Yolande Anne Humbert. Coach Neuro-Emotionnel et Thérapeute Holistique

09/12/2025

Mon métier : un programme de réparation de l'arbre généalogique ?

Je vous partage les informations précieuses de biodécodage, résumées par une thérapeute chilienne Claudia Gallo et traduites en francais.
Pour mon arbre généalogique, c'est exactement cela... Et vous ?

" Les métiers et l'arbre généalogique.

Ce que tu fais dans ton présent, que ce soit par goût ou par obligation, peut être une réparation d’une histoire familiale non résolue.

Voyons ces ACTIVITÉS…

Tous les conflits émotionnels les plus courants en Biodécodage sont liés à des drames familiaux qui programment en nous un intérêt inconscient !

C’est pour cela que nous choisissons certaines études, certains métiers ou que nous développons certaines compétences.

CONFLIT DE PÈRE ABSENT

« Je dois trouver un bon père, comprendre mon père »

On peut avoir un père absent parce qu’il est mort, qu’il nous a quittés, qu’il avait une autre famille, parce qu’il ne m’a jamais embrassé, ne m’a jamais dit que j’étais formidable.
Parce qu’il est froid, calculateur, qu’il ne prête pas attention, me critique, me juge, me dévalorise, m’offense.
Parce qu’il est trop exigeant, castrateur.

Bref : un père qui ne me comble pas.
Trop dur ou trop faible. Trop ou pas assez de caractère.

Dans cette catégorie, presque toutes les activités représentant l’énergie du père portent un symbolisme fort :

👉 Électricité : électriciens, ingénieries électriques, installations électriques, éclairage, vente de lampes, maintenance électrique, éclairage public, réparation d’appareils électriques, vente d’électroménagers, industrie pétrolière, gaz…

👉 Informatique et réseaux : ingénieries en systèmes, réparation d’ordinateurs, programmation, vente d’informatique, installation d’antennes, satellites…

👉 Emplois gouvernementaux. Pour l’inconscient, le gouvernement = le père (« papa gouvernement »).

👉 Sécurité et forces armées : policiers, vigiles, sécurité privée, soldats, marins, industrie militaire, équipement militaire.

CONFLIT DE MÈRE ABSENTE

« Je dois trouver une bonne mère, comprendre ma mère »

Même logique que pour le père absent, mais avec l’énergie de la mère : chaleur, nutrition, soin.

👉 Nutritionnistes, ingénieurs alimentaires, cuisiniers, chefs, chimistes alimentaires, transformation alimentaire, congélation, emballage, vente de nourriture.
L’aliment = la mère.

👉 Psychiatres, psychologues, thérapeutes, sages-femmes, gynécologues.

CONFLIT DE SÉPARATION

« Je dois réunir la famille »

Séparations physiques ou émotionnelles, divorces, distances, abandons…

👉 Couturières, patronistes, vente de tissus, vente de fils, couture, tissage.

Le tissu = la peau.
Coudre = réunir les membres de la famille séparés.

CONFLIT DE MANQUE DE COMMUNICATION

« Je dois faire en sorte que la famille se comprenne »

👉 Communication, journalisme, secrétariat, design graphique, publicité, vente et réparation d'équipements audio, radio, télévision, téléphonie, réseaux sociaux, messagerie, traduction, relations publiques.

CONFLIT DE FAMILLE « SALE »

« Je dois nettoyer la famille »

La saleté est symbolique : abus, secrets, violence, toxicité familiale…

👉 Nettoyage de maisons, nettoyage de toilettes publiques, canalisations, égouts, balayage, plonge, fumigation, pesticides.

CONFLIT DE DANGER DE MORT

« Je dois sauver le malade ou le blessé »

👉 Médecins, infirmiers, ambulance, paramédical, secouristes, Croix-Rouge, brancardiers, pharmaciens, laboratoires, épidémiologistes, guérisseurs.

CONFLIT DE PROTECTION DE L’ENFANT

« Je dois veiller sur l’enfant pour qu’il ne meure pas »

👉 Infirmières pédiatriques, pédiatres, nounous, nourrices, éducateurs, enseignants, travailleurs sociaux.

CONFLIT DE PERTE ÉCONOMIQUE

« Je dois réparer l’économie familiale »

👉 Administrateurs, comptables, banquiers, caissiers, financiers, prêteurs, maisons de prêts, pensions.

CONFLIT DE PERTE DE MAISON

« Je dois donner une maison à la famille »

👉 Architectes, ingénieurs civils, maçons, immobilier, fabrication de briques, vente de matériaux de construction.

