10/12/2025
La suite des ciné débats sur la question des violences faites aux femmes, notamment sur celles des années 60.
Nous y avons retrouvés l'association Baguera, la Maison des femmes d'Irugne ...
Un film très prenant pour lequel la question des IVG est mis au goût du jour. Actuellement, notre système ne permet pas où peu aux femmes de pouvoir avorter librement. La plupart d'entres elles doivent changer de départements pour avorter, voire de changer de pays. Les retours ont pu démontrer que parmis le personnel soignant sont peu formés sur cette question.
Il reste encore peu d'espaces pour accueillir ces femmes qui souffrent en silence, car avorter reste encore et toujours une question invisibilisée où le personnel soignant est "par manque de moyens" dans un discours culpabilisant et moralisateur.
Les associations d'aide et de soutien sont mises à mal, comme les planning familiaux qui sont en premières lignes pour disparaître, leur subventions sont en baissent alors que la demande est forte.
La lutte est de pouvoir continuer à les faire vivre au travers de partenariats à mettre en place auprès de ces structures qui accueillent avec bienveillance et dignité ces femmes victimes de violences systémiques issuent de notre société conservatrice et patriarcale.
L'avortement ne devrait pas être un combat, il devrait être un droit. Droit qui est encore requestionné au gouvernement.
Leur corps, leur choix ! Et si les hommes pouvaient se joindre à elles c'est encore mieux.
Merci pour ce beau projet et ces échanges enrichissants sur la condition des femmes dans notre société actuelle.
Merci aux étudiant.e.s qui ont pensé faire un porteur de parole regroupant des témoignages de femmes victimes de violences encore trop nombreuses.
A très vite 🦋