis il faut le dire clairement : ce ne sont pas seulement les comportements de ces enfants qui posent problème. C’est surtout le regard que la société porte sur eux.

Une société qui tolère mal la différence, les débordements, les rythmes atypiques, l’émotion brute. Une société qui valorise l’enfant sage, discret, conforme, rapide, performant. Tout ce qui déborde devient suspect. Tout ce qui sort du cadre devient gênant. Et ce sont toujours les mêmes enfants qui en paient le prix.

Ces enfants ne sont pas « trop ». Ils sont souvent trop seuls avec ce qui les traverse. Ils ne sont pas « pénibles ». Ils sont souvent débordés de l’intérieur. Ils ne manquent pas de règles. Ils manquent surtout de compréhension de leur fonctionnement et de cadres qui respectent leur neurodiversité.

Conclusion

Quand un enfant TDAH, HP ou hypersensible réagit de manière jugée « inappropriée » dans une situation quelconque, ce n’est pas la preuve d’un échec éducatif, ni celle d’un manque d’efforts.

C’est l’expression visible d’un cerveau qui essaie de survivre à une surcharge qu’il ne sait pas encore réguler.

Derrière chaque comportement dérangeant, il y a une tentative d’adaptation.

Derrière chaque débordement, il y a un besoin de sécurité. Et derrière chaque enfant « difficile », il y a un enfant qui aimerait, lui aussi, être simplement invité, choisi, accepté.

Comprendre cela ne rend pas le quotidien plus facile. Mais cela le rend plus juste. Et parfois, c’est déjà ce qui change tout.

11/12/2025

🎭 Se découvrir après des années de masking : pourquoi c’est si difficile de savoir qui on est vraiment?

Recevoir un diagnostic d’autisme à l’âge adulte, c’est un peu comme allumer la lumière dans une pièce où l’on a toujours vécu dans la pénombre. On reconnaît soudain les formes, les couleurs, les obstacles… mais on ne sait plus très bien où se placer, ni même qui on est vraiment dans cet espace enfin éclairé.

Pendant des années (des décennies pour ma part) on a appris à s’adapter, à se fondre, à observer, à copier. Non pas par stratégie consciente, mais parce que c’était la seule façon de survivre dans un monde où notre fonctionnement n’était pas compris. C’est ce qu’on appelle le masking. Et ce masquage permanent laisse une empreinte profonde : il devient tellement automatique qu’il finit par se confondre avec notre identité.

🤝 Vivre en miroir : quand l’identité se construit sur les autres!

Pendant longtemps, je n’ai pas su que mon comportement changeait selon les personnes. Tout semblait “normal”, jusqu’à ce que je réalise que je n’étais jamais réellement la même. Je devenais :

plus silencieux avec certaines personnes,

plus bavard avec d’autres,

plus sérieux, plus drôle, plus discret ou plus expressif selon ce qu’on attendait de moi.

Je ne jouais pas un rôle : j’étais un caméléon émotionnel. Sans m’en rendre compte, je me calquais sur les codes sociaux autour de moi pour éviter la différence, la critique, le rejet.

Le problème, c’est que lorsque l’on passe une vie entière à s’ajuster, à copier et à éviter de “déranger”, on ne développe pas vraiment le réflexe de se demander :

Et moi, qu’est-ce que j’aime ? Qu’est-ce que je veux ? Comment je fonctionne réellement ?

Ces questions arrivent souvent pour la première fois… après le diagnostic.

Une identité “incomplète” parce qu’elle a été construite à l’extérieur

Le masking agit comme une peau supplémentaire : on finit par ne plus savoir où s’arrête ce que les autres attendent de nous et où commence notre propre personnalité.

Quand le diagnostic arrive, il révèle soudain l’écart entre :

➡️la personne qu’on a appris à être pour correspondre,

➡️ la personne qu’on a toujours été, bien cachée, silencieuse, ignorée.

On découvre que nos goûts, nos réactions, nos manières de penser étaient souvent des adaptations. Que nos “qualités” étaient parfois des efforts surhumains. Que nos “défauts” étaient des signes non reconnus de notre neurodivergence.

Cette prise de conscience fait tomber des murs, mais elle laisse aussi un grand vide : si je retire le masque… qu’est-ce qu’il reste ?

Le diagnostic n’apporte pas toutes les réponses… il pose surtout de nouvelles questions

Quand on est diagnostiqué enfant, on apprend parfois à se connaître en même temps qu’on grandit.
Quand on est diagnostiqué adulte, on doit reconstruire une identité sur des fondations qui n’ont jamais été les nôtres. Et ça, c’est vertigineux.

On réalise que :

➡️beaucoup de choix (études, travail, relations) étaient dictés par la volonté de “faire comme il faut”,

➡️nos réactions émotionnelles étaient souvent étouffées pour ne pas déranger,

➡️notre fatigue sociale chronique était un signal ignoré,

➡️nos besoins sensoriels ont été camouflés,

➡️notre personnalité a été filtrée à travers les attentes sociales.

