Mathilde Michel, psychologue.

Mathilde Michel, psychologue. Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Mathilde Michel, psychologue., Psychologue, 1 Rue Le Corbusier, Saint-Dié.

15/10/2021

Bonjour à tous,

afin de répondre à une forte demande, des ateliers autour de thématiques liées à la parentalité vont être mis en place au sein de mon cabinet d’ici quelques semaines 📆

Pour être au plus proche de vos besoins je vous invite à commenter cette publication ou à me contacter en message privé pour proposer les thèmes que vous souhaiteriez aborder 📝

Je vous souhaite à tous une belle fin de journée ✨

Ma première bougie au sein du Pôle santé et bien être / Saint Dié des Vosges 🎂Mon petit cocon a bien changé 🤩
24/05/2021

Ma première bougie au sein du Pôle santé et bien être / Saint Dié des Vosges 🎂

Mon petit cocon a bien changé 🤩

Merci à Vosges Matin pour cet article 📝
19/03/2021

Merci à Vosges Matin pour cet article 📝

20/02/2021
08/01/2021

Le pôle Santé & Bien-être de Saint-Dié vous accueil, retrouvez nos coachs sportifs, diététicienne-nutritionniste, esthéticiennes, ostéopathes, praticiennes bien-être, psychologue et sophrologue.

Très belles fêtes de fin d’année ✨🎄Prenez soin de vous & de vos proches ❤️
24/12/2020

Très belles fêtes de fin d’année ✨🎄
Prenez soin de vous & de vos proches ❤️

23/12/2020

Les chercheurs du monde entier sont enfin unanimes : l’abus de télé nuit aux neurones en plein développement des enfants, et affecte leur comportement et leur santé. Le lien entre la télévision et les nouveaux troubles de l’enfance est désormais établi. Si nos enfants restent scotchés devant la télé, c’est qu’elle les plonge dans un état proche de l’hypnose. Les chercheurs ont observé chez l’enfant gavé de télé une nette prédominance de l’activité cérébrale dans l’hémisphère droit, celui qui traite l’information de façon émotionnelle. Résultat : l’esprit critique est annihilé et la capacité d’apprendre diminue.

Depuis 1999, l’American Academy of Pediatrics déconseille de mettre les enfants de moins de 2 ans devant la télévision et demande que les plus grands n’y soient pas exposés plus de deux heures par jour (AAP, 1999). La télévision retarde par ailleurs le langage (Zimmerman et coll., 2005), réduit la capacité d’attention et favorise le surpoids (Dennison et coll., 2002). L’excès de stimulation audiovisuelle peut donc provoquer un déficit de l’attention, voire, pire, de l’hyperactivité (Christakis et al, 2004). Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, auteur de l’une des rares enquêtes françaises sur la question, précise que "l'exposition à la télévision retarde le développement de l'enfant de moins de 3 ans". La télévision n'apporterait selon lui rien à l'enfant parce qu'elle n'est jamais interactive. Le bébé, précise t-il, a besoin de temps pour jouer, ou plus précisément pour apprendre à jouer. En effet, les apprentissages cruciaux à cet âge se font principalement en jouant et interagissant avec le monde.

La télévision affecte par ailleurs la capacité de représentation de l’enfant, autrement dit, sa faculté d’imagination. C’est ce que montre de manière évidente le pédiatre allemand Peter Winterstein, qui a étudié pendant plus de dix-sept ans les dessins de quelque mille neuf cents enfants, âgés de 5 à 6 ans. Plus les enfants passent du temps devant le poste, plus leurs dessins s’appauvrissent en détails et perdent de leur relief, quand ils ne sont pas carrément déstructurés pour les plus « téléphages ». Il est également avéré que la consommation télévisuelle augmente les cauchemars, les difficultés à s’endormir et les réveils au milieu de la nuit, aussi bien chez le bébé que chez l’enfant ou l’adolescent (Johnson et al, 2004).

