Mélissa Vidal - Psychologue, enseignante en Méditation de Pleine Conscience

Mélissa Vidal - Psychologue, enseignante en Méditation de Pleine Conscience Page dédiée à la psychologie et à la méditation de pleine conscience. Consultations au sein de mon cabinet à Toulouse ou en visio.

Consultations sur RDV le mardi, jeudi, vendredi et samedi matin
Psychothérapie EMDR, ACT, psychologie positive
Groupe et ateliers de méditation de pleine conscience

❤️ « Quand on tombe amoureux, on se relève attachés. » Cette phrase  de Boris Cyrulnik paraît simple, mais elle dit quel...
10/12/2025

❤️ « Quand on tombe amoureux, on se relève attachés. » Cette phrase de Boris Cyrulnik paraît simple, mais elle dit quelque chose de très vrai: on ne s’attache jamais seulement à une personne. On s’attache aussi à la manière dont elle nous regarde,
à l’espace qu’elle nous offre, à la douceur qu’on n’a peut-être jamais connue, ou à la peur qu’on croyait avoir laissée derrière soi.

On s’attache avec son passé, ses manques. ses habitudes de survie. Avec ce qu’on a appris trop tôt, ou même jamais appris du tout.

L’amour arrive vite, l’amour lui. arrive en profondeur.
Il réveille ce qui a été blessé, ce qui a été apaisé, ce qui a été réparé, et parfois ce qui attend encore de l’être.
Être « trop » attaché n’est pas nécessairement mal.
C’est souvent la trace d’une ancienne solitude ou d’un besoin de sécurité qu’on n’a pas su nommer. C’est aussi la preuve que quelque chose en nous cherche un endroit où se poser enfin.

Parfois un lien plus doux, une présence, quelqu’un qui reste même quand on doute,pour que l’attachement cesse d’être une lutte er devienne un appui.

Parce que le bon lien ne retient pas. Il tient, soutient et laisse respirer. Il permet de redevenir soi sans avoir peur de perdre l’autre.

À celles et ceux qui cherchent un lien qui tienne,
et non qui retienne.

———-
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

🔗 Peut-être avez entendu cette illusion tenace qui dit que chacun porte son monde sur ses seules épaules. Chacun sa croi...
09/12/2025

🔗 Peut-être avez entendu cette illusion tenace qui dit que chacun porte son monde sur ses seules épaules. Chacun sa croix, paraît-il. Une personne s’effondre, c’est son affaire. Un parent épuisé doit tenir bon. Un soignant qui craque doit être plus fort. Un prof à bout devrait s’organiser autrement.

Mais la réalité psychique n’obéit pas à ces mythes individuels. Nous sommes des êtres systémiques. Ce qui arrive à l’un rejaillit sur l’autre, comme des fils invisibles qui se tendent ou se rompent.

C’est le principe même de l’interdépendance, rien ne se délite sans que tout ne frémisse un peu.

Eh bien non, personne ne craque tout seul. Et personne ne guérit seul non plus. Chaque geste de soin. même petit, retisse un morceau du monde. Chaque parent , chaque prof soutenu éclaire une enfance. Chaque soignant reconnu renforce une chaîne entière. Chaque travailleur social, éducateur écouté répare un bout du monde. Chaque artiste regardé redonne de l’air au collectif.

Prendre soin, ce n’est pas réparer des individus.Prendre soin est collectif, un maillage du monde et l’expression de notre humanité commune.
Et si nous commencions là ?
En soutenant celles et ceux dont le bien-être fabrique secrètement l’avenir de tous.

Qu’en dites vous ?

————
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

✍🏻 Et si ce qui vous dérange chez l’autre n’était pas le comportement en lui même, mais ce qu’il réveille en vous? Nos r...
05/12/2025

✍🏻 Et si ce qui vous dérange chez l’autre n’était pas le comportement en lui même, mais ce qu’il réveille en vous?

Nos réactions ne naissent pas dans le présent. Elles viennent d’anciennes insécurités, de besoins non entendus, de peurs laissées sans réponse.

Derrière un ton sec, un silence, une agitation, un retrait…il y a souvent un enfant qui a appris à se protéger comme il pouvait.

