Docteur Patricia Cervantes

Docteur Patricia Cervantes La nutrition est un outil efficace pour rester en bonne santé. Elle permet aussi de prévenir ou soigner certaines pathologies.

L’objectif est de vous donner les ressources pour gérer sur le long terme votre équilibre alimentaire, intégrer l’activité physique dans votre quotidien et savoir vivre avec ses émotions. Pour obtenir des résultats, il est essentiel de comprendre l’objectif des actions que vous allez mettre en place. Chaque personne présente un profil spécifique, il est donc essentiel de pouvoir adapter son approche en fonction du contexte individuel. Avec cette idée essentielle qui est de conserver le plaisir et la convivialité de l’alimentation en mangeant différemment. Je suis à votre disposition pour en parler.

17/02/2019

Excellente pour lutter contre la dépression, recommandée contre l’insuffisance cardiaque, le surpoids ou le diabète de type 2… On ne compte plus les études scientifiques s’étant penchées sur les vertus de l’activité physique.
De nouveaux travaux internationaux, publiés dans la r***e Nature Medicine, mettent aussi en lumière le rôle bénéfique joué par l’exercice physique sur notre mémoire à court terme.
Selon leurs auteurs, pratiquer régulièrement une activité physique permettrait en effet de prévenir le déclin cognitif et donc l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Ils ont ensuite découvert qu’une hormone appelée irisine était libérée dans l’organisme pendant l’activité physique.

14/11/2018

Cabinet situé au 35 chemin des Fonts

30/03/2018

Une nouvelle étude associant des chercheurs de l’Inserm, de l’Inra et de l’Université Paris 13 suggère une association entre la consommation d’aliments ultra-transformés et le sur-risque de développer un cancer. Au total, 104 980 participants de la cohorte française NutriNet-Santé ont été inclus. Au cours du suivi (8 ans), 2 228 cas de cancers ont été diagnostiqués et validés. Une augmentation de 10% de la proportion d’aliments ultra-transformés dans le régime alimentaire s’est révélée être associée à une augmentation de plus de 10% des risques de développer un cancer au global et un cancer du sein en particulier. Parmi les différentes hypothèses qui pourraient expliquer ces résultats, la moins bonne qualité nutritionnelle globale des aliments ultra-transformés ne serait pas la seule impliquée, suggérant des mécanismes mettant en jeu d’autres composés (additifs, substances formées lors des process industriels, matériaux au contact des aliments, etc.). Ces résultats doivent donc être considérés comme une première piste d’investigation dans ce domaine et doivent être confirmés dans d’autres populations d’étude. Notamment, le lien de cause à effet reste à démontrer. Cette étude est publiée le 15 février 2018 dans le British Medical Journal.

Durant les dernières décennies, les habitudes alimentaires se sont modifiées dans le sens d’une augmentation de la consommation d’aliments ultra-transformés qui contribuent aujourd’hui à plus de la moitié des apports énergétiques dans de nombreux pays occidentaux. Ils se caractérisent souvent par une qualité nutritionnelle plus faible, mais aussi par la présence d’additifs alimentaires, de composés néoformés et de composés provenant des emballages et autres matériaux de contact.

Des études récentes ont montré des associations entre la consommation d’aliments ultra-transformés et un risque accru de dyslipidémies, de surpoids, d’obésité, et d’hypertension artérielle. Toutefois, aucune étude n’a porté sur le risque de cancer, alors que des expérimentations chez l’animal suggèrent de potentiels effets cancérogènes de plusieurs composants habituellement présents dans les aliments ultra-transformés.

Au cours du suivi, 2 228 cas de cancers ont été diagnostiqués et validés. Une augmentation de 10% de la proportion d’aliments ultra-transformés dans le régime alimentaire s’est révélée être associée à une augmentation de plus de 10% des risques de développer un cancer au global et un cancer du sein en particulier. Ces résultats étaient significatifs après prise en compte d’un grand nombre de facteurs sociodémographiques et liés au mode de vie, et également en tenant compte de la qualité nutritionnelle de l’alimentation. Ceci suggère que la moins bonne qualité nutritionnelle globale des aliments ultra-transformés ne serait pas le seul facteur impliqué dans cette relation.

Ces résultats doivent être considérés comme une première piste d’investigation dans ce domaine et doivent être confirmés dans d’autres populations d’étude. Notamment, le lien de cause à effet reste à démontrer. De même, d’autres études sont nécessaires afin de mieux comprendre l’impact relatif des différentes dimensions de la transformation des aliments (composition nutritionnelle, additifs alimentaires, matériaux de contact et contaminants néoformés) dans ces relations.