Par ailleurs, les jeux vidéo et les réseaux sociaux consommées à outrance peuvent affecter le fonctionnement du circuit cérébral de la récompense, perturber la sécrétion de dopamine et dans de rares cas amener à une dépendance. Le risque majeur étant tout de même l'utilisation du jeu comme moyen de fuite face au quotidien de la vie menant à une sorte de « rêvasserie assistée par ordinateur » comme le dit si bien Tisseron.
Les images violentes réduisent par ailleurs la capacité d'empathie des enfants et leurs performances sociales. Malgré l'importance des recherches faites dans ce domaine, la problématique de la violence ou l'agressivité de certains enfants est bien multifactorielle l'impact des images violentes devant être intégré dans une vision globale des facteurs de risques pouvant conduire aux troubles des conduites. L’imagerie cérébrale permet aujourd’hui de comprendre pourquoi devant des images violentes, le cerveau réagit comme s’il était exposé à une situation réelle : il se met en état d’alerte, mobilisant le système limbique (ou siège des émotions), avec des réflexes de fuite ou d’agression. Mais à force de visionner le même genre d’images, ce système d’alerte subit une désensibilisation. Ainsi, progressivement, les enfants s’habituent à la violence et en viennent à la reproduire sans émotion.

La télévision interfère avec le développement, elle peut ainsi aggraver tous les troubles qu'un enfant peut présenter : troubles du sommeil, troubles de la concentration, troubles de l'attention, troubles de la prononciation... Pour éviter les états d'excitation il vaudrait mieux qu'un enfant ne regarde pas la télévision le matin avant d'aller à l'école et le soir, juste avant de se coucher.

Alors du côté des recommandations il est établit qu'il est souhaitable qu'entre 3 et 5 ans, un enfant ne bénéficie pas d'une consommation d'écran au-delà d'une heure ou une heure et demie par jour. En effet, son attention ne peut pas être maintenue si longtemps. A partir de 6 ans, deux heures par jour sont bien suffisantes. Mais n'oublions pas qu'il s'agit de temps d'écran qui doit prendre en compte le temps de télévision et le temps de console de jeux. Il est important dès lors de passer un contrat avec l'enfant qui précise son temps d'écran et le laisser l'aménager comme il le souhaite. C'est une manière de l'inviter à choisir et à exercer sa liberté.

La règle 3-6-9-12 lancée par Serge Tisseron et reprise par AFPA (association française des pédiatres ambulatoires) nous paraît prendre en compte les résultats des recherches et les intégrer de manière efficace. Soit pas d'écrans avant 3 ans, pas de consoles portables avant 6 ans, pas d'internet avant 9 ans , internet seul à partir de 12 ans. Voir l'image jointe.

Il est donc extrêmement important d'encourager dès le jeune âge les bonnes pratiques, de communiquer avec les enfants en leur expliquant les risques et les raisons pour lesquelles on instaure les règles de conduite face aux écrans, leur introduire les notions de sécurité, leur proposer des alternatives de jeux plus traditionnels et sorties en plein air, les stimuler via des activités qui suscitent leur créativité et leur imaginaire, les sensibiliser face aux notions de droit à leur image dans les réseaux sociaux. L'école devrait également jouer ce rôle de sensibilisation.

Article rédigé par Elena Benedito Kourbi - Psychologue de l'enfant.

