Laisser vivre son Âme

Laisser vivre son Âme - Guérisseur en cabinet et à distance
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Il y a tant de personnes qui franchissent la porte de mon cabinet avec la même douleur dans les yeux.Elles me disent :« ...
30/08/2025

Il y a tant de personnes qui franchissent la porte de mon cabinet avec la même douleur dans les yeux.

Elles me disent :
« Je n’arrive pas à trouver l’amour. »
« Je tombe toujours dans les mêmes histoires. »
« J’ai l’impression qu’on s’aime, mais au fond ce n’est qu’un mirage. »

Elles portent cette lourdeur silencieuse : la soif d’aimer, et en même temps la peur de répéter les mêmes illusions.

Et c’est vrai : beaucoup de relations ne sont pas bâties sur l’amour véritable, mais sur les blessures qui s’appellent et se répondent entre elles.

Car il faut le dire :

ce que nous croyons être l’amour est souvent seulement la rencontre de nos manques.

Nous portons tous, en nous, des parts blessées. Elles ont appris à survivre en se déguisant, en jouant un rôle. Et dans nos relations, ce sont souvent elles qui prennent le micro pour “appeler” l’autre.

La Victime appelle le Sauveur
Elle dit silencieusement : « Aime-moi, prends soin de moi, protège-moi. »
Alors elle attire un partenaire qui s’épuise à la sauver, croyant aimer, mais qui finit par se lasser.

Le Contrôlant appelle le Dominé
Le contrôlant, en vérité, est terrorisé par l’abandon. Alors il veut tout maîtriser.
Il attire quelqu’un qui se laisse porter, par peur de perdre l’amour, jusqu’au jour où l’étouffement devient insupportable.

Le Dominant appelle le Dépendant
Celui qui a besoin de dominer cache une faille immense : « Si je ne tiens pas l’autre, je disparaîtrai. »
Il attire celui qui accepte de se soumettre, croyant y trouver protection. Mais ce lien n’est pas l’amour : c’est une prison à deux.

La Mère blessée appelle l’Enfant blessé
Elle attire un partenaire qui demande sans cesse, qui attend d’être porté, materné.
Mais derrière ce soin, il y a souvent l’épuisement et la désillusion.

Le Père blessé appelle l’Enfant perdu
Il attire quelqu’un qui cherche une autorité, une direction. Mais au fond, ni l’un ni l’autre ne grandissent : ils rejouent une pièce ancienne, au lieu de s’aimer vraiment.

Ces scénarios, je les vois encore et encore.

Et peut-être que tu te reconnais déjà dans l’un d’eux.

Ce n’est pas de ta faute.

Ce sont simplement tes blessures qui appellent l’amour… mais à travers le prisme de la survie.

Le vrai amour : l’appel du cœur nu

Mais il existe un autre appel.
Un appel plus pur, plus grand, plus simple.

C’est celui qui ne vient pas de nos blessures mais de notre vérité intérieure.

Il ne dit pas : « Sauve-moi, rassure-moi, remplis-moi. »

Il dit : « Je suis. Et je veux partager ce que je suis. »

Le vrai amour ne s’installe pas dans le besoin, mais dans la plénitude.
Il ne cherche pas un parent de substitution, ni une béquille.
Il n’a pas besoin de contrôler ni de dominer.

Le vrai amour est la rencontre de deux êtres qui osent déposer leurs masques.
Deux êtres qui marchent côte à côte, non pas pour se sauver, mais pour s’élever.
Deux êtres qui se regardent et se disent :
« Je ne viens pas combler ton vide. Je viens danser avec ta lumière. »

Alors, comment passer de l’illusion à la vérité ?

Quand quelqu’un qui cherchait toujours une mère apprend à prendre soin de lui-même, il devient prêt à accueillir un partenaire comme un égal, et non comme un parent.

Quand une victime retrouve son pouvoir intérieur, elle attire non plus un sauveur, mais un compagnon qui respecte sa force.

Quand un contrôlant apprend à faire confiance, il peut marcher avec quelqu’un qui l’aime librement, et non sous condition.

Chaque guérison d’une blessure est un masque qui tombe.
Et chaque masque qui tombe rapproche du vrai visage de l’amour.

Si tu lis ces mots, peut-être que ton cœur sait déjà.
Tu sais que tu ne veux plus d’un amour qui rejoue les mêmes prisons.
Tu sais que tu ne veux plus d’un amour qui saigne, qui étouffe, qui contrôle.

