Anne laure Charton - Thérapeute & Coach en développement personnel

Anne laure Charton - Thérapeute & Coach en développement personnel Chaque accompagnement est unique et intuitif et entièrement adapté à vos besoins et vos souhaits. Retrouvez-moi sur http://annelaurecharton-hypnose.com

Avec une approche douce et globale, je vous accompagne dans toutes les étapes de votre vie pour atteindre l’épanouissement personnel, grâce à l’hypnose Ericksonienne et conversationnelle. Passionnée et formée par l’hypnose et l’exploration de la conscience et de l’inconscient, je vous accompagne à vous libérer des pensées anxiogènes et retrouver confiance en vos capacités.

On ne réalise pas assez à quel point on laisse entrer des choses qui ne nous appartiennent pas.On voit passer des phrase...
05/12/2025

On ne réalise pas assez à quel point on laisse entrer des choses qui ne nous appartiennent pas.

On voit passer des phrases comme :
« Décembre est lourd. Les énergies sont dures. On est tous dans le mal. »

Non.
Décembre n’est pas responsable de notre état intérieur.
Pas plus que la rétrograde de je-ne-sais-quelle planète.
Pas plus que les mémoires de nos ancêtres ou autres concepts.

On peut être traversé… sans s’y soumettre.

On peut ressentir une influence…
et décider qu’elle ne devient pas notre réalité.

On oublie souvent que la véritable autorité, c’est nous.
Nos croyances.
Nos filtres.
Notre manière de laisser (ou non) le monde nous impacter.

Il y a une question qu’on devrait se poser plus souvent :

👉 « Est-ce que j’ai envie que ça ait du pouvoir sur moi ? »

Parce que tout ne mérite pas notre espace mental.
On peut choisir d’être sensible.
On peut choisir de ne pas prendre tout.
On peut choisir de garder uniquement ce qui élève, apaise, ouvre.

Le reste ?
On le laisse dehors.
Avec amour et fermeté.

Notes :
On n’est pas obligé d’adhérer à tous les concepts qui circulent.
On n’est pas obligé d’hériter des croyances familiales.
On n’est pas obligé de faire d’un inconfort un destin.

On choisit ce qui nous influence.
Et le choix… crée déjà une grande partie de notre paix.

Tendresse,

Anne laure 💜


Récemment, une cliente m'a partagé un dilemme : “J’ai deux options. A ou B. Et j’ai peur de faire le mauvais choix. Peur...
02/12/2025

Récemment, une cliente m'a partagé un dilemme :

“J’ai deux options. A ou B. Et j’ai peur de faire le mauvais choix. Peur de regretter. Peur de gâcher ma vie.”

On connaît tous cet endroit-là : l’intersection.

Le moment où la route se sépare, où plusieurs chemins s’offrent à nous, où l’on se fige en croyant qu’il existe un “bon” chemin et un “mauvais”.

En réalité… il n’y a pas de bon ou de mauvais choix.
Il y a un choix. Une direction. Une expérience. Un chapitre.

Quand on se retrouve à ce croisement, la vraie question n’est jamais
“Quelle est la bonne décision ?”

La vraie question, c’est :

— Quel chemin me fait envie aujourd’hui ?
— Quel chemin est le plus proche de ce à quoi j’aspire réellement ?
— Quel chemin nourrit ma joie, mon enthousiasme, mon élan ?
— Et lequel me contracte ? Lequel me tend, rien qu’à l’imaginer ?

La boussole, elle est là : dans nos ressentis, dans nos émotions, dans notre corps.

Et puis, il y a les peurs. Elles sont normales. Mais elles sont aussi des messagères précieuses.

On peut aller regarder :

— Est-ce une peur liée à mon histoire, à mon vécu ?

— Ou une peur que j’ai héritée des autres ? De ma famille, de mon entourage, des “il faut”, des “sois raisonnable”, des “fais attention” qu’on porte sans s’en rendre compte ?

Ce simple tri change tout.

Parce qu’on s’aperçoit que la plupart de nos hésitations ne viennent pas d’un manque de courage, mais d’un trop-plein de regards extérieurs dans notre tête.

Et puis, il y a un point qui apaise instantanément :

Un choix n’est jamais définitif.

On peut choisir une direction aujourd’hui, apprendre, grandir, évoluer… et changer d’avis dans cinq ans.

La vie n’est pas figée. On n’est pas figé. Rien n’est figé.

Quand on ramène de la légèreté dans un choix, tout respire.
On arrête d’en faire une question de vie ou de mort.
On se rappelle qu’on avance sur un terrain de jeu, pas sur un champ de mines.

On choisit là où on veut aller à un instant T, avec ce que l’on sait, ce que l’on ressent.

On n’a pas besoin d’aller mal pour avoir envie de "travailler" sur soi. On passe tellement de temps à “chercher ce qui c...
16/11/2025

On n’a pas besoin d’aller mal pour avoir envie de "travailler" sur soi.