Sources :
- Bermejos Berros, J ., (2007). Génération télévision, la relation controversée de l'enfant à la télévision. Bruxelles, De Boeck.
- Christakis, D.A., Zimmerman, F.J., DiGiuseppe, D.L., McCarty, C.A., (2004). Early Television Exposure and Subsequent Attentional Problems in Children. Pediatrics vol. 113, n° 4.
- Hancox, R.J., Milne, B.J., Poulton, R., (2005). Association of Television Viewing During Childhood With Poor Educational Achievement. Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine vol. 159.
- Johnson, J.G., Cohen, P., Smailes, E.M., Kasen , S., Brook, J.S., (2002). Television Viewing and Aggressive Behavior During Adolescence and Adulthood. Science vol. 295. n° 5564.
- Johnson, J.G., Cohen, P., Kasen, S., First, M.B., Brook, J.S., (2004). Association Between Television Viewing and Sleep Problems During Adolescence and Early Adulthood. Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine vol. 158, 2004).
- Pagani, L.S., (2010). Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine, vol. 164, n° 5, p. 425-431.
- Pagani, L.S., Fitzpatrick, C., Tracie, A.B., Dubow, A., (2010). Prospective associations between early childhood television exposure and academic,psychosocial, and physical well-being by middle childhood, Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine.
- Pagani, L.S., Lévesque-Seck, F., Fitzpatrick, C., (2016). Prospective associations between televiewing at toddlerhood and later self-reported social impairment at middle school in a Canadian longitudinal cohort born in 1997/1998, Psychological Medicine, Page 1 of 9. © Cambridge University Press.
- Tisseron, S., (2009). Les Dangers de la télé pour les bébés. Toulouse : Eres.
- Tisseron, S., (2012). Rêver, fantasmer, virtualiser. Paris, Dunod, « Psychismes », 192 pages.
- Tisseron, S., (2010). Les effets de la télévision sur les jeunes enfants : prévention de la violence par le " Jeu des trois figures " .Devenir, Vol. 22, pp. 73-93. https://www.cairn.info/revue-devenir-2010-1-page-73.htm
- Tisseron, S., Apprendre à jouer pour développer l’empathie. Spirale, 4/2010 (n° 56), p. 47-56. https://www.cairn.info/revue-spiral...
- Winterstein, P., Jungwirth, R.J., (2007) Enquête faite dans le Service de pédopsychiatrie du Centre Hospitalier d’Ernstein. Kinder-und Jugendarzt, Betreuungsrecht Kompakt. Collection Aktuelles Recht für Die Praxis.
- Brisset, C., (2002). « Les enfants face aux images et aux messages violents diffusés par les différents supports de communication », rapport remis à Dominique Perben, ministre de la Justice.http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/024000633.pdf
- L'enfant et les écrans :http://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/60271-l-enfant-et-les-ecrans.pdf
- Préconisations européennes face à Internet: http://ec.europa.eu/public_opinion/flash/fl_248_en.pdf
http://www.lemonde.fr/vous/chat/2009/11/17/faut-il-interdire-la-tele-aux-tout-petits_1268448_3238.html
- L’enfant et les écrans par Serge Tisseron (2014) : https://www.youtube.com/watch?v=MhHjKNxRTM4

À cette journée ensoleillée ☀️
27/11/2020

À cette journée ensoleillée ☀️

21/09/2020

"Je n'ai pas confiance en moi" 😥
"Je ne m'aime pas" 💔
"Je n'y arriverai jamais" 😔

Ces phrases vous sont familières ?

🟡 ESTIME DE SOI

🟠 CONFIANCE EN SOI

🟢 IMAGE DE SOI

🟣 AMOUR DE SOI

Difficile parfois d'y voir clair, faisons le point !

🟡 L'ESTIME DE SOI est une pensée, cela représente le jugement global que vous portez sur vous, la valeur que vous vous accordez.
L'estime de soi s'intéresse à la relation que vous avez avec vous-même, la façon dont vous vous traitez.

🟠 LA CONFIANCE EN SOI est le sentiment que vous avez vis-à-vis de vos capacités à réaliser quelque chose que vous souhaitez. La confiance en soi est en quelque sorte le moteur qui vous pousse à agir. Avoir confiance en soi c’est avant tout se connaître, c’est croire en son potentiel et en ses capacités.

🟢 L'IMAGE DE SOI est la manière dont vous vous voyez en imagination.
C'est l'idée que chacun d’entre nous se fait de son identité (physique et/ou psychologique). L'image de soi peut vous pousser à adopter des comportements pour agir en cohérence avec la personne que vous pensez être.

🟣 L'AMOUR DE SOI est le sentiment que vous avez de vous aimer ou non malgré vos défauts, vos atouts, vos limites, vos réussites, etc. L'amour de soi ne dépend pas de vos performances.
L’amour de soi s’exprime à travers des sentiments de bien-être et de satisfaction. Il permet d’éprouver la joie de vivre, d’être capable de se rassurer et se réconforter lorsque cela est nécessaire.

