Varilhes Citoyenne

Varilhes Citoyenne Prochainement des informations plus précises.

Varilhes en Commun
Liste issue des élections Municipales de 2020 dans votre Commune va changer de nom
Les élus ayant démissionné une association a été créée avec comme appellation "VARILHES CITOYENNE" .

« CE N’EST CLAIREMENT PAS ASSEZ » : LA COLÈRE DES SYNDICATS RÉSONNE SOUS LA HALLE DE FOIX.« On lâche rien ! » Il y a deu...
04/12/2025

« CE N’EST CLAIREMENT PAS ASSEZ » : LA COLÈRE DES SYNDICATS RÉSONNE SOUS LA HALLE DE FOIX.

« On lâche rien ! » Il y a deux mois, jour pour jour, ils étaient huit syndicats à lancer l’appel à la grève. Aujourd’hui, ils sont trois (CGT, FSU et Solidaires) à vouloir « maintenir la pression sur le gouvernement » via la mobilisation sociale de ce 2 décembre.
Trois mois après le début du mouvement de protestation face à « l’austérité budgétaire » décriée par les organisations, les manifestants ariégeois se sont retrouvés sous la Halle de Foix
La raison ? Les « avancées obtenues » ne suffisent pas à leurs yeux. Le recul sur la suppression de deux jours fériés, le décalage de la réforme des retraites et l’engagement du Premier ministre à ne pas faire usage du 49-3 : un début, pas une fin en soi pour les militants présents.
« Quel choix de société fait-on ? »
« On estime que ce n’est clairement pas assez », assure Sophie VIERA, secrétaire générale de l’Union départementale CGT de l'Ariège. « À force de toujours taper sur les mêmes, de ne pas entendre et écouter les revendications populaires, la crise va s’amplifier », juge-t-elle.
L’espoir d’un recul sur certaines mesures prime encore pour atteindre ce que les participants appellent la « justice sociale, fiscale et environnementale ». Parmi les manifestants, on dénonce « la baisse du budget des Ehpad et hôpitaux » ou encore sur « les 3.000 postes supprimés dans la fonction publique ».
Davantage de moyens, voilà ce qui changerait le quotidien des professionnels « à bout de souffle » qui subissent les effets des coupes budgétaires assure le syndicat enseignant: « La fonction publique est la colonne vertébrale de notre société.
Aujourd’hui c’est la priorité qu’on lui donne qui pose question : quel choix de société fait-on ? »
Parmi les revendications portées, l’abrogation de la réforme des retraites, toujours. Mais aussi la « conditionnalité des aides publiques aux entreprises » qui pèse pour 211 milliards d’euros*, fait savoir la CGT qui souhaiterait voir valoriser les structures qui agissent en cohérence avec des valeurs telles que « l’augmentation des salaires », « le respect de l’environnement » mais aussi « l’égalité entre les femmes et les hommes ».
LE SCENARIO DE LA LOI SPÉCIALE INQUIÈTE
Le compte à rebours est lancé. Pour rappel, les parlementaires ont jusqu’au 23 décembre pour adopter le projet de loi de finances 2026. Au-delà de ce délai de 70 jours imposé par la Constitution, deux voies possibles : le gouvernement peut mettre en œuvre le budget par ordonnance - ce qui serait inédit - ou reprendre la même décision post-censure du gouvernement Barnier.
C’est-à-dire : le recours à une loi spéciale. Le texte doit être déposé avant le 19 décembre. Ce qui laisserait à nouveau place au même scénario qu’en début d’année : les parlementaires devront à nouveau examiner et débattre.
Pour la CGT, la loi spéciale est synonyme de détérioration : «cela veut dire qu’on ne dépensera pas plus, avec encore le gel des salaires, une perte de pouvoir d’achat, des investissements moindres de la part des collectivités, notamment dans les collèges, les lycées… Alors oui, on est inquiets. »

AUCHAN, CASINO... DANS LA GRANDE DISTRIBUTION, LA CASSE SOCIALE EN TOUTE FRANCHISEEn annonçant son intention de basculer...
04/12/2025