On passe tellement de temps à “chercher ce qui cloche” qu’on en oublie l’essentiel :

on a le droit d’évoluer juste parce qu’on en a envie.

On n’est pas obligé d’avoir un symptôme, un avant/après, une crise ou un effondrement pour mériter la paix.

On peut vouloir plus de légèreté simplement parce qu’on se sent prête.

On peut vouloir grandir juste parce qu’on se respecte.

On peut vouloir s’ouvrir à la vie sans demander la permission à nos histoires.

C’est beau, d’avancer sans se réparer, d’évoluer sans se juger, d’honorer son chemin quand il n’y a “pas de problème”.

On n’est pas un dossier.

On est du mouvement. De la vie.

Tendresse, 

Anne laure 💜 

Thérapeute au service de l'expansion des femmes et des (futures) mères depuis 2020, à travers l'Hypnothérapie & l'HypnoDanse. 🙌

La culpabilité, c’est une émotion qui ne vit que quand on la nourrit.Quand on croit qu’on doit être différent pour être ...
10/11/2025

La culpabilité, c’est une émotion qui ne vit que quand on la nourrit.
Quand on croit qu’on doit être différent pour être aimé.
Quand on confond responsabilité et faute.

Mais un jour, on comprend.
Qu’on peut assumer sans se juger.
Qu’on peut reconnaître sans s’accuser.
Qu’on peut aimer ce qu’on a fait, même si on ferait différemment aujourd’hui.

Ça fait bien longtemps que je ne ressens plus de culpabilité.
Parce que j’ai repris ce pouvoir-là.
Celui de me regarder avec douceur, même quand je trébuche.
Celui de choisir la conscience plutôt que la punition.

Et c’est fou comme la paix revient…
quand on arrête de se punir pour apprendre.

Tendresse,

Anne laure 💜

Hypnothérapie - HypnoDanse - Maternité - Expanser sa vie de femme

Dans ce post, je vous parle de ma vision de la douceur, de la discrétion, souvent vu comme un manque de confiance, de vu...
01/11/2025

Dans ce post, je vous parle de ma vision de la douceur, de la discrétion, souvent vu comme un manque de confiance, de vulnérabilité, mais pour moi il en est tout autre.

Tendresse,

Anne laure 💜

04/10/2025

Participer à la 42ème semaine mondiale de l'allaitement maternel ! 👶

Une semaine dédiée au bien-être des mamans, à l'information et la prévention autour de l'allaitement.
Atelier bien-être, yoga, café allaitement, trouver l'atelier qui vous correspond !

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Coordination Française pour l'Allaitement Maternel

J’ai eu tellement peur d’accueillir un troisième enfant.L’ambivalence de la maternité, encore et toujours.Une partie de ...
01/10/2025

J’ai eu tellement peur d’accueillir un troisième enfant.

L’ambivalence de la maternité, encore et toujours.

Une partie de moi savait que cet enfant aurait sa place.

Qu’il serait entouré d’amour.

Que nous serions dévoués, corps et âme, à son bonheur comme à celui de ses frère et sœur.

Mais… c’était plus fort que moi.

La peur.

Peur de chambouler un équilibre qui s’était installé.

Peur de ne pas l’aimer autant que les autres.

Peur de comparer les enfants entre eux.

Peur de ne pas pouvoir lui offrir la même attention qu’à un premier enfant.

Ces pensées m’ont habitée pendant des mois.

Des insomnies. Des pages et des pages d’écriture et de l'hypnose pour chercher d’où venaient ces peurs, et tenter de les transformer.

Car c'était hors de question qu'elles prennent toute la place.

Une partie de moi était confiante : tout va bien se passer.

Et l’autre murmurait : et si on est trop fatigués ? Comment on va gérer ? La logistique ? La maison ? Le travail ? Les aînés ?

Et puis, le jour de l’accouchement… tout s’est envolé.

J’en ai les larmes aux yeux rien qu’en y repensant.

C’était merveilleux. Intensément simple.

Tous mes doutes ont disparu, laissant place à une posture naturelle que je ne pensais pas avoir :

celle d’une mère de 3 enfants, composant une famille de 5.

Moi qui me pensais pas assez patiente.

Pas assez organisée.

Pas assez ceci, pas assez cela.

Le jour de sa naissance, tout s’est dissout.

J'ai senti que je pouvais porter cette famille et tout ce qu'il y a autour.

Un accouchement en confiance, en conscience. Le plus beau.

Des premiers jours d’une fluidité déconcertante.

Je m’attendais à tout… sauf à ça.

Et en fait, c’est ça :

ne rien attendre, se laisser porter.

S'aimer assez pour se faire confiance, et faire confiance au processus.

Et ce bébé, c’est comme s’il avait toujours été là.

Paisible.

Apaisant.

Créant une nouvelle harmonie

Celle dont j'ai toujours rêvé. 

Tendresse, 

Anne laure 💜 

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