AUTRES DRAMES QUI PROGRAMMENT DES PROFESSIONS

Quand quelqu’un voulait étudier et n’a pas pu :
👉 Enseignants

Quand il y a beaucoup de secrets familiaux :
👉 Détectives, médecins légistes, archivistes, bibliothécaires

Quand il y a des noyades dans la famille :
👉 Plongeurs, marins, pêcheurs

« Ramener les morts à la vie » :
👉 Acteurs, danseurs, chauffeurs, entraîneurs sportifs

Problèmes légaux, fraudes :
👉 Avocats

Dévalorisation esthétique :
👉 Maquilleurs, coiffeurs, chirurgiens plastiques, esthéticiens, boutiques

Famine familiale :
👉 Agriculteurs, ingénieurs agronomes, production alimentaire

Besoin de reconnaissance :
👉 Politiques, leaders syndicaux

Pertes ou drames dans des incendies :
👉 Pompiers

Manque d’enfants :
👉 Jardiniers, fleuristes

Tristesse familiale :
👉 Acteurs, comédiens

Interprétation

C’est ainsi qu’on interprète les symbolismes.

Parfois, ce que nous faisons dans la vie est une manière d’apaiser une nécessité familiale non résolue :
soit par envie, par goût, par obligation,
ou parce que quelque chose nous y pousse inconsciemment.

Nos activités peuvent être une réparation du clan.

Notre profession peut n’être qu’une étape, car il peut exister quelque chose de plus profond à accomplir."

12/11/2025

COMPRENDRE LA LEUCÉMIE
( traduction du texte original en espagnol)

Le véritable problème est de « croire » que la leucémie est un cancer, alors qu’en réalité, la leucémie n’est que la phase de résolution d’un cancer des os, de la moelle osseuse que nous avons déjà eu, que nous avons déjà résolu et qui n’a jamais été détecté (car souvenez-vous, lorsque les « symptômes » apparaissent, c’est parce que nous avons déjà résolu le conflit).

Les phases des maladies. Et je dis qu’il ne serait pas inutile que les personnes intéressées, vraiment intéressées, jettent un œil à toutes ces informations.
En résumant les phases des maladies, nous constatons que, tant que nous vivons un conflit émotionnel, nous sommes en CONFLIT ACTIF, et que lorsque nous avons résolu notre conflit émotionnel, nous sommes en CONFLIT EN RÉSOLUTION. Je répète que ce qui précède est un simple résumé. Il existe évidemment de nombreux détails précis concernant cette généralité.

Par conséquent, en revenant au sujet de la leucémie, celle-ci est le signe indiscutable que nous avons déjà résolu notre conflit, qui, dans le cas des os ou de la moelle osseuse, sera TOUJOURS lié à une grande DÉVALORISATION.

Souvenez-vous, notez, mémorisez ce que je viens de dire : LES OS (Moelle osseuse) NE SONT AFFECTÉS QUE SI JE VIS UN CONFLIT GRAVE DE DÉVALORISATION.
Sachant cela, faites maintenant attention à ce qui suit : les os ne feront jamais mal, ne causeront aucun désagrément tant que nous sommes en CONFLIT ACTIF.

C’est-à-dire que nous ne nous en rendrons jamais compte, nous ne le saurons jamais, nous ne ressentirons aucune gêne tant que nous vivrons un conflit grave de dévalorisation. Il n’y a aucun symptôme en conflit actif.

En PHASE DE RÉSOLUTION, c’est tout le contraire : il y a des douleurs, et beaucoup. Les os font mal, deviennent fragiles, les tissus s’enflamment, nous pouvons à peine bouger, etc.
Pourquoi ?
Parce qu’une fois que je résous mon conflit de dévalorisation, le cerveau envoie immédiatement l’ordre de « réparer les os ou l’os endommagé ». Il ordonne de « boucher les petits trous » qui ont pu se former dans cet ou ces os pendant que je pleurais, dévalorisé, dans mon coin.

Et pourquoi cela fait-il si mal ?
Parce que tous les os du corps sont recouverts d’une très fine couche de tissu appelée périoste.
C’est comme une mince couche de « chair » qui enveloppe chacun de nos os.
Et pour que le cerveau puisse « remplir » les petits trous des os, il doit avoir du liquide dans l’os afin d’y faire passer à nouveau des nutriments.

Ainsi, au moment où cette fine couche se « décolle » de l’os pour permettre le passage du liquide nutritif vers celui-ci, toutes les terminaisons nerveuses de la zone affectée « explosent de douleur ».

