Virginie Blot Sophro-Analyste

31/03/2016

La méditation regroupe de nombreuses pratiques méditatives, qui se différencient selon l’objet sur lequel porte la méditation, selon la posture, selon la confession religieuse, la doctrine ou l’abs…

10/03/2016

Envie d'alléger vos limitations ? de créer plus d'espace de liberté en vous ?
Venez découvrir ou redécouvrir nos séances Access Bars à Toulouse a centre Equilibre et Tradition : 63 rue Devic.
Le Lundi 14 mars de 20h à 22h : Conférence animée par Christine Sourse à 10€.
Le mardi 15 Mars de 10h à 19h : séances découverte 35 min pour 25€ sur rdv (Virginie au 07.81.60.10.35) ou
en mp.

Au plaisir de vous accompagner à la rencontre de vos potentiels !

www.AccessConsciousness.com Classes en France: www.AccessConsciousness.com/France Vous souvenez-vous de la dernière fois qu'on a pris soin de vous, où vous v...

25/02/2016

Un bel éclairage ... Bonheur, joie, amour et plaisir

Conférence de Frédéric LENOIR sur le thème de la Puissance de la Joie dans la cadre de l'ouverture du festival de l'amour organisé par Planetaiire au Théâtre...

28/12/2014

Un petit rituel très simple et hautement symbolique pour démarrer 2015 sur de bonnes bases :-) C'est rapide et c'est très puissant comme message pour notre cerveau. Les rituels symboliques fonctionnent très bien alors merci du partage !!

Voici une tradition du Nouvel An que j'aimerais partager avec vous. Essayez juste de ne pas mettre la maison en feu! Rejoignez-nous :)

23/12/2014

Voilà une belle intention à poser en début de chaque journée ;-)

Rendez-nous visite! ;)
http://lasolutionestenvous.com/

22/12/2014

Le voyage en Psychothérapie

Parfois débuter une psychothérapie fait peur : qui vais-je devenir ? Je ne vais plus m'entendre avec mon entourage, il va falloir que je révolutionne tout ce que je connais. Et pour aller vers quoi ? L'inconnu ? Ce genre de pensées est tout à fait légitime mais souvent générateur de peurs voir d'angoisses liées au changement.
On lit souvent qu'un travail sur soi permet de se libérer, de retrouver sa vraie nature, devenir soi, dépasser ses blocages... Ces mots résonnent en nous, c'est ce à quoi aspire la plupart d'entre nous ... OSER ETRE SOI !
Pourtant malgré cette envie, cette aspiration à nous révéler il peut exister un conflit à l'intérieur entre mon envie et ma peur de changer.

Le processus de transformation en thérapie.

La transformation qui se joue en thérapie ne vise pas à créer une nouvelle personne, ce n'est pas un travail pour devenir quelqu'un d'autre. Tout est déjà là, en vous. Le travail thérapeutique c'est un voyage à la rencontre de soi, de sa vraie nature, c'est finalement un chemin de déconstruction.
En effet, notre personnalité s'est construite au fil des années afin de répondre aux attentes de notre entourage. C'est un subtile mélange entre mes traits de caractère innés, ceux que j'ai imités de mes parents, ceux qu'on a valorisés et ceux qu'on a rejetés. Souvent nous avons dû renier des parties de nous même pour plaire et nous garantir d'être aimé de nos parents. En tant qu'enfant mes parents sont indispensables à ma survie mais aujourd'hui en tant qu'adulte ?

Qu'en reste-t-il ? Quelles parts de moi reflètent mon identité profonde et lesquelles sont issues de mon éducation, de mes peurs ou encore de mes blessures ?
Finalement la question à se poser c'est : quelles parts de moi m'aident à avancer et lesquelles me bloquent ?

