Cabinet Coat - Psychothérapie intégrative corps/cerveau

Cabinet Coat - Psychothérapie intégrative corps/cerveau Psychothérapie intégrative corps/cerveau & Développement personnel

Pour optimiser l'efficacité des traitements proposés, le cabinet COAT exploite les atouts de plusieurs disciplines thérapeutiques : psychothérapie émotionnelle et cognitive, hypnose, sophrologie, méditation, coaching génératif. Vous pouvez faire appel à nous si vous souhaitez : améliorer votre santé en agissant à la source de vos troubles, un meilleur bien-être, une qualité de vie améliorée (aide au sevrage tabagique, d'un stress, d'une insomnie, d'un surpoids, vivre une sexualité plus épanouie), travailler à votre développement personnel (gagner en autonomie, en sérénité, en harmonie) .

29/04/2025

Dis moi ce que tu en penses stp.

𝗟'𝗔𝗡𝗫𝗜𝗘́𝗧𝗘́ 𝗦𝗢𝗖𝗜𝗔𝗟𝗘La phobie sociale ou anxiété sociale se manifeste par la crainte d’être embarrassé, jugé ou ridiculis...
26/03/2025

𝗟'𝗔𝗡𝗫𝗜𝗘́𝗧𝗘́ 𝗦𝗢𝗖𝗜𝗔𝗟𝗘

La phobie sociale ou anxiété sociale se manifeste par la crainte d’être embarrassé, jugé ou ridiculisé dans des circonstances où l’on est observé ou amené à agir en public.

Cette peur peut être si intense qu’elle conduit souvent à l’évitement des situations redoutées, bien que certaines personnes parviennent à y faire face en subissant une grande angoisse.

Les individus souffrant de cette phobie redoutent souvent de dire ou de faire quelque chose qui pourrait les faire paraître nerveux, fragiles, stupides, voire fous aux yeux des autres. Leur inquiétude est généralement excessive par rapport à la réalité de la situation, et ils en ont souvent conscience (à l’exception des enfants).

📕 𝗙𝗮𝘂𝘁-𝗶𝗹 𝗾𝘂𝗲 𝗷'𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗮̀ "𝗴𝗲́𝗿𝗲𝗿" 𝗺𝗼𝗻 𝗮𝗻𝘅𝗶𝗲́𝘁𝗲́ 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 ?

Sachez tout de suite que la solution n’est pas de « gérer » ces phénomènes comme on l’entend souvent. Vous n’avez sans doute pas envie de passer votre vie à « gérer » ces troubles ?

La solution ne provient pas non plus de la compréhension des sources ou des mécanismes impliqués dans mes troubles. Certains pensent avoir cerné l’origine de leur anxiété avec l’aide d’un thérapeute et pourtant leur anxiété est toujours là !

Il ne s’agit pas non plus d’adopter telle ou telle technique. Ce serait totalement insuffisant pour obtenir une transformation profonde et durable.
Pour traiter efficacement la phobie sociale : utiliser une combinaison d’approches thérapeutiques

On va le voir tout à l’heure, les causes de l’anxiété sociale sont toujours multiples, elles relèvent à la fois de mécanismes physiques et psychologiques.

📕 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁𝗲𝗿 𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗽𝗵𝗼𝗯𝗶𝗲 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 : 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗲𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗯𝗶𝗻𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻 𝗱’𝗮𝗽𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲𝘀 𝘁𝗵𝗲́𝗿𝗮𝗽𝗲𝘂𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀

Pour les traiter efficacement, il faut donc, en résumé, recourir à une combinaison d’approches thérapeutiques permettant d’agir à la fois sur le corps et le cerveau et traiter la source de cette anxiété (pas seulement agir sur les symptômes) pour obtenir des résultats durables.

Avant d’évoquer les causes de l’anxiété sociale et les clefs d’un traitement efficace, voyons succinctement quels sont les principaux symptômes de la phobie sociale.

📕 𝗟𝗲𝘀 𝗽𝗵𝗼𝗯𝗶𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗳𝗿𝗲́𝗾𝘂𝗲𝗻𝘁𝗲𝘀

Les phobies sociales les plus courantes sont les suivantes :

- La crainte de prendre la parole en public,
- La peur des examens,
- L’anxiété liée à la foule,
- La peur de rédiger ou signer des documents devant d’autres personnes,
- L’angoisse d’être observé pendant son travail,
- La peur de s’étouffer ou de renverser de la nourriture en mangeant en public,
- L’appréhension de rougir devant les autres,
- L’inquiétude d’utiliser des toilettes publiques.

📕 𝗟𝗲𝘀 𝘀𝘆𝗺𝗽𝘁𝗼̂𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗵𝗼𝗯𝗶𝗲 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲

Les symptômes classiques de la phobie sociale incluent la transpiration excessive, le rougissement, l’accélération du rythme cardiaque, les nausées et les tremblements.

Beaucoup de personnes concernées ne savent pas qu’elles souffrent de cette phobie et ont recours à l’alcool pour tenter de soulager leurs symptômes, ce qui peut, dans certains cas, mener à des problèmes d’alcoolisme.

