Neuroxygène Nathalie Vialleton

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J'aide les enfants avec troubles Dys, TDA/H, TSA...
et leurs mamans en charge mentale,
grâce au Neurofeedback thérapeutique,
méthode douce qui les aide à retrouver apaisement, attention et confiance en soi.

🥚 Et si l’un des meilleurs alliés de notre cerveau se cachait dans un simple œuf ?Souvent considéré comme un aliment « b...
13/11/2025

🥚 Et si l’un des meilleurs alliés de notre cerveau se cachait dans un simple œuf ?

Souvent considéré comme un aliment « banal », l’œuf est pourtant une véritable mine d’or nutritionnelle pour nos neurones.
Il contient de nombreux nutriments essentiels au bon fonctionnement du cerveau, notamment :

🧠 La choline — un nutriment clé pour la mémoire, l’apprentissage et la concentration.
Elle participe à la fabrication de l’acétylcholine, un neurotransmetteur indispensable à la communication entre les cellules nerveuses.
Un apport suffisant en choline favorise une meilleure attention, une mémoire plus stable et une humeur plus équilibrée.

💪 Les protéines de haute qualité — elles fournissent les acides aminés nécessaires à la production des neurotransmetteurs comme la dopamine et la sérotonine, essentiels à la motivation et au bien-être.

🌞 Les vitamines B (B6, B9, B12) — elles soutiennent la santé du système nerveux, réduisent la fatigue mentale et préviennent le brouillard cérébral.

🥬 Et n’oublions pas les antioxydants présents dans le jaune (lutéine, zéaxanthine), qui protègent le cerveau du stress oxydatif et du vieillissement prématuré.

🍳 En clair, manger des œufs régulièrement — dans le cadre d’une alimentation équilibrée — c’est offrir à son cerveau un carburant de qualité.
Chez les enfants comme chez les adultes, cela favorise la concentration, la mémoire et la stabilité émotionnelle.

Alors la prochaine fois que vous préparez un œuf au plat, une omelette ou des œufs à la coque… pensez à ce petit geste comme à un vrai cadeau pour votre cerveau 💛

Et vous, sous quelle forme aimez-vous les œufs ? 😋

💭 Les ondes alpha et theta… ces fréquences cérébrales qui nous ramènent à la paix intérieure.Nous passons nos journées à...
07/11/2025

💭 Les ondes alpha et theta… ces fréquences cérébrales qui nous ramènent à la paix intérieure.

Nous passons nos journées à mille à l’heure, le mental en alerte, ballotés entre les “il faut” et les “je dois”.
Et notre cerveau, lui, reste coincé dans un mode bêta, celui de la vigilance et du stress.
C’est utile… mais épuisant à la longue.

✨ Les ondes alpha, elles, sont celles de la détente, du calme et de la présence.

C’est l’état dans lequel on se trouve quand on ferme les yeux, qu’on respire, qu’on lâche prise un instant.
Le mental se calme, les tensions s’apaisent, l’énergie circule à nouveau.

Et puis, plus profondément encore, il y a les ondes theta.

Ce sont les ondes du rêve, de la créativité, de l’intuition, mais aussi de la guérison intérieure.
C’est dans cet état que le cerveau peut se réorganiser, se réparer, et apprendre à fonctionner autrement.

🧠 En Neurofeedback thérapeutique, c’est précisément ce que nous cherchons à réactiver :
👉 permettre au cerveau de retrouver spontanément ces états naturels de régulation,
👉 relancer les circuits du calme, de la concentration et du bien-être,
👉 offrir enfin au mental un espace de respiration.

Quand les ondes alpha et theta reprennent leur place, tout change.
Le sommeil devient plus profond, les émotions plus stables, la clarté mentale revient.
On se sent simplement… mieux.
Plus aligné, plus vivant.

Parce que la sérénité, ce n’est pas quelque chose qu’on apprend.

C’est un état qu’on retrouve, quand le cerveau se remet à vibrer au bon rythme. 🌸

Cela t'intéresse, parlons-en...

Gratitude !
06/11/2025

Gratitude !

