19/11/2025
Bonjour à toutes et tous,
Aujourd'hui je me permets de vous partager ce texte sur la neuro-divergence/neuro-atypie : un texte touchant, percutant même, car criant de vérité -> voir à la fin de mon post.
Merci à celles et ceux qui prendront le temps de le lire 🙏
Pour moi, ce n'est pas aux neurotypiques de se plier à la société, mais à la société d'essayer de les comprendre, de les accepter sans conditions, et de s'adapter quand cela est possible.
Il est important qu'il en soit ainsi également dans le domaine de la santé, car toutes leurs perceptions et sensibilités sont différentes des neurotypiques : toucher, odorat, ouïe, vue, facilité de compréhension, d'écoute, d'attention, fatigabilité, etc...
Dès lors, au sein de mon cabinet, sachez que je m'adapte, car je ne sais que trop bien ce que sont les TSA, TDAH et les DYS.
Par exemple : je demande au patient si je peux le toucher pendant le bilan, si oui, je le préviens avant de poser mes mains sur lui/elle ; je préviens aussi quand je vais mettre mes machines en marche à cause du bruit ; je prends le temps d'expliquer jusqu'à être sûre que le patient ait tout compris et qu'il se sente libre de poser des questions sans être jugé ; je fais avec la fatigabilité de chacun ; je n'oblige personne à faire du small talk ; etc...
Ce qui est appelé à tort "handicap invisible" fait tout de même de la vie de chaque neuroatypique un vrai défi au quotidien, même s'ils n'ont pas de fauteuil roulant, de canne blanche, d'appareils auditifs, ou autres signes extérieurs de handicap.
Chaque patient est différent, mais au sein de mon cabinet, tout le monde peut venir "comme il est", sans jouer, sans faire de masking, sans avoir à composer. Je comprends, je compatis, je sais faire avec ou sans. Venez avec confiance 😉
Belle journée.
Bien à vous,
Eve LUCAS
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Je vous transmets ce texte pour y réfléchir : Vérité nue, sans filtre: STOP, on arrête de « pathologiser » la neurodivergence.
Assez de la réduire à un trouble, un handicap, un décalage, un défaut de fabrication.
Assez de mesurer le Vivant avec des outils faits pour le contraindre.
La neurodivergence n’est pas un bug, c’est une résistance. Une résistance vivante à l’écrasement du réel par une grille linéaire, morte, manuelle, alors que le cerveau, le corps et l’ADN sont fractals, ouverts, vibratoires.
Les êtres qu’on dit TDAH, TSA, DYS ne sont pas en re**rd : ils sont ailleurs, dans un champ que la majorité ne perçoit plus.
Leur pensée n’est pas un labyrinthe : c’est une onde.
Leur hypersensibilité n’est pas une fragilité : c’est une antenne.
Leur intensité n’est pas problématique : c’est une fréquence trop haute pour les filtres sociaux.
Leur fatigue n’est pas un manque de volonté : c’est un effet collatéral du camouflage dans un monde qui ne lit pas l’information comme eux.
On ne peut pas comprendre une cognition holofractographique avec un cerveau linéaire.
On ne peut pas traduire l’infini dans une grammaire limitée.
La neurodivergence n’est pas un écart.
C’est une architecture de lecture du réel que la société actuelle n’a pas les capteurs pour comprendre.
Et quand on redevient honnête : Ce que la matrice appelle “symptôme” est souvent précisément le signe que le Vivant n’a pas été altéré.
La neurodivergence n’est pas une pathologie. C’est une mémoire intacte du Réel. Un refus de plier. Une manière de sentir avant de penser. Une fidélité à la lumière plutôt qu’au code social. Ce n’est pas un handicap. C’est une autre fréquence de perception, une cognition non domestiquée, un reste de pureté dans un monde saturé d’inversions. La neurodivergence c’est une autre architecture de perception.
Les dernières recherches en neurobiologie, en physique de l’information et en sciences cognitives convergent : certaines formes de cognition ne fonctionnent pas selon les modèles linéaires classiques.
Les profils TDAH, TSA, Dys présentent des caractéristiques communes :
• Plus de connectivité spontanée entre les réseaux cérébraux→ pensée associative rapide, multidimensionnelle, arborescente.
• Hyperréactivité du réseau par défaut (DMN)→ accès plus direct aux intuitions, aux perceptions globales, aux patterns invisibles.
• Oscillations cérébrales atypiques→ plus d’ondes gamma, thêta, delta en simultané : un cerveau qui travaille comme un champ, pas comme une ligne.
• Couplage corps–cerveau plus fort→ le fascia, les nerfs, les capteurs sensoriels envoient plus d’informations que la moyenne, créant une perception plus vaste du monde.
• Traitement holofractographique de l’information→ la pensée n’avance pas pas-à-pas : elle “lit” le tout avant les parties.
Quand on change de modèle, tout change.
Dans un modèle linéaire : la neurodivergence semble chaotique, dispersée, hypersensible.
Dans un modèle holofractographique : elle apparaît comme une cognition élargie, un mode de résonance directe avec l’information, une interface plus fine avec les champs subtils.
Les profils neurodivergents ne sont pas “en difficulté”. Ils sont en brouillage constant parce que leur système perçoit plus que ce que la société autorise.
Ce n’est pas un déficit. C’est une hyper-capacité dans un environnement sous-calibré.
Replacer la neurodivergence dans un modèle quantique du vivant : L’ADN est un émetteur biophotonique. Il échange de la lumière.
Les neurodivergents montrent un taux de variabilité émotionnelle et énergétique qui modifie ce signal.
Le cerveau n’est pas une machine : c’est un réseau de résonances.
Les profils neurodivergents fonctionnent avec plusieurs réseaux actifs simultanément, ce qui donne cette sensation d’intensité, de surcharge ou de vision élargie.
Le corps est un capteur fractal. Le fascia, les capteurs sensoriels et le système nerveux des neurodivergents révèlent une porosité plus élevée aux champs internes et externes.
Ce que l’on appelle “neurodivergence” est souvent :un accès élargi au champ d’information,une cognition plus rapide ou plus profonde,une sensibilité accrue au réel,une forme de fidélité au Vivant,un refus physiologique de l’inversion,un mode de lecture de la lumière non standardisé.
Ce n’est pas un trouble. C’est une interface plus fine avec le réel.
Géraldine Aeterna