Et si l’on ajoute à cela l’inflammation des tissus, la douleur intense, l’épuisement dû au fait que l’attention du cerveau est centrée sur l’os ou les os concernés, c’est là que nous courons chez le médecin, effrayés, nous sentant mourants ou sur le point de l’être. Nous n’avons plus de force, nous sommes abattus, etc.

Et que se passe-t-il alors ?
Le médecin nous examine, fait toutes sortes d’analyses, et bien sûr, s’il prend des radiographies, il verra des petits trous dans un ou plusieurs os. De plus, les analyses sanguines montreront des niveaux altérés, ce qui l’effraiera – et nous effraiera aussi, évidemment.

Et pourquoi les résultats d’une analyse sanguine sont-ils “altérés” ?
Parce que le cerveau envoie une grande quantité d’éléments chimiques pour restaurer l’os concerné, mais bien sûr, le médecin ne le sait pas, car il existe aujourd’hui très peu de médecins qui respectent ou même connaissent cette réalité biologique.

Diagnostic : LEUCÉMIE.
Et que se passe-t-il ensuite ?
On nous dit immédiatement que nous sommes totalement envahis par la leucémie, que notre sang présente une multiplication cellulaire et qu’il faut la détruire par la chimiothérapie.
Mais si mon cerveau est concentré sur l’envoi de nutriments à mon os, si je souffre déjà d’un état d’épuisement, de douleurs constantes, si je me sens mourir, si le médecin doute de ma survie et qu’en plus on m’administre des traitements de chimiothérapie qui brûlent les tissus sains et détruisent la multiplication cellulaire que mon cerveau déclenche pour guérir mes os, et si, de surcroît, toute ma famille est angoissée et attend que je m’en sorte (ce qui, au lieu d’aider, aggrave mon état), il est fort probable que je ne m’en sorte pas.

Je devrais être extraordinairement fort et me libérer totalement de ma peur de mourir pour pouvoir m’en sortir.
Et dès que le cerveau découvre qu’on tente de saboter son travail de guérison des os avec des chimiothérapies, il redouble d’efforts et envoie le double de multiplication cellulaire dans le sang. L’histoire devient alors une véritable lutte de pouvoirs :
D’un côté, le cerveau tente de guérir l’os, et de l’autre, le médecin renforce la chimiothérapie.
Et nous, pris entre les deux, sans énergie, sans force, remplis de peur, vomissant sans arrêt et souffrant atrocement.
Voilà la douleur…

Et que fait le médecin si nous lui disons que la douleur est insupportable ?
Il nous administre de la morphine !
Et c’est là que nous mourons plus vite. Pourquoi ?
Parce que la morphine « endort le cerveau ». Et, avec le cerveau endormi, il n’y a plus d’envoi de nutriments vers l’os, plus de lutte, et je n’ai plus la capacité physique de me rétablir sans ce cerveau qui lutte pour moi.

Mon os ou mes os ne parviennent plus à se renforcer, mon corps est saturé d’éléments chimiques qui détruisent les progrès de mes tissus osseux.
Et cela semble si simple, je le sais. Mais nous sommes réellement dans une ignorance totale à ce sujet de la part des médecins.

Tout ce que j’aurais dû faire quand les douleurs ont commencé, c’était de prendre des analgésiques, de me reposer quelques jours ou semaines, de bien manger pour me renforcer et d’attendre que le cerveau fasse rapidement son travail.
Il existe certaines leucémies qui nécessitent effectivement un apport “supplémentaire” de nutriments ou d’éléments chimiques pour soutenir le travail du cerveau, oui. Mais c’est tout.
Et tout ce processus, toute cette histoire de chimiothérapie et d’abandon, ce n’était pas un cancer du sang, ce n’était pas une leucémie, c’était simplement mon cerveau réparant mes os, à cause du conflit émotionnel de dévalorisation que j’ai vécu et résolu.

Et dans le cas d’un enfant atteint de leucémie ?
Comme nous l’avons déjà dit maintes fois : tout enfant de moins de 14 ans répond physiquement aux conflits de ses parents, spécifiquement de la mère.

Ainsi, si c’est un nouveau-né jusqu’à l’âge de 3 ans, cela signifie que le conflit grave de dévalorisation a été vécu par la mère pendant les 9 mois de grossesse.

Supposons que le compagnon de la mère la frappe, l’insulte, l’humilie, l’abandonne, etc., et qu’elle vive cela dramatiquement.
Supposons que la famille de la mère la rejette, la déshérite, la maltraite.
Supposons que, sur son lieu de travail, son supérieur la rabaisse, la licencie ou la rétrograde, etc.