Les angoisses ressenties en société ne sont pas inhabituelles, mais on parle de phobie sociale lorsque l’évitement des situations sociales perturbe significativement les activités quotidiennes, les relations affectives importantes ou la vie professionnelle de la personne, et provoque une grande souffrance émotionnelle.

La phobie sociale peut également entraîner des attaques de panique, souvent déclenchées par la peur de l’humiliation ou de l’embarras.

📕 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗻 𝗮𝗻𝘅𝗶𝗲́𝘁𝗲́ 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 ?

Chez un être humain, un trouble n’a jamais une cause unique. La phobie sociale n’échappe pas à la règle, ses causes sont multiples et interagissent. En voici les principales.

➡️ Vulnérabilité héréditaire : lorsque un gène appelé SERT à une forme courte, on sait qu’il y a une prédisposition aux troubles anxieux.

➡️ Contexte familial : L’anxiété sociale découle souvent de traumatismes complexes provenant du contexte dans lequel un enfant a grandi : une relation de longue durée avec un parent dysfonctionnel, par ex. une mère autoritaire, surprotectrice, hyper-exigeante, très anxieuse ou dépressive. Ces traumatismes vont engendrer des croyances limitantes, souvent inconscientes, (« Pour être aimé, il faut être performante ») et des peurs fondamentales diffuses associées (« un événement douloureux surviendra si je n’ai pas tout anticipé et planifié », « je serai puni d’une façon où d’une autre si je ne sacrifie pas tout à ce travail »…) qui vont contribuer à mon anxiété.

➡️ Trauma simple : parfois un trauma simple (agression, licenciement, séparation, décès d’un proche…) affectant des assises psychologiques déjà fragilisées par un trauma complexe va venir chroniciser l’anxiété.

➡️ Etat physique : des déséquilibres musculo-squelettiques (tensions, posture…) ou biochimiques (déficit en Gaba, sérotonine…) peuvent constituer de puissants facteurs de maintien de mon anxiété et compromettre toute évolution au niveau psychologique (émotions, pensées).

➡️ Stress cumulatif : pression constante, sur de nombreuses années, liée à l’activité professionnelle ou à un conjoint agressif….

➡️ Habitudes alimentaires : excès d’excitants, de sucre…

➡️ Mode de vie : manque de sommeil, charge de travail excessive, absence de relations sociales…

➡️ Emotions réprimées : une colère à l’égard de cette mère qui ne m’a jamais prise dans ses bras…

➡️ Absence de but dans la vie : même lorsque tous les autres facteurs ont été pris en compte dans une thérapie, on s’aperçoit que les questions existentielles non résolues (quel mon rôle dans la vie, la peur de la mort…) peuvent suffirent à maintenir la phobie sociale.

📕 𝗧𝗿𝗮𝗶𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗻𝘅𝗶𝗲́𝘁𝗲́ 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 : 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗹𝗲𝗳𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́

➡️ CLEF N°1 : Une combinaison de méthodes thérapeutiques pour agir sur tous les facteurs impliqués dans mon trouble
On l’a évoqué tout à l’heure : les causes et facteurs de risques sont multiples. Pour être efficace, il faudra agir sur ces différents facteurs : vos habitudes de vie (sommeil, phase de repos ..?) qui peuvent entretenir vos troubles, votre alimentation, votre corps (état de mon système nerveux autonome, motricité, posture, tensions dans la musculature profonde…?), vos émotions, vos comportements, pensées. Et aucune forme de thérapie ne permet à elle seule d’agir sur toutes ces dimensions de votre être.

Pour être efficace, il faudra donc utiliser une combinaison d’approches thérapeutiques permettant de mener une action à la fois sur les facteurs physiques et les facteurs psychologiques.

➡️ CLEF N°2 : Réduire rapidement les symptômes par une action sur le système nerveux autonome

Vous avez sans doute observé que lorsque l’anxiété est là, il ne suffit pas de se dire « tu n’as aucune raison d’avoir peur! ». Cette peur est un automatisme neurobiologique que mes processus conscients, mon mental, sont impuissant à contrôler. Il faut tout d’abord rééquilibrer le terrain, c’est à dire rééduquer le système nerveux autonome (SNA) qui, dans les troubles anxieux est toujours dans un état de déséquilibre prononcé.

La plupart des troubles physiques (tachycardie, tensions musculaires, troubles du sommeil…) et psychologiques que j’expérimente sont le fruit de ce déséquilibre. Dès lors, des pratiques répétées améliorant le tonus du régulateur de mon SNA peuvent rapidement améliorer mon état général.

➡️ CLEF N°3 : Défaire les situations de crise avec des protocoles d’urgence
Sous l’effet de certaines situations, un endroit très fréquenté ou le timbre d’une voix, j’entre peut être dans un état de déstabilisation et d’angoisse prononcée où par exemple, ma fréquence cardiaque augmentent, ma respiration devient difficile, je ressens un vertige ou je le mets à transpirer… Il va falloir que j’apprenne des techniques permettant de mettre fin à ces états critiques qui entretiennent, voire renforcent au fil du temps mon anxiété, mes pensées obsédantes et mes troubles physiques.

➡️ CLEF N°4 : Intervenir à la source de vos troubles pour des résultats profonds et durables
Je suppose que vous ne souhaitez pas passer votre vie à éteindre des incendies avec des pratiques ou des produits. Pour trouver durablement le bien être, il sera indispensable d’agir à la source de vos troubles. Autrement dit, il faudra identifier et transformer la mémoire qu’a laissé en vous certaines expériences douloureuses du passé. Il peut s’agir d’expériences ponctuelles (comme une agression, un décès…) où des expériences durables comme un déficit de soins affectifs dans l’enfance.

➡️ CLEF N°5 : Mobiliser autant votre corps que votre cerveau
Les expériences douloureuses du passé qui sous-tendent mon anxiété ou mes peurs d’aujourd’hui sont enregistrées dans une mémoire essentiellement inconsciente et de nature corporelle. Il faudra donc mobiliser le corps pour transformer cette mémoire et produire des changements au niveau émotionnel et cognitif (mental). On ne peut aucunement venir à bout des mémoires douloureuses avec une approche exclusivement cognitive autrement dit avec une thérapie strictement verbale, par le seul dialogue avec un thérapeute.

➡️ CLEF N°6 : Tenir compte de vos spécificités physiques et psychologiques
Un marin ne peut pas tracer un cap vers sa destination s’il est incapable de faire un point, autrement dit s’il ne sait pas déterminer sa position. Quelle qu’elle soit, la thérapie dans laquelle vous allez vous engager devra donc reposer sur une évaluation de vos spécificités : que se passe t’il en vous sur un plan neurovégétatif (SNA), sensoriel, musculo-squelettique (posture, motricité, conscience corporelle), émotionne, cognitif (pensée, croyances, capacité d’attention, mémorisation), comportemental. C’est seulement sur la base de cette évaluation que le thérapeute pourra élaborer une stratégie thérapeutique efficace.

➡️ CLEF N°7 : Soutenir en permanence votre motivation à pratiquer
Même si la compréhension des phénomènes et des mécanismes est utile, elle n’est en rien suffisante. La science nous indique que la transformation est un apprentissage et que cet apprentissage ne s’installe que sous l’effet de pratiques répétées . Seule la répétition peut pérenniser les nouveaux réseaux neuronaux qui sous-tendent le changement. Il vous faut donc vous engager dans un programme entièrement pensé pour soutenir votre motivation à pratiquer.

➡️ CLEF N°8 : Opter pour un programme thérapeutique qui a fait ses preuves
Enfin, ne mettez pas votre santé mentale entre les mains de n’importe qui. Orientez-vous vers de véritables thérapeutes, sérieusement formés et surtout disposant d’une très longue expérience en cabinet et dont les méthodes ont déjà prouvé leur efficacité sur des centaines voire des milliers de patients.

Philippe Coat
La reproduction partielle ou totale de cet article est interdite sans l’accord exprès de l’auteur

𝗕𝗨𝗥𝗡-𝗢𝗨𝗧 𝗘𝗧 𝗦𝗨𝗥𝗜𝗡𝗩𝗘𝗦𝗧𝗜𝗦𝗦𝗘𝗠𝗘𝗡𝗧 𝗔𝗨 𝗧𝗥𝗔𝗩𝗔𝗜𝗟📙 𝗟𝗲 𝘀𝘂𝗿𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘂 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹Le surinvestissement au travail se manifeste pa...
26/03/2025

𝗕𝗨𝗥𝗡-𝗢𝗨𝗧 𝗘𝗧 𝗦𝗨𝗥𝗜𝗡𝗩𝗘𝗦𝗧𝗜𝗦𝗦𝗘𝗠𝗘𝗡𝗧 𝗔𝗨 𝗧𝗥𝗔𝗩𝗔𝗜𝗟

📙 𝗟𝗲 𝘀𝘂𝗿𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘂 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹

Le surinvestissement au travail se manifeste par une implication excessive dans le travail de manière physique et émotionnelle. Si vous avez cette tendance, voila quel pourrait être votre portrait :

Vous avez sans doute beaucoup de difficulté à rester dans l’inactivité physique et mentale et à vous reposer. Vous préférez le mouvement permanent. Si les circonstances ne vous permettent pas de vous maintenir dans le mouvement, vous avez tendance à vous sentir tendu, anxieux ou irritable.

Peut-être avez-vous également des difficultés à vous concentrer, à mémoriser, des oublis récurrents ?

Vous avez tendance à vous investir totalement dans votre activité professionnelle au point de négliger d’autres compartiments de votre vie : vie amoureuse, affective, vie sociale, activités d’expression artistique, spiritualité…

Peut-être que ce surinvestissement au travail vous conduit-il à outrepasser les limites de votre corps : ne pas vous reposer, ne pas être à l’écoute de douleurs corporelles, ne pas vous accorder de plaisirs physiques…?

📙 𝗟𝗲 𝗯𝘂𝗿𝗻-𝗼𝘂𝘁

Ce surinvestissement conduit très souvent au burn-out, c’est-à-dire à un épuisement souvent accompagné d’un état dépressif.

Le burn-out doit être vu comme un mécanisme de protection. Avant le burn-out, la personne qui en est victime a un système nerveux autonome en hyperactivation. L’accélérateur, le système sympathique est hyperactif et délivre un excès d’énergie qui va épuiser les ressources de la personne et fragiliser sa santé. On pourrait dire qu’elle roule en seconde sur l’autoroute.

Lorsque le burn-out survient, c’est un peu comme un disjoncteur qui s’est activé pour éviter le pire : je fais alors l’expérience d’un état de survie où je n’ai plus d’énergie physique ni mentale, accompagné parfois par un émoussement sensoriel et émotionnel (une espèce d’anesthésie).

📙 𝗗𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗶𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲

➡️ 𝙋𝙧𝙤𝙛𝙞𝙡 1 : une personne qui a des idéaux exigeants, un besoin de contrôle et une tendance à l’autocritique excessive

Vous vous fixez généralement des objectifs élevés, Vous êtes très préoccupé par votre performance.

On dit peut-être de vous que vous êtes perfectionniste. Vous aimez contrôler, anticiper, planifier, gérer.

Vous êtes capable de vous critiquer avec excès dès lors que vous ne parvenez pas à atteindre vos objectifs.

➡️ 𝙋𝙧𝙤𝙛𝙞𝙡 2 : une personne qui a un manque d’estime de soi, un manque affectif et qui vit dans la peur du rejet (abandon).

Abnégation : Vous avez tendance à sacrifier vos propres besoins pour tenter de satisfaire en priorité ceux des autres

Vous êtes très sensible au regard des autres et recherchez en priorité leur approbation et leur reconnaissance quitte à taire momentanément vos opinions et vos valeurs

Vous avez tendance à vous soumettre à l’excès aux exigences d’autrui afin de ne pas risquer d’être rejeté, délaissé ou abandonné

Vous vous voyez comme une personne imparfaite, inférieure, qui a peut-être commis des fautes et vous avez tendance à ressentir de la honte en raison de ce que vous êtes ou ce que vous regrettez de ne pas être

Vous ressentez constamment un manque affectif et peut-être un sentiment d’isolement

📙 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁𝗲𝗿 𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝘂𝗿𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘂 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗲𝘁 𝗯𝘂𝗿𝗻-𝗼𝘂𝘁 : 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗲𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗯𝗶𝗻𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻 𝗱’𝗮𝗽𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲𝘀 𝘁𝗵𝗲́𝗿𝗮𝗽𝗲𝘂𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀

On va le voir tout à l’heure, les causes du surinvestissement au travail et de la tendance au burn-out sont toujours multiples, elles relèvent à la fois de mécanismes physiques et psychologiques.

Pour les traiter efficacement, il faut donc, en résumé, recourir à une combinaison d’approches thérapeutiques permettant d’agir à la fois sur le corps et le cerveau et traiter la source de cette anxiété (pas seulement agir sur les symptômes) pour obtenir des résultats durables.

📙 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗻 𝘀𝘂𝗿𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘂 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗼𝘂 𝗱𝗲 𝗺𝗮 𝘁𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗮𝘂 𝗯𝘂𝗿𝗻-𝗼𝘂𝘁 ?

Chez un être humain, un trouble n’a jamais une cause unique. Le surinvestissement au travail et la tendance au burn-out n’échappent pas à la règle, leurs causes sont multiples et interagissent. En voici les principales.

➡️ Vulnérabilité héréditaire : lorsque un gène appelé SERT à une forme courte, on sait qu’il y a une prédisposition aux troubles anxieux et il y a fort à parier que l'anxiété se manifeste notamment dans le contexte professionnel.

➡️ Contexte familial : surinvestissement au travail et tendance au burn-out découlent souvent de traumas complexes (traumas relationnels) provenant l'environnement dans lequel un enfant a grandi : une relation de longue durée avec un parent dysfonctionnel, par ex. une mère autoritaire, surprotectrice, hyper-exigeante, très anxieuse ou dépressive. Ces traumatismes vont engendrer des croyances limitantes, souvent inconscientes, (« Pour être aimé, il faut être performante ») et des peurs fondamentales diffuses associées (« un événement douloureux surviendra si je n’ai pas tout anticipé et planifié », « je serai puni d’une façon où d’une autre si je ne sacrifie pas tout à ce travail »…) qui vont contribuer à mon anxiété.

➡️ Trauma simple : parfois un trauma simple (agression, licenciement, séparation, décès d’un proche…) affectant des assises psychologiques déjà fragilisées par un trauma complexe va faire le lit du surinvestissement au travail et de la tendance au burn-out.

➡️ Etat physique : des déséquilibres musculo-squelettiques (tensions, posture…) ou biochimiques (déficit en Gaba, sérotonine…) peuvent constituer de puissants facteurs de maintien de mes tendances problématiques et compromettre toute évolution au niveau psychologique (émotions, pensées).

➡️ Stress cumulatif : pression constante, sur de nombreuses années, liée à l’activité professionnelle ou à un conjoint agressif….

➡️ Habitudes alimentaires : excès d’excitants, de sucre…

➡️ Mode de vie : manque de sommeil, charge de travail excessive, absence de relations sociales…

➡️ Emotions réprimées : une colère à l’égard de cette mère qui ne m’a jamais prise dans ses bras…

➡️ Absence de but dans la vie : même lorsque tous les autres facteurs ont été pris en compte dans une thérapie, on s’aperçoit que les questions existentielles non résolues (quel mon rôle dans la vie, la peur de la mort…) peuvent suffirent à maintenir l’anxiété généralisée.

📙 𝗧𝗿𝗮𝗶𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂 𝘀𝘂𝗿𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮𝘂 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘁𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗮𝘂 𝗯𝘂𝗿𝗻-𝗼𝘂𝘁 : 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗹𝗲𝗳𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́

➡️ CLEF N°1
Une combinaison de méthodes thérapeutiques pour agir sur tous les facteurs impliqués dans mon trouble

On l’a évoqué tout à l’heure : les causes et facteurs de risques sont multiples. Pour être efficace, il faudra agir sur ces différents facteurs : vos habitudes de vie ( sommeil, phase de repos ..?) qui peuvent entretenir vos troubles, votre alimentation, votre corps (état de mon système nerveux autonome, motricité, posture, tensions dans la musculature profonde…?), vos émotions, vos comportements, pensées. Et aucune forme de thérapie ne permet à elle seule d’agir sur toutes ces dimensions de votre être.

Pour être efficace, il faudra donc utiliser une combinaison d’approches thérapeutiques permettant de mener une action à la fois sur les facteurs physiques et les facteurs psychologiques.

➡️ CLEF N°2
Réduire rapidement les symptômes par une action sur le système nerveux autonome

Vous avez sans doute observé que lorsque l’anxiété liée au travail est là, il ne suffit pas de se dire « tu n’as aucune raison d’être anxieux! ». Cette anxiété est un automatisme neurobiologique que mes processus conscients, mon mental, sont impuissant à contrôler. Il faut tout d’abord rééquilibrer le terrain, c’est à dire rééduquer le système nerveux autonome (SNA) qui, dans ce type de troubles, est toujours dans un état de déséquilibre prononcé.

La plupart des troubles physiques (tachycardie, tensions musculaires, troubles du sommeil…) et psychologiques que j’expérimente sont le fruit de ce déséquilibre. Dès lors, des pratiques répétées améliorant le tonus du régulateur de mon SNA peuvent rapidement améliorer mon état général.

➡️ CLEF N°3
Défaire les situations de crise avec des protocoles d’urgence

Sous l’effet de certaines situations professionnelles (la perspective d’une réunion où je dois prendre la parole, la pensée des objkectifs que je dois atteindre…), j’entre peut être dans un état de déstabilisation et d’angoisse prononcée où par exemple, ma fréquence cardiaque augmentent, ma respiration devient difficile, je ressens un vertige ou je le mets à transpirer… Il va falloir que j’apprenne des techniques permettant de mettre fin à ces états critiques qui entretiennent, voire renforcent au fil du temps mon anxiété, mes pensées obsédantes et mes troubles physiques.

➡️ CLEF N°4
Intervenir à la source de vos troubles pour des résultats profonds et durables

Je suppose que vous ne souhaitez pas passer votre vie à éteindre des incendies avec des pratiques ou des produits. Pour trouver durablement le bien être, il sera indispensable d’agir à la source de vos troubles. Autrement dit, il faudra identifier et transformer la mémoire qu’a laissé en vous certaines expériences douloureuses du passé. Il peut s’agir d’expériences durables : par exemple, une éducation assurée par des parents dévalorisants, ou dont le niveau d’exigence était exagérément élevé ou qui conditionnaient implicitement leur attention et leur affection à mes performances scolaires, sportives ou artistiques. Il peut aussi s’agir d’expériences ponctuelles (comme une agression, un décès…).

➡️ CLEF N°5
Mobiliser autant votre corps que votre cerveau

Les expériences douloureuses du passé qui sous-tendent mes difficultés d’aujourd’hui sont enregistrées dans une mémoire essentiellement inconsciente et de nature corporelle. Il faudra donc mobiliser le corps pour transformer cette mémoire et produire des changements au niveau émotionnel et cognitif (mental). On ne peut aucunement venir à bout des mémoires douloureuses avec une approche exclusivement cognitive autrement dit avec une thérapie strictement verbale, par le seul dialogue avec un thérapeute.

➡️ CLEF N°6
Tenir compte de vos spécificités physiques et psychologiques

Un marin ne peut pas tracer un cap vers sa destination s’il est incapable de faire un point, autrement dit s’il ne sait pas déterminer sa position. Quelle qu’elle soit, la thérapie dans laquelle vous allez vous engager devra donc reposer sur une évaluation de vos spécificités : que se passe t’il en vous sur un plan neurovégétatif (SNA), sensoriel, musculo-squelettique (posture, motricité, conscience corporelle), émotionne, cognitif (pensée, croyances, capacité d’attention, mémorisation), comportemental. C’est seulement sur la base de cette évaluation que le thérapeute pourra élaborer une stratégie thérapeutique efficace.

➡️ CLEF N°7
Soutenir en permanence votre motivation à pratiquer

Même si la compréhension des phénomènes et des mécanismes est utile, elle n’est en rien suffisante. La science nous indique que la transformation est un apprentissage et que cet apprentissage ne s’installe que sous l’effet de pratiques répétées . Seule la répétition peut pérenniser les nouveaux réseaux neuronaux qui sous-tendent le changement. Il vous faut donc vous engager dans un programme entièrement pensé pour soutenir votre motivation à pratiquer.

➡️ CLEF N°8
Opter pour un programme thérapeutique qui a fait ses preuves

Enfin, ne mettez pas votre santé mentale entre les mains de n’importe qui. Orientez-vous vers de véritables thérapeutes, sérieusement formés et surtout disposant d’une très longue expérience en cabinet et dont les méthodes ont déjà prouvé leur efficacité sur des centaines voire des milliers de patients.

Philippe Coat

La reproduction partielle ou totale de cet article est interdite sans l’accord exprès de l’auteur

𝗔𝗡𝗫𝗜𝗘́𝗧𝗘́ 𝗚𝗘́𝗡𝗘́𝗥𝗔𝗟𝗜𝗦𝗘́𝗘 :  𝗟𝗘𝗦 𝟴 𝗖𝗟𝗘𝗙𝗦 𝗣𝗢𝗨𝗥 𝗠'𝗘𝗡 𝗗𝗘𝗙𝗔𝗜𝗥𝗘 𝗗𝗨𝗥𝗔𝗕𝗟𝗘𝗠𝗘𝗡𝗧Si vous êtes affecté par un trouble d’anxiété génér...
14/03/2025

𝗔𝗡𝗫𝗜𝗘́𝗧𝗘́ 𝗚𝗘́𝗡𝗘́𝗥𝗔𝗟𝗜𝗦𝗘́𝗘 : 𝗟𝗘𝗦 𝟴 𝗖𝗟𝗘𝗙𝗦 𝗣𝗢𝗨𝗥 𝗠'𝗘𝗡 𝗗𝗘𝗙𝗔𝗜𝗥𝗘 𝗗𝗨𝗥𝗔𝗕𝗟𝗘𝗠𝗘𝗡𝗧

Si vous êtes affecté par un trouble d’anxiété généralisée, vous avez de nombreux sujets d’inquiétude, vous ressentez fréquemment de l’angoisse et vous avez des difficultés à la contrôler. De plus, l’intensité et la fréquence de vos angoisses sont, dans tous les cas, déconnectées de la probabilité des événements que vous craigniez (je ne sais pas quelle est la raison de cette anxiété).

Sachez tout de suite que la solution n’est pas de « gérer » ces phénomènes comme on l’entend souvent. Vous n’avez sans doute pas envie de passer votre vie à « gérer » ces troubles ?

La solution ne provient pas non plus de la compréhension des sources ou des mécanismes impliqués dans mes troubles. Certains pensent avoir cerné l’origine de leur anxiété avec l’aide d’un thérapeute et pourtant leur anxiété est toujours là !

Il ne s’agit pas non plus d’adopter telle ou telle technique. Ce serait totalement insuffisant pour obtenir une transformation profonde et durable.

📙 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁𝗲𝗿 𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹'𝗮𝗻𝘅𝗶𝗲́𝘁𝗲́ : 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗯𝗶𝗻𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻 𝗱'𝗮𝗽𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲𝘀 𝘁𝗵𝗲́𝗿𝗮𝗽𝗲𝘂𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲

On va le voir tout à l’heure, les causes des troubles anxieux sont toujours multiples, elles relèvent à la fois de mécanismes physiques et psychologiques.

Pour les traiter efficacement, il faut donc, en résumé, recourir à une combinaison d’approches thérapeutiques permettant d’agir à la fois sur le corps et le cerveau et traiter la source de cette anxiété (pas seulement agir sur les symptômes) pour obtenir des résultats durables.

Avant d'évoquer les causes de l'anxiété généralisée et les clefs d'un traitement efficace, voyons succinctement quels sont les principaux symptômes de l'anxiété généralisée.

📙 𝗗𝗲𝘀 𝘀𝘆𝗺𝗽𝘁𝗼̂𝗺𝗲𝘀 𝗽𝘀𝘆𝗰𝗵𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗴𝗻𝗶𝘁𝗶𝗳𝘀

En plus de l’angoisse continue, la personne souffrant de troubles d’anxiété généralisée présente au moins trois des six symptômes suivants :

> irritabilité,
> agitation ou sensation d’être hyperactif ou à bout,
> fatigabilité,
> difficultés de concentration,
> tensions musculaires,
> troubles du sommeil.

📙 𝗗𝗲𝘀 𝘀𝘆𝗺𝗽𝘁𝗼̂𝗺𝗲𝘀 𝗽𝗵𝘆𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀

Le trouble d’anxiété généralisée s’accompagne fréquemment de symptômes physiques tels que :

> hypertension,
> maux de tête dus aux tensions,
> tensions et douleurs musculaires, dorsales notamment,
> insomnie,
> syndrome du côlon irritable,
> ostéoporose.

Ces symptômes engendrent une grande détresse pour la personne ou l’empêchent d’avoir une activité professionnelle, une vie sociale équilibrée ou de pratiquer une activité qui lui tient à cœur.

📙 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗻 𝗮𝗻𝘅𝗶𝗲́𝘁𝗲́ 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́𝗲 ?

Chez un être humain, un trouble n'a jamais une cause unique. L'anxiété généralisée n'échappe pas à la règle, ses causes sont multiples et interagissent. En voici les principales :

➡️ Vulnérabilité héréditaire : lorsque un gène appelé SERT à une forme courte, on sait qu'il y a une prédisposition aux troubles anxieux.

➡️ Contexte familial : L'anxiété généralisée découle souvent de traumatismes complexes provenant du contexte dans lequel un enfant a grandi : une relation de longue durée avec un parent dysfonctionnel, par ex. une mère autoritaire, surprotectrice, hyper-exigeante, très anxieuse ou dépressive. Ces traumatismes vont engendrer des croyances limitantes, souvent inconscientes, (« Pour être aimé, il faut être performante ») et des peurs fondamentales diffuses associées (« un événement douloureux surviendra si je n’ai pas tout anticipé et planifié », "je serai puni d'une façon où d'une autre si je ne sacrifie pas tout à ce travail"...) qui vont contribuer à mon anxiété.

➡️ Trauma simple : parfois un trauma simple (agression, licenciement, séparation, décès d'un proche...) affectant des assises psychologiques déjà fragilisées par un trauma complexe va venir chroniciser l'anxiété.

➡️ Etat physique : des déséquilibres musculo-squelettiques (tensions, posture…) ou biochimiques (déficit en Gaba, sérotonine...) peuvent constituer de puissants facteurs de maintien de mon anxiété et compromettre toute évolution au niveau psychologique (émotions, pensées).

➡️ Stress cumulatif : pression constante, sur de nombreuses années, liée à l'activité professionnelle ou à un conjoint agressif....

➡️ Habitudes alimentaires : excès d'excitants, de sucre...

➡️ Mode de vie : manque de sommeil, charge de travail excessive, absence de relations sociales...

➡️ Emotions réprimées : une colère à l'égard de cette mère qui ne m'a jamais prise dans ses bras...

➡️ Absence de but dans la vie : même lorsque tous les autres facteurs ont été pris en compte dans une thérapie, on s'aperçoit que les questions existentielles non résolues (quel mon rôle dans la vie, la peur de la mort...) peuvent suffirent à maintenir l'anxiété généralisée.

📙 𝗧𝗿𝗮𝗶𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹'𝗮𝗻𝘅𝗶𝗲́𝘁𝗲́ 𝗴𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́𝗲 : 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗹𝗲𝗳𝘀 𝗱𝗲 𝗹'𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́

➡️ CLEF N°1
𝘜𝘯𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘣𝘪𝘯𝘢𝘪𝘴𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘮𝘦́𝘵𝘩𝘰𝘥𝘦𝘴 𝘵𝘩𝘦́𝘳𝘢𝘱𝘦𝘶𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘢𝘨𝘪𝘳 𝘴𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘢𝘤𝘵𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘪𝘮𝘱𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦́𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘮𝘰𝘯 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘣𝘭𝘦
On l’a évoqué tout à l’heure : les causes et facteurs de risques sont multiples. Pour être efficace, il faudra agir sur ces différents facteurs : vos habitudes de vie ( sommeil, phase de repos ..?) qui peuvent entretenir vos troubles, votre alimentation, votre corps (état de mon système nerveux autonome, motricité, posture, tensions dans la musculature profonde…?), vos émotions, vos comportements, pensées. Et aucune forme de thérapie ne permet à elle seule d’agir sur toutes ces dimensions de votre être. Pour être efficace, il faudra donc utiliser une combinaison d’approches thérapeutiques permettant de mener une action à la fois sur les facteurs physiques et les facteurs psychologiques.

➡️ CLEF N°2
𝘌𝘵𝘦𝘪𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘳𝘢𝘱𝘪𝘥𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭’𝘪𝘯𝘤𝘦𝘯𝘥𝘪𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘶𝘯𝘦 𝘢𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘴𝘺𝘴𝘵𝘦̀𝘮𝘦 𝘯𝘦𝘳𝘷𝘦𝘶𝘹 𝘢𝘶𝘵𝘰𝘯𝘰𝘮𝘦
Vous avez sans doute observé que lorsque l’anxiété est là, il ne suffit pas de se dire « tu n’as aucune raison d’avoir peur! ». Cette peur est un automatisme neurobiologique que mes processus conscients, mon mental, sont impuissants à contrôler. Il faut tout d’abord rééquilibrer le terrain, c’est à dire rééduquer le système nerveux autonome (SNA) qui, dans les troubles anxieux est toujours dans un état de déséquilibre prononcé. La plupart des troubles physiques (tachycardie, tensions musculaires, troubles du sommeil...) et psychologiques que j'expérimente sont le fruit de ce déséquilibre. Dès lors, des pratiques répétées améliorant le tonus du régulateur de mon SNA peuvent rapidement améliorer mon état général.

➡️ CLEF N°3
𝘋𝘦́𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘴𝘪𝘵𝘶𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘥𝘦 𝘤𝘳𝘪𝘴𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘰𝘤𝘰𝘭𝘦𝘴 𝘥’𝘶𝘳𝘨𝘦𝘯𝘤𝘦
Sous l’effet de certaines situations, un endroit très fréquenté ou le timbre d’une voix, j’entre peut être dans un état de déstabilisation et d’angoisse prononcée où par exemple, ma fréquence cardiaque augmentent, ma respiration devient difficile, je ressens un vertige ou je le mets à transpirer... Il va falloir que j’apprenne des techniques permettant de mettre fin à ces états critiques qui entretiennent, voire renforcent au fil du temps mon anxiété, mes pensées obsédantes et mes troubles physiques.

➡️ CLEF N°4
𝘐𝘯𝘵𝘦𝘳𝘷𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘴 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘰𝘣𝘵𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦́𝘴𝘶𝘭𝘵𝘢𝘵𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘶𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴
Je suppose que vous ne souhaitez pas passer votre vie à éteindre des incendies avec des pratiques ou des produits. Pour trouver durablement le bien être, il sera indispensable d’agir à la source de vos troubles. Autrement dit, il faudra identifier et transformer la mémoire qu’a laissé en vous certaines expériences douloureuses du passé. Il peut s’agir d’expériences ponctuelles (comme une agression, un décès…) où des expériences durables comme un déficit de soins affectifs dans l’enfance.

➡️ CLEF N°5
𝘔𝘰𝘣𝘪𝘭𝘪𝘴𝘦𝘳 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘳𝘱𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘦𝘳𝘷𝘦𝘢𝘶
Les expériences douloureuses du passé qui sous-tendent mon anxiété ou mes peurs d’aujourd’hui sont enregistrées dans une mémoire essentiellement inconsciente et de nature corporelle. Il faudra donc mobiliser le corps pour transformer cette mémoire et produire des changements au niveau émotionnel et cognitif (mental). On ne peut aucunement venir à bout des mémoires douloureuses avec une approche exclusivement cognitive autrement dit avec une thérapie strictement verbale, par le seul dialogue avec un thérapeute.

➡️ CLEF N°6
𝘛𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘴 𝘴𝘱𝘦́𝘤𝘪𝘧𝘪𝘤𝘪𝘵𝘦́𝘴 𝘱𝘩𝘺𝘴𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘱𝘴𝘺𝘤𝘩𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴
Un marin ne peut pas tracer un cap vers sa destination s’il est incapable de faire un point, autrement dit s’il ne sait pas déterminer sa position. Quelle qu’elle soit, la thérapie dans laquelle vous allez vous engager devra donc reposer sur une évaluation de vos spécificités : que se passe t’il en vous sur un plan neurovégétatif (SNA), sensoriel, musculo-squelettique (posture, motricité, conscience corporelle), émotionne, cognitif (pensée, croyances, capacité d’attention, mémorisation), comportemental. C’est seulement sur la base de cette évaluation que le thérapeute pourra élaborer une stratégie thérapeutique efficace.

➡️ CLEF N°7
𝘚𝘰𝘶𝘵𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘦𝘯 𝘱𝘦𝘳𝘮𝘢𝘯𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘮𝘰𝘵𝘪𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘢̀ 𝘱𝘳𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘳, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘶𝘯 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘨𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘶𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦
Même si la compréhension des phénomènes et des mécanismes est utile, elle n’est en rien suffisante. La science nous indique que la transformation est un apprentissage et que cet apprentissage ne s’installe que sous l’effet de pratiques répétées. Il vous faut donc vous engager dans un programme entièrement pensé pour soutenir votre motivation à pratiquer.

➡️ CLEF N°8
𝘖𝘱𝘵𝘦𝘳 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘶𝘯 𝘱𝘳𝘰𝘨𝘳𝘢𝘮𝘮𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘢 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘦𝘶𝘷𝘦 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘯 𝘦𝘧𝘧𝘪𝘤𝘢𝘤𝘪𝘵𝘦́
Enfin, ne mettez pas votre santé mentale entre les mains de n’importe qui. Orientez-vous vers de véritables thérapeutes, sérieusement formés et surtout disposant d’une très longue expérience en cabinet et dont les méthodes ont déjà prouvé leur efficacité sur des centaines voire des milliers de patients.

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