Hélène MC : Côté Professionnel

Hélène MC : Côté Professionnel La Vie est Sacrée 🍂
Prenons en Soin en Nous
et Autour de Nous 🌺

Hélène 🌿

Des Paillettes et de l'Amour 🤗💕
12/11/2025

Des Paillettes et de l'Amour 🤗💕

11/11/2025

Changer le monde n'est pas ta mission ...
Te changer toi-même n'est pas ton devoir.
T'éveiller à ta Vraie nature ...
Voilà ta chance !

❣️

Mooji

11/11/2025

Nous sommes celles qui sentent avant de comprendre.
Celles qui avancent quand c’est juste
et s’arrêtent quand quelque chose sonne faux.

Nous sommes celles qui n’ont plus besoin de prouver.
Celles qui savent que la paix ne se trouve pas dehors,
mais bien au plus profond d’elles-mêmes.

Nous sommes celles qui entendent entre les mots,
qui regardent sans juger
et choisissent sans se justifier.

Nous sommes celles qui allument des feux doux,
pas pour attirer,
mais pour éclairer le chemin.

Nous sommes celles qui transforment les silences en espace
et les effondrements en racines.

Nous sommes celles qui n’attendent plus qu’on les comprenne.
Nous nous reconnaissons, tout simplement.

Et parce que nous avançons ensemble,
nous apprenons à tendre la main sans nous perdre,
à écouter sans nous éteindre,
à aimer sans nous dissoudre.

Dans ce monde bruyant,
nous avançons simplement,
ancrées,
claires,
entières,
reliées.

~ Barbara Laurent

11/11/2025

Changer demande de la patience.
Lors d'un travail pour se libérer d’une souffrance passée, on peut se sentir très bousculé.
Se libérer, c’est se transformer : quitter une souffrance familière pour une façon d’être sans cette souffrance.
Quitter la peur, le doute, pour la confiance et la joie.
Alors la patience est de mise dans ce processus vers une version inédite de qui tu es.
Il est normal de te sentir bousculé : ton corps n’a aucun souvenir de cet espace nouveau.
Ton système nerveux et ton inconscient n’ont appris qu’à survivre dans d’anciens schémas : sur-analyser, faire plaisir aux autres, te faire petit pour éviter de déranger, d’être jugé ou de déplaire.
Alors, lorsque tu commences à te choisir, à poser des limites, à dire ta vérité, ton système s’affole.
Il te murmure que tu es égoïste, que tu es en danger, que tu ne sais pas faire.
Il essaie de te ramener vers ce chaos familier , non pas parce que tu échoues, mais parce que ton corps a associé le confort à la souffrance. Commence l'invasion des sabotages qui ne souhaite que te préserver dans l'inconnu.
Voilà pourquoi le changement ressemble à un danger…
Voilà pourquoi la guérison peut donner l’impression de se perdre.
Et pourtant, ce n’est pas le cas.
Tu es simplement en train de rencontrer les parts de toi qui n’ont jamais pu exister jusque-là.
Si tu te sens perdu, confus ou traversé par le doute, c’est peut-être bon signe.
Tu n’es pas en train de régresser, mais de franchir un seuil ; celui qui te mène vers une façon d’être au monde nouvelle.
Alors patience et indulgence pour toi,
toi qui as le courage de sortir de ces zones connues pour ouvrir une porte vers une joie libérée.
Que ce passe t il quand tu t'accordes de la bienveillance?

Audrey Gauduchon
www.lasourciere.com
accompagnement et libérations des mémoires familiales , tarot généalogique -Théâtre de vie , atelier & formation

09/11/2025

The Path of the Still Water

There was once a great bear named Ohan, who walked the forest not as a creature of hunger or rage, but as a pilgrim of silence. His fur carried the scent of pine and mountain rain, his breath rose like mist over rivers at dawn. To those who saw him from afar, he was a shadow of strength; to those who truly watched, he was the forest itself, breathing and alive.

Ohan lived by the river that wound through the valley like a silver serpent. Every morning he followed its curve, placing his paws softly upon the damp earth, his reflection rippling beneath him. He was not searching for fish, nor for food. He was searching for something else—something he could not yet name.

Long ago, the elders of the valley spoke of a spirit that lived within still waters. They said if one looked into them long enough, the river would show the truth that the heart could not hide. But few had ever done so, for truth can be a heavier thing than stone.