Commence alors un travail d'exploration et d'accueil de tout ce que je suis. Et à l'écoute de mes ressentis (qui ne peuvent me mentir) et de mon intuition je "m'épluche".
C'est à dire, je me libère de mes conditionnements, de mes croyances afin d'aller contacter MA VÉRITÉ. Celle qui me fait vibrer, aimer et me sentir libre en moi. Cette sensation d'être vivant et d'agir avec justesse pour soi.
Je lâche tout ce qui ne m'appartient pas. C'est ainsi que nous allons à la rencontre de la force, la confiance et le véritable amour de soi nécessaires à un épanouissement durable et profond.
Il n'y a donc personne à devenir, simplement accueillir ce que vous êtes et accepter avec joie que c'est ce qui fait votre richesse.
Tout est déjà là en vous ! Les transformations sont toujours étrangement plus douces et agréables qu'on le prévoit car finalement nous écoutons notre être profond !

14/12/2014

A LA RENCONTRE DE NOTRE ENFANT INTÉRIEUR

Il est parfois important de se retourner non pas sur son passé mais sur soi afin d'entrer en contact avec notre enfant intérieur. C'est un des axes majeurs avec lequel je travaille en Sophro-analyse.

L'enfant intérieur représente l'enfant que nous avons été, souvent blessé, ignoré, mal aimé ou encore confronté à des blessures, nous avons parfois fait le choix plus ou moins conscient de nous en couper. Se couper de notre enfant intérieur revient à se couper d'une part de nous-même ce qui bien souvent explique cette désagréable sensation d'être un individu incomplet, à qui il "manque quelque chose".

Comment comprendre cette notion d'enfant intérieur ?

Tout au long de notre histoire, nous avons été confronté à des situations dysfonctionnelles, nous avons vécus des événements plus ou moins douloureux, plus ou moins traumatisants , des relations aimantes ou dévalorisantes, des émotions fortes, des deuils, des séparations, des changements plus ou moins facile à vivre. Etant enfant, nous n'avons pas pu donner de sens à certains événements, nous n'avions pas encore le mental assez développé pour comprendre et prendre du recul sur ce que nous vivions. C'est ainsi que ces blessures émotionnelles se sont figés en nous, dans cette partie que nous appelons l'enfant intérieur. Et tout ce qui est inachevé continue de vivre en nous à l'age adulte.
En effet, ne pouvant donner du sens, l'enfant vit les situations beaucoup plus intensément, et les ressent sur le plan émotionnel, corporel ou encore énergétique. Pour qu'un événement ne laisse pas de trace, il faudrait qu'il soit compris, expliqué avec des mots justes, que l'émotion suscitée puisse être exprimée et surtout accueillie par l'autre. C'est le cycle complet de l'émotion qui permet qu'elle ne reste pas figée en nous.
Cependant pour répondre aux attentes parentales, en accord avec les exigences sociales et les croyances sur soi, nous nous interdisons souvent (ou quelqu'un nous interdit) l'expression libre de nos émotions, elles sont censurées ou mal acceptées. "Sois fort", "j'aime pas quand tu es en colère", arrête de pleurer"...
Vivent alors encore quelque part en nous ces expériences inachevées, ces besoins d'enfants non assouvis, ces émotions non exprimées sous la forme d'émotions ressenties de façon disproportionnées, de scénarios de vie répétitifs ou encore de tensions corporelles.
Toutes ces manifestations sont d'importants indices sur les blessures de notre enfant intérieur, et il est de notre responsabilité d'adulte d'en prendre soin et d'apporter beaucoup d'amour et de bienveillance à celui ou celle que nous avons été.

Comment se libérer ?