Voir cela ne signifie pas excuser,ni minimiser ce qui vous fait mal, ni accepter l’inacceptable. Cela signifie comprendre que chacun porte son histoire, et que certaines défenses ne sont que des traces de blessures non apaisées.

La thérapie nous apprend que nous ne guérissons pas en changeant l’autre, mais en rencontrant ce qui, en nous, reste en attente de sécurité.

À toutes celles et ceux qui ont été bousculés, ignorés, blessés, et qui continuent malgré tout à avancer, nul besoin d’être irréprochables pour être aimables.Vous avez surtout besoin d’être accueillis là où la souffrance s’exprime encore.

Et à toutes les parts en vous qui ont dû grandir trop vite, que ces mots vous rappellent que ce qui a été abîmé peut être réparé, dès lors que nous cessons de se juger et que nous commençons à nous écouter vraiment.

———-
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

❤️‍🩹 Les mots peuvent sauver, ou abimer, créer de nouvelles cicatrices. Après un trauma, certaines phrases semblent anod...
03/12/2025

❤️‍🩹 Les mots peuvent sauver, ou abimer, créer de nouvelles cicatrices. Après un trauma, certaines phrases semblent anodines… mais elles réveillent des tremblements entiers.

Les mots qui minimisent ferment, ceux qui pressent blessent et ceux qui expliquent à votre place effacent votre histoire.

Et puis il y a les autres, les mots qui réparent, apaisent et adoucissent les fractures de la vie. Ceux qui ne demandent rien, qui ne comparent rien, qui ne bousculent pas votre vitesse.

Des phrases simples, mais qui changent tout.
Parce qu’elles redonnent de l’air là où il n’y en avait plus.

À celles et ceux qui guérissent encore : vous méritez des mots qui prennent soin, et surtout d’être vraiment écoutés. Et si personne ne vous les a donnés,
commencez par vous parler comme à quelqu’un que vous voulez enfin protéger. Puisse ce post être le pas vers cela.

————
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

❤️‍🩹 Nous racontons  souvent que l’amour parental est immédiat. Qu’il vient d’un seul coup, comme une évidence. Dans la ...
23/11/2025

❤️‍🩹 Nous racontons souvent que l’amour parental est immédiat. Qu’il vient d’un seul coup, comme une évidence. Dans la réalité, certains chemins affectifs sont plus lents et plus tourmentés. L’histoire personnelle peut prendre de la place, les blessures anciennes peuvent brouiller l’accès au sentiment, et parfois, le cœur met du temps à rejoindre la relation.

Ce n’est pas un manque d’amour, il s’agit plutôt d’une difficulté à le (res(sentir. Et cela peut se travailler, s’apaiser, se réparer, avec du soutien, de la sécurité, et beaucoup de douceur envers soi-même.

J’ai été interrogée sur ce sujet par cette semaine, parce que ces sujets existent, même lorsqu’ils restent silencieux.

Si ces mots résonnent pour vous, rappelez-vous qu’il existe des espaces pour retisser le lien, même quand tout semble éloigné voire même figé.

À celles et ceux qui doutent, se sentent coupables et épuisés, à celles et ceux qui font de leur mieux avec ce qu’ils/elles ont… vous n’êtes pas seuls.

Et si ce message peut offrir un peu d’air à quelqu’un, vous pouvez le partager .

Pour lire l’article dans son intégralité : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2025-11-21/je-n-aime-pas-mon-enfant-comment-les-parents-peuvent-faire-face-a-ce-tabou-ultime-et-reparer-le-lien-f18a2054-1e0a-43b8-86b3-63f8495151ea

—————-
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

Avec la mort, ne pas aimer son enfant est sans doute le tabou des tabous. Une affirmation que la société est loin d’être prête à accepter. Pourtant, cette situation cache...

🥃 J’ai écrit dans ma dernière lettre sur le thème si délicat des addictions. Un sujet sensible, actuel, mais qui, finale...
21/11/2025

🥃 J’ai écrit dans ma dernière lettre sur le thème si délicat des addictions. Un sujet sensible, actuel, mais qui, finalement a toujours existé., Parce qu’il y a des jours où nous consommons plus que nous respirons. Des jours où l’on cherche dans un carré de chocolat, dans les écrans ou une envie soudaine… quelque chose que nous ne savons pas nommer.
Parce qu’en réalité, je crois que nous cherchons un peu de paix. Un petit refuge où reposer ces tremblements.