AUCHAN, CASINO... DANS LA GRANDE DISTRIBUTION, LA CASSE SOCIALE EN TOUTE FRANCHISE

En annonçant son intention de basculer 300 magasins sous pavillon Intermarché, la direction d’Auchan a semé l’angoisse parmi les salariés. Ce plan s’inscrit dans l’essor de la franchisation, une arme de paupérisation massive.
René Carette, délégué syndical central CFDT d’Auchan, se repasse en boucle le film de la journée maudite. « La réunion avec la direction a démarré à 8 heures du matin, le 25 novembre, à Villeneuve-d’Ascq (Nord), détaille-t-il avec cette précision lugubre qu’on emploie pour raconter les entrées en guerre. L’annonce a été faite à 11 heures. À 12 h 30, on a exigé une suspension de séance : tous les élus ont décidé de se lever et de sortir. C’est la première fois dans l’histoire d’Auchan qu’il ne restait plus personne autour de la table. »
Pour provoquer une telle onde de choc, il fallait un séisme. L’annonce dont parle le syndicaliste, c’est ce projet encore brumeux mais déjà inquiétant qui a été mis sur la table par la direction. Quelque 300 supermarchés Auchan vont basculer en franchise sous pavillon Intermarché et Netto (groupement Mousquetaires) en 2026.
11 000 salariés en sursis
Ces magasins et leurs 11 000 salariés seront logés dans une structure ad hoc, dont on ne sait pas grand-chose, si ce n’est qu’elle sera rattachée à Auchan tout en étant « autonome ». Condamnation unanime des syndicats CGT, CFDT, CFTC, FO et Sega (Syndicat national des entreprises des groupes Auchan), dans un communiqué commun.

COLLECTIF FRATERNITÉ SOLIDARITÉ, PROGRAMME DES MANIFESTATIONS AUTOMNE-HIVER 2025Le Collectif Associatif Ariégeois de Vei...
03/12/2025

COLLECTIF FRATERNITÉ SOLIDARITÉ, PROGRAMME DES MANIFESTATIONS AUTOMNE-HIVER 2025

Le Collectif Associatif Ariégeois de Veille pour la Fraternité et la Solidarité, a été créé afin d'agir contre les idées d'exclusions et de ségrégations (comme le racisme) portées par l'extrême droite qui envahissent les esprits et mettent en danger les valeurs humanistes, solidaires et démocratiques qui sont censées être celles de la République.
Réunies au printemps 2024 à Foix, nos associations ont décidé de mettre en commun leurs réflexions, expériences et énergies pour lancer un même cri d’alarme et annoncer des actions communes.
Les fédérations d’Éducation Populaire ainsi que d’autres associations historiques du département se sont retrouvées autour de cet objectif de veille active solidaire et fraternelle.
Acteurs de la vie associative et de l’éducation populaire, nous avons donc souhaité coordonner la mobilisation pour faire vivre nos valeurs et notre devise républicaine, pour la liberté, pour l’égalité, pour la fraternité !
Cet objet qui nous est commun nécessite une mobilisation permanente, la contribution de chacun d'entre nous, à sa mesure, à son rythme et selon ses possibilités, même minime, est vitale pour l'avenir.
Conformément aux décisions prises lors de la dernière réunion du collectif le 3 novembre, vous trouverez ci-dessous le programme des manifestations prévues pour cette fin d'année et labellisées dans la cadre de la campagne nationale "1001 territoires pour la Fraternité" ainsi que celles consacrées au 120 ans de la loi 1905 proposées par le collectif laïque.
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À voir ou à découvrir :
- L’exposition "l'Immigration en France, une histoire commune" proposée par le Musée national de l’histoire de l’immigration.
https://partage.ldh-france.org/s/YNARMEpRaRedc9p;

- Le lien ci-dessous vous permettra de voir ou revoir le film sur la Loi 1905, "la séparation" réalisé en 2005 et de le faire connaître si besoin autour de vous.
https://www.youtube.com/watch?v=KlojidlTbpo

LE GROUPE BOLLORÉ EMPOISONNE TOUJOURS PLUS LE DÉBAT PUBLIC, EXEMPLE EN MOINS DE VINGT-QUATRE HEURESPar François Rousseau...
02/12/2025

