Cabinet de psychologie - Laure Camborieux

Cabinet de psychologie - Laure Camborieux Je suis psychologue clinicienne et psychothérapeute en Thérapie Cognitive, Comportementale et E... Je réalise les bilans complémentaires à l'adoption.

Psychologue et psychothérapeute cognitivo-comportementale, j'interviens auprès d'un public adulte souffrant de trouble anxieux (phobies, trouble panique, agoraphobie, phobie sociale, TOC, etc) et dépressif. Infertilité : j'accompagne les couples infertiles confrontés aux traitements médicaux et/ou envisageant l'adoption. Les axes de travail portent sur la gestion du stress liée à l'infertilité et aux traitements médicaux, les difficultés de communication au sein du couple, dans le milieu familial ou professionnel, les réflexions face aux transitions telles que l'adoption. J'accompagne les couples lors d'épisodes douloureux tels que les fausse couche ou deuil périnatal. Adultes surdoués : j'accompagne les adultes surdoués, à travers la réalisation des bilans psychologiques et des thérapies adaptées : thérapie des troubles anxieux, émotionnels, de la communication.

Ca y est. Les jours diminuent, la météo n’est pas top, temps gris et pluvieux, et tu sens qu’elle est là.En tous cas, mo...
06/11/2025

Ca y est. Les jours diminuent, la météo n’est pas top, temps gris et pluvieux, et tu sens qu’elle est là.
En tous cas, moi, je le sens. La dépression hivernale, aka Trouble Affectif Saisonnier (TAS).

Humeur triste, manque d'envie et d'énergie, envie de grignoter… je la reconnais bien. Et je ne vais pas me faire avoir cette fois-ci.

Depuis la ménopause, chaque hiver devenait de plus en plus dur : humeur en berne, troubles de la concentration, trous de mémoire. Irritabilité, manque d’énergie, perte de confiance en moi.

Réflexe habituel chez moi quand quelque chose ne va pas : je me renseigne.

J’ai rassemblé toutes les informations concernant la dépression hivernale et je suis passée à l’action.

Début octobre, j'ai ressenti les premiers symptomes : fatigue, difficultés de sommeil, envie de grignoter.
J'ai fait le lien avec le TAS et j’ai ressorti ma lampe de luminothérapie et miracle…les symptomes s’effacent.

Cette année, le TAS n’aura pas d’impact sur moi !

Bon, en vrai, je suis sans doute bien aidée par le traitement hormonal de la ménopause, le sport et le rééquilibrage alimentaire que j’ai mis en place.
En tous cas, j’aborde cet hiver avec beaucoup plus de confiance et surtout… sans l’énorme fatigue que j’ai connu l’hiver dernier.

Le TAS n’est pas une fatalité, on peut garder le sourire même quand il fait gris dehors.

Je traite ce sujet dans le nouveau numéro du Journal d’une gynécopsychologue qui partira samedi.

Au sommaire :
➡️Les symptômes du TAS
➡️Pourquoi sommes nous si sensibles à la baisse de luminosité
➡️Quelles solutions pour ne pas subir l’hiver

Inscris toi à ma newsletter si tu veux en savoir plus ! Le lien est en premier commentaire.

Je te souhaite un hiver doux et lumineux.

PS : il existe des contre indications et des précautions à prendre avec la luminothérapie. Lis la newsletter et parles en à ton médecin.

“On croit que lorsqu’une chose finit, une autre recommence tout de suite. Non, entre les deux, c’est la pagaille.” Margu...
04/11/2025

“On croit que lorsqu’une chose finit, une autre recommence tout de suite. Non, entre les deux, c’est la pagaille.” Marguerite Duras

Cette citation, je l’ai trouvée dans un très beau roman graphique créé par une des étudiantes de la formation que j'animais, Lise Desportes.

Un très beau récit consacré à la tristesse, cette émotion si douloureuse et parfois si difficile à supporter.

Avec sa grande sensibilité, sa douceur et sa bienveillance, Lise nous emmène à la découverte de cette émotion du lien.