La consommation nous dit que cela ne va pas et qu’il est trop difficile d’aller explorer ce qui fait douleur.
Nos besoins les plus profonds ne s’expriment jamais directement. Ils prennent des chemins détournés: une fringale, un achat impulsif, une envie de disparaître un moment dans un jeu ou un verre de vin. Derrière chaque élan trop rapide, il y a un espace vide qui demande à être aidé.

Alors, peut-être que la question n’est pas :
« Pourquoi je fais ça ? » mais plutôt : « Qu’est-ce que j’essaie d’apaiser en moi ? »

Quand nous nous écoutons vraiment, nous réalisons que l’on ne cherche pas à remplir un vide, mais à trouver un peu d’air. Je crois aussi que nos dépendances sont les témoins du monde dans lequel nous vivons où l’urgence et l’étouffement règnent en maîtres.

La guérison commence souvent dans ce moment où l’on cesse de se juger pour commencer à s’écouter vraiment dans le silence et enfin comprendre. Ce moment où l’on cesse de mettre la focale sur le comportement et écouter pleinement le problème de fond.

Qu’en pensez-vous ? Êtes-vous sujet à une dépendance en particulier ?

————-
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

🍃Quand deux parents se séparent, l’enfant ne comprend pas tout, mais il ressent tout. Ce qui l’ébranle le plus, ce n’est...
19/11/2025

🍃Quand deux parents se séparent, l’enfant ne comprend pas tout, mais il ressent tout. Ce qui l’ébranle le plus, ce n’est pas la séparation, mais les silences lourds, les tensions qui traînent, les changements sans explications.

Les enfants réagissent souvent en se réorganisant eux-mêmes : ils deviennent gardiens de paix, petits funambules entre deux mondes, ou joyeux à l’excès.
Ce ne sont pas des forces, ce sont des façons de tenir le coup. Car ce qui les protège, se loge surtout dans des mots simples et sécurisants, des routines qui reviennent,des transitions annoncées, et la certitude qu’ils n’ont rien à choisir ni réparer.

Les enfants peuvent vivre entre deux maisons si le lien reste stable, prévisible, vivant. La sécurité n’est pas dans les murs, elle est dans la continuité des adultes.

Prendre soin d’eux, offrir un cadre clair, un espace où sentir, dire, traverser est possible. Avec cela, même les grands changements deviennent des terrains praticables.

À celles et ceux qui avancent sur des chemins nouveaux avec la peur au ventre et le courage dans les poches.

Aux enfants qui grandissent entre deux maisons mais qui, malgré tout, gardent le cœur entier.

Puissions-nous leur offrir ce qui ne déménage pas : la présence, la vérité, la sécurité et l’amour qui ne change pas d’adresse.

————-
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

🫂 Nous parlons souvent d’amour comme d’un feu: intense, brûlant, irrésistible. Mais la tendresse, elle, n’a rien à voir ...
11/11/2025

🫂 Nous parlons souvent d’amour comme d’un feu: intense, brûlant, irrésistible. Mais la tendresse, elle, n’a rien à voir avec la flamme. Elle est la braise. Ce qui reste quand tout s’apaise. La tendresse, c’est ce qui se glisse entre deux mots quand nous n’avons plus besoin de parler. Ce qui se dépose sur une main, sur une épaule, sur un silence. Elle est le geste qui ne veut rien prouver, le regard qui ne cherche pas à convaincre.

Et pourtant, pour beaucoup, la douceur a été un terrain miné. Parce qu’elle évoque la vulnérabilité, la dépendance, le risque d’être blessé. Quand le corps a manqué de sécurité, il se méfie de ce qui s’approche lentement. Et nous privilégions le contrôle et la distance en se disant que c’est plus sûr.

