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Julie Rogeon - Naturopathie, EFT, Coaching, Saint-Thibaud-de-Couz (2025)

09/12/2025

Pourquoi, en 2025, le corps des femmes reste-t-il un champ de bataille idéologique ?

Dans cet extrait du podcast Encas de Tracas, interroge :
Comment se fait-il qu’un corps puisse encore être politisé, contrôlé, commenté, normé ?

Juliette Savio rappelle un fait essentiel :

✔️ Contrôler le corps des femmes, c’est contrôler les femmes.
✔️ Le corps devient un prétexte pour cadrer leur place dans la société.
✔️ Il est récupéré par des logiques politiques, économiques et culturelles qui façonnent ce que les femmes “devraient” être.
Exister dans un corps de femme — sans rien faire de particulier — devient politique.

Chaque choix est scruté :
✔️ s’épiler ou non
✔️ se maquiller ou non
✔️ perdre du poids, en prendre, rester comme on est
✔️ afficher son corps, le cacher, le revendiquer
Chaque acte, chaque posture, chaque désir est interprété.
Et même disposer librement de son corps devient un combat permanent, un droit à défendre encore et encore.

L’épisode complet est disponible ➡️ lien en bio.

Que révèle, selon vous, la manière dont la société parle du corps des femmes ?
Commentez ou enregistrez ce Réel pour approfondir la réflexion.

08/12/2025

La compulsion alimentaire n’est pas une question de discipline.
👉 C’est la réponse d’un système nerveux dérégulé @‌mashazabat

Deux scénarios fréquents :
⚡ Hyperactivation → la crise apaise, anesthésie, met en pause.
😶 Effondrement → la nourriture redonne des contours, une existence.

Parfois, le contrôle prend le relais : compter, restreindre, maîtriser → une tentative de retrouver de la sécurité.

💡 Ces comportements ne sont pas absurdes.
Ils sont sophistiqués, fonctionnels… mais coûteux.
L’enjeu n’est pas de les juger, mais de comprendre ce qu’ils cherchent à protéger.

05/12/2025

🎧 Entendu dans l’épisode « Encas de Tracas »…
« Très tôt, les femmes apprennent à se regarder de l’extérieur, à juger, à corriger, à s’excuser d’exister trop fort. »

Cette phrase résume un enjeu central dans l’accompagnement thérapeutique :
➡ l’impact du conditionnement social précoce sur l’image corporelle, la régulation émotionnelle et les comportements alimentaires.

En pratique clinique, cela se manifeste par :
• une hypervigilance corporelle,
• des pensées automatiques négatives,
• des comportements restrictifs ou compulsifs,
• une charge mentale élevée autour de l’alimentation et du corps.

Comprendre ces mécanismes est indispensable pour accompagner efficacement les patient·e·s présentant :
• alimentation émotionnelle,
• compulsions,
• restriction cognitive,
• rapport conflictuel au corps.

Dans ma formation destinée aux professionnel·le·s de santé et de l’accompagnement, j’intègre les apports :
• de la TCC,
• de la neuropsychologie,
• de l’approche socioculturelle du corps,
• et des outils de réconciliation alimentaire.

Objectif : vous permettre d’enrichir vos pratiques, de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents et d’accompagner avec plus de justesse, de nuance et d’efficacité.

Vous souhaitez recevoir le programme complet ?
Envoyez-moi « programme » en DM et je vous l’envoie immédiatement.

03/12/2025

La comparaison corporelle, ce poison silencieux

Un scroll, un regard, une discussion… et le corps est jugé, dévalué.
La comparaison n’est jamais neutre :
→ malaise
→ exigences impossibles
→ estime de soi qui s’effrite

Le problème ?
On se compare à des corps filtrés, retouchés… ou à une version idéalisée de soi-même.
Résultat : insatisfaction, pensées de rejet, comportements dictés par la honte.

Et si le travail commençait par changer le prisme, pas le corps ?

Pour aller plus loin sur ces mécanismes, retrouve les épisodes du podcast "Encas de Tracas".

➡️ Écouter l’épisode (lien en bio)
➡️ Partager pour faire circuler un regard plus doux

02/12/2025

Pourquoi tant de femmes ont le sentiment que leur corps n’est jamais “assez” ?