Ce que ton âme désire, c’est un amour nu, un amour vrai, un amour qui se construit dans la réciprocité, le respect et la lumière.

Et cela commence en toi.

Car plus tu guéris tes blessures, plus ton appel change.
Il ne résonne plus comme un cri de manque, mais comme une vibration de vérité.

Alors, l’autre qui viendra, n’entendra plus l’appel de ta victime, de ton contrôlant, de ton dominant, de ton parent blessé.

Il entendra l’appel de ton cœur.

Et c’est là que commence le vrai miracle de l’amour.

Et toi, si tu regardes honnêtement ton chemin Est-ce que ton appel vient de ta blessure, ou de ta vérité ?

Grégory Wagner
Médium-Lumière / Activateur / Guérisseur
Rdv Cabinet ou à Distance

Le fardeau silencieux des porteurs de lumière Il existe une réalité douloureuse et trop peu dite dans le chemin spiritue...
25/08/2025

Le fardeau silencieux des porteurs de lumière

Il existe une réalité douloureuse et trop peu dite dans le chemin spirituel : celle des porteurs de lumière, ces êtres qui consacrent leur vie à accompagner, à éclairer, à libérer, à guider.

Beaucoup viennent les consulter avec l’attente d’une guérison, d’une révélation, d’une délivrance… mais sans être réellement prêts à changer.

C’est là que naît une tension immense, car la lumière n’est pas un baume qu’on applique pour calmer une douleur passagère. Elle est une vérité vivante. Et la vérité, lorsqu’elle est révélée, dérange toujours ce qui en nous veut rester figé.

Le rôle du porteur de lumière

Le porteur de lumière n’est pas là pour plaire, flatter, ou répéter ce que l’ego désire entendre.

Il est là pour :

-mettre en lumière les ombres,
-révéler les illusions,
-confronter ce qui limite,
-appeler l’âme à se relever.

Mais cette mission sacrée a un prix : il arrive que celui qui reçoit rejette ce qui est dit, nie ce qui est montré, et se ferme violemment à l’enseignement. Alors, paradoxalement, celui qui a donné la lumière devient celui qui est perçu comme “méchant” ou “dur”.

Quand la lumière blesse

Il faut le dire avec franchise : la lumière blesse toujours les zones qui s’accrochent aux ténèbres.
Celui qui refuse d’avancer ressentira les mots comme une attaque.
Celui qui s’accroche à ses chaînes traitera le porteur de lumière comme son bourreau.
Celui qui ne veut pas voir projettera son aveuglement sur celui qui l’invite à ouvrir les yeux.

C’est une souffrance profonde pour ceux qui portent la lumière : donner sans être reçu.

Car contrairement à ce qu’on croit, la lumière n’est pas neutre : elle brûle, elle transforme, elle exige.

La responsabilité du consultant

Aller voir un porteur de lumière n’est pas un acte anodin.
Ce n’est pas une simple “séance bien-être”, ni un divertissement spirituel.
C’est une rencontre sacrée avec soi-même à travers le miroir d’un autre.

Alors il faut être honnête :

Si vous ne voulez pas changer, ne venez pas.
Si vous ne voulez pas entendre ce qui doit être dit, ne venez pas.
Si vous voulez seulement être conforté dans vos illusions, ne venez pas.

Parce que la lumière ne ment pas. Et vous n’y trouverez pas des mots pour flatter votre ego, mais des vérités pour libérer votre âme.

Le fardeau invisible des porteurs de lumière

Beaucoup ignorent que ce rejet constant, cette inversion des rôles (où celui qui aide finit accusé), est un poids énorme.

Cela dévalorise les porteurs de lumière, cela les épuise, et parfois même les réduit au silence.

Et pourtant… ils continuent, parce qu’ils savent que même un mot rejeté aujourd’hui peut germer demain. Mais il n’en reste pas moins que venir chercher la lumière sans vouloir la recevoir est une forme de violence faite à ceux qui la portent.

La vraie rencontre

Le chemin spirituel demande courage, humilité et ouverture.
Ce n’est pas un confort, c’est une traversée.

Alors la prochaine fois que vous songez à consulter un porteur de lumière, demandez-vous :

Suis-je prêt à entendre ce que mon ego ne veut pas entendre ?
Suis-je prêt à lâcher mes certitudes pour accueillir la vérité ?
Suis-je prêt à changer réellement, et pas seulement à “écouter de jolis mots” ?