🎧 Nos ados cherchent des réponses… et parfois, ils les trouvent au mauvais endroit.Entre deux vidéos de gaming ou de mus...
04/11/2025

🎧 Nos ados cherchent des réponses… et parfois, ils les trouvent au mauvais endroit.

Entre deux vidéos de gaming ou de musique, YouTube peut aussi devenir un refuge.
Un endroit où les jeunes, souvent en quête de sens ou de réconfort, tapent discrètement :

> “Comment gérer l’anxiété ?”
“Pourquoi je me sens toujours triste ?”
“Comment mieux dormir ?”

Et là… c’est la loterie.
Entre conseils farfelus, pseudo-experts et recettes miracles, on mesure à quel point il est difficile pour eux de démêler le vrai du faux.

💡 La bonne nouvelle, c’est que YouTube vient d’annoncer la création d’une section dédiée à la santé mentale et au bien-être des adolescents.
👉 Des contenus fiables, vérifiés par des professionnels et surtout adaptés à leur âge seront désormais mis en avant.

Un pas important quand on sait que, selon une étude de l’Inserm, un tiers des adolescents présente un syndrome anxio-dépressif.
Et que 35 % des Français trouvent difficile d’obtenir des informations fiables sur la santé en ligne.

Pour nous, parents, c’est un soulagement… mais aussi un rappel.
Nos enfants vivent dans un monde où l’information est partout — et où la désinformation l’est tout autant.
Leur apprendre à faire le tri, à douter, à poser des questions, c’est aussi les aider à se protéger.

🌿 Et si on profitait de cette initiative pour ouvrir le dialogue à la maison ?
Demander à nos ados ce qu’ils regardent, ce qu’ils croient, ce qu’ils ressentent.
Parce que, derrière les écrans, il y a souvent une recherche bien plus profonde : celle de comprendre ce qui se passe en eux.

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✨ Et vous, vos ados se tournent-ils vers les réseaux pour chercher des réponses à leur mal-être ?
Comment abordez-vous ces sujets avec eux ?

Et si ton enfant portait un masque invisible pour “rentrer dans le moule” ?Je me souviens de ce moment où j’ai surpris m...
28/10/2025

Et si ton enfant portait un masque invisible pour “rentrer dans le moule” ?

Je me souviens de ce moment où j’ai surpris mon fils en train de jouer, un sourire lumineux sur le visage.
De l’extérieur, tout semblait parfait. Mais moi, sa maman, je savais.
Je voyais ce sourire un peu trop figé, ce regard qui cherchait sans cesse à “faire comme les autres”, à être celui qu’on attendait de lui.

Et mon cœur s’est serré.
Parce que derrière ce masque, je voyais toute la fatigue, toute la confusion, toute la peur de ne pas être “assez bien”.

Mon fils a longtemps cru qu’il devait se modeler, s’adapter, cacher ce qui faisait sa différence.
Il a essayé d’entrer dans la norme, de gommer ce qui dépassait.
Et moi, impuissante, je le regardais s’épuiser à vouloir correspondre à un monde qui ne laissait pas de place à sa singularité.

💔 Ce que j’ai découvert plus t**d, c’est que ce comportement a un nom : le masking.
Un mécanisme inconscient, souvent présent chez les enfants neuroatypiques — TDAH, DYS, HPI, TSA — qui apprennent très tôt à “jouer un rôle” pour ne pas déranger, ne pas déborder, ne pas se faire remarquer.
C’est une stratégie de survie, un réflexe pour être accepté, aimé, compris.
Mais c’est aussi une prison invisible.

Derrière ce masque, il y a un enfant qui se sent différent, incompris, parfois même “cassé”.
Un enfant qui voudrait juste qu’on lui dise :

> “Tu as le droit d’être toi. Tu n’as pas besoin de te travestir pour mériter l’amour ou la reconnaissance.”

🕊️ Et si c’était ça, la vraie mission des parents d’enfants neuroatypiques ?
Non pas les “normaliser”, mais leur apprendre à s’aimer tels qu’ils sont, à reconnaître leur valeur, à écouter leur propre rythme.

