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Sabbat de Samhain – Nouvel An des sorcières et Fête des morts : La célébration d'Halloween. 👻Aujourd’hui, dans l’hémisph...
31/10/2025

Sabbat de Samhain – Nouvel An des sorcières et Fête des morts : La célébration d'Halloween. 👻

Aujourd’hui, dans l’hémisphère Nord, nous célébrons le sabbat de « Samhain », aussi connu sous le nom de « Halloween ». « Samhain » est la première des quatre grandes fêtes religieuses de l’année celtique protohistorique. Il s’agit d’un des quatre sabbats majeurs de la tradition païenne, avec « Imbloc », « Beltaine » et « Lughnasadh ». Il est célébré dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre.

« Samhain » est un mot gaélique irlandais qui signifie « assemblée » ou « réunion ». Il tire son étymologie proto-celtique de « samani », et donne aussi son nom au mois de novembre, « Mi na samhna » en irlandais. Pour d’autres, ce terme signifierait « l’été de la fin », marquant ainsi la fin de la saison claire et le début de la saison sombre. La saison sombre débutait aux alentours du 1er novembre, à « Samhain », tandis que la saison claire commençait vers le 1er mai, à « Beltaine ».

« Samhain » est une fête de transition, de passage d’une année à l’autre. Jadis, en Irlande, en Grande-Bretagne, ou encore en Gaule, l’année s’achevait à la fin du mois d’octobre, une nuit de Pleine Lune (calendrier de Coligny). Pour les Gaëls, l’année était composée uniquement de deux saisons : une saison sombre (automne-hiver) et une saison claire (printemps-été). Dans la tradition celtique, le cycle de la vie ne débutait pas à la naissance visible des choses mais lors de sa conception. Tout comme la vie, qui commence par la conception de l’enfant dans l’ombre du ventre de sa mère, avant que celui-ci ne voie le jour (Soleil), le jour débutait à minuit et la nouvelle année avait lieu au commencement des mois sombres. Raison pour laquelle, ce sabbat correspond au « Nouvel An Celtique », nommé aussi le « Nouvel An des Sorcières ».

A l’origine, ce sabbat durait trois nuits et avait lieu durant le mois de « Samonios», qui correspond approximativement au mois de novembre sur le calendrier de Coligny (celte). Cette fête est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais, sous la mention « Tri Nox Samoni », qui signifie « les trois nuits de Samhain ». Ce sabbat comptait trois jours de solennités : Le premier était consacré à la mémoire des héros (de guerre), le deuxième à la commémoration des défunts, et le troisième aux réjouissances populaires (réunions, banquets et festins). Chez les Celtes, le calendrier était lunaire et non solaire, c’est-à-dire que les sabbats ne pouvaient donner lieu à des dates fixes. C’est à l’avènement du calendrier romain que la date de « Samhain » a été fixée quarante jours après le début de l’automne, c’est-à-dire le 31 octobre.

En réalité, « Samhain » n’appartient ni à l’année qui se termine, ni à celle qui commence. Il s’agit d’un jour hors du temps, durant lequel le passé, le présent et le futur sont réunis dans le même espace temporel. Ce sabbat est un moment d’ouverture entre le monde des humains et l’Autre Monde, celui des Dieux et des entités. Durant cette période, la frontière du Sidh (le monde des morts) est d’une extrême finesse, ce qui fait que la communication avec l’au-delà est plus aisée. Elle permet aux défunts, non réincarnés, de revenir dans le monde des vivants pour y retrouver les lieux et les personnes qui leurs étaient chers. Au cours de ce sabbat, les énergies sont également au summum de leur puissance. De ce fait, cette fête est propice aux événement magiques et mythiques, ainsi qu’à toutes les pratiques ésotériques.

Appelée aussi « Halloween », « Jour des Morts », « Nuit des Ancêtres », « Fête des Esprits », « Veille de Toussaint », « Jour de l’An des Sorcières », « Nouvelle Année Celte », ou encore « Fête des Pommes ».

Dans la tradition catholique, « Samhain » correspond à la fête de « la Toussaint ». Cette fête ne se fonde pas sur des textes bibliques, ni sur la liturgie de Jérusalem. A l’origine, cette célébration avait lieu en Orient le 13 mai, en l’honneur de tous les martyrs. Au VIIIe siècle, cette fête chrétienne est déplacée au 1er novembre et devient celle de tous les saints, afin de détourner le rite païen de « Samhain ». Sa célébration liturgique commence aux vêpres (office), le soir du 31 octobre, et se termine le 1er novembre. Elle précède « la Commémoration des Morts », dont la solennité a été officiellement fixée au 2 novembre.

Contrairement aux idées reçues, « Halloween » n’est pas une fête américaine. Là aussi, il s’agit de l’héritage moderne du sabbat de « Samhain », c’est-à-dire une fête folklorique et traditionnelle païenne, d’origine européenne. Son nom est une contraction de l’anglais « All Hallows’Even » qui signifie « la veille de tous les saints » (Toussaint), en référence à la christianisation de ce sabbat. Si aujourd’hui, « Halloween » est fortement célébré sur le continent américain, c’est parce que cette fête a été introduite au Etats-Unis et au Canada lors de l’arrivée massive d’immigrants Irlandais et Écossais fuyant la grande famine de 1845.

« Samhain » est la plus importante fête du calendrier celtique, puisse qu’il s’agit de la célébration du « Nouvel An » païen. C’est la troisième et dernière fête des moissons. A cette période de l’année, les troupeaux étaient rentrés à l’étable. Certains animaux étaient abattus afin d’en faire des réserves alimentaires pour l’hiver. Quant aux paysans, ils étaient libérés des travaux agricoles. Les herbes étaient séchées, tandis que les fruits et légumes étaient mis en conserve. Après avoir profité de la lumière et la chaleur de l’été, le temps est venu de se plonger dans l’obscurité et de se reposer.

A « Samhain », Le Dieu Soleil s’est éteint (mort) et se retrouve dans l’obscurité de l’Autre Monde (l’au-delà). Mère-Nature est elle aussi dans l’ombre, en gestation du nouveau Soleil à naître. Au cours de cette période, le Dieu Soleil va se regénérer et renaitre à « Yule » (décembre). La Déesse-Mère va donner naissance à ce fils, qui favorisera la croissance et le développement de la vie au sein de la nature, en apparence morte à cette période de l'année. A partir du Solstice d’hiver (Yule), les jours vont commencer à se rallonger, bannissant ainsi l’obscurité, tout en apportant de nouveau la lumière, la chaleur et la vie sur Terre. Comme nous l’enseigne la légende de Perséphone, durant les mois sombres, la Déesse (Mère-Nature) va se confiner dans le monde souterrain (la Terre), symbolisant ainsi l’infertilité et la gestation de la Terre, jusqu’au printemps prochain.

La légende dit, que durant la nuit de « Samhain », les Dieux du monde souterrain, les âmes des défunts, ainsi que des créatures maléfiques, reviendraient sur Terre dans le but de participer à la fête. Jadis, il arrivait de voir surgir des hordes chaotiques venant de l’Autre Monde. Ces entités pouvaient parfois causer de mauvais incidents dans les villages. Pour contrer les mauvais esprits, les Celtes veillaient à « occuper » ces turbulents personnages en leur organisant toutes sortes de festivités. Ils bâtissaient de grands bûchers et sacrifiaient des animaux en offrandes.

Lors de la nuit de fermeture de « Samhain » avait lieu « la Cérémonie de la Renaissance du Feu ». Dans chaque foyer, le feu de la cheminée devait être éteint. Les Celtes se rassemblaient ensuite, à la tombée de la nuit, autour d’un cercle de feu sacré, allumé par des Druides. Par la suite, le feu était étouffé, afin d’éviter l’intrusion d’esprits maléfiques dans le village. Une fois la cérémonie terminée, chaque chef de famille recevait des braises encore chaudes, afin de rallumer le feu de sa maison et qu’il devait laisser brûler jusqu’à l’automne prochain. Le but étant de protéger son foyer tout au long de l’année. Une autre coutume consisté à offrir quelques glands à des proches. Cette tradition remonte aux temps anciens, où la sorcellerie était un art secret. Offrir un gland à autrui permettait de signifier à cette personne qu’on était un sorcier ou une sorcière. Les glands sont les fruits du chêne, un arbre sacré dans la tradition celtique. Sa symbolique est la protection, la fertilité et l’amitié.

Réprimée au Moyen-Âge par le christianisme, « Samhain » prit une tournure moins festive, avant de quasi disparaître au profit de la Toussaint. Au cours de cette période, nos ancêtres se sont mis à considérer la mort de façon moins gaie et divertissante. Ils commencèrent à avoir peur des entités et de ce qu’elles pouvaient leur faire. Le mythe du vieux conte Irlandais de « Jack-O’-Lantern », personnage le plus populaire de la fête « d’Halloween », contribua à entretenir leurs inquiétudes. Les Irlandais se mirent à confectionner des lanternes dans des navets (nos citrouilles modernes), qu’ils décoraient de figures effrayantes. Ces lanternes étaient ensuite disposées dans les recoins les plus sombres du village, dans le but d’effrayer les mauvais esprits. Ils portaient des tenues blanches pour porter en confusion les âmes errantes, afin de ne pas être importunés par celles-ci. C’est pour cette raison, qu’a « Halloween », il est de coutume de se déguiser en fantôme (vêtu de blanc), le but étant que les défunts confondent les vivants avec l’un d’entre eux. De nos jours, le fait de se costumer en monstre, en sorcière ou autre démon, nous donne aussi l’illusion que des êtres malfaisants reviennent nous hanter cette nuit-là, comme au temps des païens, en déambulant dans les rues sombres de nos villes.

Cette fête est un moment d’espoir et de recueillement, dont sa symbolique est la mort et la renaissance. La saison claire représentant « la vie », l’été de l’abondance et des récoltes, tandis que la saison sombre « la mort », l’hiver austère et stérile. « Samhain » revêt une dimension un peu « morbide », mais particulièrement festive. Les Celtes fêtaient leurs morts autour de prodigieux festins. Durant ces banquets, il était de coutume de déguster des pommes. Sa symbolique étant l’immortalité, la sagesse et le pouvoir suprême. Les Celtes espéraient ainsi accroître la puissance magique et permettre un renouvellement des forces cycliques (saison claire).

Lors de la célébration de ce sabbat, il est d’usage d’organiser un bon repas, composé de produits de saison : courges, citrouilles, navets, maïs, pommes, châtaignes, noix, champignons, ect. On y boit également du cidre chaud avec de la cannelle, de l’hydromel, de l’hypocras, ou encore du vin. A « Samhain », la tradition veut qu’on confectionne un « Barmbrack ». Il s’agit d’un gâteau aux fruits, dans lequel est placé un anneau avant la cuisson. Lors de sa dégustation, celui qui trouve l'anneau est sûr de trouver le véritable amour au cours de l'année à venir. Comme à « Lughnasadh » et à « Mabon », il est également de coutume de faire une offrande de ses récoltes à ses proches, afin s'assurer le retour de l’abondance au printemps prochain.

A « Samhain », nous honorons également nos ancêtres et les invitons à nous rendre visite. Il est de coutume de placer une chandelle à la fenêtre, afin guider les esprits qui souhaiteraient nous rendre visite. La porte d’entrée est laissée entre ouverte pour permettre à nos proches disparus de participer à la fête. Lors du dîner, on dédie une place à table aux défunts qui voudraient prendre part au repas. Avant d’aller se coucher, on laisse de la nourriture sur la table et une bûche allumée dans la cheminée pour que les morts puissent se réchauffer. On laisse également des offrandes de nourriture pour les âmes errantes à l’extérieur de la maison. De nos jours, il est plutôt d’usage de nous rendre au cimetière, afin de nous recueillir et pour fleurir les tombes de nos ancêtres.

Durant cette fête, il est aussi nécessaire de faire le bilan de l’année écoulée et prendre de nouvelles résolutions pour celle à venir. Il s'agit de faire le point sur notre vie et de rompre avec le passé, afin d’entamer l’avenir sous de meilleurs auspices. Il s’agit également d’un moment propice aux rituels de protection et de bannissement. Le jour de « Samhain », les Celtes se débarrassaient de leurs faiblesses et de leurs habitudes gênantes. A cette occasion, vous pouvez effectuer un rituel de bannissement de vos mauvaises habitudes. Écrivez sur un morceau de papier, toutes les mauvaises manies dont vous souhaitez vous débarrasser, puis brûlez-le à la flamme d’une bougie noire.

Lors de l’ouverture entre les deux mondes, les énergies sont au maximum de leur puissance, et la magie y est donc grandement facilité. « Samhain » est l’occasion de rites à caractère magique et divinatoire, ayant pour but de conjurer le mauvais sort et s’assurer les bonnes grâces de l’Autre Monde. L’entrée en communication avec le monde des morts étaient une opportunité pour les païens d’interroger le sort (oracles) et de tenter de lire l’avenir. De ce fait, il est d’usage de pratiquer la divination : cartes, runes, ect. Vous pouvez également profiter de cette période pour rentrer en communication avec les défunts, au cours d’une séance de spiritisme. (Attention, ne tentez pas l’expérience si vous êtes novice dans cette pratique. Cela peut s’avérer parfois dangereux !)

Dans un contexte plus moderne, à « Samhain » (ou Halloween), les enfants se déguisent avec des costumes de fantômes, de sorcières et de monstres effrayants, puis ils vont sonner aux portes pour réclamer des friandises, avec la formule : « Des bonbons ou un sort ! ». Cette fête peut aussi être célébrée par la lecture de contes horrifiques ou encore le visionnage de films d’horreur. A vous de rendre hommage à cette nouvelle année, selon vos rites et vos croyances, de façon moderne ou plus ancienne.

Il existe de nombreuses traditions et coutumes pour célébrer « Samhain ». Voici quelques idées d’activités :

💀 Faire une ballade dans la nature, c’est-à-dire dans un champ, une forêt, un jardin ou un parc, et y apprécier la végétation vieillissante.

💀 Méditer en pleine nature pour s’imprégner des énergies de la Terre.

💀 Visiter des lieux spirituels.

💀 Décorer sa maison (ou autel) sur le thème de « Samhain » : Fleurs, feuilles mortes, branches séchées, marrons, gr***des, pommes coupées en deux (pentagramme), citrouilles décorées, ect.

💀 Mettre des photos de ses proches disparus sur une table (autel), et allumer une bougie blanche pour chacun d’entre eux. Vous pouvez également réciter un prière ou leur adresser une pensée particulière.

💀 Organiser un festin en famille ou entre amis.

💀 Préparer une repas à base de produits de saison : courges, citrouilles, navets, maïs, pommes, châtaignes, noix, champignons, ect.

💀 Boire du cidre chaud avec de la cannelle, de l’hydromel, de l’hypocras, ou encore du vin.

💀 Parer sa table (repas) ou son autel d’une nappe au couleurs de « Samhain » : orange, rouge, marron, ou bien noire (symbole de l’obscurité).

💀 Allumer un feu de joie, ou bien des bougies aux couleurs de l’automne, afin de s’entourer de lumière durant cette saison sombre.

💀 Creuser des lanternes dans des potirons, citrouilles ou navets. A l’origine, la tradition était de creuser un navet pour guider « Jack’O’Lantern » (Légende d’Irlande).

💀 Accompagnez ses enfants lors de leur célébration « d’Halloween ».

💀 Se déguiser pour rendre hommage aux esprits et à l’Autre Monde.

💀 Accueillir les enfants déguisés et leur offrir des friandises.

💀 Raconter des histoires avec ses proches. Partager des contes, des légendes ou des histoires qui font peur.

💀 Regarder des films d’horreur.

💀 Placer une chandelle à sa fenêtre pour guider les esprits qui souhaiteraient nous rendre visite.

💀 Laisser sa porte d’entrée entre ouverte afin d’y laisser entrer nos proches disparus.

💀 Lors du dîner, laisser une place à sa table pour les défunts.

💀 Manger en silence, dans le recueillement des êtres disparus.

💀 Laissez de la nourriture sur le pas de sa porte en offrande aux âmes errantes.

💀 Enterrer une pomme ou une gr***de (fruit des Enfers) dans son jardin, pour que les esprits qui passent dessus trouve le chemin de la renaissance.

💀 Aller se recueillir sur les tombes de ses ancêtres.

💀 Nettoyer et fleurir les tombes de ses proches.

💀 Regarder de vieux albums photos de famille et se raconter des anecdotes sur ces personnes disparues.

💀 Rendre visite à ses grands-parents, à des voisins ou des amis âgés. Passer du temps avec eux et écouter toutes les vieilles histoires qu’ils ont à nous raconter.

💀 Ecrire son testament.

💀 Dessiner une roue de l’année.

💀 Confectionner un balai de sorcière (ou balai d’autel).

💀 Offrir un gland à l’un de ses proches, de manière secrète, comme le faisait autrefois les sorcières.

💀 Pratiquer des jeux, ou bien faire de la divination avec des pommes. Les rituels sur la magie des pommes sont disponibles sur la publication de « Mabon » :
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1049155357219385&set=pb.100063747902477.-2207520000&type=3

💀 Effectuer une séance de divination : tarot, runes, ect, afin d’avoir un aperçu de ce que l’année à venir nous réserve.

💀 Faire une séance de spiritisme, puisse qu’il s’agit du jour où le voile entre le monde des morts et des vivants est le plus fin. (Attention ! Cette pratique n’est dédiée qu’a un public averti, dans d’autres cas cela peut s’avérer dangereux.)

💀 Se débarrasser de ses mauvaises habitudes, en les inscrivant sur un morceau de papier, que l’on brûlera ensuite à la flamme d’une bougie noire (bannissement).

💀 Méditer sur le cycle de la vie et faire le bilan de l’année qui vient de s’écouler.

💀 Fêter ce « Nouvel An » comme au 31 décembre.

💀 Prendre de bonnes résolutions pour l’année à venir.

💀 Nettoyer et purifier sa demeure, afin de débuter cette nouvelle année sans résidus d’énergies négatives.

Bien entendu, tout ceci n’est donné qu’a titre informatif. Ces rites, coutumes et activités ne sont que des idées en rapport avec la symbolique de ce sabbat. Vous êtes libre de les suivre ou non, le mieux étant certainement de créer vos propres rituels, en écoutant simplement votre cœur. Peut importe ce que vous décidiez de faire, un sabbat est une célébration personnelle qui doit suivre vos ressentis et vos croyances. 🎃

Bon sabbat de Samhain et joyeux Halloween à tous ! 🔮
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15/05/2025

ℹ️ Je suis en congés maladie (post-opératoire) du 15 au 25 mai 2025 inclus.

📆 Si vous souhaitez prendre RDV, vous pouvez me recontacter à partir du lundi 26 mai 2025.

Merci de votre compréhension, et à bientôt. 🔮

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« Sabbat d’Imbolc » ou « Chandeleur » - 1er au 2 février. 🐑🕯Lors de la nuit du 1er au 2 février, on célèbre « Imbolc ». ...
01/02/2025

« Sabbat d’Imbolc » ou « Chandeleur » - 1er au 2 février. 🐑🕯

Lors de la nuit du 1er au 2 février, on célèbre « Imbolc ». Imbolc est un des sabbats majeurs de la tradition païenne. C’est la deuxième des quatre grandes fêtes religieuses de l’année celtique protohistorique, qui vient après « Samhain » (connu sous le nom d’Halloween). Il fait partie du cycle des fêtes de la « Lumière Croissante », qui sont célébrées tout au long de la période sombre (de Yule à Beltaine). Sur la Roue de l’Année du calendrier païen, Imbolc correspond à la fête chrétienne de la « Chandeleur », qui en est sa réminiscence.

Imbolc est une fête essentiellement « féminine » et « maternelle ». Elle symbolise principalement la « fécondité » et la « lustration ». Il existe plusieurs hypothèses quant à l’étymologie du terme Imbolc. Il signifierait « lustration » (purification) ou « dans le ventre » (fécondité), et ferait également référence au « lait de brebis » (agnelage). A l’origine, cette fête coïncidait avec la Pleine Lune de février (calendrier lunaire), et avait lieu durant la nuit. De nos jours, elle est célébrée entre le 1er et le 2 février (calendrier grégorien).

Imbolc est une fête lustrale, un temps de purification où l’élément de «l’Eau » prédomine. Le Feu y trouve aussi son importance car il symbolise le retour du « Soleil » et de la « Lumière ». Ce Sabbat marque le rétablissement de la « Déesse-Mère » (la Terre), quarante jours après qu’elle eut donné naissance au « Dieu Soleil » à Yule. On y célèbre le réveil de Mère-Nature (la Terre), après la renaissance de son fils le Soleil lors du Solstice d’hiver. La « Grande Déesse » (la Terre) annonce son retour avec les prémices du printemps, et nous présente cet enfant nouveau-né. Elle rayonne à nouveau, grâce à son fils (le Soleil) vivifiant. Depuis son retour, le « Dieu Soleil » grandit et sa chaleur commence à fertiliser la terre et à faire germer les premières graines.

Cette fête est aussi appelée « Chandeleur », « Chandelours », « Candlemas », « Oimelc », « Ambivollos », « Brigantia », « Jour de Brigit », « Lá Fhéile Bríde », « Lupercalia », « Groundhog Day », « Fête de Pan », « Fête de la Lumière Croissante », « Fête des Perce-neiges », ou encore « Purification de la Vierge ».

Dans la tradition celtique, on fêtait « Imbolc », « Brigantia » (Irlandais) ou « Ambivollos » (Gaulois), rite en l’honneur de la Déesse « Brigit », la fille de « Dagda » (Dieu Druide). Chez les Gaulois, elle porte le nom de « Brigindu ». Pour les Irlandais, il s’agit de « Brighid ». Brigit est un des noms de la Déesse-Mère (la Terre) chez les peuples celtes, particulièrement les îles Britanniques et l’Irlande. Brigit est une triple Déesse, représentant la Déesse « Vierge », la Déesse de la « Fécondité » et la Déesse « Mère ». Elle est à la fois la jeune fille (enchantement), la femme (maturité) et l’aïeule (sagesse), qui change d’aspect aux fils des saisons. C’est la Déesse de la « maternité » et du « foyer ». Elle est associée à la « fertilité », à la « mère nourricière » (lait), à la « médecine » (sage-femme et guérisseuse), à la « poésie » et aux « arts », dont ceux de la « forge ». Elle règne également sur « la guerre », « la magie » et « la divination ». Elle est la patronne des Druides, des Bardes (poètes), des Vates (devins) et des Forgerons. L’Eau (maternité) et le Feu (Soleil) sont deux éléments purificateurs qui lui sont également associés. Elle est censée protéger les troupeaux et favoriser la fécondité. Brigit est donc considérée comme la personnification de la Déesse-Mère (la Terre), qui a vu renaître son enfant « Ruadan » (le Soleil). Elle fût ensuite christianisée en « Sainte Brigitte » (une religieuse). Aussi connue sous le nom de « Sainte Brigitte d’Irlande », « Sainte Bride », « Sainte Brigide » ou « Saint Brigitte de Kilare ». Elle est aussi parfois appelée « Marie de Gaëls » (en référence à la Vierge Marie). « Sainte Brigide », Patronne de l’Irlande, est encore célébrée le 1er février dans toute l’Irlande contemporaine.

Chez les Romains, on fêtait les « Lupercales » (fête des Loups). Ces festivités honoraient « Lupercus » ou « Faunus », le Dieu de « la fécondité et des troupeaux ». Ce Dieu avait pour rôle de rendre fertile les troupeaux, et de les défendre contre les Loups, d’où le nom de « Lupercus », provenant du latin « lupus » qui signifie Loup. C’est aussi un « Dieu prophétique » lié aux oracles, d’où son qualificatif de « Fatuus », qui signifie « le Devin ». Ces fêtes étaient célébrées aux environs du 15 février (calendrier romain). Elles furent ensuite abolies par l’Église Catholique et remplacées par « la Saint-Valentin ». En 496, c’est le « Pape Gélase 1er » qui interdit cette fête païenne. Il choisit « Valentin de Terni » comme « Saint Patron des Amoureux », et décréta que le 14 février, lui serait désormais consacré.

Chez les Grecs, on célébrait « Lukéia » (fête des loups). C’est le « Dieu Pan » qui y était honoré. Vénéré en Arcadie, c’est une divinité également liée à la Nature, « le protecteur des bergers et des troupeaux ». Il était représenté comme une créature chimérique, mi-homme mi-bouc. Le bouc étant réputé être l’animal qui symbolise la « luxure », la « force sexuelle » et de ce fait, la « fécondité ».

Chez les chrétiens, cette fête est associée à la « Chandeleur » (fête des chandelles). Elle correspond à la « Présentation du Christ au Temple » et sa reconnaissance par Syméon comme « Lumière d’Israël », ainsi qu’à la « Purification de la Vierge Marie », autrement dit ses relevailles. Cette fête d’origine latine et païenne, qui sous l’influence chrétienne est devenue la « Chandeleur », tire son nom de l’expression « la festa candelarum », qui signifie « la chandelle » (symbole des torches et des chandelles païennes). Dans les Églises, des cierges y sont bénis, afin de rappeler que « Jésus » est la « Lumière du Monde » (le Soleil). Elle est célébrée le 2 février, soit quarante jours après la « naissance du Christ ». Il s’agit de la dernière fête du cycle de Noël. C’est pour cette raison, qu'il est de tradition de ne ranger la crèche que le jour de la Chandeleur (d'autres préfèrent le faire aux Rois Mages). Dans le but de convertir un maximum de païens au christianisme, l’église catholique a transformé le culte de Brigit en celui de Sainte-Brigitte. Elle fût considérée comme la sage-femme de Marie lors de la naissance de Jésus.

Pour les Américains, il s’agit de « Groundhog Day », qui signifie « Jour de la Marmotte ». Cet événement est célébré le même jour que la Chandeleur. Vers le 2 février, les animaux sortent de leur tanière, afin de voir le temps qu’il fait. Selon la tradition Américaine, ce jour-là, on doit observer l’entrée du terrier d’une Marmotte. Si elle émerge et ne voit pas son ombre parce que le temps est nuageux, l’hiver finira bientôt. En revanche, si elle voit son ombre parce que le temps est clair et lumineux, elle sera effrayée et se réfugiera à nouveau dans son trou, annonçant que l’hiver continuera pendant six semaines supplémentaires. En réalité, cette tradition liée au réveil des animaux en hibernation (à la Chandeleur), n’est pas d’origine Américaine mais Européenne. Il s’agit d’un culte païen trouvant sa source dès l’Antiquité. Les peuples Germains, Scandinaves et Celtes, célébraient la sortie de l’hibernation des animaux, particulièrement celle de l’Ours, vers la fin janvier ou au début du mois de février. Il s’agissait du moment où l’Ours sortait de sa tanière pour voir si le temps était clément. En France, ce culte porte le nom de « Chandelours » (association de Chandeleur et du culte de l’Ours). Dans les Pyrénées, il s’agit de l’Ours, dans le Limousin du Loup, en Lorraine de la Loutre et en Irlande du Hérisson.

Imbolc est un Sabbat qui a lieu à mi-chemin entre le Solstice d’hiver et l’Équinoxe de printemps. Il est annonciateur de l’arrivée du printemps, des premiers signes actifs du « retour du Soleil » et du « réveil de la Nature », bien que la saison hivernale soit encore bien présente. Cette fête symbolise « l’espoir de retour de la chaleur » et celui de « la fonte des glaces », c’est-à-dire la renaissance de la vie après l’hiver. Depuis la fête de Yule (Solstice d’hiver), la lumière du Soleil s’accroît et la nature se réveille tout doucement. C’est une période où la terre redevient fertile.

Avec l’allongement des jours (depuis le Solstice d’hiver), les arbres, les plantes et les fleurs commencent à renaître. Les premières fleurs font leur apparition, tandis que la neige va commencer à disparaître. Le perce-neige est une des premières fleurs à faire son grand retour, même au travers de la neige. Elle représente la « croissance » et la « renaissance » souterraine à Imbolc. Ce Sabbat correspond également à la période de l’agnelage (la naissance des agneaux), soit le moment où les brebis commencent à allaiter leurs petits. Le Lait symbolise « la fin de la période hivernale », et le retour prochain des bêtes aux verts pâturages. Quant aux oiseaux, ils se mettent déjà à chanter, se préparant eux aussi au retour du printemps. Ils commencent à s’accoupler et à faire leurs nids. Cependant, si l’on est en marche vers les beaux jours, l’hiver est loin d’avoir dit son dernier mot.

Comme lors de chaque fête païenne, il existe des traditions qui sont parfois encore perpétuées à notre époque. A Imbolc, il était de coutume de se préparer à l’arrivée du printemps. Début février, signalait la reprise des travaux aux champs. Les Paysans vérifiaient que leurs charrues et autres outils soient en bon état. Les champs étaient labourés avant les premières semailles.

Lors de cette fête, les torches de feu et les chandelles étaient à l’honneur. On allumait de gigantesques feux de joies. Des processions de flambeaux étaient organisés dans les champs. On portait également des couronnes ornées de chandelles et de fleurs. Dans les foyers, des bougies étaient allumées pour représenter le Soleil. Le Feu appelant à la générosité de la Déesse, on espérait ainsi « un avenir prospère », « une abondance des récoltes » et « la richesse du foyer ». Raison pour laquelle, cette fête est encore aujourd’hui associée aux chandelles.

On y organisait également des banquets ou de grands festins. Il est de coutume de confectionner des pancakes (salé ou sucré), des cookies ou des biscuits d’Imbolc (en forme de Lune). Tous les mets à base de laitages (lait, crème, yaourt, fromage, ect) étaient également de circonstances. Chez les celtes, un pain d’orge rond et doré (Soleil), appelé « Bannock de Brigit », était déposé sur le bord d’une fenêtre en offrande à la Déesse.

Imbolc était aussi une fête lustrale qui imposait un rituel de purification. Les Druides et autres convies présents lors de la cérémonie, se lavaient les mains, les pieds et la tête dans l’eau, dans le but de « se laver des souillures de l’hiver ». Il était aussi de coutume de versait un peu de lait sur la terre, en offrande à la Déesse Mère, afin de la purifier. On espérait ainsi la promesse de très bonnes récoltes à venir.

En Irlande et dans d’autres pays Celtes, il était de tradition d’accrocher un morceau de tissu à l’extérieur de sa maison, afin qu’ils reçoivent la bénédiction de la Déesse Brigit. Appelé « Brat Bride » (manteau de Brigit), « Ribin Bride » (ruban de Brigit) ou encore « Bratog Bride » (morceau de tissu), cette étoffe était traditionnellement accrochée à un arbre du jardin ou à la poignée de la porte d’entrée. On pouvait également la laisser sur le rebord de la fenêtre ou sur la pas de la porte. La légende dit que, lors de la nuit d’Imbolc, la Déesse Brigit traversait le pays et bénissait les vêtements laissés dehors, afin de leurs conférer ses pouvoirs de guérison. Une fois béni, le « Brat Bride » possédait des pouvoirs curatifs durant les douze prochains mois. Le « Brat Bride » permettait notamment d’éviter les migraines et de guérir les maux de gorge. Il soigné la stérilité et facilitait l’accouchement. Il avait la vertu de protéger de la magie et du mauvais œil. Il était également utilisé pour soigner le bétail et faciliter le vêlage. La légende raconte aussi que, si on laissait ce vêtement durant sept années de suite, il acquérait alors toute sa puissance de guérison.

Lors d’Imbloc, Il tradition voulait qu’on y fabrique des « Brigid’s Crosse » (Croix de Sainte Brigitte). Il s’agissait de tresser une croix spécifique, constituée généralement de brindilles de joncs, parfois de paille. Cette tradition voulait qu’on la conserve dans son foyer, afin de protéger son habitation contre les incendies, les maléfices et les mauvais esprits. Placée sur l’étable, elle était censée protéger les animaux, et garantissait notamment que les vaches donnent beaucoup de lait (symbole de la maternité). Une autre coutume consistait à ce que les jeunes filles non mariées fabriquent des « Biddy » ou « Breedhoge », qui étaient des poupées de maïs faites à l’effigie de Brigit. Cette poupée était portée en procession par les jeunes filles vêtues de blanc, afin de représenter Brigit sous son aspect de jeune fille. Déesse du « Feu et de l’Eau, de la flamme et des puits », Brigit récompensait aussi les offrandes de pièces de monnaie, qui étaient jetées dans un puits sacré, une rivière, ou encore un lac (puits à souhait). Il est dit également que la nuit d’Imbolc, la Déesse Brigit viendrait bénir les habitants dans leur sommeil. Grande inspiratrice de la « voyance », elle permettrait aussi d’obtenir des prophéties dans les rêves. Il s’agissait donc un moment propice à la divination, le meilleur de l’année dans la tradition cartomancienne.

A la Chandeleur (catholique), la coutume veut qu’on fasse des crêpes en hommage au Christ. Cette coutume fait référence aux galettes qu’on cuisaient lors des premières fêtes païennes d’Imbolc, et qui étaient censées représenter le Soleil par leur forme ronde et leur couleur dorée. Il est aussi de coutume de faire sauter la première crêpe de la main droite, en tenant une pièce d’or dans sa main gauche, afin de connaitre la « prospérité » tout au long de l’année. Autrefois, la tradition voulait que la première crêpe confectionnée ne soit pas mangée, mais posée sur le dessus d’une armoire, puis conservée jusqu’à l’année suivante. Certains faisaient sauter cette crêpe directement au-dessus de cette armoire, dans le but de protéger leur foyer et s’assurer d’avoir assez d'argent au cours l’année. Les jeunes femmes, qui étaient mariées depuis peu, avaient pour rituel de tremper leur alliance dans la pâte à crêpe, afin de s’assurer le « bonheur parfait ». D’autres croyants, signaient d’une croix la pâte à crêpe (Christ ou Sainte Brigitte). Dans certaines régions, il était aussi de coutume de faire manger des crêpes aux poules, le jour de la Chandeleur, afin qu’elles soient de « bonnes pondeuses ».

Depuis quelques années, la culture païenne est en pleine essor en Europe. Basée sur le respect de la nature et le fil des saisons, ces croyances anciennes séduisent de plus en plus d’adeptes. Si comme moi, vous souhaitez rendre hommage à cette fête en célébrant son Sabbat, voici un résumé des quelques rites et pratiques dédiés à Imbolc :

☘️ Se balader dans la nature, dans la forêt et y découvrir les premiers signes du printemps.

☘️ Cueillir les premières fleurs de l’année (perce-neige, primevères, violettes, jonquilles, ect) et en faire un bouquet.

☘️ Prendre un bain des premiers rayons du Soleil (si la météo est clémente ce jour-là)

☘️ Allumer des bougies blanches (pureté), à la nuit tombée, sur tous les rebords de fenêtres de sa maison et les laisser brûler pendant 24h (1 au 2 février). Vous pouvez également allumer des chandelles dans votre demeure durant quelques heures, pour honorer le retour du Soleil. Faire un feu dans votre jardin, si vous en avez un (faites attention aux risques d’incendie).

☘️ Décorer sa maison au couleurs de saison de la Déesse (blanc et vert), ou bien faire un autel, orné de rubans blancs et verts, ainsi que de végétaux (notamment le trèfle, symbole de Birgit) et de chandelles.

☘️ Confectionner une couronne de « Fleurs » fraîchement cueillies et/ou de « Lumière » ornée de bougies.

☘️ Récolter de la neige dans un récipient où amasser l’eau des rosés, pour en faire de « l’Eau Lustrale » qui sera utilisée lors de vos rituels de purification (vous pouvez en préparer pour toute l’année).

☘️ Prendre un bain en y ajoutant du gros sel pour se purifier (et éventuellement, de l’Eau Lustrale fraîchement récupérée).

☘️ Confectionner des crêpes, des cookies ou des biscuits de la Lune d’Imbolc, ou bien encore des « boxty » (pancakes de pommes de terre Irlandais).

☘️ Préparer des boissons à base de lait, en y ajoutant du miel, de la cannelle, de la lavande, ect.

☘️ Déposer de la nourriture en offrande à la Déesse sur le rebord de sa fenêtre (biscuits ou crêpes).

☘️ Verser du lait dans son jardin pour favoriser ses futures semences.

☘️ Mettre de la nourriture aux oiseaux sauvages, comme offrande, dans son jardin ou au bord d’une fenêtre (graines ou bloc de sel).

☘️ Vérifier le bon état et nettoyer ses outils de jardin.

☘️ Préparer la terre et planter des graines de saison (cœur-de-marie, renoncule, jacinthe, ect).

☘️ Faire le ménage de printemps, ainsi que le tri dans ses vêtements, ect. Puis, en faire don aux œuvres de charités.

☘️ Fabriquer un balai de branches et le placer à l’entrée de sa demeure pour symboliser le nettoyage (physique et spirituel).

☘️ Écrire un poème (offrande) ou faire une invocation (pour ceux qui pratique la magie) à la Grande Déesse.

☘️ Ecouter de la musique celtique.

☘️ Fabriquer une croix de Brigit pour protéger la maison et ses habitants (du feu et des mauvais esprits). La croix de Birgit est fabriquée avec de la paille de blé, d’herbe, des roseaux ou des joncs, qui sont ensuite noués avec de la ficelle. Vous pouvez en fabriquer plusieurs et les offrir à votre coven.

☘️ Façonner une figure féminine à partir d’un petit f***t de paille, qui symbolise Brigit.

☘️ Accrocher un manteau, il peut s’agir également d’une étoffe ou d’un ruban blanc, sur sa porte d’entrée ou sur un arbre dans son jardin, afin que Brigit le bénisse durant la nuit pour le rendre « magique ». Le conserver ensuite chez soi pour « être en sécurité et au chaud sous le manteau de Brigit ». Cette étoffe aurait aussi la vertu d’octroyer des « couches faciles » et des « bébés en bonne santé » aux femmes, mais également aux animaux. Elle soignerait aussi d’autres maux, lorsqu’on la porte sur soi (guérisseuse).

☘️ Jeter des pièces de monnaie dans un puits, une rivière ou encore un lac, en offrande à Brigit pour qu’elle réalise vos souhaits.

☘️ Tirer les cartes. Imbolc étant un des « meilleurs jour de l’année » (si ce n’est le meilleur) pour obtenir des prédictions.

Il existe un tas de rituels, de coutumes et de traditions pour fêter Imbolc, le mieux étant certainement de créer vos propres rites en l’honneur de la Déesse Mère, en écoutant simplement ce que vous dit votre cœur.

Bon Sabbat d’Imbolc, et n’oubliez pas de faire des crêpes ! 😉🥞
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