Martine Miesch Sophrologue Praticienne

Martine Miesch Sophrologue Praticienne séances de sophrologie existentielle en individuel ou en groupe

Elle l’a cru.Parce qu’il disait les choses avec cette intensitéqui ressemble à la vérité.Parce qu’il savait poser les mo...
07/12/2025

Elle l’a cru.

Parce qu’il disait les choses avec cette intensité
qui ressemble à la vérité.
Parce qu’il savait poser les mots
exactement là où le cœur a faim.
Parce qu’il savait lire les rêves muets
et les draper de promesses qu’il ne tiendra jamais.

Elle l’a cru.
Comme on croit à une lumière dans la nuit,
par instinct,
par soif,
par besoin de croire qu’on peut encore être choisie.

Elle n’a pas vu
que chaque phrase était un décor,
chaque détail un déguisement,
chaque émotion un emprunt.
Elle n’a pas vu
la fabrique intérieure d’un homme
qui se racontait plus qu’il ne vivait.

Une mythomanie douce,
presque tendre,
une manière de se grandir
pour ne pas disparaître.
Il se maquillait de drames inventés,
de souffrances héroïques,
de victoires qui n’avaient jamais eu lieu.

Et elle, elle prenait tout.
Non par naïveté, mais parce que chaque fragment ressemblait
à ce qu’elle avait toujours rêvé.

Elle l’a cru.
Et elle l’a accueilli.
Elle a cru à ses blessures,
à ses peurs,
à ses renoncements,
à ses élans trop grands.
Elle a cru à tout ce qu’il aurait voulu être,
plus qu’à ce qu’il était vraiment.

Et puis un jour,
la vérité s’est mise à trembler.
Un fil qui dépasse.
Un récit qui se décolle du vrai.
Un mensonge qui en éclairait mille autres,
et mettait à nu toute la mise en scène.

Alors elle s’est vue,
dans le miroir brisé de cette relation,
penchée sur un homme
qui n’existait pas.
Ou peut-être si,
mais seulement dans la version qu’il inventait.

Et comme on ne bâtit rien avec ceux qui choisissent la fiction pour fuir leur vérité,
elle a laissé les projecteurs s’éteindre,
a quitté la scène,
et a repris le fil de sa vraie vie.

Elle l’avait cru.
Oui.
Et il n’y a là aucune honte.

Car les mythomanes ne mentent pas pour tromper.
Ils mentent pour ne pas disparaître.

Photo : Pierre Soulages - Gouache et mine de plomb sur papier 75 x 59 cm - 1999-2000

LE TRIANGLE DRAMATIQUE ou triangle de Karpman Ce triangle dit dramatique est une des bases de jeux psychologiques décrit...
07/12/2025

LE TRIANGLE DRAMATIQUE ou triangle de Karpman
Ce triangle dit dramatique est une des bases de jeux psychologiques décrits en Analyse Transactionnelle. Les jeux psychologiques pouvant être dramatiques jusqu’à entraîner la mort.
Ici on joue à deux mais comme dans la plupart des jeux il y a un gagnant et un perdant.
Donc il y a trois pôles dans lesquels une personne va passer successivement. Le pôle du sauveur, celui du persécuteur et celui de la victime.
Chacun de nous , en fonction de son histoire ( pour obtenir l’attention et donc l’amour de sa mère ou figure maternelle ) se situe dans un pôle :

LE SAUVEUR si enfant on nous a laissé croire que nous pouvions "sauver"notre mère, de l’ennui, de la dépression, de l’immaturité, de la mésentente dans le couple etc..
Le sauveur, peut entretenir consciemment ou inconsciemment celui qu’il veut sauver dans sa posture de victime pour exister. Car le sauveur perd son influence lorsque la victime retrouve son autonomie. C’est pourquoi certains sont très enclins à vouloir sauver l’autre à tout prix.

