Valérie Karpik Psychologue Clinicienne

Valérie Karpik Psychologue Clinicienne Bilans neuropsychologiques, précocité intellectuelle, surdouement, troubles des apprentissages, addi

25/10/2025

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28/09/2025

HPI neuroatypie et risque de dépendances/ addictions et risque de dépendance affective.

Le lien entre les neuromédiateurs (dopamine, sérotonine), le fonctionnement cognitif atypique (HPI, neuroatypie) et la tendance aux comportements addictifs. Voici un éclairage synthétique et vulgarisé :

1. Dopamine et addiction

Dopamine = neurotransmetteur de la motivation, du plaisir anticipé et de l’apprentissage par récompense.

En cas de sous-activation du système dopaminergique, certaines personnes recherchent des stimulations fortes (nourriture, écrans, jeux, substances, travail, sport, relations intenses,…) pour compenser.

Résultat : une plus grande vulnérabilité aux comportements compulsifs ou addictifs.

2. Sérotonine et régulation émotionnelle

Sérotonine = neurotransmetteur impliqué dans l’humeur, la stabilité émotionnelle, l’inhibition et le sommeil.

Un déficit relatif peut entraîner impulsivité, anxiété, besoin de réguler par l’extérieur (donc davantage de comportements répétitifs ou addictifs pour apaiser une tension interne).

3. Particularités des personnes HPI / neuroatypiques

Hyperstimulation cognitive : cerveau très rapide, besoin constant de nouveauté et de challenges → favorise la recherche de "boost" dopaminergique.

Hypersensibilité émotionnelle : sérotonine parfois moins efficace dans la régulation → risque d’anxiété, ruminations, et donc stratégies d’échappement (addictions, surconsommation).

Ennui chronique : le manque de stimulation adaptée peut accentuer la quête de sensations immédiates.

4. Comment réduire ce risque ?

Hygiène de vie : sommeil régulier, sport (augmente dopamine et sérotonine naturellement), alimentation équilibrée

Activités stimulantes mais saines : apprentissage, création artistique, projets passionnants → nourrissent la dopamine sans dérive compulsive.

Gestion émotionnelle : méditation, cohérence cardiaque, thérapies cognitives et comportementales, éventuellement accompagnement spécialisé (psy, addictologue).

Lien social de qualité : l’ocytocine et la sérotonine issues des relations humaines stables aident à réguler les circuits de récompense.

Par ailleurs :

le risque de dépendance sexuelle et affective peut être plus marqué chez certaines personnes HPI ou neuroatypiques, surtout en lien avec un déséquilibre dopamine–sérotonine.

1. Dopamine et recherche d’intensité

La sexualité et la fusion affective sont parmi les sources de stimulation les plus puissantes pour le cerveau → libération massive de dopamine.

Si le système dopaminergique est "en manque" (hypoactivité), la personne peut chercher à reproduire sans cesse ces pics d’intensité → comportements compulsifs, hypersexualité, relations fusionnelles.

2. Sérotonine et régulation émotionnelle

La sérotonine aide à réguler l’impulsivité et à maintenir une stabilité affective.

Si son action est insuffisante, cela entraîne une difficulté à gérer l’attente, la frustration, la solitude, avec une tendance à rechercher des relations ou du sexe comme "auto-médication".

3. Spécificités HPI / neuroatypiques

Hyper-intensité émotionnelle : l’attachement est souvent vécu plus fort → risque de dépendance affective.

Besoin de stimulation : l’excitation sexuelle ou la nouveauté relationnelle devient un "shoot dopaminergique".

Hypersensibilité au rejet : peur de l’abandon, anxiété relationnelle, ce qui peut pousser à s’accrocher ou à multiplier les contacts.

Signes à surveiller

Besoin constant de contacts affectifs ou sexuels pour apaiser une tension interne.

Sensation de vide, d’angoisse ou d’effondrement en l’absence de relation ou de partenaire.

Relations marquées par la fusion, la jalousie, la dépendance excessive.

Difficulté à contrôler les comportements (multiplication de rencontres, compulsions sexuelles, usage excessif de porno/rencontres en ligne).