Aujourd’hui encore, je repense souvent à ces années où je me suis sentie démunie, triste, impuissante.
Je voyais mon enfant s’éloigner de lui-même, et je ne savais pas comment l’aider.
C’est d’ailleurs cette douleur-là qui m’a menée sur le chemin du Neurofeedback thérapeutique.
Parce que j’ai compris qu’avant de vouloir “réparer” quoi que ce soit, il fallait accueillir.
Accueillir les émotions, les particularités, les différences.
Apprendre à voir derrière le masque… et tendre la main à ce qu’il

24/10/2025

Ce matin-là. 6h47. Salle de bain.

Je me brosse les dents en pensant à ma réunion de 9h. Puis à ce mail en ret**d. Puis à ce projet qui coince. Ma main fait les mouvements. Haut, bas, gauche, droite. Automatique.

Je recrache. Je me rince la bouche. Je range la brosse.

Et là, en m’essuyant, je regarde mes mains dans le miroir. Elles tremblent légèrement. Depuis quand ? Aucune idée. Peut-être depuis des semaines. Peut-être depuis des mois.
Je ne les avais pas vues.

Parce que je ne regarde plus mon corps. Je l’utilise. Je le transporte. Je le nourris quand il faut. Je le lave quand il sent. Mais le regarder ? Le sentir ? Ça fait longtemps.

LE JOUR OÙ MON CORPS M’A FORCÉ À REVENIR.

C’était il y a dix-sept ans. Avant même que je commence ma pratique quotidienne.

J’enfilais mes chaussures pour partir courir. Routine du mardi matin. Lacets, porte, cour de graviers, chemins de campagne.

Au bout de cinq cents mètres, une sensation bizarre dans ma chaussure droite. Pas une douleur franche. Quelque chose de mouillé. D’inconfortable. Comme un caillou qui se déplace.

Mon premier réflexe ? L’ignorer. J’avais mon temps à faire. Mes kilomètres à cocher. Mon application qui comptait. Mes statistiques qui m’attendaient.

Alors j’ai continué.

Kilomètre un. La sensation devenait plus insistante. Mais mon cerveau était ailleurs. Sur cette présentation à finaliser. Sur ce conflit avec mon associé. Sur ces décisions à prendre.

Kilomètre deux. Ça commençait à tirer. À brûler légèrement. Mais je ne voulais pas m’arrêter. Pas maintenant. Pas pour ça. C’était sûrement rien.

Kilomètre trois. Je sentais bien que quelque chose clochait. Mais d’une façon étrange, lointaine, comme si cette information arrivait de très loin. Comme un signal radio mal capté.

Retour à la maison. Cinq kilomètres au compteur. Objectif atteint. Satisfait. Jusqu’à ce que j’enlève ma chaussure.

Du sang. Beaucoup de sang. Ma chaussette était trempée, collée à mon pied. Rouge foncé. Ma chaussure aussi. Une ampoule avait éclaté dès le départ. Peut-être même avant.

Je l’avais sentie. Dès cinq cents mètres. Mais je n’avais pas écouté.

J’étais tellement déconnecté de mon corps que j’avais couru cinq kilomètres avec un pied en sang en me disant que “c’était sûrement rien”.

ASSIS PAR TERRE DANS MON ENTRÉE.
Chaussette rouge entre les mains. Pied qui pulse. Sang qui coule encore un peu.

Et cette question qui montait, froide, effrayante : si je peux courir cinq kilomètres avec un pied en sang sans m’arrêter, où suis-je ? Qui habite ce corps ? Qui décide ?

Parce que ce n’était pas moi. Moi, j’étais dans ma tête. Dans mes pensées. Dans mes objectifs. Dans mes “il faut que”.

Mon corps, lui, était devenu un simple outil. Un véhicule. Un moyen de transport pour mon cerveau hyperactif. Une machine à produire, à performer, à cocher des cases.

Et cette machine venait de saigner pendant cinq kilomètres sans que le pilote ne s’en rende compte.

J’ai eu peur. Vraiment peur. Pas de la blessure. De cette absence. De ce vide. De cette déconnexion totale.

LE LENDEMAIN, J’AI APPELÉ MATHILDE.
Une amie kiné. Je lui ai raconté. Elle n’a pas ri. Elle n’a pas trouvé ça anecdotique.