LE PERSÉCUTEUR si enfant nous avons dû "persécuter" notre mère pour obtenir la satisfaction de nos besoins comme par exemple hurler, pleurnicher, tirer sur sa jupe, ne pas dormir etc..., bref, un petit tyran.

Dans le triangle de Karpmann, la victime de l’un devient rapidement le bourreau de l’autre. Et le sauveur de l’un prend à son tour un rôle de victime. Pour nous affranchir du triangle de Karpmann, nous devons déjà bien en comprendre le fonctionnement du trio en mouvement.

LA VICTIME si enfant nous avons vécu de la maltraitance quelle qu’elle soit. Une maltraitance parfois sournoise et indirecte, corporelle certes mais surtout psychologique.
Or le Sauveur et le Persécuteur ne pouvant exister que parce qu’il y a une Victime vont se mettre en devoir d’en chercher une. Et la Victime va chercher son Persécuteur - victime / bourreau - et son Sauveur pour pouvoir jouer et donc exister.
A savoir que chacun va passer dans les trois pôles afin de jouer au mieux.
La Victime pouvant persécuter et le Persécuteur pouvant être Victime.
Idem pour le Sauveur pouvant être Persécuteur et passer Victime.
De nombreux jeux ont été nommés par Éric Berne ( créateur de l’Analyse Transactionnelle/ AT ), dans son livre "Des jeux et des hommes", tels "pauvre de moi" victime. "Cette fois je te tiens sa**ud" persécuteur , "Oui mais" persécuteur.
Le "oui mais" voulant dire non et "vas te faire fo**re " . Un excellent film "Oui mais" avec Gerard Jugnot nous parle de ces jeux.
Les victimes, qui souffrent de harcèlement, ou d’abus de pouvoir sont généralement impliquées dans ce triangle dramatique. Elles ont besoin, pour s’en sortir de comprendre et d’analyser ce triangle avant de retrouver leur autonomie.

A savoir que c’est LA VICTIME QUI A LE POUVOIR . S’il n’y a plus de Victime, il n’y a plus de jeu, et donc plus de place pour le Sauveur ni le Persécuteur.
On ne peut sauver personne.
Chacun est responsable de sa vie et de sa santé.
Il y a une grande différence entre vouloir sauver et aider !

QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE AIDER ET SAUVER ?
Aider c’est pouvoir répondre oui à quatre questions :
- Est-ce que l’autre me demande ?
( et faire préciser la demande si elle est floue )
- Est-ce que je suis compétent.e ?
- Est-ce que je suis efficace ?
- Est-ce que je laisse à l’autre sa part ? Au moins 50% du travail, du chemin.

Si à une des questions on répond non alors on est dans le sauvetage et on s’épuise. Cela ne sert à rien...

Texte Francine Baraban

Pour mieux comprendre :
Le livre de Éric Berne "Des jeux et des hommes"
Le film " Oui, mais …" avec Gérard Jugnot et Jysa Jaoui

Soleil sur Paris… mes pas me portent vers un avenir éclairé.Stéphane Allix
07/12/2025

Soleil sur Paris… mes pas me portent vers un avenir éclairé.
Stéphane Allix

Je l'ai tellement dans la peau que j'en deviens marteau.Saverio TomasellaDans Psychotropes 2014/1-2 (Vol. 20), pages 135...
07/12/2025

Je l'ai tellement dans la peau que j'en deviens marteau.
Saverio Tomasella
Dans Psychotropes 2014/1-2 (Vol. 20), pages 135 à 151
Lévi-Strauss affirmait la « subordination du psychologique au sociologique ». Aussi est-il légitime de se demander si une « addiction » est une « pathologie » ou plutôt une production sociale.
Notre auteur répond clairement : « Les états pathologiques doivent être considérés comme résultant de conditions particulières à la société. [...] Peut-être pourrait-on aller plus loin encore. Le domaine du pathologique ne se confond jamais avec le domaine de l’individuel, puisque les différents types de troubles se rangent en catégories, admettent une classification et que les formes prédominantes ne sont pas les mêmes selon les sociétés, et selon tel ou tel moment de l’histoire d’une même société [1]
[1]
C. Lévi-Strauss, Introduction à l’œuvre de Marcel Mauss (1950),…. » Sa position d’une limpidité sans ombre n’est pas sans rappeler celle aussi claire de Michel Foucault à la même époque [2]
[2]
M. Foucault, Maladie mentale et psychologie, Paris, PUF, 1954..