LE GROUPE BOLLORÉ EMPOISONNE TOUJOURS PLUS LE DÉBAT PUBLIC, EXEMPLE EN MOINS DE VINGT-QUATRE HEURES
Par François Rousseaux, pour Télérama
Trois instantanés médiatiques, en quelques heures, montrent à nouveau combien le centre de gravité des médias semble s’être déporté vers l’extrême droite. Et combien le groupe Bolloré a réussi à imposer son tempo, ses obsessions, ses intox, et à toujours plus abîmer le débat public. Les journalistes doivent-ils s’épuiser à déconstruire sa propagande, quitte à la placer au centre de l’échiquier médiatique, ou l’ignorer, au risque de la laisser gangrener ?
LUNDI, 20 HEURES, INSTAGRAM. « ATTENTION FAUSSE INFORMATION » : Emmanuel Macron interpelle les Français en lettres majuscules sur les réseaux sociaux, apposées sur une photo de l’animateur de CNews Pascal Praud. Sur son compte Instagram et celui de l’Élysée, le chef de l’État se voit obligé de mettre les pendules à l’heure après une série de fake news. Les médias du groupe Bolloré (Le JDD, CNews, Europe 1…) ont détourné ses déclarations de la semaine dernière en faveur d’une information « certifiée » et « labellisée », et l’ont accusé de vouloir « mettre au pas les médias ». Le président a pourtant clairement exprimé le contraire, indiquant qu’il revenait à des « professionnels » et des « journalistes » d’être les garants de la déontologie. Sinon, ce serait une « dictature »… Mais le voilà contraint, face au poison délétère des fake news, de publier lundi sur les réseaux sociaux l’archive de ses propos.
LUNDI, 20H10, TMC. Le talk-show Quotidien, suivi par 1,4 million de téléspectateurs entre 19h20 et 21h15, sur TMC, a invité une partie de l’équipe de Complément d’enquête, le magazine d’investigation de France 2. Depuis la diffusion jeudi soir de leur numéro consacré aux méthodes de la chaîne CNews, les journalistes du service public font face à une violente riposte des médias Bolloré. « Un festival de fake news », résume Tristan Waleckx, le présentateur du magazine, dénonçant ce qu’il appelle une « technique » du groupe Bolloré : « harceler les gens qui enquêtent sur tout ce qui touche à leurs intérêts ». On écoute Tristan Waleckx, ainsi que Lilya Melkonian, la journaliste autrice du Complément sur CNews, justifier la solidité de ce travail, mené pendant huit mois. Et l’on se désole pour eux de devoir en arriver là. Pour faire le tri entre faits et fake news après quatre jours de polémique, le présentateur Yann Barthès en vient à les soumettre à un questionnaire « Vrai ou faux ? ».
MARDI, 7H45, FRANCE INTER. Au micro de la première radio de France, le journaliste Patrick Cohen livre un édito clinique pour expliquer aux auditeurs ce qu’est le « label information certifiée », auquel ont souscrit de nombreux titres de presse dans le monde. Une façon de répondre, par un historique des faits, aux fausses informations propagées par le groupe Bolloré. L’éditorialiste rappelle que ce label, délivré par des cabinets d’audit, est le fruit d’une initiative de RSF (Reporters sans frontières) datant de 2017, et non pas d’Emmanuel Macron. Cohen, détaillant comment « la désinformation s’en prend à la lutte contre la désinformation », cite un conseiller de l’exécutif : « Nous avons franchi le seuil de la post-vérité. » Alors que démarre la campagne des élections municipales (15 et 22 mars prochains) — et avant l’élection présidentielle majeure de 2027 —, personne ne semble encore savoir comment y échapper.
https://www.telerama.fr/television/complement-d-enquete-de-france-2-sur-cnews-une-plongee-glacante-dans-le-systeme-de-la-chaine-d-info-0336_cri-7041680.php;

L’enquête de l’émission de France 2 détaille avec sérieux le fonctionnement de CNews, la chaîne d’information de Vincent Bolloré, et permet d’en comprendre son succès inquiétant.

