23/10/2025
« Entraßner son cerveau pour une vie meilleure » !
VoilĂ la question qui mâa Ă©tĂ© posĂ©e comme sujet dâune confĂ©rence que jâai eu le plaisir de donner rĂ©cemment.
PremiĂšrement:
Quâappelle-t-on une vie meilleure ?
Une vie meilleure est selon moi
une vie sans problĂšme, sans embĂ»che, sans barriĂšre et dans laquelle tout semblerait ĂȘtre Ă la fois fluide et agrĂ©able sachant que le moindre facteur du quotidien peut avoir un impact sur notre fonctionnement cĂ©rĂ©bral !
Il apparaĂźt donc Ă©vident quâune vie meilleure serait une vie Ă©panouie en terme amoureux, en terme familial, en terme de travail, de passion, dâamitiĂ©, de quotidienâŠ
Des exemples de ce qui pourrait impacter notre activité cérébrale seraient:
Les traumas, les Ă©vĂ©nements liĂ©s Ă une mauvaise nouvelle, une vexation, une dispute avec son conjoint, une mauvaise note en classe pour un enfant, un film qui nous ferait sursauter, une surcharge de travail, la peur du lendemain etcâŠ
Tous ces Ă©lĂ©ments peuvent avoir un impact nĂ©gatif sur notre activitĂ© Ă©lectrique cĂ©rĂ©brale et Ă©ventuellement se rĂ©percuter plus t**d (et Ă plus ou moins long terme) sur notre sommeil, notre caractĂšre, notre impulsivitĂ©, notre procrastination au travail, notre moral, notre santĂ© psychique voire notre santĂ© tout courtâŠ
Une vie meilleure elle, se traduirait par un fonctionnement cĂ©rĂ©bral optimal, Ă lâinverse de toutes ces problĂ©matiques.
Un fonctionnement cérébral optimal passe forcément par le fait que toutes les informations qui sont véhiculées dans notre cerveau, le soient de maniÚre rapide, fluide, directe, logique.
Câest le rĂŽle des neurones, les petites cellules fondamentales de notre systĂšme nerveux, qui ont comme but de transporter toutes les informations quâon divise habituellement en 3 grands types:
la cognition, la motricité et les émotions.
Ce transport dâinformations, qui se fait donc Ă travers ce quâon appelle les rĂ©seaux neuronaux, se fait de maniĂšre Ă©lectro-chimique.
Câest ce quâon appelle lâactivitĂ© Ă©lectrique cĂ©rĂ©brale.
Pour rappel, chaque cerveau contient environ 86 milliards de neurones, et chaque neurone est reliĂ© Ă environ 10 000 autres neurones voire davantageâŠ
Il faut donc se reprĂ©senter nos circuits neuronaux comme une sorte de toile dâaraignĂ©e en 3D Ă perte de vue dans tous les horizons possibles.
Câest Ă lâintĂ©rieur de ces rĂ©seaux de neurones que sont transportĂ©s ces 3 grands types dâinformations.
-Une meilleure circulation des informations cognitives permet de comprendre plus facilement, dâanalyser les choses plus rapidement, de rĂ©flĂ©chir plus efficacement, dâapprendre plus rapidement et plus facilement, dâavoir une meilleure mĂ©moire, de pouvoir sâexprimer plus librement, de percevoir et prendre des dĂ©cisions plus sereinement, dâassumer son point de vue avec convictionâŠ
-Une meilleure circulation des informations motrices, se traduit par mieux se mouvoir de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, mieux rĂ©cupĂ©rer dâun Ă©tat de fatigue, ĂȘtre plus habile, plus souple, plus rapide, plus prĂ©cis en terme de gestes et de mouvements (ex: pour les sportifs sur un terrain de foot, pour les artisans qui doivent effectuer une tĂąche dĂ©licate ou pour un chirurgien durant une opĂ©ration etc).