2En 2006, je posais comme hypothèse qu’une dépendance concerne avant tout le corps, par le biais des pulsions et de la jouissance, mais aussi par défaut d’incarnation. J’y proposais deux hypothèses corollaires : 1) une dépendance en cache souvent une autre, ou d’autres, invisibles, qu’il est judicieux d’aller explorer ; 2) une dépendance peut être induite par la relation, ou par l’autre dans la relation, pour cimenter le lien, le contrôler, le maîtriser [3]
[3]
S. Tomasella, Vivre en relation : s’ouvrir et rencontrer.
3L’addiction est une dépendance forcenée à une substance, une chose, une personne, une situation ou un certain type de rapport à l’autre. Lorsqu’il s’agit d’une addiction à une relation toxique, il est possible de parler d’« emprise affective », dans une co-dépendance de l’abuseur et de l’abusé, une addiction réciproque du dominant et du dominé.
Dans de nombreux cas, la mise en addiction ressemble fortement à l’embrigadement dans une secte.

Pourquoi a-t-on besoin des autres ? Chaque semaine Charles Pépin répond à une question d'auditeur ➡️ https://l.franceint...
07/12/2025

Pourquoi a-t-on besoin des autres ?
Chaque semaine Charles Pépin répond à une question d'auditeur
➡️ https://l.franceinter.fr/btB

"C'est notre face obscure, elle contient l'ensemble des traits de caractère qui n'ont pas pu se développer dans notre pe...
07/12/2025

"C'est notre face obscure, elle contient l'ensemble des traits de caractère qui n'ont pas pu se développer dans notre personnalité.
Elle symbolise en quelque sorte notre frère jumeau opposé qui est caché dans les profondeurs de notre inconscient.
Ce frère représente ce qui manque à notre conscience, ce qui aurait pu vivre mais est resté enfoui en nous, sans parvenir à naître.
Si vous êtes timide et réservé, votre ombre aura probablement les traits d'un personnage très sûr de lui, séducteur et plein de charme.
À l'inverse, si vous avez une personnalité énergique, si vous adorez les défis et l'aventure, votre ombre aura l'aspect d'un être anxieux, craintif et pantouflard."

Un extrait du livre " Le pouvoir du miroir " par Daniel Cordonier

On passe sa vie à se battre, haletant, désespéré. On se croit vainqueur, mais toutes les humiliations, tous les échecs, ...
07/12/2025

On passe sa vie à se battre, haletant, désespéré.
On se croit vainqueur, mais toutes les humiliations, tous les échecs, toutes les déceptions, les désastres, tout cela reste en vous, attend, et, un jour, remonte et vous étouffe, comme si la faiblesse de l’enfant veillait au cœur de l’homme, prête à le vaincre, prête à l’abattre.

Irène Némirovsky – La proie.

Mon expérience des états-limites.Harold Frederic SearlesTous ces patients borderline, chez qui se manifeste cette sorte ...
07/12/2025

Mon expérience des états-limites.
Harold Frederic Searles

Tous ces patients borderline, chez qui se manifeste cette sorte d’amnésie [de longues périodes de leur enfance] ont en commun, me semble-t-il, d’avoir eu des parents qui, en élevant leur enfant, ont cherché à oublier leur propre passé, au lieu de s’en servir de façon bien intégrée, de s’en servir librement, de l’utiliser comme un guide ou comme support de leur relation avec l’enfant.
Ces parents ont tant de haine non intégrée, de chagrin, de déception, de blessures non perlaborées, etc., qui leur viennent de leur propre enfance, qu’ils ne peuvent pas consciemment mettre leur passé au passé, et qu’à la place ils revivent inconsciemment leur passé avec l’enfant qui se retrouvent, souvent à un âge très tendre, dans la position de mère ou de père, transférentiel de son propre parent.