« NOUS VOULONS UN BUDGET QUI RÉPOND AUX URGENCES SOCIALES » : la CGT, Solidaires et la FSU se mobilisent contre l’austér...
02/12/2025

« NOUS VOULONS UN BUDGET QUI RÉPOND AUX URGENCES SOCIALES » : la CGT, Solidaires et la FSU se mobilisent contre l’austérité et les coupes budgétaires

Ce 2 décembre, la CGT, Solidaires et FSU appellent à battre le pavé, alors que les discussions autour des lois de finances s’enlisent. Les perspectives austéritaires inquiètent les centrales, mais aussi le monde associatif.
Face à l’austérité, la CGT, Solidaires et la FSU ne désarment pas. Ce 2 décembre, les trois centrales syndicales appellent à une journée de mobilisation interprofessionnelle contre le budget 2026, pour les salaires et pour l’abrogation de la réforme des retraites. « Nous appelons à une journée d’alerte rouge », résume la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, alors que 160 manifestations et rassemblements sont attendus.
« Entre le 2 et le 9 décembre, l’Assemblée nationale examinera en seconde lecture le projet budgétaire de la Sécurité sociale (PLFSS), note la cégétiste. Lors de la première mi-temps de mobilisation, nous avons marqué des points. Nous entrons désormais dans une séquence décisive. »

RENDEZ-VOUS À 14H HALLE DE VILOTTE FOIX

LA LISTE « PAMIERS CITOYENNE » NOUS COMMUNIQUE.« Le Mardi 25 Novembre se tenait un des derniers conseils municipaux de c...
01/12/2025

LA LISTE « PAMIERS CITOYENNE » NOUS COMMUNIQUE.

« Le Mardi 25 Novembre se tenait un des derniers conseils municipaux de cette mandature 2020 – 2026.
À cette occasion La maire nous a indiqué que le prochain se tiendrait le mardi 17 février 2026 !! dans 3 mois ! soit moins d'un mois avant le premier tour des élections municipales et communautaires prévu le dimanche 15 mars 2026.
Aussi, nous organisons une réunion publique au cours de laquelle, il s'agira de présenter une partie des actions que nous avons menées en tant qu'élus minoritaires au Conseil Municipal , à la Communauté de Communes ou dans d'autres EPCI (Établissements Publics de Coopération Intercommunale) comme le SMECTOM ou le SMDEA.
Le fil rouge de ce bilan sera axé sur notre projet de démocratie directe impliquant les habitants : "Pamiers est à vous" !!!
Vous trouverez ci joint l'ordre du jour de cette séance du Conseil Municipal de mardi 25/11
cela vous permettra de visionner en vidéo les délibérations qui vous intéressent sur les 2h 49 de durée
https://www.youtube.com/watch?v=TE987Q5BXxs
Voir certaines parties où nous sommes intervenus pour notre groupe Pamiers Citoyenne
- reconnaissance demandée par la maire de catastrophe naturelle pour des mouvements de terrain survenus en 2024
qui ont pu provoquer ou aggraver des fissures dans des bâtiments privés ou publics.
Nous avons mis à profit une délibération sur le bradage de la vente d'un immeuble pour intervenir sur le dossier des mouvements de terrain à Pamiers qui n'était pas à l'ordre du jour. Nous demandons depuis plus de 6 mois à que la commune agisse sur ce dossier pour lequel nous l'avons alertée depuis avril 2025 avec la fermeture en urgence de la médiathèque . Nous demandions à ce que la mairie mène des investigations et envisage une procédure de reconnaissance de catastrophe naturelle en lien avec ce risque identifié comme "important" sur la commune. nous sommes intervenus à 2 reprises en conseil municipal (en vain) ;
Nous avons demandé et obtenu une audience le 15 septembre avec la sous préfète en invitant la maire à nous y accompagner ; ce qu'elle a refusé en répondant qu'il n'y avait pas lieu d'engager la procédure de demande de reconnaissance de catastrophe naturelle...
Nous avons insisté par voie de presse et avons appris par ce biais le 5 novembre dernier, qu'au final, la maire avait engagé le dossier le 28 octobre dernier !
C'est à partir de cette information que je suis intervenu en conseil mardi avec des précisions importantes quant aux délais contraints pour agir ...
- 2 délibérations pour la Délégation de Service Public de distribution de l'eau confié à Veolia sur le rapport annuel et le compte d'exploitation à nouveau déficitaire de près de 40 000€ (à la charge de la commune) il s'agit de l'exercice comptable 2024 qui aurait dû légalement être présenté au plus t**d fin juin 2025 !
- Réalisation d'un hangar et d'ombrières photovoltaïques pour le futur centre technique municipal
voir article dépêche ce jour - finalement la délibération sera ajournée
- Prêt d'usage d'œuvre d'art, Xavier Malbreil a voulu souligner le manque de parité dans le choix des artistes exposants au Carmel
-Plusieurs délibérations concernant des subventions aux associations : à titre exceptionnel ou des avances sur l'exercice 2026