Il peut être nécessaire de savoir quel domaine vous pose problème pour trouver les solutions adaptées ✨

02/09/2020

Miroir, mon beau miroir 👥

Étant donné que les parents sont les premiers repères & les repères principaux des enfants, une certaine forme d’imitation va être mise en place.
Nous le constatons dès le plus jeune âge dans les gestes, les balbutiements, les enfants vont chercher à imiter.
Cela reste vrai en grandissant.

L’enfant qui voit son parent agir d’une certaine manière va pouvoir se dire « si maman/papa fait comme ça c’est que l’on doit faire comme ça ». Il apprend à agir et a réagir en fonction de son environnement et de ce qu’il reçoit comme information par ses canaux sensoriels. 👂🏻🖐🏻👁

Cela peut avoir beaucoup de points positifs mais pas que... ⚠️
Le parent, pas toujours conscient de ce mécanisme, sera parfois étonné de l’agissement de son enfant, voire dépassé et va chercher des solutions pour modifier le comportement problème. 🤯

Par exemple :
« Il crie dès qu’il est contrarié » dira la maman ou le papa qui crie quand elle/il est contrarié(e).
« Il tape à chaque fois que ça ne lui va pas » dira l’adulte qui lève la main.
Etc.

Faisons un petit test ✅
Comment agissez-vous face à une situation qui génère en vous de la colère ou de la frustration ?
Par exemple au volant, un autre usager vous coupe la route, quelle est votre réaction ?
Vous aviez prévu une grande balade et un orage éclate faisant tomber à l’eau tous vos plans, comment réagissez vous ?

Maintenant que vous avez la réponse, demandez-vous quelle réaction vous attendez de votre enfant lorsqu’il est frustré ou dans une situation générant de la colère.
Y a t-il une différence entre votre propre réaction face à la frustration et celle que vous attendez de votre enfant ?

Si oui, comment pensez-vous que votre enfant puisse avoir une réaction plus mesurée que vous ? 🤔

Petit point scientifique 🧠
Lorsque nous sommes face à une charge émotionnelle le cerveau primitif prend le pas sur le cerveau rationnel.
Le cerveau primitif fonctionne instinctivement en envoyant des réponses rapides.
Le cerveau rationnel ne sera accessible que lorsque la charge émotionnelle sera réduite.

Votre enfant étant dans l’imitation, essayez d’adopter le comportement, la réaction que vous aimeriez qu’il ait.

Une fois la charge émotionnelle réduite par l’action, essayez d’être dans la communication pour revenir sur ce qu’il s’est passé.

Tout comme lorsque vous êtes en pleine décharge émotionnelle, l’enfant n’est pas en capacité de répondre à des questions comme « qu’est ce qu’il s’est passé ? » « pourquoi tu as fait ça ? » si la charge émotionnelle est encore trop présente.

La verbalisation et la gestion émotionnelle font partie des apprentissages.

Si l’on schématise pour résumer :

Événement générant frustration/colère ➡️ cerveau primitif au premier plan/réponse instinctive (c’est ici que l’apprentissage d’une réponse instinctive adaptée se fait par imitation) ➡️ baisse de la charge émotionnelle ➡️ accès à la partie rationnelle du cerveau ➡️ verbalisation de l’émotion/revenir sur l’événement (c’est ici que l’on apprend à l’enfant à reconnaître et verbaliser son émotion).

« L’aptitude à se calmer seul vient des nombreuses fois où quelqu’un d’autre nous a appris à nous calmer »
R. SAMSON.

30/08/2020

La qualité de l'attachement dans la petite enfance a des répercussions sur toute la vie.

06/08/2020

⚠️ 3 méthodes pour gérer le stress ⚠️

Le « stress » est devenu un mal commun dans notre société, chaque individu a été, est ou sera exposé à des situations générant du stress.

Voici trois méthodes à utiliser pour tenter de le maîtriser.