Parce que la lumière ne peut pas être consommée comme un produit.

Elle est une force vivante qui exige un engagement.

En conclusion, ne venez pas voir les porteurs de lumière pour “tester”, pour “écouter”, pour “voir ce que ça fait”.

Venez seulement si vous êtes prêts à vous confronter à vous-même, à ouvrir votre cœur, à recevoir l’inconfort d’une vérité qui vous libère.

Sinon, respectez leur mission et leur énergie : ne les sollicitez pas pour ensuite rejeter ce qu’ils donnent.

Car chaque mot porté par eux n’est pas “leur vérité”, mais une lumière qui vous est destinée.

Recevoir cette lumière, c’est choisir la vie. La refuser, c’est rester dans l’ombre.

Grégory Wagner
Medium-Lumière / Activateur / Guérisseur
Rdv en Cabinet à à Distance

La Joie des Petits MomentsIl existe, au creux de chaque journée, des éclats de lumière discrète que l’on ne remarque pas...
24/08/2025

La Joie des Petits Moments

Il existe, au creux de chaque journée, des éclats de lumière discrète que l’on ne remarque pas toujours. Ce sont ces instants minuscules, presque invisibles aux yeux pressés, mais qui détiennent un secret immense : la joie pure.

La joie des petits moments n’a pas besoin de grands éclats, ni de victoires spectaculaires. Elle s’invite dans le silence du matin, lorsque le soleil entrouvre les rideaux et que le monde se réveille encore enveloppé de tendresse. Elle se cache dans le parfum d’un café chaud, dans le rire soudain d’un enfant, dans le frôlement du vent sur la peau, dans une main tendue sans rien attendre en retour.

Ces petits moments sont comme des perles de rosée déposées par le ciel sur le fil de notre existence. Ils ne durent pas, et c’est précisément pour cela qu’ils brillent. La vie nous les offre comme de petites respirations sacrées, des rappels que le bonheur n’est pas une destination lointaine, mais une présence qui pulse déjà, ici et maintenant.

La joie des petits moments, c’est l’art de goûter à la simplicité. Un sourire échangé avec un inconnu qui croise votre route. Le chant d’un oiseau qui résonne dans le ciel, libre et insouciant. La sensation d’une brise douce après un jour lourd et étouffant. Un mot gentil qui tombe à l’improviste, une caresse reçue, une fleur qui s’ouvre sans attendre de spectateurs.

Chaque petit moment nous murmure que nous sommes vivants. Et dans ce murmure, l’âme se souvient de ce qu’elle a toujours su : que le bonheur ne se cherche pas dans de grands projets achevés, mais dans l’attention portée à l’instant présent.

Le Divin, parfois, ne se manifeste pas dans les miracles éclatants, mais dans la discrète perfection de la vie quotidienne. Dans la couleur du ciel qui change d’heure en heure. Dans le silence apaisant qui suit la pluie. Dans une étincelle de gratitude qui surgit au cœur sans raison particulière.

Celui qui apprend à aimer ces petits instants découvre un secret sacré : il ne manque jamais rien. Tout est déjà donné. Le souffle qui entre et sort. La chaleur d’une flamme. La présence de l’air, de la terre, de l’eau et du feu. Tout est miracle, tout est offrande.

Alors, que chaque jour devienne une célébration de ces instants simples. Cueillons la joie dans la banalité, comme on cueille une fleur sauvage au bord d’un chemin. Offrons un regard plein de gratitude à ce qui est ordinaire, car l’ordinaire est le temple où Dieu se cache pour nous sourire.

La joie des petits moments est une prière silencieuse. Elle n’a pas besoin de mots, elle se vit. Elle se respire. Elle se goûte dans l’instant où l’on s’arrête, enfin, pour contempler. Et dans cette contemplation, l’âme danse, légère, libre, lumineuse.

Alors, écoute… Ferme les yeux un instant et laisse monter en toi la mémoire de ces instants précieux. Tu verras qu’ils sont innombrables, semés comme des étoiles dans ta vie. Ils ne demandent qu’à être vus, reconnus, honorés.

Et peut-être qu’un jour tu réaliseras que la vie elle-même n’est qu’une succession de petits moments sacrés… et que la plus grande joie n’est pas ailleurs, mais là, dans le souffle même que tu prends en cet instant.