RÉUNION PUBLIQUE PAMIERS CITOYENNE LE MERCREDI 3 DÉCEMBRE PROCHAIN A 20H30 SALLE DES CAPELLES
(en face de la Médiathèque, Place Soula)

BLOQUER BASF Le 17 novembre 2025, à Saint-Aubin-lès-Elbeuf, 500 personnes et des tracteurs convergeaient vers le site in...
28/11/2025

BLOQUER BASF

Le 17 novembre 2025, à Saint-Aubin-lès-Elbeuf, 500 personnes et des tracteurs convergeaient vers le site industriel de BASF, un des 4 premiers producteurs de pesticides mondiaux, en vue de le mettre à l'arrêt. Ce lundi sort un court-métrage, "Bloquer BASF", qui retrace de l'intérieur une mobilisation qui en appelle d'autres partout dans le pays : https://www.youtube.com/watch?v=WXD_CX9cXQ4- un film des Soulèvements de... 4 mois après les 2 millions de signatures contre la loi Duplomb, une coalition inédite de paysan·nes, riverain·es, malades, médecins, scientifiques a décidé d'entrer ensemble en action pour stopper la production des pesticides. "Bloquer BASF" montre comment s'introduire dans un site Seveso seuil haut quitte à en arracher la grille, puis le bloquer et l'inspecter.
On y entend les témoignages bouleversants de victimes de l'agrochimie dans l'hexagone et une dénonciation en acte du colonialisme chimique dont ce site est emblématique.
Deux semaines après les révélations sur Sainte-Soline, on y constate que la police française en est arrivée à un tel niveau d'indignité que ses hommes sont prêts à frapper à terre des personnes malades qui pourraient être leurs grand-mères.
Et pourtant, pour Gilles, Gisèle, José, Michel, Jean-Claude et leurs ami·es, quand on a 70 ans et que l'on a été systèmatiquement intoxiqué, il n'est désormais plus question de reculer pour mettre fin à cette industrie criminelle. Illes appellent les jeunes générations à sauver les corps et les terres et à les accompagner !
Dans la continuité de cette action, les Soulèvements de la terre ont sorti une cartographie de tous les sites liés à la production de pesticides en France visible ici : https://www.youtube.com/redirect?event=video_description&redir_token=QUFFLUhqa0E4blJWTHpneElKVDVIUm9ydng0YUVDNWJYZ3xBQ3Jtc0tsR0xUaEdWenB0dnNWSjFfcTRuVVRBUy03a2Roc2gxRXFaRkxudXpMY0tSWnZRcmluYjlYQV9obWEzamc4QmlDNTlDbVdxa1IwVW42Zlh4c01XVTVyVFhVMzZlS01VdzVQZmRwQjVZc0VYbnRtUlRrOA&q=https%3A%2F%2Flessoulevementsdelaterre.org%2Fen-eu%2Fblog%2Fcarte-des-sites-de-pesticides&v=WXD_CX9cXQ4
L'action de blocage du site de Saint-Aubin-lès-Elbeuf était menée à l'appel de la Confédération paysanne, du Collectif de Soutien aux Victimes des Pesticides de l’Ouest (CSVP0), de Cancer Colère, des Faucheurs Volontaires, et des Soulèvements de la terre, avec le soutien des Amis de la Terre Rouen et de la Via Campesina. "Bloquer BASF" est un film des Soulèvements de la terre
Merci aux diverses ami-e-s qui ont filmé, cogité, monté ainsi qu'à l'équipe d'Avant l'orage pour leur super contribution et appui.
https://youtu.be/WXD_CX9cXQ4

Le 17 novembre 2025, à Saint-Aubin-lès-Elbeuf, 500 personnes et des tracteurs convergaient vers le site industriel de BASF, un des 4 premiers producteurs de ...