Pour rencontrer notre enfant intérieur, il faut laisser s'exprimer notre créativité, jouer d'imagination et laisser filer notre esprit à tout ce qui émerge en instaurant un dialogue intérieur. Pour cela les exercices de visualisations s'avèrent très puissants. En effet ils mettent à jour les situations qui ont blessées notre enfant intérieur, nous pouvons alors partir à sa rencontre pour lui apporter toute l'attention et le soutien auquel il aspire tant.
Faîtes confiance aux images qui vous viennent, prenez l'enfant que vous étiez dans vos bras et consolez-le dès que vous le souhaitez. C'est un travail de guérison et de transformation impressionnant car en effet, la capacité de changement et de transformation réside dans notre enfant intérieur.
Cette part en nous très précieuse où siège la curiosité pour l'inconnu, l'envie de découvrir toujours plus et la capacité de vivre pleinement nos émotions sans nous y attacher plus qu'il ne faut.

Alors de votre plus beau sourire, vous chevaucherez votre papillon et irez parcourir tout votre espace intérieur, tout ce que vous êtes avec la même curiosité que celle qu'on lit dans les yeux d'un enfant...

09/12/2014

RÉINTÉGRER NOS PROJECTIONS ... UN PAS DE PLUS VERS SOI.

Au cours de nos interactions sociales, il nous arrive (plus ou moins fréquemment) d'être touchés émotionnellement par les comportements, les traits de caractère ou les actions d'une personne. Ces situations sont autant de cadeaux d'évolution qui mettent à la lumière des parties de nous refoulées.

Nous parlons alors de projections (négatives ou positives). C'est l'action qui consiste à attribuer à un autres des traits de caractère, des comportements ou encore des intentions que je ne veux pas ou ne peux pas supporter de voir en moi, ou que je ne m'autorise pas.

Si je réagis émotionnellement à l'attitude d'un autre c'est que son comportement vient réactiver une blessure en moi, un complexe plus ou moins conscient ou un blocage quant aux qualités que je n'ose pas exprimer.

En effet, il est plus gérable pour notre psychisme de mettre à l'extérieur de soi des parties que nous avons dû renier afin de nous garantir d'être le plus aimable possible dans notre enfance, pour répondre aux différentes attentes (exprimes ou non des figures parentales) et aux projets qu'ils avaient pour nous. Or, ces parties sont encore bel et bien à l'intérieur de nous, enfouies sous toutes nos stratégies pour ne pas les dévoiler.

Ainsi pour correspondre à ce que l'autre attends, je vais opérer un tri dans mes traits de caractère entre ceux qui sont bien acceptés à l'extérieur et ceux qui ne le sont pas. Ces derniers vont constituer ce qu'on appelle "la part d'ombre" et nous mettons une énergie considérable à lutter contre l'expression de nos ombres, par peur du rejet.

Cependant, être en paix et heureux ne signifie pas être parfait mais exprimer intégralement tout ce que nous sommes, les bons comme les "mauvais" côtés. Etant dans un processus d'évolution, la vie se chargera de mettre sur ma route des personnes qui vont me confronter à ces parts de moi reniées ou refoulées.

Se libérer de nos projections

Tout d'abord c'est mettre dans la conscience dans nos émotions, nos réactions. Si je réagis à un comportement c'est qu'il parle de moi sinon je ne serais pas atteint(e). Alors dans un premier temps je cesse de juger l'autre et de lui reprocher son attitude, je le remercie plutôt de me permettre de me réconcilier avec une partie de moi.
ex :"je déteste les gens qui parlent fort" : si je m'arrête à cette constatation, je suis dans le jugement de l'autre et la colère donc je me fais du mal à l'intérieur.

--> Et si j'allais questionner en moi ce comportement : quand l'autre parle fort, comment je me sens ? nié(e) ? écrasé(e) ? inexistant(e) ? Il prends de la place, on le remarque. Et moi on me remarque ? est-ce que je m'autorise à me mettre en avant ? ou suis-je bloqué(e) par mes peurs ?
En questionnant ainsi ce qui vit en moi, j'avance sur mon manque de confiance en moi, ma peur d'être jugé(e), et je plonge à l'intérieur de mes souffrances afin de réintégrer en moi cette part qui parle fort, qu'on entends sans la peur d'être jugée.

