03/12/2025
Aujourd’hui, 3 décembre, c’est la Journée internationale des personnes handicapées.
Une journée indispensable… parce qu’en France, on est encore loin du compte.
On pense souvent au handicap visible : fauteuils roulants, cannes, chiens guides…
Mais il existe aussi tous les handicaps invisibles :
➡️ douleurs chroniques,
➡️ maladies invalidantes,
➡️ troubles neurodivergents,
➡️ handicaps psychiques,
➡️ fatigue extrême,
➡️ troubles auditifs, cognitifs…
… ceux que l’on ne voit pas, mais qui impactent chaque jour la vie de millions de personnes.
Et pourtant, on les soupçonne, on les minimise, on les juge, on les remet en question.
À côté de ça, les aberrations continuent :
➡️ des lieux publics encore inaccessibles,
➡️ des transports compliqués,
➡️ des enfants sans AESH,
➡️ des démarches interminables,
➡️ des préjugés qui ont la vie dure.
Soyons honnêtes : on peut mieux faire, et on doit mieux faire.
Mais il y a aussi du positif :
✨ de plus en plus de villes investissent dans l’accessibilité,
✨ les mentalités évoluent,
✨ la parole des personnes concernées est enfin écoutée,
✨ les entreprises s’engagent davantage,
✨ et la solidarité, elle, continue de grandir.
Le 3 décembre n’est pas qu’une date dans le calendrier.
C’est un rappel.
👉 Un rappel que l’inclusion n’est pas un “plus”, mais un droit fondamental.
👉 Un rappel que le handicap n’est pas un problème — ce sont les barrières qu’on laisse encore en place.
Alors aujourd’hui, on sensibilise.
Et demain, on continue d’agir.
Pour que personne ne soit laissé de côté, visible ou invisible.