26/11/2025

LÀ OU TOUT SE DÉCIDE,DONNONS UNE VOIX À LA NATURE 🏛️
Antoine GATET
Président de France Nature Environnement

Dans les couloirs des ministères, à l'Assemblée nationale, dans les négociations économiques... Là où tout se décide, la nature n’a pas de siège pour défendre ses droits.
En face ? Les lobbys, qu'ils soient industriels ou agricoles, redoublent d'efforts pour affaiblir ces lois que nous avons mis tant de temps à construire. Des lois qui protègent notre environnement et aussi notre santé.
Cette année ne fait pas exception : la loi d’orientation agricole a cherché à autoriser la destruction de la nature, la loi Duplomb a tenté de réintroduire les néonicotinoïdes mortels pour les abeilles, le projet de loi "Simplification" a cherché à détricoter le droit de l’environnement, le statut protecteur du loup a encore été remis en cause.
Ensemble, soyons le contrepouvoir qui fait entendre la voix de la nature !

https://merlin.fne.asso.fr/civicrm/mailing/url?u=38397&qid=11525316;

TROP D’ADMINISTRATIFS A L’HÔPITAL ?C’est la question que pose le Dr C. Prudhomme dans cette dernière chronique.Le RN ain...
26/11/2025

TROP D’ADMINISTRATIFS A L’HÔPITAL ?
C’est la question que pose le Dr C. Prudhomme dans cette dernière chronique.

Le RN ainsi que, malheureusement, un certain nombre de médecins nous expliquent que les problèmes à l’hôpital seraient dus à une administration pléthorique. Comme avec les immigrés, on désigne un bouc émissaire pour cacher les véritables causes du problème.
Nous avons besoin de personnel pour prendre en charge la gestion, la logistique, l’entretien des bâtiments et de nombreuses autres activités qui ne sont pas connues mais permettent au personnel soignant de ne pas s’inquiéter pour des tâches qui ne relèvent ni de ses qualifications ni de ses métiers.
Si les médecins n’avaient en charge ces problèmes de gestion, ils gagneraient 20 à 25 % de leur temps de travail, qu’ils pourraient alors plus utilement dédier à leurs patients.
Le vrai problème, c’est que le rôle des directeurs et de l’administration des hôpitaux a changé et que leur mission a été dévoyée. Il ne s’agit plus d’assurer le meilleur fonctionnement possible du service public, mais https://www.infirmiers.com/profession-ide/actualite-sociale/budget-sante-la-pire-cure-deconomie-pour-lhopital;
En résumé, l’essentiel des discussions dans les instances est de faire le point sur le déficit de l’année passée, de chercher à réduire le déficit de l’année en cours et de proposer des réductions de dépenses pour essayer de diminuer celui de l’année suivante. Le véritable problème provient du manque de ressources imposé par des lois de financement de la Sécurité sociale,
https://www.cgt.fr/actualites/budget-services-publics-protection-sociale/budgets-de-letat-et-de-la-secu-dautres-choix-sont-possibles; qui ne permettent même pas de maintenir l’existant.
C’est une spirale infernale où, pour faire des économies, il faut diminuer le nombre de lits tout en évitant la fuite du personnel soignant et en essayant de recruter des médecins dans les spécialités où le différentiel de rémunération entre l’activité dans le public et dans le privé est tel que la tâche est quasi impossible.
Certains pourront citer avec raison des exemples – trop nombreux – où les directeurs se font de zélés relais des politiques gouvernementales de casse de l’hôpital avec du personnel administratif concentré sur les questions financières sans aucun égard pour les besoins des soignants. Mais ne nous trompons pas d’ennemis même si, au quotidien, les relations peuvent être rudes avec les directions.
La vraie question est celle des moyens nécessaires pour répondre aux besoins.
Nous ne connaissons pas encore le budget des hôpitaux pour 2026, mais, quel que soit le résultat des discussions au Parlement, nous savons déjà qu’il sera insuffisant tant que nous conserverons ce gouvernement.
Car son choix idéologique est celui de la santé marchandise et de l’hôpital entreprise, ouverts aux appétits de financiers dont l’objectif ne sera jamais d’assurer le meilleur service public possible, mais restera toujours le meilleur retour sur leur investissement.
Un autre hôpital est possible. A bientôt !