1️⃣ Respirer 🌬

La respiration est un des meilleures alliés contre le stress.
Pourquoi ?
Lorsque vous êtes stressés, vous avez tendance à hyperventiler, c’est-a-dire à respirer de plus en plus rapidement car votre rythme cardiaque augmente. L’hyperventilation va entraîner d’autres sensations désagréables (nausées, fourmillements, maux de tête,...) qui vont de fait, renforcer le stress 🔁
La respiration va vous aider à reprendre le contrôle sur vous-même.
La respiration abdominale apparaît comme le type de respiration à faire en première intention.
Méthode : posez votre main sur votre ventre et inspirez par le nez, lentement, en gonflant le ventre comme un ballon 🎈
Ensuite expirez par la bouche comme si vous souffliez dans une paille, lentement, en dégonflant votre ventre. Recommencez autant que nécessaire.

Il est important de s’entraîner à respirer pour réussir à le faire de manière naturelle lorsque vous serez confrontés à un événement stressant.

2️⃣ Identifiez vos pensées 🧠

Le stress est adaptatif, il est là pour mettre en garde face à un danger potentiel. Il est donc utile et présent en chacun de nous. Gérer le stress passe par l’identification des pensées associées 💭
En thérapie cognitive, nous pensons que ce sont nos pensées qui induisent nos états émotionnels.

Pour schématiser :
Situation ➡️ Pensée ➡️ Émotion.

Le stress est donc directement lié à la pensée associée.
Lorsque la pensée est identifiée, pour réussir à la contrôler il va falloir se poser un certaines questions (une fois la situation passée et le stress retombé)

❓Déclencheur / A quel moment j’ai commencé à stresser ? (exemple : mon patron me convoque pour un entretien)
❓Que me suis-je dit ? (exemple : j’ai du faire quelque chose qui n’allait pas, quelqu’un s’est plaint de mon travail…)
❓Pensée alternative / Que pourrais-je me dire de moins stressant ? (il veut peut être faire le point sur ma carrière, me proposer une formation...)

Le fait de chercher une pensée alternative devrait vous permettre de faire baisser votre niveau d’anxiété en tentant de réfléchir d’une autre manière.

Petit à petit avec de l’entraînement, ce processus mental deviendra naturel et vous aurez plus de facilités à questionner vos inquiétudes au moment où vous les ressentirez.

3️⃣ Apprendre à résoudre vos problèmes 💪🏻

Être face à un problème et avoir la sensation de ne pas trouver de solution est générateur de stress. Il existe une technique de résolution de problème efficace qui demande à être posée à l’écrit pour plus de clarté 📝

✏️ Définir le problème précisément (Quel est le problème ? Qui cela concerne-t-il ? Comment se manifeste le problème ? Qu’est-ce qu’il induit ?)

Cette étape est sans doute la clé du processus car elle peut vous permettre de voir par exemple que vous ne savez pas réellement quel est le problème, ou peut-être qu’il ne vous concerne pas mais que vous vous l’êtes attribué sans vous en rendre compte ? Peut-être que les conséquences ne sont pas si importantes et que cela pourrait être gérable le temps de trouver une solution ?

💡 Explorer toutes les solutions possibles

Maintenant que le problème est clairement défini, notez noir sur blanc toutes les choses que vous pourriez mettre en place pour régler ce problème. Notez TOUTES les solutions qui vous passent par la tête sans vous préoccuper de leur chance de réussite.

✅ Choisir la solution optimale

Deux astuces pour vous aider dans le choix :
- listez les avantages et les inconvénients de chaque solution.
- notez les sur /10 et choisissez celle qui a le plus haut score.

🏁 Mise en action et l’évaluation des résultats

Voilà, une fois la solution choisie il reste à la mettre en place. Soyez indulgents avec vous-même, laissez vous le droit de ne pas réussir à la première tentative. Et si jamais la solution choisie s’avère ne pas être la bonne, retournez à la partie 3 et sélectionnez en une autre.

En pratiquant régulièrement ses trois méthodes, vous devriez pouvoir mieux gérer votre stress.
N’hésitez pas à commenter ou à me contacter par message privé pour toute question et/ou prise de rendez-vous.

Adresse

1 Rue Le Corbusier
Saint-Dié
88100

Heures d'ouverture

Lundi 08:30 - 18:00
Mardi 08:30 - 18:00
Mercredi 08:30 - 18:00
Jeudi 08:30 - 18:00
Vendredi 08:30 - 18:00
Samedi 08:30 - 12:00

Téléphone

+33648483310

Site Web

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