Le sentiment de la propre identité [du patient bordeline] est si précaire, il repose de manière tellement complexe sur des défenses telles que le déni massif, le clivage, l’identification projective et autres que, s’il tente d’avoir une relation durale et de quelque intensité affective avec quelqu’un, il risque de perdre son identité subjective d’être humain.

L’Éloge du Présent : Quand la Vie Se Déploie Hors du TempsDepuis les origines de la pensée, l’être humain cherche à comp...
07/12/2025

L’Éloge du Présent : Quand la Vie Se Déploie Hors du Temps

Depuis les origines de la pensée, l’être humain cherche à comprendre ce qu’est la vie et ce qu’est le temps. On les imagine souvent indissociables, pourtant une réflexion plus attentive révèle une vérité subtile : la vie authentique commence précisément lorsque nous cessons d’être soumis au temps.

Être vraiment vivant, c’est être hors du temps.

Si l’on définit le temps comme la succession du passé et du futur, alors « être dans le temps » revient à vivre dans le souvenir ou dans l’attente. Cette manière d’exister nous maintient constamment ailleurs — dans ce qui n’est plus ou dans ce qui n’est pas encore — et nous éloigne ainsi de la Vie elle-même.

La véritable existence naît lorsque nous faisons l’expérience d’un état où le temps ne s’impose plus.
C’est là, dans cet intervalle libre de toute projection, que surgit le Présent véritable : non pas un simple point entre hier et demain, mais un état d’être. Un espace vivant, l’« ici et maintenant », où sensations, pensées, émotions et actions s’ouvrent sans être filtrées par le regret ou la peur.

À l’opposé, vivre hors de la Vie, c’est rester prisonnier du passé — dans la rumination, la nostalgie — ou du futur — dans l’inquiétude, l’anticipation. C’est le piège de cet « ailleurs » qui nous fait manquer l’unique réalité qui nous soit réellement offerte : l’instant présent.

En somme, le temps est un outil indispensable pour organiser le monde, mais il ne doit pas devenir notre maître. La vie, elle, ne se trouve qu’ici, dans la présence pleine et entière. Elle demande que nous nous affranchissions sans cesse de la ligne temporelle pour en goûter l’essence, simple et vibrante.

riadzein

LES FAMILLES TOXIQUES.“Toutes les mères n’aiment pas,Et tous les pères ne protègent pas.Il y a des familles si toxiques,...
07/12/2025

LES FAMILLES TOXIQUES.

“Toutes les mères n’aiment pas,
Et tous les pères ne protègent pas.

Il y a des familles si toxiques,
Que la distance tracée,
Claire et ferme,
Est le seul remède pour guérir.

Nous ne venons pas tous par amour,
Y en a qui sont non désirés,
Non attendus,
Non planifiés,
Et dans de nombreux cas, le produit
D’un viol,
Même si nos parents
Étaient mariés.

Il y a des mères rendues folles,
Qui déversent sur nous
Leur colère et leurs blessures.
Il y a des pères pour qui
Nous ne comptons pas,
Ni avant, ni maintenant, ni jamais.

Il y a des frères cruels,
Abusifs, violents et qui se
Croient en droit sur nous.
Il y a des sœurs qui trahissent,
Volent, parlent, envient,
Même ce qui nous appartient.

Il y a des enfants violents, ingrats,
Distants et abusifs envers leurs
Parents.
Des enfants qui n’aiment pas
Leurs propres parents,
Qui sont avec eux
Par intérêt ou
Pour en tirer un profit quelconque.