“Jean-Marc, je vois ça tous les jours dans mon cabinet. Des gens qui viennent avec des douleurs chroniques. Je leur demande depuis quand ça fait mal. Ils ne savent pas. Des mois ? Des années ? Ils ne savent plus.”

Elle m’a dit quelque chose qui m’a marqué : “Le corps parle toujours. Mais on a appris à ne plus écouter. On monte le son de notre mental pour couvrir les signaux du corps. Jusqu’au jour où le corps hurle. Et là, on l’entend. Mais c’est trop t**d.”

Mon pied hurlait depuis cinq cents mètres. Je n’avais entendu que trois kilomètres plus t**d.

POURQUOI ON SE DÉCONNECTE ?
J’y ai beaucoup réfléchi pendant les deux semaines où mon pied guérissait. Deux semaines sans pouvoir courir. Forcé à ralentir. Forcé à écouter.

Ressentir son corps, c’est risqué.
Si tu sens ta fatigue, tu risques de devoir t’arrêter. Et tu ne peux pas. Trop à faire. Trop d’attentes. Trop en jeu.

Si tu sens ta douleur, tu risques de devoir changer quelque chose. Ton rythme. Ton travail. Ta relation. Trop compliqué. Trop coûteux.

Si tu sens ton manque, tu risques de devoir l’admettre. La solitude. Le vide. Le besoin de connexion. Trop vulnérable.

Alors on monte dans la tête. C’est plus sûr là-haut. On peut penser, analyser, contrôler, prévoir. On a l’illusion de maîtriser sa vie.

Sauf qu’un corps non écouté finit toujours par crier. Toujours.

Burn-out. Douleurs chroniques. Maladies auto-immunes. Accidents. Effondrements.

Mon pied en sang, c’était un rappel doux comparé à ce qui aurait pu arriver. Un signal d’alarme. Un dernier avertissement avant quelque chose de plus grave.

MATHILDE M’A RECONTACTÉ.
Sept ans plus t**d. Un message simple : “Tu te souviens de ton pied ? J’en suis là. Je ne sens plus rien.”

On s’est vus. Elle m’a raconté. Kinésithérapeute depuis quinze ans. Elle passe ses journées à toucher les corps des autres. À les aider à se reconnecter. À sentir leurs tensions, leurs blocages, leurs douleurs.

“Mais moi ? Je ne sens plus rien, Jean-Marc. Je ne sais même plus si j’ai faim. Je mange parce que c’est midi. Pas parce que mon corps me le dit. Hier, je me suis rendu compte que j’avais mal au ventre depuis deux heures sans m’en apercevoir.”

Son mari lui a fait remarquer qu’elle se cogne partout. Coins de table. Portes. Meubles. “Avant, il trouvait ça drôle. Maintenant, il s’inquiète. Il me dit que je ne suis plus là.”

Elle a raison. Elle n’est plus là. Elle est dans sa tête. Dans ses pensées. Dans son mental qui tourne.

Son corps continue de fonctionner en pilote automatique. Il marche, mange, travaille, touche les corps des patients. Mais elle ne l’habite plus.

JE LUI AI PROPOSÉ QUELQUE CHOSE DE SIMPLE.
“Demain matin, avant de te lever, pose tes mains sur ton ventre. Sens ta respiration. Cinq minutes. C’est tout.”

Elle m’a regardé avec scepticisme. “C’est tout ? Ça semble trop simple.”
“C’est pour ça que ça marche.”

Les trois premiers jours, elle m’a envoyé des messages découragés. “Je ne sens rien. Enfin si, je sens que mon mental commente. ‘Tu respires, et alors ? C’est débile.’ Je veux arrêter.”

Je lui ai dit de tenir. Encore un jour. Juste un.

Le quatrième matin, son message était différent : “Jean-Marc. J’ai senti. Vraiment senti. Pas pensé ‘je respire’. Senti le mouvement. La vie qui pulse. La chaleur sous mes mains. C’était tellement… présent. J’ai pleuré. Je ne savais même plus que c’était possible.”