Mais à force de se protéger, nous nous empêchons aussi d’être touchés. Et c’est peut-être là que commence la vraie réconciliation : quand nous réapprenons à nous laisser approcher, sans peur.
Quand nous découvrons qu’être tendre n’est pas être faible. Et avoir suffisamment confiance pour ne pas se défendre. La tendresse, c’est le langage du corps quand il n’a plus besoin de lutter. La preuve tranquille que l’apaisement est possible.

À celles et ceux qui ont grandi dans la vigilance,
et qui réapprennent à faire confiance. A celles et ceux qui n’attendent plus que nous les comprenions, mais qui osent à nouveau se laisser approcher. À celles et ceux qui savent qu’il n’y a rien de plus fort, que d’être doux dans un monde dur.

—————
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

🐱 🐶 Il suffit parfois qu’il soit là. Allongé, tranquille, le souffle régulier. Et quelque chose en soi se dénoue. Vous n...
09/11/2025

🐱 🐶 Il suffit parfois qu’il soit là. Allongé, tranquille, le souffle régulier. Et quelque chose en soi se dénoue. Vous ne savez pas pourquoi, mais le monde se calme.
Peut-être parce qu’il n’attend rien. Peut-être parce qu’il aime simplement.

Ce n’est pas un hasard si votre animal vous apaise. Par sa présence tranquille, c’est votre corps qui, l’espace d’un instant, retrouve la sécurité qu’il a trop souvent perdue. Les animaux ont ce pouvoir d’ancrage,
de régulation silencieuse. Leur présence parle directement à votre système nerveux, comme un « tout va bien » ressenti plutôt qu’entendu.

Parce que l’attachement, ce n’est pas qu’une histoire d’humains. C’est une danse de présence, un langage du corps avant celui des mots. Votre animal ne vous aime pas pour ce que vous faites, mais pour ce que vous faites. Et c’est exactement cela qui est bouleversant quand on a appris à se méfier de l’amour.

Chez beaucoup de mes patientes et patients, le lien avec un animal est le premier amour sécure. Celui qui répare doucement l’enfance, qui rappelle que nous pouvons être aimé sans devoir mériter.

Aujourd’hui, les animaux sont aussi devenus des co-thérapeutes dans ma pratique. De ceux, qui sont de compagnie et qui s’invitent dans les consultations, à ceux que nous croisons durant les séances de walking et qui proposent naturellement un moment de jeu ou de contemplation partagé.

Alors non, ce n’est pas « juste »un chien, « juste » un chat. Car il s’agit parfois de la première preuve que la tendresse existe vraiment.

À celles et ceux qui ont trouvé refuge dans une présence animale, et qui se sentent parfois « trop attachés »: ne vous en excusez pas. Nous n’aimons jamais trop. Vous avez simplement trouvé une forme d’amour qui ne trahit pas.
À celles et ceux qui ont peur de perdre leur animal, parce qu’ils savent tout ce qu’il incarne: vous n’êtes pas « bêtes ». Vous êtes vivants. Parce qu’il n’y a pas d’échelle dans l’amour. Et votre cœur, en aimant ainsi, a déjà trouvé un lieu de guérison.

—————
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

📱 Je crois que nous sommes fatigués. Il y a cette saturation que j’(a)perçois en ouvrant les réseaux sociaux. Comme si n...
07/11/2025

📱 Je crois que nous sommes fatigués. Il y a cette saturation que j’(a)perçois en ouvrant les réseaux sociaux. Comme si nous nous jetions chaque jour dans une spirale de consommation. Trop d’images, trop d’avis, trop de conseils. Trop de voix qui s’élèvent, d’idées à avaler, de vérités toutes faites à digérer. Et plus beaucoup d’espace pour simplement être. Nous ne nous en rendons pas toujours compte, mais à force d’être traversés par tout ce bruit, nous finissons par nous y dissoudre un peu. Nous voulions comprendre, apprendre, nous ouvrir et nous nous sommes perdus dans le flot. Le sens s’est éparpillé quelque part entre deux contenus. Je vois des personnes, des collègues, s’excuser de ne pas publier assez, de ne pas « avoir le temps ». Mais… De quel temps parle t-on exactement ?
Il y a un flot incessant. Le cerveau n’est pas fait pour être traversé par autant d’émotions, autant de rapidité. La seule conséquence que cela entraîne est un état de sidération, d’anesthésie. Une déconnexion totale avec l’ci et maintenant.Je me demande quand le présent est devenu si difficile à supporter que nous préférons nous en échapper plutôt que l’habiter.Je ne crois pas que nous manquions d’inspiration. Je crois que nous manquons de silence. Et parfois, je me demande combien, moi aussi, je participe à ce vacarme. Avec mes mots, mes partages, mes tentatives de mettre du sens et de ralentir dans le flux. Je me demande si j’ouvre un peu d’espace, ou si j’ajoute, malgré moi, une vague de plus à la marée. Ce n’est pas une question coupable, c’est une question humaine. Parce que je crois à la puissance du silence Le cerveau a besoin de vide. Le cœur, de lenteur.