One spring, after the thaw, Ohan came to a pool where the water was clear and deep. He bent his great head to drink, and as he did, his reflection met his gaze. It did not move with him—it stared back, steady and knowing.

He saw not just a bear, but every shadow of his life—the hunts, the nights of hunger, the storms survived, the small cubs he once watched play by the trees. He saw the faces of others, long gone, and the ways he had been both protector and destroyer.

He felt the weight of it all press against his chest, and for the first time, the great bear trembled. He stepped back, his breath uneven.

The forest around him was quiet. Even the river seemed to pause.

Ohan lay down beside the water, his head resting on the earth. For days he did not move. He let the rain wash over him, the wind dry him, and the night wrap him in its dark arms. He listened—to the drip of water, the whisper of roots beneath him, the slow heartbeat of the land.

And in that stillness, he understood.

The river was not meant to show what he had been, but what he could become. It was not a mirror of the past—it was a guide to peace. He realized that all creatures must walk through their own reflection, face their own truth, before they can flow freely again—like water leaving the mountain for the sea.

When Ohan rose at last, the forest seemed lighter. His steps no longer thundered; they glided. His eyes were softer, but deeper, like pools that held both the sorrow and wisdom of time.

He no longer sought answers from the world around him. He carried them within, like the river carries the mountain’s memory.

From that day, the valley called him The Bear Who Walks With Water. They said when he drank, the river grew calmer; when he crossed, the fish rose near his paws, unafraid. And though his strength was great, it was his quiet heart that changed the land.

Seasons passed. Ohan aged, his fur touched by snow. One dawn, as the mist lifted, he walked to the same pool where he had once met his reflection. The water shimmered, golden in the first light.

He bent his head once more—and this time, the reflection smiled.

Then he stepped forward, and the ripples closed over him.

Some say he became part of the river, that his spirit moves with it through the valleys, watching over those who still seek their own truth in its depths. Others say, on quiet mornings, if you look closely into still water, you might see him there—not as a warning, but as a promise:

That peace is not found by running from who we are, but by meeting our reflection with courage and walking through it.

Bien sur d'autres aspects sont à vour avec votre propre thème ou votre Révolution Solaire 😊😜🙏
09/11/2025

Bien sur d'autres aspects sont à vour avec votre propre thème ou votre Révolution Solaire 😊😜🙏

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Saint-Geours-de-Maremne

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Qui suis je ? En quoi puis je vous accompagner ?

Je suis une Intermédiaire entre votre corps et vous, entre le Ciel et vous, messagère du moment soit dans l'expression de votre corps dans votre vie, à un moment donné ,dans une énergie qui peut donc changer ,pour vous accompagner à l’écouter , parce que Lui votre Corps il sait , et de sortir du Mental fort chez nous les “Blancs” et vers votre Reconnexion à votre Être Véritable en passant des paliers de conscience .

Accoucheuse d’Âme ....vous faire trouver ce qui vous donnera envie de rester sur le plancher des vaches et y vivre sereinement, tel un ballon a reposer la ici et maintenant , les pieds sur terre et la tete un peu dans les etoiles !

Ré-intégrer vos expériences de vie après en avoir libéré l’émotionnel et le raccrocher comme un puzzle à votre enveloppe terrestre , pour en comprendre le lien ,aussi dur soit il ,et récupérer ainsi votre Pouvoir : la capacité à Être en acceptant toutes vos facettes , et surtout celles qui ne vous plaisent pas ... mais on ne jette rien on classe les dossiers ... même terribles, la notion de Pardon se vit, non pour accepter l’intolérable mais ne plus souffrir encore ce qui est totalement différent ...c’est aussi comme défaire un oignon avec plusieurs couches ( parce que oui parfois on pleure et on libère ) pour arriver au Coeur de son Être Véritable Originel , détourné de sa véritable essence, dû aux évènements de sa vie et polir ainsi un diamant brut qui peut briller de sa lumière enfin dévoilée !!! Oui, ce n’est pas confortable , je ne forces rien , tout est donné au bon moment , on peut revisiter cela ensemble en toute Sécurité et Amour de l’Univers Le don véritable d’un guérisseur est de rendre l’autre personne consciente de ses propres souveraineté et autorité intérieures, qu’elle est une étincelle divine et qu’elle a en elle toute la connaissance disponible dont elle a besoin.

Je n’ai certainement pas la science infuse mais j ‘essaies d’être au service de la lumière