Gregory Wagner
Médium-Lumière / Activateur / Guérisseur
Rendez vous en Cabinet ou à Distance

Le Syndrome du Prince CharmantIl était une fois, dans le vaste royaume invisible des âmes, un sortilège subtil qui trave...
20/08/2025

Le Syndrome du Prince Charmant

Il était une fois, dans le vaste royaume invisible des âmes, un sortilège subtil qui traversait les générations.

On l’appelait : le syndrome du Prince Charmant.

Un charme ancien, doux en apparence, mais redoutable en vérité.

Car il emprisonnait les cœurs dans une attente éternelle, dans le rêve d’un être merveilleux qui viendrait, un jour, sauver, combler et réparer.

Le rêve doré et sa face cachée

Beaucoup d’âmes ont grandi bercées par ce conte : « Un jour, quelqu’un apparaîtra. Il prendra ma main, effacera mes blessures, me redonnera la valeur que je n’ai jamais sentie. »

Ainsi, dans les songes intérieurs, l’amour est vu comme une clé magique, un sauvetage providentiel, une réparation céleste.

Mais derrière ce rêve doré se cache une vérité plus sombre :

Car attendre d’être sauvé(e), c’est se condamner à l’incomplétude.

C’est placer sur l’autre une couronne trop lourde, une mission impossible.

C’est enfermer l’amour dans une coupe trop étroite, où rien ne circule.

Alors l’amour, au lieu d’être souffle et liberté, devient prison et pression.

Chaque rencontre est vécue comme une épreuve : « Sera-t-il celui qui me sauvera ? Sera-t-elle celle qui comblera enfin mon vide ? »

Et sous ce poids invisible, l’autre s’étouffe, car nul ne peut endosser le rôle d’un sauveur sans se perdre.

La racine : l’ombre du père

Ce syndrome ne naît pas par hasard.

Il prend racine, le plus souvent, dans le lien profond à la figure du père.

Quand le père est absent, lointain ou silencieux, l’enfant grandit avec un vide sacré dans son cœur.

Un vide qui devient, au fil du temps, une quête inconsciente : retrouver un héros, un protecteur, un guide.

Ainsi, le partenaire amoureux devient le héritier de cette projection : il devra donner ce que le père n’a pas su donner, réparer l’histoire, combler l’attente.

Mais c’est là que le piège se referme.

Car nul être humain ne peut guérir à lui seul une blessure d’enfance, ni endosser ce rôle idéalisé sans que l’amour en soit déformé.

Le Prince Charmant n’est alors plus un compagnon, mais une ombre déguisée, un mirage, une illusion qui retarde l’amour véritable.

Le message de la Lumière

Ce que je reçois, dans la clarté de la Lumière, c’est que ce syndrome est une illusion née d’un cœur blessé.

Une illusion tenace, mais qui n’est pas une fatalité.

Le Divin murmure ceci :

« Mon enfant, tu n’as pas besoin d’un sauveur, car tu n’as jamais été abandonné(e).

Ton cœur porte déjà la lumière que tu cherches.

Le Prince que tu attends, c’est ton âme elle-même, couronnée par Moi.

Quand tu redeviens ton propre héros, alors seulement, l’amour peut venir à toi, non pas comme un poids, mais comme une grâce. »

Ainsi, le chemin n’est pas d’attendre l’autre, mais de redevenir entier(e).

C’est en libérant le lien au père, en guérissant l’enfant blessé, que l’on reprend son sceptre, que l’on retrouve sa propre complétude.

Briser le sortilège

Briser le sortilège du Prince Charmant, c’est comprendre que l’amour n’a jamais été destiné à combler un vide, mais à célébrer une plénitude.

C’est accepter que :

Tu n’as pas besoin d’un chevalier pour être digne d’aimer et d’être aimé(e).

Tu portes déjà une couronne invisible, celle de ton essence divine.

L’autre ne vient pas pour te sauver, mais pour marcher librement à tes côtés, dans une danse où deux souverainetés se reconnaissent.

Alors, et seulement alors, l’amour peut apparaître sous sa forme la plus pure :

non plus une quête de réparation, mais une rencontre de deux êtres debout, entiers, lumineux, qui avancent ensemble.

La fin du conte

Et peut-être, un jour, l’amour frappera à ta porte.