La dévalorisation est vécue par la mère pendant sa grossesse. Mais, à la naissance du bébé, la mère résout le grand conflit d’« être enceinte ». C’est alors le bébé qui manifeste physiquement l’émotion de la mère : « ouf, le problème est terminé ».
Le bébé entre physiquement en PHASE DE RÉSOLUTION du conflit émotionnel de la mère.
Et pour qu’un enfant puisse surmonter, supporter tout ce processus, c’est difficile, n’est-ce pas ?

La même dévalorisation peut être vécue plus t**d par une mère ayant déjà un enfant plus âgé ; dans ce cas, l’enfant peut avoir 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 12, 13 ou 14 ans… Ce sera toujours la mère qui vit la dévalorisation, et l’enfant qui manifeste la solution.
Et si l’enfant a 15 ans ?
Alors la dévalorisation lui appartient déjà, elle est propre à lui ou elle, basée sur ses propres expériences : avec ses amis, à l’école, dans sa famille. À 15 ans, l’enfant est maître de ses propres conflits actifs.

Intéressant, n’est-ce pas ?
C’est douloureux de savoir tout cela, quand nous avons tous connu de près ou de loin des cas de leucémie. Savoir que cette personne ou cet enfant aurait pu être sauvé si cela avait été su à temps, c’est très dur.
Mais peu à peu, même si cela prend des années, des décennies ou des siècles, la médecine devra accepter toute cette découverte du Dr Hamer, baser la médecine mondiale sur ses découvertes, et cesser de tuer les gens avec leurs chimiothérapies et radiothérapies, qui, plutôt qu’aider, détruisent le travail que notre cerveau accomplit habilement.

Je t’accompagne à guérir ta perception

En présentiel et en ligne

02/11/2025

Dans le camp de la mort, ils lui ont donné un numéro : 119104.
Mais ce qu’ils ont le plus essayé de tuer est précisément ce qui a fini par sauver des millions de vies.

1942. Vienne.

Viktor Frankl avait 37 ans, un psychiatre respecté avec une carrière prometteuse,
un manuscrit presque terminé, et une épouse, Tilly, dont le rire pouvait remplir une pièce.

Il avait une chance de s’enfuir en Amérique. Un visa. Une porte de sortie.
Mais ses parents âgés ne pouvaient pas venir avec lui. Alors il est resté.

Quelques mois plus t**d, les n***s sont venus pour eux tous.
Theresienstadt. Puis Auschwitz. Puis Dachau.

Le manuscrit sur lequel il avait travaillé des années — soigneusement cousu dans la doublure de son manteau —
lui fut arraché en quelques heures à son arrivée.
Son œuvre. Son but. Réduit en cendres.

Ses vêtements furent pris. Ses cheveux rasés. Son nom effacé.
Sur le formulaire d’admission, il ne restait qu’un numéro : 119104.

Mais voici ce que les gardes n’avaient pas compris :
on peut arracher à un homme son manuscrit, son nom, ses biens.
Ce qu’il sait… on ne peut pas le lui voler.

Et Viktor Frankl savait quelque chose sur l’esprit humain qui allait le maintenir en vie —
et donner naissance à une révolution en psychologie.

Il remarqua un schéma.
Dans les camps, les hommes ne mouraient pas seulement de faim ou de maladie.
Ils mouraient d'avoir abandonné.

Le moment où un prisonnier perdait sa raison de vivre — son pourquoi — son corps s'effondrait en quelques jours.
Les médecins avaient un terme pour cela : give-up-itis — la maladie de l’abandon.

Mais ceux qui s’accrochaient à quelque chose —
une épouse à retrouver, un enfant à revoir, un livre à écrire, une promesse à tenir —
enduraient l’indicible.

La différence n’était pas physique.
C’était le sens.

Alors Frankl entreprit une expérience.
Pas dans un laboratoire. Dans les baraquements.

Il s'approchait des hommes au bord du désespoir et leur murmurait :

« Qui t’attend ? »
« Quel travail te reste-t-il ? »
« Que dirais-tu à ton fils pour survivre à ça ? »

Il ne pouvait offrir ni nourriture, ni liberté, ni réconfort matériel.
Mais il pouvait offrir quelque chose que les gardiens ne pouvaient confisquer :
une raison de voir demain.

L'un se rappela sa fille. Il survécut pour la retrouver.
Un autre se rappela un problème scientifique. Il survécut pour le résoudre.

Frankl, lui, survécut en reconstruisant mentalement son manuscrit — page après page, paragraphe par paragraphe —
dans l’obscurité des baraques.

Avril 1945. Libération.