Alors parfois, il serait important de juste poser le téléphone, regarder dehors, et se rappeler que le monde existe et se déroule devant nos yeux. Bien sûr, je continue d’écrire, avec cohérence et, je l’espère un peu de justesse. En essayant de ne pas parler plus fort, mais plus consciemment.

À toutes celles et ceux qui se sentent saturés mais qui consomment par habitude, je vous souhaite du silence et des moments qui n’existent que pour eux mêmes.

—————
Melissa | La Psy qui sort du cadre

🌙 Nous passons environ un tiers de notre vie à dormir.Trente années, soit plus de 200 000 heures si l’on vit jusqu’à 90 ...
04/11/2025

🌙 Nous passons environ un tiers de notre vie à dormir.
Trente années, soit plus de 200 000 heures si l’on vit jusqu’à 90 ans.
Trente années à fermer les yeux, à se retirer du vacarme du monde, à confier son corps au silence.

Et pourtant, ce n’est pas du temps perdu. C’est un temps secret, invisible, où la vie travaille sans nous.
Pendant que nous rêvons, le cerveau trie, range, répare. Les rêves et les cauchemars ont aussi cette fonction de réparation. Le cœur ralentit, les muscles se délient, le passé se dépose dans un tiroir du présent.

Le sommeil n’est pas une fuite. Mais une conversation muette entre ce que nous avons vécu et ce que nous pouvons encore devenir.

Bien sûr, il y a des nuits agitées, des cauchemars qui nous réveillent en sueur, des insomnies où la pensée s’entête. Mais même ces nuits-là comptent. Elles témoignent du mouvement intérieur, de cette part de nous qui cherche l’apaisement, même dans l’obscurité.

Dormir est l’expression d’une confiance. Celle que la terre continuera de tourner pendant que nous lâchons prise. De ne plus rien maîtriser, et de se laisser bercer par le rythme du vivant.

Parce que nous avons toutes et tous une histoire intime avec le sommeil. Depuis la naissance,, il est un fil qui se tisse et qui raconte notre histoire.

À toutes celles et ceux qui ferment les yeux avec mille pensées en bataille, que la nuit vous apprenne la tendresse que nous oublions parfois de nous offrir le jour. À celles et ceux que le sommeil fuit,que la peur du silence étreint, puissiez-vous trouver refuge dans une respiration lente, un instant de confiance envers la nuit. À toutes celles et ceux que la nuit bouscule, réveille, secoue, rappelez-vous :même quand vous dormez mal,
votre corps, lui, veille sur vous. Il répare, il apaise, il recommence. Et à celles et ceux qui s’abandonnent enfin au sommeil, que vos rêves soient des territoires paisibles, où l’on se réconcilie avec soi-même, en silence, sans effort, sous la garde bienveillante de la nuit.

———————
Melissa | La Psy qui sort du cadre ☀️

Adresse

Cabinet De Psychologie Et De Méditation Pleine Conscience, 37 Rue De Caumont 31500 Toulouse
Toulouse
31000

Heures d'ouverture

Mardi 09:30 - 19:00
Jeudi 10:00 - 14:00
Vendredi 09:30 - 19:00
Samedi 09:30 - 13:00

Téléphone

+33767021576

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Mélissa Vidal - Psychologue, enseignante en Méditation de Pleine Conscience publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram