19/12/2025
✨️✨️🎄 Les blessures qui ressortent à Noël✨️✨️
(ou : pourquoi tu pleures devant une clémentine sans savoir pourquoi)
Noël, c’est ce moment magique où :
les guirlandes brillent,
les familles sourient (en théorie),
et tes blessures émotionnelles sortent en tenue de soirée.
Personne ne les a invitées.
Elles viennent quand même.
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⚫️ La blessure d’abandon
Alias : “Pourquoi tout le monde a quelqu’un sauf moi ?”
Elle se manifeste quand :
tu es seul(e),
séparé(e),
ou entouré(e) mais avec l’impression d’être un meuble décoratif.
Symptômes :
tristesse sournoise,
envie d’adopter un chat à 23h,
larmes devant une pub de jouets.
Noël appuie sur le bouton “famille soudée” pendant que ton cœur fait :
> « Allô ? Y a quelqu’un pour moi ? »
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⚫️ La blessure de rejet
Version dîner de famille.
Déclencheurs classiques :
“Tu travailles toujours là-dedans ?”
“T’as pas encore trouvé quelqu’un ?”
“Oh… t’as encore changé de style.”
Effets secondaires :
envie de disparaître dans la salle de bain,
silence suspect,
réponses passives-agressives avec le sourire.
À Noël, tu réalises que certaines personnes savent très bien appuyer là où ça pique, emballé dans du papier cadeau.
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⚫️ La blessure de non-reconnaissance
“J’ai tout fait et personne n’a remarqué.”
Tu as :
cuisiné,
organisé,
pensé aux cadeaux,
sauvé Noël trois fois.
Récompense : 👉 “Ah… ok.”
Résultat :
fatigue cosmique,
frustration intérieure,
envie de balancer la dinde par la fenêtre (symboliquement… ou pas).
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⚫️ La blessure du sauveur / responsable officiel de Noël
Chef d’orchestre émotionnel non rémunéré.
Tu veux que :
tout le monde s’entende,
personne ne se dispute,
l’ambiance soit “chaleureuse”.
Donc tu :
encaisses,
souris,
fais tampon humain.
À la fin de la soirée :
🎁 cadeau bonus → épuisement + migraine + envie de fuir dans une grotte.
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⚫️ La blessure de déception
“Cette année, ce sera différent.”
(Spoiler : non.)
Tu espérais :
plus d’amour,
plus de douceur,
plus de vrai.
Tu obtiens :
les mêmes non-dits,
les mêmes comportements,
les mêmes déceptions, édition spéciale Noël.
Et ton cœur soupire :
> « Pourquoi j’y crois encore ? »
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⚫️ La blessure de l’enfant intérieur
Petit toi ressort. En pyjama émotionnel.
Noël réveille :
le besoin d’être aimé sans condition,
la soif de sécurité,
l’envie d’être juste accueilli(e).
Donc parfois :
tu pleures sans raison,
tu es hyper susceptible,
tu te sens “trop”.
Ce n’est pas toi qui débloques.
C’est ton enfant intérieur qui dit :
> « Moi aussi, j’aimerais un peu de magie. »
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⚫️ La blessure de solitude intérieure
Entouré(e)… mais seul(e) quand même.
Tout le monde parle. Tu souris. Mais à l’intérieur :
tu te sens décalé(e),
pas vraiment vu(e),
pas vraiment compris(e).
C’est la solitude la plus traîtresse :
celle qui arrive au milieu des rires.
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🎄 Conclusion renardesque
Si Noël te remue plus que prévu :
tu n’es pas faible,
tu n’es pas ingrat(e),
tu n’es pas “trop”.
Tu es juste humain(e), avec un cœur qui n’a pas toujours reçu ce qu’on promet dans les chansons de Noël.
👉 Et non, ce n’est pas grave de ne pas “adorer” cette période.
Parfois, le plus beau cadeau de Noël, c’est d’arrêter de faire semblant que tout va bien…
et de t’offrir un peu de douceur à toi. 🦊✨
Le Renard Chic
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