MON PIED A MIS DEUX SEMAINES À GUÉRIR.
Deux semaines où chaque matin, en changeant le pansement, je regardais cette blessure et je me disais : merci.

Merci de m’avoir rappelé que j’ai un corps. Merci de m’avoir forcé à revenir. Merci d’avoir hurlé avant que quelque chose de plus grave n’arrive.
Aujourd’hui, quand je cours, je sens mes pieds. À chaque foulée. Le contact avec le sol. Le poids qui bascule. L’appui qui change.

Pas toujours. Parfois je repars dans ma tête. C’est humain. Mais maintenant, je m’en rends compte. Et je reviens.

TON CORPS T’ATTEND.
Depuis combien de temps déjà ? Des mois ? Des années ?

Il t’attend patiemment pour que tu reviennes habiter chez toi. Pour que tu arrêtes d’être locataire de ta propre vie.

Parce que ta première maison, ce n’est pas ton appartement. C’est ce corps qui te porte depuis le premier souffle et qui te portera jusqu’au dernier.

Alors maintenant, là où tu es : pose tes mains sur ton ventre. Ferme les yeux. Sens ta respiration. Trois fois. Juste trois respirations conscientes.
Le retour commence ici. Le premier pas vers chez toi.

Jean-Marc

✨ Sais-tu pourquoi nous sommes fatigués même après une bonne nuit de sommeil ? 👉 Une question que beaucoup se posent — e...
24/10/2025

✨ Sais-tu pourquoi nous sommes fatigués même après une bonne nuit de sommeil ?

👉 Une question que beaucoup se posent — et la réponse se cache souvent… dans notre métabolisme sanguin.
Même lorsque le sommeil est réparateur, il arrive que notre corps peine à retrouver toute son énergie. Le coupable ? Un déséquilibre métabolique qui perturbe la circulation de l’oxygène, des nutriments et des hormones essentielles à la vitalité.

🩸 Le métabolisme sanguin joue un rôle clé : il assure le transport de tout ce dont nos cellules ont besoin pour fonctionner. Si ce système tourne au ralenti (mauvaise oxygénation, glycémie instable, carences en fer ou en vitamines…), le cerveau et les muscles se retrouvent en “mode économie d’énergie”. Résultat : fatigue persistante, manque de concentration, baisse de motivation… malgré un sommeil suffisant.

🍎 L’alimentation, l’hydratation, la qualité de l’air, le stress oxydatif ou encore le rythme circadien influencent directement ce métabolisme. En le rééquilibrant, on peut retrouver une énergie durable — sans forcément dormir plus, mais en “nourrissant” mieux nos cellules.

💡 Dans ce post, je t’explique comment repérer les signes d’un métabolisme sanguin lent et quelles habitudes peuvent aider à relancer la machine naturellement.

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23/10/2025

✨ Sais-tu pourquoi nous sommes fatigués même après une bonne nuit de sommeil ?

👉 Une question que beaucoup se posent — et la réponse se cache souvent… dans notre métabolisme sanguin.
Même lorsque le sommeil est réparateur, il arrive que notre corps peine à retrouver toute son énergie. Le coupable ? Un déséquilibre métabolique qui perturbe la circulation de l’oxygène, des nutriments et des hormones essentielles à la vitalité.

🩸 Le métabolisme sanguin joue un rôle clé : il assure le transport de tout ce dont nos cellules ont besoin pour fonctionner. Si ce système tourne au ralenti (mauvaise oxygénation, glycémie instable, carences en fer ou en vitamines…), le cerveau et les muscles se retrouvent en “mode économie d’énergie”. Résultat : fatigue persistante, manque de concentration, baisse de motivation… malgré un sommeil suffisant.

🍎 L’alimentation, l’hydratation, la qualité de l’air, le stress oxydatif ou encore le rythme circadien influencent directement ce métabolisme. En le rééquilibrant, on peut retrouver une énergie durable — sans forcément dormir plus, mais en “nourrissant” mieux nos cellules.

💡 Dans ce post, je t’explique comment repérer les signes d’un métabolisme sanguin lent et quelles habitudes peuvent aider à relancer la machine naturellement.

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