Viktor Frankl pesait 38 kilos. Ses côtes transparaissaient sous sa peau.
Tilly était partie. Sa mère — partie. Son frère — parti.
Tout ce qu'il aimait avait été détruit.

Il aurait eu toutes les raisons de désespérer.
Toutes les raisons d’abandonner.

Au lieu de cela, il s’est assis et a commencé à écrire.

Neuf jours.
C’est le temps qu’il fallut pour recréer de mémoire le manuscrit détruit trois ans plus tôt.

Mais désormais, il contenait quelque chose que l’original n’avait pas :
la preuve.

La preuve vivante, indéniable, que sa théorie était juste.

Il l’appela Logothérapie — la thérapie par le sens.
Une idée simple mais révolutionnaire :
L’être humain peut survivre à presque tout, s’il a une raison de vivre.

« Celui qui a un pourquoi peut supporter presque tous les comment. »
(Il emprunta les mots à Nietzsche, mais il les avait prouvés en enfer.)

1946. Publication du livre.

En allemand : "...trotzdem Ja zum Leben sagen" — "...Dire oui à la vie malgré tout."
En anglais : Man’s Search for Meaning.

Le monde n’était pas prêt. Les éditeurs le rejetèrent au début.
« Trop morbide », disaient-ils.
« Qui voudrait lire sur les camps de concentration ? »

Puis doucement, il se répandit.
Des thérapeutes pleurèrent en le lisant.
Des prisonniers y trouvèrent l’espoir.
Des personnes confrontées au divorce, à la maladie, à la faillite, à la dépression —
comprirent que leur souffrance pouvait porter un sens.

L’impact fut sismique.

Le livre fut traduit en plus de 50 langues.
Vendu à plus de 16 millions d’exemplaires.
Classé par la Bibliothèque du Congrès parmi les 10 livres les plus influents d’Amérique.

Mais plus important encore :
innombrables sont ceux qui, dans leur nuit la plus sombre, l’ont lu
et ont trouvé une raison de continuer.

Parce que Viktor Frankl a prouvé ce que les n***s ont échoué à détruire :
On peut tout enlever à un être humain — liberté, famille, avenir, espoir —
mais il restera toujours une dernière liberté :
celle de choisir le sens de ce qui nous arrive.

On ne contrôle pas ce qui nous arrive.
Mais on peut toujours choisir ce qu’on en fait.

Aujourd’hui, Viktor Frankl n’est plus là.
Mais dans les chambres d’hôpital, dans les cabinets de thérapie, dans les prisons,
dans ces moments silencieux où quelqu’un décide
s’il doit abandonner ou continuer — ses mots demeurent :

« Quand nous ne pouvons plus changer une situation, nous sommes mis au défi de nous changer nous-mêmes. »
« Tout peut être pris à un homme sauf une chose : la dernière des libertés humaines —
choisir son attitude face à n’importe quelle situation. »

Les n***s lui ont donné un numéro.
L'Histoire lui a donné l’immortalité.

Car l’homme qui a tout perdu a appris au monde
que le sens est la seule chose qu’on ne peut jamais nous enlever.

Le prisonnier 119104 n’a pas seulement survécu.
Il a transformé la souffrance en guérison.

Et quelque part ce soir, quelqu’un au bord du gouffre lira ses mots
et choisira de tenir encore un jour.

Ce n’est pas simplement survivre.
C’est une victoire sur la mort elle-même.

Lueur d’Hustoire

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𝑼𝒏 𝒍𝒊𝒗𝒓𝒆 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒆𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒔𝒆𝒏𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒎𝒆𝒕𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒆𝒏 𝒕𝒓𝒂𝒏𝒔𝒈𝒆𝒏𝒆𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒏𝒆𝒍

‼️ L'idée est de comprendre le principe, il n'y a pas une liste exhaustive des métiers, il y a d'ailleurs assez peu de métiers proposés. l'intérêt est surtout de comprendre comment cela fonctionne :
Dans une famille, les grands-parents ont dû quitter de façon soudaine leur maison et leur terre natale pour s'exiler en France. Ils ont perdu leur toit. Un petit-fils va alors devenir charpentier, c'est tellement important d'apporter un toit à une famille dans un pays qui nous a recueilli…

Avez-vous compris la logique ?
Cela s'appelle les métiers de réparation, je pense qu'on est tous concernés, et c'est souvent une inspiration pour nous.😊👍🏽🙏🏽✨

𝑱𝒆𝒂𝒏-𝑩𝒂𝒑𝒕𝒊𝒔𝒕𝒆 𝑺𝒐𝒖𝒂𝒓𝒕
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