Il y a des familles qui ne sont jamais
Ou ne seront jamais là pour nous,
Seulement quand cela leur convient,
Pour continuer à nous utiliser
Au nom du sang qui nous unit.

Tant que nous ne cesserons pas
De romantiser la famille,
Le couple, les parents, les frères,
Nous ne pourrons pas grandir, guérir
Et établir des limites saines.

Pour guérir,
Il est nécessaire de voir l’Ombre,
Le côté sombre de notre Arbre.

Il faut de la force et du courage
Pour t’éloigner de ce qui
T’a blessé toute ta vie.

Texte : Suzy Landa
Générations Guéries

Aimer, s'émerveiller, savourer ?La pleine présence ? Qu'en dites-vous ?
07/12/2025

Aimer, s'émerveiller, savourer ?
La pleine présence ?

Qu'en dites-vous ?

" La personnalité que nous affichons aux yeux des autres, et que nous croyons connaître, n'est qu'un aspect de nous-même...
07/12/2025

" La personnalité que nous affichons aux yeux des autres,
et que nous croyons connaître, n'est qu'un aspect de nous-mêmes.
Nous possédons une personnalité cachée, riche de tout un potentiel ignoré ou refoulé.
L'accepter, l'explorer, c'est s'approcher de la sagesse.
Cette crise peut être l'occasion d'une transformation intérieure :
il s'agit d'un chemin que nous empruntons consciemment et activement
en vue de nous accomplir en tant qu'être humain,
et qui passe en priorité par une meilleure connaissance de soi.

Se débarrasser de nos habitudes, de nos clichés,
des facettes superficielles et artificielles de notre personne,
afin de découvrir notre nature profonde.
Une telle démarche nécessite une difficile
et parfois pénible confrontation avec notre personnalité cachée,
la fameuse ombre.
Pour vivre au mieux dans le milieu qui était le nôtre,
nous avons refoulé des aspects de nous-mêmes
qui ne plaisaient pas à notre entourage ou qui,
à un moment donné, nous ont placés dans une situation d'échec.

Nous avons renoncé à des besoins ou à des rêves,
qui nous paraissaient impossibles à réaliser.
À des talents naturels que nous n'avons pas exploités.
Dans notre inconscient sont ainsi tapis quantité de potentialités,
mais aussi de points faibles, d'épisodes douloureux et de démons personnels.
C'est cela l'ombre, la zone obscure
dans laquelle on laisse reposer, avec plus ou moins de succès,
ce qu'on préfère ignorer des aspects contradictoires de sa propre nature.

L'ombre donne relief, densité et profondeur à notre personne apparente.
Dans ce jeu d'ombre et de lumière,
si l'on est prêt à ouvrir la porte sur son inconscient,
on se découvre tel qu'on est.

Accepter son ombre, c'est accepter que le bien et le mal,
cohabitent en nous comme en tout être humain.
Et qu'il nous appartient de dépasser les jugements unilatéraux
pour parvenir à l'harmonie.
L'apprentissage des nuances conduit inévitablement à redéfinir ses croyances,
car le regard porté sur soi et sur les autres en est modifié.
Le mal demande à être pris en considération autant que le bien,
car Bien et Mal font partie tous deux du phénomène clair-obscur qu'est la vie.
Il n'existe finalement rien de bon dont il ne puisse sortir quelque chose de mauvais,
et rien de mauvais dont quelque chose de bon ne puisse sortir.
Refuser son ombre, c'est au contraire se figer
dans une image idéale de soi qui ne correspond pas à la réalité,
porter en permanence un masque que nous confondons avec notre identité,
ce qui nous pousse à projeter sur le monde extérieur
toutes les choses désagréables que nous refusons de voir en nous.
Il nous arrive à tous,
pour éviter d'admettre des traits indésirables
de notre propre personnalité, d'être tentés d'attribuer aux autres
la responsabilité de nos problèmes."

Goulli

Adresse

Rouffach
68250

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Mardi 09:00 - 19:00
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