Non pas sous les traits du Prince Charmant des contes anciens, mais comme un compagnon libre, un reflet vivant de ta complétude retrouvée.

Et ce jour-là, tu verras que le plus grand des sauvetages était en réalité une renaissance intérieure.

Car l’amour véritable n’est pas celui qui comble, mais celui qui fait rayonner ce que tu es déjà.

Grégory Wagner

Médium Lumière – Activateur Guérisseur

Je reçois au cabinet à Rueil-Malmaison ou à distance, pour celles et ceux qui sentent qu’ils portent encore ce sortilège invisible et qui souhaitent s’en libérer, afin de retrouver leur propre couronne intérieure et ouvrir leur cœur à l’amour véritable.

La vérité sur la guérisonLa guérison est un mystère sacré.Elle n’est pas un miracle extérieur que l’on viendrait recevoi...
19/08/2025

La vérité sur la guérison

La guérison est un mystère sacré.
Elle n’est pas un miracle extérieur que l’on viendrait recevoir sans rien donner.
Elle est une rencontre entre deux mouvements :
• l’amour et la lumière qui descendent,
• et l’engagement intérieur de la personne qui choisit d’ouvrir et d’agir.

Aucun soin, aussi puissant soit-il, ne peut agir si l’âme reste fermée ou immobile.
Car la guérison ne force pas : elle se reçoit, mais elle se construit aussi par une décision, par un mouvement de l’être.

La posture intérieure : clé de la guérison

La manière dont nous entrons dans un chemin de guérison détermine ce qu’il pourra accomplir.

Si je viens en victime, attendant que l’extérieur fasse tout à ma place, je reste spectatrice de ma vie et prisonnière de mon histoire.
Si je viens dans le doute ou dans la passivité, rien ne peut s’ouvrir.
Mais si je viens avec la volonté de me transformer, avec le courage de m’impliquer et de dire un vrai oui, alors la guérison s’active et descend en profondeur.

La guérison demande une participation vivante.
Elle n’est pas donnée à celles et ceux qui attendent, mais à celles et ceux qui s’activent, qui choisissent d’incarner le changement.

C’est en disant :
« Je suis prête à changer. Je suis digne d’être transformée. J’active en moi cette part vivante qui veut avancer. »
que l’on ouvre la voie à la libération.

La responsabilité sacrée

Guérir, ce n’est pas être un spectateur de son histoire.
C’est devenir un acteur de sa renaissance.
C’est poser un pas après l’autre, choisir de lâcher l’ancien, et activer en soi la force de vie qui veut grandir.

Les soins, les accompagnants, le Divin… ne peuvent qu’ouvrir des portes.
Mais c’est à nous de franchir le seuil.
La guérison n’est pas une attente, c’est un mouvement.
Une dynamique où l’âme se lève, prend sa place et dit : « Je choisis d’avancer. »

Le secret

La guérison véritable ne s’adresse pas à nos masques ni à nos passivités.
Elle s’adresse à la part vivante de nous-mêmes, celle qui décide de ne plus subir, mais de se relever.
Celle qui transforme les blessures en tremplin, la douleur en force, et l’histoire en sagesse.

Alors, la grâce descend.
Pas une magie extérieure, mais le miracle d’une âme qui s’active, se réconcilie et renaît.

La guérison est une rencontre active.
Entre la lumière donnée et la volonté d’avancer.
Entre l’amour qui descend et la décision de dire oui.
Entre la grâce offerte et l’engagement intérieur de se transformer.

C’est dans cette activation consciente que tout devient possible.

✨ Grégory Wagner
Médium – Lumière – Activateur – Guérisseur
Consultations à distance ou en cabinet

Ton Corps n’est pas ton SurpoidsTon corps est pur.Ton corps est temple.Il n’a jamais voulu te faire du mal.Il n’est pas ...
18/08/2025

Ton Corps n’est pas ton Surpoids

Ton corps est pur.
Ton corps est temple.
Il n’a jamais voulu te faire du mal.
Il n’est pas responsable du poids que tu portes.

Le surpoids, ce n’est pas ton corps.
C’est toi qui l’as créé, souvent sans le savoir.
Tu l’as façonné à partir de tes blessures, de tes peurs, de tes manques,
comme une armure invisible devenue visible.

Ton corps, lui, n’a fait qu’obéir.
Il a accepté de porter ce poids supplémentaire
parce qu’il a senti que tu en avais besoin pour survivre,
pour te protéger, pour tenir debout.

Ne confonds plus ton temple et ce manteau.
Le temple est sacré, parfait dans sa mission de vie.
Le manteau est une construction : il peut être défait.

Alors, au lieu d’accuser ton corps, remercie-le.
Car lui n’est pas ton ennemi :
il n’a fait que recevoir ce que toi, inconsciemment, tu lui as demandé de porter.

Demande-toi : Pourquoi ai-je eu besoin de créer ce poids ?
Était-ce pour me protéger d’un regard ?
Pour remplir un vide que je ne savais pas combler ?
Pour ralentir un rythme qui m’épuisait ?
Pour donner une forme visible à une douleur invisible ?

Quand tu trouves la réponse, tu comprends que le surpoids n’est pas une fatalité.
C’est une création.
Et ce qui a été créé peut être transformé.

Ton corps, lui, attend.
Il attend ton amour.
Il attend ta réconciliation.
Il attend que tu lui rendes sa dignité,
que tu le reconnaisses pour ce qu’il est : un sanctuaire vivant, jamais coupable, toujours fidèle.

Alors prends ton corps dans tes bras intérieurs et dis-lui :

🌟
“Toi, mon corps, tu es pur.
Le surpoids est une histoire que j’ai écrite,
mais toi, tu n’as fait que m’accompagner.
Merci de m’avoir porté, merci de ne jamais m’avoir abandonné.
Aujourd’hui, je reprends ma responsabilité,
et je rends à mon temple la lumière qu’il mérite.” 🌟

Le corps n’a jamais été le surpoids.
Le corps n’a jamais été la faute.
Le corps est ton temple.
Et toi, tu es l’architecte de ce que tu y déposes.




Avec toute ma lumière,
Gregory Wagner
Médium Lumière - Activateur/ Guérisseur
🌿 Je vous reçois en cabinet pour approfondir ce chemin de réconciliation avec votre corps et votre être.

JAMAIS DE TRAHISON ENVERS UN PORTEUR DE LUMIÈREQuand tu trahis un Porteur de Lumière, peut-être que son cœur, immense, t...
10/08/2025

JAMAIS DE TRAHISON ENVERS UN PORTEUR DE LUMIÈRE

Quand tu trahis un Porteur de Lumière, peut-être que son cœur, immense, trouvera la force de t’offrir un pardon.
Peut-être même que ses mots seront encore teintés de douceur, t’accordant une trêve.
Mais crois-tu vraiment que l’on peut toucher à ce qui porte le Ciel en soi… sans conséquence ?

Un Porteur de Lumière porte la clarté du Soleil dans ses mains.
Il connaît les ombres, il les a traversées, et il en est revenu entier.
Il ne parle pas seulement avec sa voix, mais avec la vibration qui émane de tout son être.

Il marche avec les vents du Très-Haut.
Il façonne avec la puissance du Verbe.
Il bénit avec les eaux vivantes.
Il ancre avec la force tranquille de la Terre.
Il consume l’injustice par le feu sacré.

Lorsque tu blesses un Porteur de Lumière, il ne lève pas l’épée de la vengeance.
Mais sache que la Lumière elle-même se lève.
Ce n’est pas une punition.
C’est l’ordre naturel des choses : tout ce qui ne peut vivre dans la vérité est reconduit à sa propre noirceur.

Trahir un Porteur de Lumière, c’est perdre bien plus que sa confiance.
C’est fermer une porte que même les siècles ne rouvriront pas facilement.
C’est se couper d’une source pure, d’un canal qui reliait ton monde au Divin.

Il ne s’ouvre pas à n’importe qui.
Si un jour il t’a offert un fragment de sa lumière, sache que ce n’était pas un hasard.
Respecte-le.
Protège-le.
Honore-le.

Car ce que tu perds dans cette trahison, ce n’est pas seulement un ami, un frère ou un guide.
Tu perds un lien vivant avec le Royaume de l’Amour.
Et ce lien, une fois brisé, ne revient pas.

Il pourra te pardonner, oui.
Mais ses Guides, ses lignées, ses protecteurs…
Et surtout la Lumière qu’il porte… jamais.

Et cela, ce n’est pas une menace.
C’est une loi.

La Lumière n’abandonne pas ceux qui la servent.
Et elle ne retient pas ceux qui la trahissent.

Adresse

1 Rue Du 4 Septembre
Rueil-Malmaison

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