Se redécouvrir demande donc d’apprendre ce que personne ne nous a jamais enseigné : vivre sans se suradapter.

Savoir qui on est vraiment après des années de masking, c’est comme apprendre une langue qu’on aurait dû parler depuis l’enfance. On comprend certaines choses très vite ; d’autres demandent un véritable réapprentissage.

Cela implique :

🩵d’identifier ses vrais besoins (sensoriels, émotionnels, relationnels),

🩵d’explorer ses propres goûts sans se censurer,

🩵de tester de nouveaux comportements plus authentiques,

🩵de tolérer l’inconfort d’être perçu différemment,

🩵d’affronter la peur du rejet qui a façonné tant d’années de sa vie.

C’est un processus qui demande du courage — mais aussi beaucoup de douceur envers soi-même.

💛 Le masking a longtemps été un mécanisme de survie. Et il a rempli son rôle : il nous a permis d’avancer dans un monde pas toujours adapté. Mais aujourd’hui, il ne s’agit plus de survivre : il s’agit d’apprendre à exister, enfin, sans s’effacer.

Découvrir qui l’on est vraiment après des années de camouflage n’est pas simple, mais c’est une aventure profondément libératrice. Petit à petit, on apprend à reconnaître cette voix intérieure qui a été étouffée. On lui fait de la place. On l’écoute. Et un jour, elle finit par se faire entendre.

Ce n’est pas une transformation. C’est un retour à soi aussi compliqué qu'il peut être.

10/12/2025

Les personnes autistes sont particulièrement exposées aux troubles de santé mentale : anxiété, dépression, TDAH, stress post-traumatique… Mais pourquoi ? 🤔

👉 L’exclusion sociale est une grande cause. L’incompréhension, le rejet ou le manque d’inclusion peuvent entraîner un sentiment d’isolement profond.

👉 La surcharge sensorielle (hypersensibilités auditives, visuelles ou tactiles) provoque un stress quotidien intense.

👉 Les injustices et luttes constantes épuisent : devoir toujours "masquer" ou "s’adapter" use mentalement et physiquement.

⚠️ Ces réalités mènent souvent à des épisodes d’anxiété, de dépression ou à un burnout autistique. Malheureusement, les difficultés d’accès à un suivi spécialisé aggravent ces défis.

💡 Que faire pour avancer ?
✨ Reconnaître que ces défis ne sont pas des faiblesses, mais des réalités à comprendre.
✨ Consulter des professionnels formés à l’autisme pour un soutien adapté.
✨ Prendre soin de soi : routines apaisantes, relaxation, écoute de ses limites.
✨ Rejoindre des espaces de partage (groupes de soutien ou communautés en ligne).

La santé mentale mérite toute notre attention. En parler, c’est déjà une étape vers le mieux-être. Prenez soin de vous. 💙

10/12/2025
09/12/2025
09/12/2025
09/12/2025

Trop de soutien, trop d’aménagements, ça tue l’autonomie ! Il doit apprendre à faire tout seul... Ils ne seront pas toujours là pour t'aider !”

Cette phrase, on l’entend partout.

Dans les écoles.
Dans les familles.
Dans les salles des profs.
Sur les réseaux.

Et pourtant… elle est scientifiquement fausse.

Un enfant TDA/H, DYS, HP, avec un trouble de l’attention, de la mémoire, des fonctions exécutives, n’a pas moins de volonté.

Il a un cerveau qui fonctionne autrement.

Lui demander de réussir sans aménagement, c’est comme demander à un myope de lire sans lunettes pour “devenir autonome”.

Ce n’est pas de l’autonomie.
C’est de la mise en échec programmée.

Les neurosciences sont claires :

- Le cerveau apprend mieux quand la charge cognitive est adaptée.

- La réussite renforce les circuits de la motivation.

- Le stress chronique bloque l’accès aux apprentissages.

- La confiance est un moteur neurologique.

Autrement dit :

- Plus un enfant réussit, plus il ose.

- Plus il ose, plus il devient autonome.

- Plus il est en échec, plus il se fige, se ferme, se sabote.

Les aménagements ne sont pas des privilèges. L'accompagnement personnalisé en famille ou en école n'est pas injuste...

Ce sont des compensations fonctionnelles.

Ils ne donnent pas un avantage.
Ils rééquilibrent les chances.

Mais dans la vraie vie, que se passe-t-il sans aménagements ?

On appelle “manque de volonté” ce qui est un trouble neurologique.

On appelle “fainéantise” ce qui est une surcharge cognitive.

On appelle “provocation” ce qui est une détresse exécutive.

On appelle “désinvestissement” ce qui est une fatigue extrême.

Et on ose ensuite dire que l’enfant “ne devient pas autonome”.

La vérité est brutale :

- Ce ne sont pas les aménagements qui créent la dépendance.

- Ce sont les échecs répétés, l’incompréhension et l’humiliation qui détruisent l’autonomie.

Un enfant qu’on aide à réussir apprend comment réussir.
Un enfant qu’on laisse se noyer apprend surtout à ne plus essayer.

L’autonomie ne naît jamais dans la difficulté brute.

Elle naît dans la sécurité, la réussite, la compréhension et le sentiment de compétence.

On ne rend pas un enfant autonome en lui retirant ses appuis.

On le rend autonome en lui apprenant à s’en servir… puis, progressivement, à s’en passer.

L’aménagement n’est pas une béquille à vie.

C’est un pont entre la difficulté et la compétence.

Et un pont, ce n’est pas fait pour y rester coincé.

C’est fait pour traverser !

Si ce post vous dérange, c’est peut-être qu’il touche juste...

Si vous êtes d’accord par contre, partagez-le.

Parce que derrière cette fausse croyance de “trop d’aménagements, trop de soutien, trop d'aide, trop d'accompagnement”, il y a des milliers d’enfants qui perdent confiance… alors qu’ils auraient pu s’envoler.

07/12/2025

L’impact émotionnel d’avoir grandi avec un père absent ou imprévisible.

Grandir sans la présence stable d’un père, c’est porter une blessure dont beaucoup ne parlent pas, mais qui structure toute une personnalité.
Qu’il ait été physiquement absent, émotionnellement indisponible, instable, violent dans ses réactions ou simplement “pas là”, l’effet est le même :
un vide intérieur qui façonne les choix, les relations et la vision de soi.

Quand le père manque, il manque quelque chose dans l’âme.

Et ce manque crée plusieurs conséquences profondes :

1. Une identité fragile et un manque de repères.

Le père est censé être une figure de direction :
la force, la cohérence, la structure, l’encadrement.
Quand il est absent ou imprévisible, l’enfant grandit sans une base solide.
Cela donne des adultes qui doutent d’eux-mêmes, qui n’arrivent pas à se positionner, qui cherchent toujours l’approbation des autres pour se sentir valables.

2. La peur de ne pas être assez.

L’enfant se dit intérieurement :
“Si mon père ne m’a pas regardé, c’est peut-être que je ne méritais pas son regard.”
Cela crée une blessure de dévalorisation qui peut durer toute une vie.
L’adulte devient perfectionniste, anxieux, ou extrêmement exigeant envers lui-même, dans l’espoir d’obtenir enfin la validation qu’il n’a jamais reçue.

3. Une difficulté à faire confiance dans les relations.

L’absence paternelle est un abandon symbolique.
Même quand la personne devient adulte, son système émotionnel reste méfiant.
Elle anticipe le rejet, a peur de s’attacher, ou au contraire s’attache trop, trop vite, par peur d’être laissée encore une fois.

4. Une hypersensibilité au rejet.

Une remarque, un silence, une distance, un changement d’énergie
— tout peut être interprété comme une menace.
Parce que derrière ces réactions se cache une mémoire profonde :
“Un jour, quelqu’un est parti sans m’expliquer pourquoi.”

5. Des difficultés dans la relation avec l’autorité.

L’enfant qui n’a pas eu un père stable ne sait pas comment se positionner face à l’autorité.
Soit il la rejette violemment, soit il la craint excessivement.
Cela crée des problèmes au travail, dans le leadership, ou dans la construction d’un foyer.

6. Une tendance à choisir des partenaires émotionnellement indisponibles.

L’âme rejoue ce qu’elle n’a pas guéri.
Beaucoup de personnes ayant grandi avec un père absent se retrouvent dans des relations où elles doivent “mériter” l’amour, le chercher, courir après.
C’est une répétition inconsciente de l’histoire d’enfance.

7. Une colère accumulée que personne ne comprend.

Ceux qui ont grandi avec un père défaillant portent souvent une colère sourde :
pas contre quelqu’un, mais contre un manque, un vide, un silence.
Cette colère peut se transformer en irritabilité, en impulsivité, ou en fatigue émotionnelle.

La vérité essentielle.

Tu n’es pas responsable des manquements de ton père.
Tu n’avais pas les moyens de réparer ce qu’il n’a pas su construire.
Tu n’étais qu’un enfant.

Mais aujourd’hui, tu n’es plus obligé de porter cette absence comme une condamnation.

La guérison est possible :
– en explorant tes blessures d’attachement,
– en comprenant les mécanismes que tu répètes,
– en reconstruisant ton identité,
– en réécrivant ton rapport à l’autorité, à l’amour et à la figure masculine.

Tu peux devenir l’adulte stable, présent, fiable et enraciné que ton père n’a pas été.

L’absence d’un père marque une vie,
mais elle ne doit plus définir la tienne.

KABEYA - Institut de la Mémoire

Adresse

108 Avenue Charles De Gaulle
Prades
66500

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 19:00
Mardi 09:00 - 19:00
Mercredi 09:00 - 19:00
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