Larzul Julien

Larzul Julien Je vous propose trois options thérapeutiques ou d’accompagnement. La thérapie individuelle es...

Il était une fois, à la fin d’une année bien tourmentée.Dehors, le monde semblait gronder. On parlait politique, crises,...
18/12/2025

Il était une fois, à la fin d’une année bien tourmentée.

Dehors, le monde semblait gronder. On parlait politique, crises, guerres, injustices. Les chaînes d’information tournaient en boucle, les conversations s’échauffaient, et dans les cœurs, parfois, la peur et la colère prenaient toute la place. On avait l’impression que tout se décidait loin de soi, sans qu’on puisse y faire grand-chose. Alors, naturellement, une question revenait sans cesse :
« Qu’est-ce que je peux bien faire, moi, pour changer quelque chose ? Que me reste-t-il comme joie ? Que puis-je offrir à ceux qui m’entourent ? »

À tout cela venaient se mêler les fêtes de fin d’année. Ces fameuses fêtes, si attendues et si redoutées à la fois.
Les tables se dressaient, les guirlandes brillaient, les rires se préparaient… mais derrière les sourires, il y avait aussi les blessures familiales, les non-dits, les absences, les conflits d’hier jamais tout à fait apaisés.
Comme si la grande souffrance du monde venait se déposer, elle aussi, autour de la nappe blanche.

Un soir, dans un petit cabinet chaleureux, une personne vint confier ce poids-là à son thérapeute. Elle lui parla de la tristesse du climat social, de l’angoisse devant l’avenir, de la difficulté à se réjouir quand tant de choses allaient mal, dehors comme dedans. Elle lui parla aussi de ces repas de famille où se mêlaient la joie d’être ensemble et la douleur des choses bancales.

Le thérapeute l’écouta longuement, puis lui dit doucement :

« Si vous étiez mon invité, là, dans ce cabinet, à l’approche des fêtes, je vous proposerais une chose simple, mais précieuse :
Vivre chaque moment comme si c’était le dernier.

Non pas dans la peur de perdre, mais dans l’intensité de ce qui est là, maintenant.
Lâcher prise, un peu, sur le bruit du monde, sur ce que vous ne pouvez pas contrôler, et revenir à ce que vous pouvez encore toucher du doigt : un regard, un sourire, une main posée sur une autre.

Je vous inviterais à retrouver, ne serait-ce qu’un instant, votre âme d’enfant.
À imaginer que vous avez 5 ans, que vous ne savez rien des rivalités politiques, des tensions mondiales, des crises économiques. Vous savez seulement que ce soir, vous êtes avec votre famille. Que vos parents sont là, ou peut-être une grand-mère, un oncle, une sœur, quelqu’un qui compte pour vous.
Et comme cet enfant de 5 ans, vous vous autoriseriez à être simplement heureux d’être là.

Ressentez la chaleur de la pièce, l’odeur du plat qu’on prépare, le son des voix qui se répondent. Laissez le monde extérieur derrière la porte, juste pour quelques heures.
Vous n’effacez pas la souffrance, ni la complexité du monde. Vous choisissez seulement, le temps d’un repas, de vous offrir une oasis.

Demandez-vous alors :
– Quelle petite joie existe encore autour de moi, là, maintenant ?
– Qu’est-ce que je peux faire, à ma mesure, pour adoucir la soirée d’une seule personne à table ?
– Quel geste, quelle parole, quel sourire pourrais-je donner, simplement, sans attendre en retour ?

Parce qu’au fond, les grandes transformations commencent souvent par ces tout petits choix intimes :
Décider d’être présent, d’écouter, de pardonner un peu, ou au moins de mettre la rancœur de côté pour une soirée.
Choisir de regarder ce qui tient encore debout, plutôt que ce qui s’effondre.
Cultiver, dans ce chaos, un îlot de douceur. »

Et ce thérapeute terminerait peut-être ainsi :

« Vous ne pouvez pas sauver le monde ce soir, ni réparer toutes les blessures de votre famille. Mais vous pouvez sauver ce moment-ci, le rendre plus doux, plus vivant, plus vrai.
Vivez ce repas comme si c’était un dernier chapitre d’un conte de famille.
Un chapitre où, malgré les disputes anciennes et les inquiétudes du temps, quelqu’un choisit de remettre un peu de lumière dans la pièce.

Ce quelqu’un, ce pourrait être vous.
Avec votre regard d’adulte lucide, et votre cœur d’enfant retrouvé. »

Et c’est ainsi que, dans la tempête du monde, une famille se retrouva autour d’une table.
Les problèmes n’avaient pas disparu, les risques non plus. Mais, le temps d’un soir, ils décidèrent de ne pas laisser la peur écrire l’histoire.
À la place, ils partagèrent un repas, quelques rires, quelques silences, un peu de tendresse pudique.
C’était peut-être peu de chose.
Mais pour chacun, au fond, c’était déjà beaucoup.

Et ce conte-là, on pouvait choisir de le recommencer, chaque année, chaque fois qu’on se retrouvait autour d’une table, malgré tout.

À la fin d’une année tourmentée, le monde grondait entre crises, guerres et injustices, et beaucoup se demandaient : « Q...
18/12/2025

À la fin d’une année tourmentée, le monde grondait entre crises, guerres et injustices, et beaucoup se demandaient : « Que puis‑je faire, moi ? »
Les fêtes approchaient, avec leurs tables illuminées mais aussi leurs blessures, non‑dits et conflits anciens.
Dans un cabinet, une personne confia son poids à son thérapeute, parlant de la tristesse du monde et des repas de famille bancals.
Le thérapeute lui proposa alors de vivre chaque moment comme si c’était le dernier, non dans la peur, mais dans l’intensité de l’instant présent.
Il l’invita à retrouver son âme d’enfant, à se réjouir simplement d’être là, avec ceux qui comptent encore.
Laisser le tumulte du monde derrière la porte, le temps d’un repas, et chercher une petite joie, un geste, un sourire à offrir.
Les grandes transformations commencent par ces choix intimes : être présent, écouter, pardonner un peu, cultiver un îlot de douceur.
On ne peut pas sauver le monde ni réparer toutes les blessures, mais on peut sauver ce moment‑ci, le rendre plus doux et plus vrai.
Ce soir‑là, une famille choisit de ne pas laisser la peur écrire l’histoire, et partagea repas, rires, silences et tendresse.
Ce fut peu de chose, et pourtant beaucoup – un conte qu’on peut décider de recommencer, chaque fois qu’on se retrouve autour d’une table.

Un voyage vers soiEn cette fin d’année, alors que Noël approche, le royaume des lumières scintille. Partout, les maisons...
17/12/2025

Un voyage vers soi

En cette fin d’année, alors que Noël approche, le royaume des lumières scintille. Partout, les maisons se parent de guirlandes et de rires, mais dans le cœur de certains habitants, de petites ombres demeurent.

Il était une fois une âme qui, chaque hiver, sentait se réveiller de vieux chagrins. Les manques d’hier – un parent disparu, un enfant rêvé, un amour lointain – se glissaient en silence dans son ventre comme de minuscules dragons d’angoisse. Personne ne les voyait, mais eux, ils savaient très bien où se cacher.

Un soir de décembre, alors que la neige commençait à tomber, cette âme entendit un murmure venu de l’intérieur :
« Et si, pour une fois, tu faisais tout pour toi ? Et si tu cessais de te nourrir de tes doutes et de tes peurs ? »

Guidée par cette petite voix, elle ferma les yeux… et se retrouva transportée dans un monde merveilleux.

Devant elle s’étendait un paysage protecteur :
Un ciel doux comme une couverture, un sentier doré qui serpentait au milieu d’une forêt bienveillante. Les arbres chuchotaient des mots de réconfort, les feuilles brillaient comme des souhaits exaucés. L’air sentait la vie, la chaleur, et un parfum de promesses tenues.

À chaque pas sur ce chemin, ses vides intérieurs se remplissaient :
– Ici, une rivière de tendresse venait apaiser ses anciennes blessures.
– Là, une clairière de rires d’enfants illuminait ses souvenirs.
– Plus loin, un vieux banc en bois gardait la place de ceux qui n’étaient plus là, mais dont l’amour continuait de veiller sur elle comme des étoiles.

Et plus elle avançait, plus les petits dragons d’angoisse se transformaient en papillons de lumière. Ils ne la dévoraient plus, ils l’accompagnaient, comme pour lui dire : « Nous avons existé, mais nous ne te gouvernons plus. »

Au bout du chemin, elle découvrit une maison chaleureuse, bâtie de confiance et de douceur. Sur la porte, une inscription brillait :
« Ici vit quelqu’un qui a choisi de se chérir. »

Alors elle comprit :
Qu’elle pouvait accueillir ses manques sans s’y perdre.
Qu’elle pouvait marcher avec ses tristesses sans cesser d’avancer.
Qu’elle avait le droit de créer, pour elle-même, un endroit qui sent bon la vie, même au milieu de l’hiver.

Depuis ce jour-là, chaque fin d’année devint pour elle non plus un rappel de ses souffrances, mais un rendez-vous avec son propre cœur. Et, dans le secret de son monde intérieur, elle continua de tracer ce chemin qui remplissait ses vides et la guidait, pas à pas, vers ses souhaits les plus doux.

Et si tu le veux, cette histoire peut aussi être la tienne.

Un voyage vers soi.                                                           En cette fin d’année, alors que Noël appro...
17/12/2025

Un voyage vers soi. En cette fin d’année, alors que Noël approche, les lumières brillent, mais dans certains cœurs, des ombres demeurent. Les souvenirs d’enfance, les parents absents, les manques et les blessures se réveillent en silence, comme de petits dragons cachés dans le ventre.
Il était une fois une âme qui décida de ne plus se laisser guider par ses peurs. Elle ferma les yeux et s’imagina dans un paysage qui la rassurait : un chemin doux, bordé d’arbres lumineux, où l’air sentait la vie et la chaleur. À chaque pas, ses vides se remplissaient de douceur, de couleurs et de promesses.
Les dragons d’angoisse se changèrent alors en papillons de lumière. Et sur ce chemin intérieur, elle découvrit qu’en faisant tout pour se chérir, elle pouvait transformer la douleur en force et la nostalgie en espoir. Depuis, chaque Noël devint pour elle un voyage vers ses souhaits les plus profonds, et non plus seulement un rappel de ses manques.

Franchement, il ne reste pas beaucoup de place en nous pour être dans une bonne vibe quand notre corps a décidé de lance...
16/12/2025

Franchement, il ne reste pas beaucoup de place en nous pour être dans une bonne vibe quand notre corps a décidé de lancer un festival permanent de « Aïe, j’ai mal ».
Si ta douleur prend toute la place, c’est un peu comme si elle avait posé son canapé au milieu de ton salon intérieur, mis ses pieds sur la table et zappait sur toutes les chaînes.
Et là tu te retrouves à souffrir en silence, sans pouvoir en parler aux autres, alors que toi-même tu ne sais même pas d’où ça vient. C’est comme chercher l’origine d’un bug sur un ordi qui affiche juste « erreur » sans explication.
Mais en vrai, cette souffrance, ce n’est pas juste un supplice gratuit : c’est plutôt un GPS un peu mal réglé qui essaye de te guider vers quelque chose de plus profond.
Derrière, il y a souvent ton enfant intérieur, assis dans un coin, toujours bloqué à un vieux chapitre de sa vie, qui n’a pas pu évoluer et qui a perdu un peu de son innocence.
La douleur, c’est donc un peu comme une alarme intérieure très mal foutue : ça sonne, ça fait paniquer, mais le but, au fond, c’est de te pousser à aller voir ce qui cloche dedans, pour enfin pouvoir ouvrir la porte et laisser ton petit toi respirer à nouveau.

Être avec soi n’est pas une idée abstraite, c’est quelque chose de très concret : il s’agit d’être avec vous, et non con...
15/12/2025

Être avec soi n’est pas une idée abstraite, c’est quelque chose de très concret : il s’agit d’être avec vous, et non contre vous, de ne plus vous maltraiter intérieurement.
S’accepter, c’est entrer véritablement dans le monde, c’est regarder comment vous vous y vivez. Votre manière d’être au monde peut être largement influencée par votre venue au monde et par votre histoire, parfois sans que vous en ayez conscience.
Anne Ancelin Schützenberger en parle très bien dans son livre encore trop peu connu, « Aïe, mes aïeux ! ».
Elle y explique comment le transgénérationnel, ce qui est transmis par nos parents et nos ancêtres, peut occuper une place immense dans nos vies, à travers des « contrats familiaux » qui se répètent de père en fils, de mère en fille, de père en fille ou de fils en mère.
Comprendre cela peut apporter de la lumière sur votre histoire et sur vos souffrances, et ouvrir un chemin plus doux vers vous-même.

Il peut arriver que la souffrance donne l’impression que le monde s’arrête. Comme si tout se figeait au moment où la dou...
13/12/2025

Il peut arriver que la souffrance donne l’impression que le monde s’arrête. Comme si tout se figeait au moment où la douleur surgit. Pourtant, la vie ne s’interrompt pas ; elle nous propose plutôt un arrêt sur image pour que nous puissions voir ce qui se passe en nous.
Le chemin commence souvent par un simple acte de reconnaissance : admettre que quelque chose fait mal. Puis vient l’observation, calme et honnête : comment cette souffrance se manifeste-t-elle dans mon corps, dans mes pensées, dans mes relations ? Comment oriente-t-elle mes choix sans que je m’en rende compte ?
Peu à peu, en la regardant ainsi, on découvre que la souffrance n’est pas seulement un poids : elle devient un signal. Le corps, le cœur, l’esprit se mettent à demander autre chose : une libération, une transformation, une manière nouvelle d’être en relation avec soi-même.
Ce chemin demande de la patience. Chaque situation difficile, chaque émotion forte peut alors être accueillie non pas seulement comme une épreuve, mais comme une expérience possible pour l’être humain : une occasion de se rapprocher de sa blessure, de mieux la comprendre et, parfois, de la transmuter en quelque chose de plus vaste – une lucidité, une tendresse, une force intérieure.
Il ne s’agit pas de nier la douleur, ni de la romantiser, mais de reconnaître qu’en la regardant en face, avec douceur et courage, elle peut devenir un passage vers plus de présence à soi, plus de liberté intérieure, plus d’humanité.

Créer un espace de sécurité en soi n’est pas à la portée de tout le monde.D’abord, il faut avoir de la place en soi : un...
12/12/2025

Créer un espace de sécurité en soi n’est pas à la portée de tout le monde.
D’abord, il faut avoir de la place en soi : une place psychique et corporelle. Cela suppose d’identifier – ou d’avoir déjà compris – ce qui vient nous toucher intérieurement, et de pouvoir prendre une certaine distance avec ce qui nous atteint. Dans l’esprit de Winnicott, il s’agit de trouver une « distance suffisamment bonne » avec l’émotion qui nous fragilise.
Comment apprendre à prendre cette distance ?
En commençant simplement par prendre le temps d’accueillir l’émotion, d’observer ce qui se passe en nous, puis de la laisser se déployer et se libérer : par des larmes, un cri, un mouvement du corps… mais sans la retourner contre l’autre. Il s’agit plutôt de rester avec soi-même, de traverser l’émotion en se respectant, afin de construire peu à peu cet espace intérieur sécurisant.

Nous naissons tous dans un cadre : une famille, une culture, une histoire.Ce cadre nous façonne, nous protège parfois, n...
11/12/2025

Nous naissons tous dans un cadre : une famille, une culture, une histoire.
Ce cadre nous façonne, nous protège parfois, nous freine aussi.
Mais l’être humain a ce pouvoir unique :
questionner ses limites, redessiner ses frontières,
choisir ce qu’il garde, ce qu’il refuse,
et créer son propre chemin.
Tu n’es pas prisonnier de ton cadre.
Tu es l’artiste qui le transforme.

Après un début de semaine qui s’emballe, qui cavale, qui vous embarque comme un TGV sans freins, pensez aussi à prendre ...
10/12/2025

Après un début de semaine qui s’emballe, qui cavale, qui vous embarque comme un TGV sans freins, pensez aussi à prendre rendez-vous… avec vous-même.
Ne partez pas avec la vitesse des autres, non. Laissez-les courir, laissez-les sprinter, laissez-les vivre en accéléré si ça les amuse. Vous, gardez votre tempo, votre petite musique intérieure. Votre rythme, c’est votre territoire, c’est sacré, c’est là que vous respirez.
Car dès que vous adoptez la cadence des autres, vous ouvrez la porte à cette accélération extérieure qui vous submerge, vous envahit, vous dépossède.
Être avec soi, c’est être avec son rythme, avec ses pensées, avec ce léger décalage délicieux qui fait qu’on n’est plus dans la course, mais dans la présence. On ne suit plus le mouvement, on habite enfin sa propre vie

Je ressens, à travers la société et aussi par ce que me partagent mes collègues thérapeutes, qu’en France beaucoup de pe...
09/12/2025

Je ressens, à travers la société et aussi par ce que me partagent mes collègues thérapeutes, qu’en France beaucoup de personnes vivent une profonde souffrance, une forme de dissociation et de perte de repères.

Dans ce contexte, il est essentiel de ne pas vous laisser emporter par la douleur, la peur et la violence qui vous entourent. Revenez, autant que possible, à ce que vous vivez concrètement chaque jour. Ancrez-vous dans le réel de votre vie, et non dans ce que vous pourriez, en théorie, avoir ou être.

Restez connecté à vous-même, à vos besoins, à vos limites. Prenez soin de vous et de votre famille : c’est là un socle précieux, une base stable au milieu du tumulte extérieur.

Ce que je vous partage ici est important : sans cette vigilance, vous risquez de vous charger des peurs de personnes elles-mêmes désancrées, en grande souffrance, qui attendent de vous un apaisement à travers un discours ou un raisonnement qui, parfois, n’est plus réellement relié au monde ni au vivant.

Belle journée,
Julien

Adresse

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Quimper
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