15/10/2025
🔥 100 % des personnes que j’accompagne en burnout (jusqu’ici) se sentent coupables de s’arrêter.
C’est d’ailleurs souvent cette culpabilité qui les a menées jusqu’au point de rupture.
Elles ont appris à “tenir”, à “assurer”, à “ne pas se plaindre”.
Et quand le corps lâche enfin, elles pensent avoir échoué.
Alors, dans les accompagnements, on ne commence pas par “se remettre en action”.
On commence par valider les ressentis.
Nommer la fatigue, la colère, la peur.
Ce n’est pas une faiblesse : nous avons nos limites humaines. Même les machines en ont et on les respecte plus !
C’est juste le corps qui dit stop, après trop de “je dois”, trop de “encore un effort”.
En TCC, on apprend à repérer ces pensées automatiques :
“Je ne fais pas assez.”
“Les autres y arrivent mieux.”
“Je devrais tenir.”
Et les croyances profondes qui y sont associées, pour les restructurer.
En d’autres termes, on fait une mise à jour de son OS ! L’ancien n’était plus très fonctionnel.
Petit à petit, on réapprend à s’écouter, à se reposer sans se justifier,
à se remettre en mouvement par choix, pas par obligation.
💡 Si vous vous reconnaissez là-dedans : votre corps n’est pas votre ennemi. Vous n’en avez qu’un !
Il vous parle — il vous demande juste de l’écouter.
✨ C’est souvent par là que le vrai changement commence :
non pas en en faisant plus, mais en s’autorisant enfin à souffler.
Faire le point pour avancer mieux.
Tant qu’à faire, c’est mieux de ne pas attendre d’être incapable de se lever. Si vous commencez à vous demander le matin pourquoi vous vous levez… il est temps de prendre le temps !