Le recrutement de nouveaux volontaires pour participer à l’étude NutriNet-Santé se poursuit. Il suffit pour cela de s’inscrire en ligne (www.etude-nutrinet-sante.fr) et de remplir des questionnaires, qui permettront aux chercheurs de faire progresser les connaissances sur les relations entre nutrition et santé et ainsi d’améliorer la prévention des maladies chroniques par notre alimentation.

05/10/2017

Le diabète de type 2 est une maladie de plus en plus fréquente. C’est une affection métabolique qui apparaît quand le taux de sucre dans le sang, appelé glycémie, est anormalement élevé.
Avant tout traitement médicamenteux, il est essentiel de démarrer un régime alimentaire équilibré et adapté à cette pathologie.
Il est donc important de prendre de bonnes habitudes alimentaires dès le début et de les intégrer au quotidien afin de limiter les complications sur le long terme.
L’idée essentielle est d’apporter, par votre alimentation, l'ensemble des nutriments dont votre corps a besoin tout en veillant à maintenir votre glycémie à un niveau normal.
Les aliments sucrés (glucides) ne sont pas interdits car si vous prenez un médicament vous risquez de faire une hypoglycémie (taux de sucre trop bas).
Quelle alimentation lorsqu'on souffre de diabète de type 2 ?
L'alimentation que vous allez adopter contient tous les types de nutriments, mais concernant les sucres, elle va limiter les sucres rapides, c'est-à-dire ceux qui font augmenter rapidement la glycémie comme le sucre, le pain blanc, les produits au goût sucré (ils contiennent généralement des sucres simples). Les personnes qui viennent d’apprendre qu’elles sont diabétiques pensent souvent qu’elles ne pourront plus manger de glucides (pâtes, riz, pommes de terre, céréales, gâteaux, etc.). En fait, il n’en est rien.
Les règles principales de l’alimentation des patients diabétiques de type 2 sont similaires à celles recommandées pour la population générale :
• réduire sa consommation d’aliments gras (surtout, ceux contenant des graisses d’origine animale) pour lutter contre le surpoids et l’excès de cholestérol, et consommer du poisson au moins deux fois par semaine. Les huiles d'origine végétale (olive, colza, tournesol, etc.) sont conseillées.
• augmenter sa consommation d’aliments riches en fibres : fruits et légumes, au moins cinq par jour car ceuxs-ci ralentissent l’absorption des sucres par le système digestif et facilitent le contrôle du taux de sucre dans le sang .
• préférer les féculents issus de céréales complètes ou de légumes secs (plutôt que les gâteaux et les sucreries), en évitant d'en consommer entre les repas.
• pour les boissons alcoolisées, se limiter à un verre par jour pour les femmes et à deux verres par jour pour les hommes. Les boissons sucrées peuvent altérer l’équilibre glycémique, favoriser la prise de poids et l’obésité.
• manger deux à trois fruits par jour.
• si des collations sont nécessaires, elles sont issues du fractionnement des repas et peuvent être différente en fonction du rythme de vie et des activités physiques du patient.
Chaque personne doit mettre au point peu à peu le menu qui sera le plus bénéfique pour adapter sa glycémie, tout en conservant le plaisir de manger.

25/04/2017

Quatre adultes sur dix sont en surpoids et un sur sept est obèse. La surcharge pondérale continue de progresser dans le monde. A tel point qu’elle est devenue la première cause de décès prématurés aux Etats-Unis. C’est la conclusion d’une équipe de l’Ecole de médecine de New-York.
Par rapport au tabagisme, l’obésité augmente de 47 % le nombre d’années de vie perdues. Une conclusion effrayante quand on sait que les fumeurs ont une espérance de vie réduite de 8 ans en moyenne.

27/05/2016

Chaque individu est unique en raison de son histoire et de son environnement ; il est donc primordial de pouvoir adapter les solutions
L’objectif de ma démarche :
• vous êtes l’acteur principal du changement
• Vous former pour mieux intégrer les changements de comportement alimentaire au quotidien
• Mettre en place des astuces simples adaptées à votre contexte
• Conserver le plaisir tout en prenant conscience des comportements à modifier

Adresse

35 Chemin Des Fonts
Sainte-Foy-lès-Lyon
69110

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