Pistes de régulation

Prendre conscience du mécanisme : reconnaître que ce n’est pas un "manque de volonté", mais une régulation neurochimique et émotionnelle.

Développer d’autres sources de dopamine : sport, apprentissage, créativité, projets stimulants.

Travailler l’autonomie affective : thérapies (TCC, schémas précoces, thérapie de la dépendance affective), méditation, cohérence cardiaque.

Sécuriser l’attachement : apprendre à tolérer la distance, travailler les blessures de rejet/abandon souvent présentes chez les profils hypersensibles.

Encadrement pro si nécessaire : sexologue, addictologue, psy spécialisés.

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17/09/2025
08/09/2025

On parle souvent de “fatigue autistique”, mais qu’est-ce que ça veut dire exactement ?

La fatigue autistique, ce n’est pas juste être un peu fatigué après une longue journée.
C’est un épuisement profond, physique et mental, qui touche beaucoup de personnes autistes.

👉 Pourquoi ?
Parce qu’elles passent une partie de leur journée à s’adapter au monde qui les entoure :

masquer leurs comportements naturels (ce qu’on appelle le “camouflage ou Masking,

contrôler leurs mouvements, leur voix, leurs gestes,

supporter les bruits, les lumières, les contacts physiques,

décoder des règles sociales implicites qui ne sont pas claires,

gérer l’anxiété liée à tout ça.

Au bout d’un moment, tout cela devient trop lourd.
Résultat : une énorme fatigue, qui peut mener à un shutdown (blocage temporaire, plus de forces pour interagir) ou un burn-out autistique (épuisement prolongé, perte de capacités habituelles).

⚠️ Ce n’est pas de la paresse. Ce n’est pas un caprice.
C’est une conséquence directe de l’effort permanent d’adaptation.

La meilleure façon d’aider ? 💙

Offrir des environnements calmes et adaptés,

respecter les besoins de repos,

arrêter d’exiger un “camouflage” constant,

et surtout… accepter les personnes autistes telles qu’elles sont.

La fatigue autistique n’est pas un signe de faiblesse.
C’est le résultat d’une force : celle de lutter chaque jour pour s’intégrer dans un monde qui ne fait pas assez de place à la différence.

07/08/2025
05/08/2025

LE "BROWNOUT" DANS LA NEUROATYPIE

Contrairement au burnout (épuisement professionnel) ou au boreout (ennui extrême au travail), le brownout désigne :

Une perte de sens dans son travail ou ses activités, entraînant une baisse de motivation, un désengagement progressif, une sensation de déconnexion intérieure.

Brownout & Neuroatypie : Pourquoi c’est fréquent

Les personnes neuroatypiques (TDAH, autisme, HPI, troubles « dys », etc.) sont souvent plus exposées au brownout, car elles doivent fréquemment :

S'adapter à des environnements non conçus pour elles

Fournir des efforts constants de camouflage ou de compensation ("masking")

Suivre des règles implicites ou des normes sociales qui n’ont pas de sens pour elles

Se sentir inutiles, sous-stimulées ou suradaptées dans leur milieu professionnel ou scolaire

Symptômes fréquents du brownout chez une personne neuroatypique

Désengagement émotionnel : "Je fais les choses sans y croire"

Baisse d’intérêt : "Pourquoi est-ce que je fais ça ?"

Fatigue mentale profonde, différente de celle du burnout

Perte de sens : "Cette tâche est absurde, inutile, vide"

Doute existentiel : "Est-ce que j’ai ma place ici ?"

Parfois : troubles anxieux ou dépressifs secondaires

Différences avec burnout et boreout

Type Caractéristique principale Énergie ressentie

Burnout Épuisement lié à une surcharge Négative, épuisée
Boreout Ennui profond, sous-stimulation Vide, apathique
Brownout Perte de sens, incohérence entre valeurs et tâches Déconnectée, mécanique

Adresse

Saint-Prix
95390

Heures d'ouverture

Mardi 09:30 - 20:00
Mercredi 09:30 - 20:00
Vendredi 10:00 - 20:00
Samedi 11:00 - 18:30

Site Web

https://www.doctolib.fr/psychologue/saint-prix/valerie-karpik

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