04/05/2025
Le Chi Nei Tsang et les bactéries.
Le Chi Nei Tsang est un massage du ventre qui se concentre sur les organes internes.
En énergétique traditionnelle chinoise, le ventre est considéré comme notre deuxième cerveau, lié aux émotions.
Un de mes anciens stagiaires m’a proposé une séance découverte.
Le mots massage est une vue de l’esprit, puisque c’est un travail en profondeur qui est loin d’être un moment agréable. Il m’explique qu’il y a trois niveaux de profondeurs qu’il atteindra avec ses mains. Lors de la première séance il n’a travaillé que sur le premier niveau, déjà là il y avait des endroits sensibles. Je ne vous décris même pas les douleurs lorsqu’il a travaillé sur le deuxième niveau lors de la seconde séance.
Ce n’est pas tant la description de ces séances dont je souhaite vous partager mais plutôt du résultat.
Après la première séance et pendant des semaines, mes reins me faisaient souffrir toutes les nuits. Je me réveillais de douleur systématiquement à 5h du matin. Petite parenthèse, l’heure correspond au méridien du gros intestins, il n’y a pas de hasard.
J’ai bien sûr travaillé énergétiquement sur mes reins, mais cela me soulageait juste sur le moment.
Un médecin, très ouvert sur les médecines douces, me dit que ce sont des bactéries présentent dans nos intestins et dans notre foie qui ont été libérées lors de la séance et qui s’évacuent par les reins. Il m’a vivement conseillé de prendre des compléments dédiés.
Mais avant tout, souffrant toujours de mes reins, j’eu une idée lumineuse : Et si je communiquais avec ces bactéries, un peu à l’image de lorsque j’ai communiqué avec l’énergie des fourmis pour qu’elles quittent notre maison et qui sont partis dès le lendemain.
Go pour l’expérience, j’ai à peine pris contact avec elles que j’ai immédiatement ressenti une réaction énergétique sortir de mon corps, cela a duré quelques secondes.
A partir de ce jour je ne me suis plus jamais réveillé de douleur et mes reins vont bien.
Je ne pensais pas qu’il suffisait ‘juste’ de prendre contact en pleine conscience pour que le travail se fasse.
Et qu’en est-il pour les autres maladies ?
Ne limitons pas nos capacités de guérison, puisqu’elles sont justement sans limite.
Prenez soin de vous