Tout cela est aussi valable lorsque j'admire ou je jalouse quelqu'un, il possède des qualités que j'ai aussi mais qui sont seulement bloquées par des croyances limitantes. Si cela ne me concernait pas, je ne serais pas touché(e) par ces comportements. Là ou il y a de l’émotion, il y'a une part de vous et c'est dans un but de croissance personnelle qu'elles se présentent à vous.

Le seul chemin vers la paix intérieure est celui de l'acceptation de tout ce que nous sommes : il ne peux pas y avoir d'énergie pour la beauté si je lutte contre la laideur.

Nous sommes tout et son contraire et en acceptant ce que nous sommes, lorsque cela se présente, nous commençons à portez sur nous un regard bienveillant, c'est un pas nécessaire sur le chemin de l'amour de soi.

Belle journée à tous.

07/12/2014

GÉRER SES ÉMOTIONS

Attention : gérer ne signifie pas maîtriser = empêcher de se manifester. Gérer une émotion consiste avant tout à l'accueillir et lui permettre d'aller au bout de son cycle jusqu'à ce que la tension émotionnelle retombe et que nous retrouvions notre calme intérieur.
Lorsqu'une émotion ne va pas jusqu'à son expression, elle trouve toujours un autre moyen de se faire entendre : la somatisation.
Apparaissent alors des tensions dans le corps, des nœuds, des malaises ou encore des maladies.

Pourquoi nous interdisons nous d'exprimer certaines émotions ?

Car bien souvent nous les jugeons inappropriées à la situation qui les a déclenchées ... et pourtant elles sont bel et bien présentes. Alors nous nous auto-censurons, cela revient à rejeter une partie de soi qui cherche à s’exprimer. Et si nos émotions sont en effet disproportionnées parfois c'est qu'elle viennent nous alerter d'un message qu'il nous faut entendre. Ce message me dit que j'ai des émotions du passé qui veulent se faire entendre dans mon présent. Des blessures encore "à vif".

Pourquoi nos émotions sont disproportionnées ?

Lorsque c'est le cas cela signifie que l'émotion ressentie réactive une blessure du passé que je n'ai pas digéré. Donc dès qu'une occasion de présente pour me rappeler cette émotion "figée" c'est avec toute la charge émotionnelle du passé qu'elle se présente. Loin d'être une ennemie, ce genre d'occasion représente un magnifique cadeau d'évolution, cela nous invite à questionner le passé et donc nous offre une opportunité de nous en libérer définitivement.
Comment ? En l’accueillant pleinement et en questionnant profondément le cœur de cette émotion.

Exemple :

Je suis en colère car mon compagnon (ou ma compagne) rentre plus t**d que prévu et ne me préviens pas. Ok, je ressens de la colère donc bravo j'ai identifié mon émotion. Mais qu'est ce qui me mets en colère précisément ? Le fait qu'il ne me prévienne pas ? Pourquoi est-ce si important pour moi ? Je m'inquiète pour lui ? Ou j'ai l'impression de ne pas être important(e), inutil(e), de ne pas mériter le respect de l'autre ?
D'accord donc finalement derrière la colère il y a une autre émotion : la tristesse, voir en extrapolant : la peur d'être abandonnée, il y a aussi une blessure de dévalorisation qui refait surface. Je me sens au fond nul(le), pas aimée et pas aimable. Et là Youpi, je m'ouvre aux véritables informations contenue dans cette colère disproportionnée : "De qui je me suis sentie abandonné(e) dans mon enfance ? Pas aimé(e)" ?

Ainsi j'ai accès à un événement, un souvenir dans lequel cette émotion et cette croyance sur moi et ma valeur se sont figées. S'est alors mis en place un filtre par lequel j'observe le monde. Et je vais chercher dans tout mon vécu des confirmations à ce que je pense de moi. Je comprends ainsi que mon compagnon (ma compagne) n'a rien à voir avec cette émotion, il est juste celui qui me renvoi cette part de moi même qui souffre encore.
Attention à la colère qui à mon sens est une émotion réactive, de défense, d'attaque, bien souvent derrière la colère se cache une part de notre vulnérabilité. C'est dans cette part que se trouve notre vérité.

Belle exploration à tous...

04/12/2014

Osez-vous rêver ?

Une petite vidéo de 7.36 min, c'est sous-titré et ça fait du bien quand on l'écoute. Et en plus il y a même des images ;-)

Comment expliquer ce conflit entre mon besoin de changer et ma peur d'aller vers du nouveau, de l'inconnu ? Qui avait peur pour moi, et qui m'a transmis cette peur devenue parfois paralysante qui me bloque encore aujourd'hui ?
Cet inconnu, ce nouveau, qui me pousse à accepter la souffrance, le mal-être car c'est toujours plus rassurant que de ne pas savoir vers quoi je pourrais tendre dans ma vie.

Or la thérapie ce n'est pas fondamentalement changer mais plutôt SE RÉVÉLER autant à soi qu'aux autres, explorer tous nos potentiels, développer toutes nos ressources bien trop souvent bloquées derrière des murs de peurs.

Peur de quoi ?

Du rejet, de ne pas répondre aux attentes des autres, de dépasser les autres, d'échouer ... Ces peurs sont légitimes bien entendu mais souvent lorsque nous prenons le temps de les questionner et de les explorer, nous découvrons que ce sont des peurs du passé et non du présent, d'anciennes peurs encore tapies dans l'ombre.
Alors je vous invite à sentir cette émotion de peur, l'accueillir et vous demander :
"quel âge j'ai quand j'ai peur de changer ?"

Vous commencez ainsi à découvrir que ces peurs appartiennent à l'enfant que nous avons été et aujourd'hui, il revient à l'adulte que nous sommes devenu d'aller rassurer cette part en nous qui a peur, et l'encourager à ne vouloir que le meilleur pour elle..

Une petite vidéo donc qui s'adresse à votre adulte grâce à la réflexion et à votre enfant intérieur grâce aux dessins ...
A consommer sans modération !!
Douce nuit à tous.

http://www.gromic.eu http://www.seulsurscene.com Pour avoir les sous-titres en Français, veuillez sur le 2e icône pour activer les sous-titres et ensuite la ...

03/12/2014

LE POUVOIR DE L'INTENTION

On commence sa journée positive !!
On pose une intention précise : c'est à dire une phrase courte, au présent qui va en quelque sorte devenir la direction que l'on se souhaite pour cette journée.
Exemple : "je profite de l'instant présent", "je vis la joie et l’énergie à chaque instant" ou encore "je m'ouvre à de nouvelles informations pour régler mon problème".
ça parait si simple ... et pourtant !!! Attention aux journées qui commencent par un "pfff encore une mauvaise journée" : ici vous vous assurez qu'elle soit mauvaise jusqu'au bout.
Alors que votre première pensée du matin soit positive et faites régulièrement le point au cours de votre journée vous serez surpris de voir à quel point la vie vous écoute. Votre conscience aime avoir raison alors à vous de faire le petit effort de l'orienter dans la bonne direction dès le début...
Très belle journée à tous.

02/12/2014

En prenant le recul nécessaire sur notre vécu, nous pouvons dé-fusionner avec nos blessures et ainsi poser dessus un regard plus neutre, moins impliqué. Nous "survolons" au dessus de notre océan intérieur. La thérapie permet d'aller contacter nos souffrances sans nous laisser envahir, sans nous noyer, c'est le contact dit "frontière" et lorsque que ce contact est juste il permet de mettre en lumière les solutions les meilleures pour nous.

"Tous les maux sont les effets de l’inconscience. Vous pouvez soulager les effets de l’inconscience, mais vous ne pouvez pas les éliminer à moins d’en enrayer la cause. Les véritables changements se produisent en dedans, pas en dehors."
(Eckhart Tolle)