-Une meilleure circulation des informations Ă©motionnelles, se traduirait par le fait de mieux gĂ©rer ses Ă©motions, ne pas ĂȘtre envahi par ses Ă©motions, ĂȘtre plus en empathie, plus Ă lâĂ©coute des autres, sâadapter plus facilement en sociĂ©tĂ© Ă travers lâaltruisme, apprendre Ă pardonner ou Ă faire le bien autour de soi, Ă ĂȘtre capable dâaimer, de se laisser aimer etc.
En résumé:
Cette fluiditĂ© optimale des informations cognitives, motrices et Ă©motionnelles Ă travers les rĂ©seaux neuronaux (ce quâon appelle donc lâactivitĂ© Ă©lectrique cĂ©rĂ©brale) se traduirait donc par:
Un meilleur sommeil
Un meilleur caractĂšre
Des capacités intellectuelles accrues
Moins dâimpulsivitĂ©
Une meilleure efficacité au travail
Moins procrastiner
Ătre plus en empathie
Un meilleur contact avec les autres
Se sentir bien en société
Avoir un imaginaire développé
Ătre moins impactĂ© par des micros Ă©vĂ©nements
Prendre des décisions plus rapidement
Assumer ses choix avec conviction
Vivre plus sereinement
Ne plus avoir peur du futur
Ne pas regretter le passé
Vivre au moment présent⊠(comme enseigné par la sagesse bouddhiste).
Selon cette mĂȘme philosophie bouddhiste: il faut rappeler quâun problĂšme pour quelquâun, nâest pas forcĂ©ment un problĂšme pour quelquâun dâautre. Un problĂšme pour quelquâun peut mĂȘme parfois ĂȘtre une solution pour quelquâun dâautre.
Dans cette logique lĂ , on comprend que ce nâest pas le problĂšme qui pose problĂšme mais la maniĂšre de percevoir le problĂšme.
La plupart du temps (toujours dâaprĂšs cette logique), câest le contexte quâon doit chercher Ă amĂ©liorer afin de pouvoir soit prendre suffisamment de recul avec ce problĂšme, soit changer le regard quâon porte sur ce problĂšme.
AmĂ©liorer le contexte, câest tout simplement ce quâon cherche Ă faire Ă travers toutes les techniques de BIEN-ĂTRE (qui devrait ĂȘtre selon moi la prĂ©occupation premiĂšre et majeure du domaine de la santĂ©âŠ. mais ça, câest un autre dĂ©bat).
Comme je lâĂ©crivais, tout cela ne peut ĂȘtre rendu possible que si notre cerveau est donc optimal dans son mode de fonctionnement, câest Ă dire Ă partir du moment oĂč les informations cognitives, motrices et Ă©motionnelles sont vĂ©hiculĂ©es de maniĂšre rapide, fluide, directe, logique Ă travers les rĂ©seaux neuronaux.
Câest ce que peut nous apporter les deux qualitĂ©s fondamentales majeures dâun cerveau⊠que sont LA FLEXIBILITĂ dâune part et la RĂSILIENCE de lâautre.
-La flexibilitĂ©, câest la
capacitĂ© que notre cerveau a de sâadapter trĂšs rapidement Ă notre environnement, aux Ă©vĂ©nements du quotidien, Ă ne pas tomber systĂ©matiquement dans tous les piĂšges, Ă Ă©viter un obstacle, Ă ĂȘtre capable de rĂ©agir trĂšs vite aux changements environnementaux, dâĂȘtre capable de sâadapter Ă toutes les situations Ă chaque moment.
-La rĂ©silience, câest cette capacitĂ© que notre cerveau a de non seulement pouvoir sâadapter Ă son environnement mais de pouvoir rebondir trĂšs vite aux Ă©vĂ©nements sans rester bloquĂ© sur une chose en particulier et de faire dâune expĂ©rience a priori nĂ©gative une leçon, Ă savoir surmonter les Ă©preuves en en sortant grandit, en ayant appris de ses erreurs et en sublimant lâexpĂ©rience nĂ©gative initiale.
VoilĂ les deux caractĂ©ristiques dâun cerveau optimal que sont « flexibilitĂ© et rĂ©silience ».
Cela me conduit Ă la seconde question: quâappelle t-on « entraĂźner son cerveau » ?
(Et comment faire pour entraĂźner son cerveau ?).
