04/09/2025
La glande pinéale, œil d’Horus : un pont entre les mondes
La glande pinéale, petite structure en forme de pomme de pin nichée au centre du cerveau, est souvent associée à l’œil d’Horus dans les traditions ésotériques et symboliques. Cette correspondance ne relève pas du hasard. L’œil d’Horus, en Égypte ancienne, représente la protection, la conscience, la guérison et l’omni vision , des qualités aussi attribuées à cette mystérieuse glande.
D’un point de vue spirituel, la glande pinéale est perçue comme le siège de l’âme, une porte intérieure vers les mondes subtils. Les traditions yogiques la nomment le troisième œil (Ajna chakra), centre de la perception au-delà des sens, réceptacle de l’intuition et de la sagesse profonde. Elle capte la lumière non pas seulement extérieure, mais celle de l’esprit.
L’analogie entre la glande pinéale et l’œil d’Horus devient saisissante lorsqu’on observe une coupe sagittale du cerveau : la forme de la glande et de son environnement rappelle le dessin symbolique de l’œil sacré. Est-ce une coïncidence, ou la trace d’une science ancienne, oubliée puis redécouverte à travers l’intuition et l’éveil ?
Parler de la glande pinéale comme de l’œil d’Horus, c’est reconnaître que l’être humain n’est pas seulement matière, mais aussi conscience incarnée. C’est dire que la lumière véritable ne se trouve pas seulement à l’extérieur, mais aussi en nous, dans ce sanctuaire intérieur que beaucoup ont oublié de visiter.
Quand l’œil d’Horus s’ouvre en nous — c’est-à-dire quand la glande pinéale est activée par une vie alignée, pure et consciente — alors la vision devient claire, non pas au sens physique, mais au sens transcendant. On ne voit plus seulement avec les yeux, mais avec l’âme éveillée.