Dans cet extrait du podcast Encas de Tracas, et Juliette Savio mettent en lumière un mécanisme profondément ancré.

👉 Depuis l’enfance, beaucoup intègrent l’idée qu’un corps “naturel” serait un corps à corriger.

✔️ L’épilation, les remarques sur l’apparence, les comparaisons constantes…
✔️ Les injonctions à perdre du poids, à “se modeler”, à rentrer dans une norme qui se déplace sans cesse.
✔️ Et même lorsque le corps change, la satisfaction ne suit pas : la critique continue, extérieure comme intérieure.

💡 Ce sentiment d’insuffisance n’a rien d’individuel.
C’est systémique.
Il s’inscrit dans des industries puissantes – beauté, minceur, chirurgie esthétique – qui prospèrent sur l’idée que le corps doit être modifié pour être acceptable.

Pour beaucoup, cette pression répétée finit par brouiller la perception du corps, alimenter le rejet de soi et impacter le rapport à l’alimentation.

L’épisode complet est disponible ➡️ lien en bio.

Est-ce que cette pression systémique résonne avec votre histoire ?
Partagez en commentaire ou enregistrez ce Réel pour y revenir plus t**d.

01/12/2025

Le cerveau, chef d’orchestre du cycle… et des comportements alimentaires ?

Si l’on parle souvent des hormones, on oublie parfois l’essentiel :
Tout commence dans une minuscule zone du cerveau — l’hypothalamus.
C’est lui qui pilote, jour après jour, l’ensemble du cycle menstruel.

Et ce système d’une précision remarquable est aussi l’un des plus sensibles du corps.

Un cortisol trop élevé suffit à désorganiser l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien.

Les conséquences sont souvent visibles :
• Ovulation absente (même avec des règles présentes)
• Aménorrhée
• SPM intensifié
• Troubles du sommeil et de l’humeur
• Modifications du comportement alimentaire

Face à une menace (charge mentale, pression, fatigue prolongée), le cerveau peut choisir de freiner le cycle pour protéger l’organisme.

Et cela se traduit parfois par :
👉 envies soudaines,
👉 perte de contrôle ressentie,
👉 coupures de faim,
👉 besoin de compenser,
👉 fluctuations émotionnelles autour de la nourriture.

Ces comportements ne relèvent pas d’un manque de volonté, mais de signaux neuro-hormonaux puissants.

Stress, cycle menstruel, émotions et alimentation sont intimement liés.
Les analyser séparément conduit souvent à passer à côté de l’essentiel.

C’est ce qui est enseigné dans la formation “Accompagner et créer sa méthode en alimentation émotionnelle”, pensée pour les professionnel·le·s qui souhaitent approfondir leur pratique et offrir à leurs patient·es/client.es une vraie expertise.

➡️ Découvrir le programme complet de la formation (lien en bio)

Quel lien observez-vous le plus souvent entre stress, cycle et comportements alimentaires dans l’accompagnement de vos patient·es/client.es?

26/11/2025

Quand la balance ne bouge pas, ce n’est pas “parce que vous ne voulez pas assez”.

Souvent, c’est un corps en protection après des années de privations/yo-yo.
Le métabolisme s’adapte : moins de muscle, plus de faim, plus de stockage.

La sortie durable ?

Apaiser la relation à la nourriture.

Réathlétiser doucement (marche, escaliers, yoga/pilates).

Manger suffisamment et rééquilibrer les apports aux besoins réels.
Ce n’est pas spectaculaire… c’est réparateur.

24/11/2025

On parle beaucoup d’hygiène alimentaire, peu d’hygiène informationnelle. @‌mashazabat
Et pourtant, le cerveau digère les infos comme le corps digère les aliments.

Trop, trop vite, trop violent… et le système nerveux sature.
Résultat : pulsions, compulsions, besoin de s’anesthésier.

💡 Se protéger, ce n’est pas “fuir la réalité”.
C’est prendre soin de son équilibre psychique pour rester acteur·rice de sa vie.

23/11/2025

🥣 Où trouver du magnésium dans l’assiette, sans tomber dans les idées reçues ?

Dans cet extrait du podcast Encas de Tracas, remet les pendules à l’heure : il y a 100 ans, nos modes de vie, nos sols et nos aliments n’étaient pas les mêmes. Aujourd’hui, nos besoins ont évolué.

💡 Si la supplémentation peut être utile dans certains cas, l’assiette reste un levier essentiel :

✔️ Sarrasin : 60 g = 139 mg de magnésium
✔️ Flocons d’avoine : 60 g = 74 mg
✔️ Amandes et oléagineux : 30 g = 80 mg en moyenne
✔️ Cacao pur : 15 g = 75 mg (mais peu en consomment vraiment nature !)
✔️ Chocolat noir 70 % : 20 g = 37 mg
✔️ Lentilles cuites : 100 g = 35 mg
✔️ Pois chiches cuits : 150 g = 44 mg

🍫 Et le chocolat au lait ? Seulement 12 mg pour 20 g… un plaisir gustatif, oui, mais pas une vraie source de magnésium.

✨ L’essentiel n’est pas de se ruer sur un aliment “miracle”, mais de diversifier ses apports, privilégier des produits bruts, biologiques et des cuissons douces.

Parce que le magnésium, comme tout, se trouve dans l’équilibre.

🎧 L’épisode complet est disponible ➡️ lien en bio.

💬 Quels aliments riches en magnésium avez-vous déjà intégrés à vos repas ? Partagez vos idées ou enregistrez ce Réel pour y revenir plus t**d.

21/11/2025

💥 Pourquoi le stress épuise littéralement nos réserves de magnésium ?

Dans cet extrait du podcast Encas de Tracas, revient sur un mécanisme souvent méconnu :

👉 Nos modes de vie actuels — marqués par le stress chronique — entraînent une perte accrue de magnésium.

🧠 À chaque fois que nous faisons face à un stress, même minime, le magnésium quitte nos cellules nerveuses pour tamponner la réaction de stress et nous aider à la traverser.

Mais une fois mobilisé… il est éliminé.

🚪 Résultat : le magnésium est évacué par les urines ou la transpiration, laissant l’organisme plus vulnérable face à de nouveaux épisodes de stress.

✨ Comprendre ce cercle vicieux, c’est la première étape pour reprendre le contrôle de son équilibre émotionnel et nerveux.

🎧 L’épisode complet est disponible ➡️ lien en bio.

💬 Et vous, sentez-vous que le stress influence votre fatigue ou vos envies de manger ?

Partagez votre expérience ou enregistrez ce Réel pour y revenir plus t**d.

19/11/2025

Le petit-déjeuner n’est pas une obligation universelle.

Mais pour celles et ceux qui souffrent de compulsions ou d’une relation difficile à l’alimentation, il peut être un levier de stabilisation puissant.

👉 Il soutient le cerveau en énergie, régule l’humeur, diminue l’anxiété et aide à réduire les pulsions du soir.

L’idée n’est pas de “bien faire”, mais de tester et d’observer. Votre corps vous dira s’il en a besoin.

18/11/2025

🧠 Pourquoi un manque de magnésium peut-il dérégler nos émotions… et nos comportements alimentaires ?

Dans cet extrait du podcast Encas de Tracas, explique le rôle clé du magnésium dans la synthèse des neurotransmetteurs, ces messagers chimiques qui régulent notre humeur :

✔️ La sérotonine, associée à la stabilité émotionnelle et au lâcher-prise.
✔️ La dopamine, moteur de la motivation, du plaisir et de l’entrain.
✔️ Le GABA, véritable frein naturel du cerveau, qui agit comme un anxiolytique physiologique.

🔬 Or, sans magnésium, la production et la régulation de ces neurotransmetteurs se dérèglent. Résultat : une modulation émotionnelle altérée… qui peut nous pousser à manger pour compenser.

✨ Mieux comprendre ces mécanismes, c’est déjà faire un pas vers une alimentation plus apaisée et une relation plus stable à soi.

🎧 L’épisode complet est disponible ➡️ lien en bio.

💬 Avez-vous déjà remarqué que votre humeur influençait vos envies de manger ?

Partagez votre expérience en commentaire ou enregistrez ce Réel pour y revenir plus t**d.

Julie Rogeon - Naturopathie, EFT, Coaching

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