Afin de comprendre ce processus , il est important dâĂ©voquer le cerveau des bĂ©bĂ©s Ă la naissance car il faut savoir quâavant la naissance, dans le cerveau du bĂ©bĂ© au stade embryonnaire, se crĂ©ent 3000 nouveaux neurones par seconde (câest une vĂ©ritable usine).
Cela signifie en rĂ©alitĂ© que le bĂ©bĂ© naĂźt avec le mĂȘme nombre de neurones quâĂ lâĂąge adulte, Ă savoir 86 milliards environ.
Ă partir de lĂ , ce qui va sâapparenter au dĂ©veloppement du cerveau du bĂ©bĂ©, de lâenfant, de lâadolescent et du jeune adulte, ce nâest pas le nombre de neurones grandissant mais les connexions qui vont sâĂ©tablir entre les neurones eux-mĂȘmes, Ă travers les chemins qui se crĂ©ent (les dendrites) et qui peuvent ĂȘtre au nombre de 10 000 par neurones, parfois mĂȘme davantage.
(Souvenez-vous de cette toile dâaraignĂ©e en 3D que jâĂ©voquais prĂ©cĂ©demment).
Ce dĂ©veloppement va se faire Ă travers lâapprentissage, lâaltĂ©ritĂ©, lâimitation des parents, toute sollicitation Ă des jeux, Ă lâĂ©ducation de nouveaux bruits, de nouveaux goĂ»ts, de nouvelles odeurs, de nouvelles couleurs, des situations aussi diffĂ©rentes les unes des autres etc.
Et puis en grandissant ce sera lâapprentissage de la langue puis des langues Ă©trangĂšres, des mathĂ©matiques, de lâhistoire, de la gĂ©ographie mais aussi de la
pratique du sport ou de la musique, de la lecture, de la rĂ©flexion sur de nouveaux sujets, puis la possibilitĂ© dâen dĂ©battre etc.
(A lâinverse, la sĂ©dentaritĂ©, une mauvaise alimentation, une mauvaise hygiĂšne de vie, trop dâinformations inutiles Ă la tĂ©lĂ©, lâabsence de lien avec les autres peut faire reculer ses acquis voire dĂ©truire petit Ă petit ce qui a Ă©tĂ© construit au niveau neural).
Toutes ces connexions qui, au niveau de notre cerveau se font, se dĂ©font, se refont, câest ce quâon appelle la « NeuroplasticitĂ© ».
La NeuroplasticitĂ© câest la capacitĂ© que notre cerveau a de sâadapter Ă son environnement Ă travers lâadaptabilitĂ© quâil a de maniĂšre intrinsĂšque Ă changer, Ă©voluer, se
moduler.
Depuis quâon a compris ce quâĂ©tait cette NeuroplasticitĂ©, on a aussi compris que le cerveau avait cette capacitĂ© de plasticitĂ© Ă tout Ăąge. Cela signifie que plus on entraine son cerveau, plus nos capacitĂ©s cĂ©rĂ©brales seront prĂ©servĂ©es et ce, de la maniĂšre la plus optimale qui soit.
(Exemple: les grands intellectuels arrivent Ă des Ăąges trĂšs avancĂ©s 80/90 ans et ont une capacitĂ© intellectuelle et mĂ©morielle souvent presque intacte. Pourquoi ? Parce quâils ont entraĂźnĂ© leur cerveau toute leur vie).
Il est donc important de continuer dâentraĂźner son cerveau.
Lâune des mĂ©thodes qui consiste Ă entraĂźner son cerveau de maniĂšre la plus efficace qui soit, aujourdâhui, câest le Neurofeedback Dynamique commercialisĂ© sous le nom de NeurOptimalÂźïž par lâinstitut Canadien Zengar.
NeurOptimalÂźïžest une neurotechnologie de pointe qui consiste donc Ă entraĂźner son cerveau en optimisant ses capacitĂ©s premiĂšres que sont donc « flexibilitĂ© et rĂ©silience » et en permettant Ă notre activitĂ© cĂ©rĂ©brale dâĂȘtre la plus rapide, directe, logique et optimale qui soit.
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