ARRÊTS MALADIE DES FONCTIONNAIRES : LES SÉNATEURS DE DROITE REMETTENT SUR LE TAPIS LA HAUSSE DU NOMBRE DE JOURS DE CAREN...
23/11/2025

ARRÊTS MALADIE DES FONCTIONNAIRES : LES SÉNATEURS DE DROITE REMETTENT SUR LE TAPIS LA HAUSSE DU NOMBRE DE JOURS DE CARENCE

Dans le cadre des débats sur le projet de loi de finances 2026, les sénateurs de droite ont adopté un amendement visant à faire passer d’un à trois le nombre de jours de carence pour les arrêts maladie dans le secteur public. Avec une probabilité forte de voir les alliés centristes de la majorité sénatoriale apporter leurs suffrages, lors de son vote dans l’hémicycle, à cette mesure unanimement jugée inique par les syndicats.
Ils n’en démordent pas. Les sénateurs de droite ont profité des débats sur le projet de loi de finances 2026 pour remettre sur le tapis la question de l’indemnisation des arrêts maladie des fonctionnaires, l’une de leurs grandes obsessions. La commission des finances de la chambre haute a ainsi adopté un amendement visant à imposer trois jours de carence (contre un actuellement) pour les arrêts maladie ordinaires dans le secteur public.
L’amendement porté par le sénateur LR Claude Nougein concernerait la fonction publique d’État, mais la mesure serait susceptible d’être imposée également aux deux autres versants (territoriale et hospitalière). Et pourrait bien cette fois, lors de son vote dans l’hémicycle, emporter les suffrages des alliés centristes.

112 MILLIONS D’EUROS D’ÉCONOMIES SUR LE DOS DES AGENTS
Sous couvert « d’une équité avec le secteur privé » – un argument jugé unanimement fallacieux par les syndicats de fonctionnaires — la majorité sénatoriale de droite et du centre ne cache pas sa volonté de faire une économie de 112 millions d’euros sur le dos des agents. Non sans en rajouter une louche de stigmatisation sur leur supposé « absentéisme » et la nécessité de prévenir leur « décrochage », selon les termes de Claude Nougein.
Au-delà du fait que les agents, dans de larges pans de la fonction publique, sont surexposés aux risques de tomber malades, notamment dans la fonction publique hospitalière ou encore dans le secteur public territorial de la petite enfance, les derniers chiffres révèlent des taux d’absence à peu près équivalents dans le public et le privé (en moyenne 11,1 jours en 2024, contre 10,6 jours pour les salariés du privé).

UN COUP DE MASSUE SUPPLÉMENTAIRE
Si la mesure venait à passer dans le budget 2026, elle constituerait en tout cas un coup de massue supplémentaire pour les 5,7 millions d’agents publics qui subissent déjà, depuis le 1er mars 2025, une baisse de 10 % de leur rémunération durant les trois premiers mois de congé de maladie ordinaire.
Cette baisse de l’indemnisation, passée de 100 % à 90 %, qui avait été imposée dans le budget 2025 et destinée pour l’exécutif à récupérer 900 millions d’euros par an, est particulièrement redoutable pour des agents qui paient déjà le prix fort de la potion austéritaire servie par les gouvernements macronistes successifs : gel du point d’indice, fin de la garantie individuelle de pouvoir d’achat (Gipa), qui représentait un filet de sécurité leur permettant de compenser l’inflation… Pour les agents les moins bien payés, ceux qui appartiennent à la catégorie C de la fonction publique, ces coups répétés s’apparentent même à une double peine.
La CGT Fonction publique a réagi, le 19 novembre, dans un communiqué à l’annonce de cet amendement en dénonçant une mesure qui s’ajoute “au musée des horreurs” de ce budget et “confirme l’agression portée à l’encontre des agent.es publics quant à leurs droits à la sécurité et à la protection sociales”. Le syndicat appelle en ce sens à contrer ces mesures par une mobilisation massive le 2 décembre prochain à travers des grèves et des manifestations dans toute la France.
Aides-soignantes, cantonniers, agents d’entretien, Atsem (agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles), éboueurs… Ceux-là mêmes qui constituaient le gros des bataillons parmi les travailleurs dits « de première ligne » pendant le Covid sont aussi les plus exposés aux risques de tomber malades, tout en étant les plus mal payés. Ils sont de facto le plus durement touchés par cette amputation de 10 % de leur indemnisation qui leur fait perdre, selon des estimations syndicales, plus de 200 euros pour 20 jours d’arrêt (en cumulant le jour de carence et cette baisse de l’indemnisation).
(merci à l’Huma)

On nous communique:LA LETTRE de VOX SCRIBA décembre 2025 / Nouvelles éditions.Les fêtes de fin d'année approchent !Pour ...
21/11/2025

On nous communique:
LA LETTRE de VOX SCRIBA décembre 2025 / Nouvelles éditions.
Les fêtes de fin d'année approchent !
Pour faire plaisir ou vous faire plaisir, offrez des livres !
Découvrez les dernières éditions !
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RENDEZ-VOUS LE 22 NOVEMBRE, À TOULOUSE, POUR LA MANIFESTATION NATIONALE !On s’alarme à juste titre de la politique réact...
21/11/2025

RENDEZ-VOUS LE 22 NOVEMBRE, À TOULOUSE, POUR LA MANIFESTATION NATIONALE !
On s’alarme à juste titre de la politique réactionnaire dévastatrice pour les femmes et les minorités de genre que Donald Trump mène outre-Atlantique, mais l’offensive réactionnaire est mondiale et n’épargne pas la France. Le Président de la République Emmanuel Macron et sa ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes Aurore Bergé ont beau agiter des slogans, le compte n’y est toujours pas et nous continuons de pleurer nos mortes et de déplorer l’insuffisance des politiques publiques concernant la « grande cause » des quinquennats.
L’ÉGALITÉ DE GENRE EN RECUL DANS LE MONDE
En matière d’égalité de genre, les enquêtes soulignent un recul mondial systémique : les libertés sexuelles et contraceptives, économiques et politiques sont attaquées, aucun pan de l’existence des femmes n’est épargné. Des micro-agressions du quotidien aux féminicides, des violences économiques au viol comme arme de guerre, les droits les plus fondamentaux sont menacés.
UN BUDGET SEXISTE
En France, le budget d’austérité épargne les plus riches et les dépenses militaires avec leur imaginaire viriliste. En revanche la menace de la dette et son cortège de coupes budgétaires s’attaquent aux services publics et donc d’abord aux femmes. Les métiers concernés sont en effet largement féminisés (la santé, l’éducation, la culture, le social, le soin...) et, comme agentes, elles voient leurs conditions de travail se dégrader réforme après réforme. Comme usagères, elles subissent de plein fouet les coupes budgétaires qui affectent les associations et les collectivités territoriales, en première ligne dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Les missions de prévention et d’aide aux femmes victimes de violences ne peuvent plus être assurées. Les associations de terrain, comme le planning familial, sont littéralement abandonnées.
Les dépenses publiques sont en baisse, mais pas les féminicides : au 6 novembre, on en dénombrait 138 depuis le début de l’année. L’austérité n’est pas une fatalité, c’est un choix politique aux conséquences dramatiques.
LA MENACE DE L’EXTRÈME-DROITE
Affaibli par des coupes budgétaires, le terrain de la vulnérabilité devient la cible d’idéologues catholiques ultra-conservateurs. Pierre-Édouard Stérin, par exemple, joue au philanthrope et finance des associations aux principes réactionnaires, comme La Maison de Marthe et Marie qui permet la colocation pour femmes enceintes, mais s’avère être une structure importante des milieux anti IVG. Le projet de l’extrême-droite est anti-féministe, le RN est l’ennemi des femmes et des minorités de genre : il n’a pas voté la loi de 2018 contre les violences sexuelles et sexistes.
Signataire de l’appel du collectif Grève Féministe et de l’appel national du collectif , Attac France est aux côtés des organisations syndicales et féministes pour dénoncer un budget sexiste et exiger les moyens financiers et humains nécessaires à la lutte contre les violences systémiques que subissent les femmes et les minorités de genre :
- Une loi-cadre intégrale contre les violences sexuelles, comprenant de la formation continue autour de la prise en charge des VSS par la sphère judiciaire ;
- 3 milliards d’euros pour mettre en place cette loi ;
- Une Éducation à la Vie Affective Relationnelle et à la Sexualité (EVARS) effective partout ;
- L’arrêt immédiat de la baisse des financements et un rattrapage du budget des associations qui accompagnent les victimes et assurent l’éducation populaire sur les questions de violence et d’égalité de genre.

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