Cette émotion qui nous indique que nous avons besoin de douceur, de réconfort, de tendresse.
Que nous avons besoin de nos ami.e.s, de mains tendues, de câlins.

Mais aussi de musique, de compassion, de patience, d'encouragements.

Et parfois d’un psy 😇

Lise nous raconte l’histoire d’Alma, une jeune maman au top : facile à vivre, forte, gentille, toujours là pour les autres…mais qui finit par craquer.

Elle nous raconte la pagaille qu’elle traverse, avant de tout reconstruire.
La descente aux enfers avant le retour à la vie.
A une vie plus équilibrée, plus sereine.

Drôle, sensible, ce roman est une vraie bulle d’espoir et d’inspiration.

A lire absolument !

Dans le parcours PMA, il y a un énorme trou dans la raquette : l’accompagnement des couples qui quittent la PMA sans enf...
24/10/2025

Dans le parcours PMA, il y a un énorme trou dans la raquette : l’accompagnement des couples qui quittent la PMA sans enfant.

Devoir stopper ce parcours sans avoir atteint cet objectif est un véritable crève-cœur, une décision prise la mort dans l’âme.

Une non-décision imposée après avoir tout essayé.
Une non-décision pour ne pas basculer dans l’acharnement;
Parce que le corps dit NON ou parce qu’on n’y croit plus.

Bien souvent, cela laisse un goût amer, une sensation d’inachevé.
Une grande douleur et un grand vide.

Après des années rythmées par les rendez-vous médicaux, les échographies, les prises de sang, les ponctions, les transferts, l’attente et les échecs.

Après l’espoir, la tristesse, la peur, la culpabilité, le vide et la tristesse.

Comment rebondir après toutes ces années ?
Comment se reconstruire et retrouver du sens à sa vie ?
Comment réorganiser et donner un nouvel élan à sa vie ?

C’est exactement les questions que nous aborderons dans l’Atelier co-construit avec l’association Happy Moi : “Apprivoise tes émotions”

Réservé aux personnes qui n’ont pas pu avoir d’enfant, un atelier en 6 séances, pour apprendre à accueillir ses émotions et retrouver du sens à sa vie.

Car les émotions, ce sont ces signaux internes qui nous indiquent ce qui nous manque, ce dont nous avons besoin.

A condition de pouvoir s’ouvrir à ces messages et savoir les écouter.

Tu veux en savoir plus ? le lien est en premier commentaire, viens me rendre visite 😊

On connait tous la jalousie dans le couple. Mais en PMA ou quand on n’a pas pu avoir d’enfant, la jalousie est aussi fré...
21/10/2025

On connait tous la jalousie dans le couple.
Mais en PMA ou quand on n’a pas pu avoir d’enfant, la jalousie est aussi fréquente … et destructrice.

La jalousie, cette émotion tellement difficile qu’on en parle très peu.
Ou avec beaucoup de honte et de culpabilité.
Chaque fois qu’une patiente l’exprime, elle le fait après beaucoup de précautions, par peur d’être jugée.

Mélange de peur, de colère, de tristesse, de frustration, de dégoût, la jalousie est d’autant plus difficile à vivre qu’elle est socialement inacceptable.

Pour les personnes ayant des difficultés à concevoir, ou ayant dû renoncer à la parentalité, faire face à des annonces de grossesse, à l’arrivée d’un bébé, à une fête de famille est un exercice d’équilibriste qui requiert des compétences émotionnelles hors norme.

D’un côté, on attend des ces personnes de la joie, une réaction positive.
Ce que ces personnes ressentent bien sûr : les couples sont en général heureux pour leurs proches lorsqu’un bébé arrive.

Mais dans le même temps, ils gèrent leur tristesse, leur peur voire la jalousie.
Qu’ils ne peuvent bien sûr pas exprimer, au risque de passer pour des envieux, des sans coeur, des égoïstes.

Les couples sans enfant peuvent se sentir rivaux par rapport à leurs proches ayant des enfants : moins intéressants, moins importants aux yeux de leur famille, ils peuvent se sentir mis de côté.

De fait, quand un bébé arrive, toute l’attention se porte sur lui, toutes les conversations tournent autour de ce petit bout de chou, toute l’organisation de la famille est contingentée au rythme du bébé.

Nous y voila : la peur de perdre leur place dans la famille, la peur de ne jamais connaître cette relation privilégiée avec un enfant se traduisent en jalousie.

Cerise sur le gâteau : la 𝐡𝐨𝐧𝐭𝐞, cette autre émotion ultra pernicieuse, s’invite à la fête.

Deuxième effet Kiss Cool, la honte rajoute à la détresse de la jalousie, et le couple peut avoir envie de se protéger, en s’éloignant.

Et voici le 𝐬𝐞𝐧𝐭𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝’𝐢𝐬𝐨𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 qui se pointe…
Un mille feuille d’émotions vraiment pas agréables.

Alors que faire ?
➡️se rappeler que notre valeur personnelle ne dépend pas de notre statut de parent : nous sommes valables quoi qu’il arrive
➡️cultiver la gratitude : se réjouir de ce qui est positif dans notre propre histoire diminue la jalousie
➡️cultiver l’autocompassion, c’est à dire accueillir et accepter que nous traversons un moment difficile et que nous pouvons prendre soin de nous-mêmes dans ce moment délicat
➡️évoquer ses difficultés à son entourage en parlant de manière authentique

Si tout cela te parait difficile, rejoins l’atelier 𝐀𝐩𝐩𝐫𝐢𝐯𝐨𝐢𝐬𝐞 𝐭𝐞𝐬 𝐞́𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, à destination des Childless définitifs, pour apprendre à réguler tes émotions, développer l’autocompassion et redonner du sens à ta vie.

Contacte Sandrine de l' Association Happy Moi, qui co-construit ce programme.

“Pendant une minute, pense à ce que tu veux mais pas à un ours blanc”. Chiche, vas-y essaye.Pendant une minute, reste as...
19/10/2025

“Pendant une minute, pense à ce que tu veux mais pas à un ours blanc”.
Chiche, vas-y essaye.
Pendant une minute, reste assis, la seule chose que tu as à faire : ne pas penser à un ours blanc.





Alors, comment ça s’est passé pour toi ?

Les réponses sont souvent variées mais globalement concordantes : c'était pénible.
➡️J’y suis un peu arrivé, et puis l’image est venue. Chaque fois que je la chassais, elle revenait. Ca m’a énervée.
➡️Je n’y ai pas pensé, je me suis concentré sur autre chose mais c’était fatiguant.
➡️Je n’y suis pas arrivé. Je me sens nul.

Qu’est ce que ça nous apprend ?
Tenter de chasser des pensées est tout bonnement impossible.

Pire, se fixer cet objectif : “ne pas penser à ce qui me blesse, à ce qui me fait peur ou me rend triste” focalise l’attention sur cette pensée, cette situation.

Bilan : on y pense tout le temps et cela affecte notre santé mentale.

Jennifer Borton et Elizabeth C. Casey ont étudié ce mécanisme.

Elles ont demandé à des volontaires de supprimer une pensée pendant 11 jours ; le groupe contrôle devait juste continuer sa vie normalement.

Au bout de 11 jours, le groupe “suppression de pensée” a observé que cette pensée était plus fréquente que pour le groupe contrôle.

Pire : les participants de ce groupe ressentaient plus d’anxiété, une humeur basse et une moins bonne estime d’eux-mêmes.

Tenter d’éviter de penser à ce qui est désagréable est tout bonnement voué à l’échec.

C’est humain, c’est le réflexe de beaucoup d’entre nous, mais … . cela empire la situation.

La solution ? développer des stratégies adaptées de régulation des émotions, grâce à la 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐩𝐥𝐞𝐢𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞 et à la 𝐭𝐡𝐞́𝐫𝐚𝐩𝐢𝐞 𝐜𝐨𝐠𝐧𝐢𝐭𝐢𝐯𝐞.

Suivez-moi si vous voulez en savoir plus sur la régulation des émotions 😪 🤬😣😨 😊 😀

𝐄𝐟𝐟𝐞𝐜𝐭𝐬 𝐨𝐟 𝐬𝐮𝐩𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐧𝐠 𝐧𝐞𝐠𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞 𝐬𝐞𝐥𝐟-𝐫𝐞𝐟𝐞𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐭𝐡𝐨𝐮𝐠𝐡𝐭𝐬 𝐨𝐧 𝐦𝐨𝐨𝐝 𝐚𝐧𝐝 𝐬𝐞𝐥𝐟-𝐞𝐬𝐭𝐞𝐞𝐦. Borton , J. L. S. , Markowitz , L. J. and Dieterich , J. 2005. Journal of Social and Clinical Psychology, 24: 172–190.

Suppression of negative self-referent thoughts: A field study. Jennifer Borton, Elizabeth C. Casey July 2006 Self and Identity 5(3):230-246

Photo de Hans-Jurgen Mager sur Unsplash
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Méditer consiste à porter intentionnellement son attention à son expérience du moment.Plus facile à dire qu'à faire, tan...
15/10/2025

Méditer consiste à porter intentionnellement son attention à son expérience du moment.
Plus facile à dire qu'à faire, tant notre attention est volatile et distraite par de multiples sollicitations.
Parfois morcelée, déchiquetée, en lambeaux.

Le mental passe si facilement en mode pilote automatique, en vagabondage stérile : ruminations, râleries, peurs, jugements... épuisants.

Méditer, c'est alors
➡️s'entrainer à observer où se trouve notre attention
➡️à la poser là où nous l'avons décidé, avec douceur et bienveillance.

La ramener, encore et encore, là où on le souhaite, sans jugement, avec patience et persévérance.

La pratique du jour nous y conduit : poser son attention sur le corps, voir ce qui l'attire, comment elle se déplace, et comment elle s'échappe.

Et observer, jour après jour, comment notre capacité d'attention évolue.

Chaque mercredi, j'anime une séance de méditation de pleine conscience. Tu veux essayer ? le lien d'inscription est en commentaires 😊

Photo de Mathias Reding sur Unsplash
hashtag

“Comment on sait qu’une thérapie est finie ?” Régulièrement, les patients me posent cette question, l’air vaguement inqu...
13/10/2025

“Comment on sait qu’une thérapie est finie ?”
Régulièrement, les patients me posent cette question, l’air vaguement inquiet.
Un air entre le doute et l’espoir.

C’est une vraie question, il y a une vie en dehors du cabinet, les personnes que j’accompagne n’ont pas vocation à la vivre en thérapie.

Même si parfois, un accompagnement long est indispensable.

La durée de la thérapie n’est pas prévisible, elle dépend des personnes, des situations, des moments de vie.

Pourtant, avec l’expérience, je peux répondre à cette question : “comment on sait que la thérapie est finie”.

Lui.elle ou moi, un beau jour, on le sent.
On n’a plus trop grand chose à travailler.

Les raisons qui l'avaient amené à consulter ne sont plus d'actualité.
Ces problèmes-là sont suffisamment atténués pour qu’il.elle vive une vie agréable et épanouissante.

Alors on prend le temps de la séance pour en parler. Pour poser le fait que “cela va bien maintenant”, que je n’ai plus grand chose à apporter. Pour faire le bilan des ressources que le.la patient.e a construites.

On planifie la fin de la thérapie :
➡️on espace les séances, pour voir comment ça va entretemps,
➡️on évoque ce qui est important pour lui.elle, et comment y rester connecté,
➡️on liste ce qui plombe/ce qui aide
➡️on réfléchit au risque de rechute : qu’est ce qui pourrait indiquer que “ça revient” et surtout quoi faire.

Bref, on prépare un 𝐩𝐥𝐚𝐧 𝐝’𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐧𝐭𝐢-𝐫𝐞𝐜𝐡𝐮𝐭𝐞.

Et surtout, je laisse la porte ouverte.
Pour une piqûre de rappel, pour quelques séances de soutien, dans quels mois ou quelques années, ou pour travailler une autre question.

Le meilleur moment de thérapie, c’est lorsqu’on ferme la porte du cabinet.

Du 27 janvier au 17 mars 2026, j'anime à Toulouse un cycle MBCT "Thérapie Cognitive basée sur la pleine conscience" dans le cadre de la prévention de la rechute dépressive ou anxieuse. Informations dans le lien en premier commentaire.

Quand un infime changement assure l'équilibre...ou la chute.Méditer ne consiste pas à faire le vide dans sa tête, mais à...
08/10/2025

Quand un infime changement assure l'équilibre...ou la chute.
Méditer ne consiste pas à faire le vide dans sa tête, mais à observer ce qui est là.
Dans mon mental, mes émotions, mon corps.

Et comment l'un répond à l'autre, l'autre entraine l'un.

Nous avons travaillé aujourd'hui sur la posture, la position juste. Juste pour moi.

➡️Si je m'assois du bout des fesses, est-ce je ressens la même chose que si je m'enfonce dans ma chaise?
➡️Si je m'assois par terre, en tailleur, ou si je me lève, que devient mon expérience ?

Chacun.e a expérimenté à sa manière, selon son envie du moment.

Pas de mouvement hors norme, pas de posture téméraire, pas d'étoile de mer.

Juste des petites expériences, des petites observations de son corps en mouvement.

A partir d'infimes changements de position, notre perception change, notre vécu se modifie.

Dans une époque où la sédentarité explose, où nous sommes déconnectés de notre corps, cette méditation vous invite à tester et cultiver l'attention à votre corps.

Durant la méditation, et surtout durant la journée.

Toi aussi, tu as envie de t'initier à la méditation de pleine conscience ? facile, viens t'assoir sur une chaise, un coussin de méditation, ou par terre, le mercredi matin. C'est en ligne, c'est gratuit et le lien est en premier commentaire 🤩

En collaboration avec Association Happy Moi, un outil pour apprendre à se réconcilier avec ses émotions et redevenir act...
07/10/2025

En collaboration avec Association Happy Moi, un outil pour apprendre à se réconcilier avec ses émotions et redevenir acteur.rice de sa vie.

6 séances pour apprendre à identifier, acccepter et écouter ses émotions, et vivre enfin pleinement.
Cet atelier a été conçu spécialemement pour les personnes n'ayant pas eu d'enfants, afin de préserver la qualité des échanges.
Attention : nombre de places limitées. Renseigne vous auprès de Association Happy Moi

Et toi, comment vas-tu aujourd'hui ? Merci de ne pas me servir le "ça va" habituel, machinal, la réponse sociale attendu...
07/10/2025

Et toi, comment vas-tu aujourd'hui ? Merci de ne pas me servir le "ça va" habituel, machinal, la réponse sociale attendue.
Non, comment vas-tu vraiment ?

Comment va ton corps ? ton mental ? comment te sens-tu émotionnellement ?

As-tu l'habitude de t'arrêter pour te poser ces questions ?

Ou tu enchaînes tes journées sans t'arrêter, sans lever la tête ou respirer ?

Jusqu'à ce que ça craque, ça tire, ça bloque de tous les côtés.
Jusqu'à ce que l'effondrement menace.

Dans le Jounal d'une Gynécopsychologue qui est parti ce matin, je fais un petit tour du burn-out, cet épuisement qui touche grand nombre d'entre nous.

Parce qu'on répond "ça va" sans réfléchir, sans s'interroger. Jusqu'à ce que ça n'aille plus du tout.

Charge mentale, impact hormonal, rôle d'aidante, profession "à risque"... nous cumulons souvent plusieurs facteurs de risques.

Tu veux en savoir plus ? Envoie moi un message privé, je t'enverrai ce numéro du Journal d'une Gynécopsychologue.

Tu peux aussi t'inscrire à ma newsletter : elle parle de psychologie, de prendre soin de soi, spécialement en lien avec les problématiques féminines.
Le lien est en premier commentaire.

PS : tu es un homme ? cela te concerne peut être aussi, ne serait ce que parce que tu as une mère, une soeur, une compagne, des collègues... n'hésite pas à me lire !

Oui, on peut avoir une belle vie sans enfant. Même quand c’est notre projet le plus cher et qu’il ne s’est pas réalisé.M...
02/10/2025

Oui, on peut avoir une belle vie sans enfant. Même quand c’est notre projet le plus cher et qu’il ne s’est pas réalisé.
Mais il y a 25 ans, quand ma meilleure amie m'a dit ça, j’ai eu envie de l'étrangler.

Je l'ai évitée pendant des années.

Maintenant, je sais qu’elle avait raison, même si sur le moment, ses paroles étaient vides de sens pour elle. Inaudibles pour moi.

En disant ça, elle n’avait aucune idée de ce que cela signifiait, elle qui avait deux enfants.

Elle n’imaginait pas ce que cela cachait de difficultés, de souffrance, de renoncements.

Elle aurait été bien en peine de me dire comment tisser une belle vie chatoyante,
là ou je ne voyais que noir et gris.

Aujourd’hui, après avoir accompagné des centaines de couples désespérés, j’ai quelques réponses.
Je sais comment apprendre créer une vie épanouie et joyeuse, quelles qu’en soit les circonstances.

Ta trame, ce sont tes valeurs. Ce qui est important pour toi, ce qui te parle et t’anime.

Mais les as-tu identifiées ? Sais-tu repérer quand tu es en accord avec tes valeurs ou quand, au contraire, tu t’en éloignes ?

Ta navette, celle qui porte le fil coloré de ta vie, ce sont tes émotions.

Ce sont elles qui t’alertent sur ce que tu es en train de vivre, qui t’indiquent tes besoins et comment y répondre.

Mais sais-tu les écouter ?

Sans doute pas…

Apprivoiser ses émotions, cela s'apprend avec patience et persévérance.
Comme tisser une belle étoffe, un geste après l’autre.

En collaboration avec l’Association Happy Moi, je crée un atelier à destination des personnes sans enfant, pour apprendre à réguler ses émotions, identifier ses valeurs et créer cette vie qui nous fait vibrer.

Tu veux en savoir plus ? envoie moi un message en privé
Tu connais quelqu’un que ça pourrait aider ? Fais-lui passer mes coordonnées.

"Je veux un enfant"C’est la phrase que j’entends le plus. Toujours associée à beaucoup de stress et de tristesse. C’est ...
25/09/2025

"Je veux un enfant"
C’est la phrase que j’entends le plus. Toujours associée à beaucoup de stress et de tristesse. C’est mon quotidien quand j'accompagne des couples en parcours PMA.

En retour, je leur demande s'ils veulent un bébé ou fonder une famille.

Passé leur surprise, c’est le point de départ d'échanges fondamentaux.

Progressivement, nous passons :

❌ d'une demande urgente et stressante : "je veux un bébé pour être heureuse " (d’accord, je caricature…)

✅ à un projet familial où les futurs parents se projettent, mais perçoivent également ce qu'ils devraient revoir : leurs attentes vis-à-vis de leur enfant, leur rapport au travail, leurs priorités...

Se faire accompagner pendant le parcours PMA permet d’apprendre à accepter ses émotions, à communiquer, à connaître ses besoins et y répondre.

✅ Ensemble, nous préparons un projet d’agrandissement de la famille, la grossesse, l’accueil de bébé.

✅Nous prévenons ensemble les risques de post-partum ou d'épuisement parental.

Depuis longtemps, j'avais à coeur de rendre cet accompagnement plus accessible au plus grand nombre.

Avec le programme Reflet, j’ai préparé un programme d’accompagnement des couples en PMA.

Enregistré cet été, Melisande Fleisch y met aujourd’hui la dernière main.

L’objectif : un programme d’accompagnement en ligne, concret et accessible, pour que les couples se sentent bien accompagnés durant leur parcours.

Eviter la perte de temps, d'énergie, le stress inutile...

Hâte que ce projet voit le jour, tellement il me semble nécessaire.

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Adresse

5 Rue Marc Arcis
Toulouse
31200

Heures d'ouverture

Lundi 08:30 - 18:00
Jeudi 08:30 - 12:30
Vendredi 08:30 - 18:00
Samedi 08:30 - 12:30

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