08/12/2025
La médecine moderne ne cherche pas à te guérir.
Elle cherche à te stabiliser.
C’est brutal, mais c’est vrai.
On t’a appris à croire que l’hôpital était un temple du "retour à la santé".
En réalité, c’est un système de gestion, pas un système de guérison.
Et tant que tu ne comprends pas cette différence, tu restes prisonnier.
La médecine moderne excelle dans l’urgence, la chirurgie, le sauvetage.
Elle sauve des vies tous les jours — personne ne remet ça en question.
Mais dès qu’il s’agit de maladies chroniques, tout change :
On ne te demande pas pourquoi ton corps dysfonctionne.
On te demande quel symptôme tu veux éteindre.
On te prescrit des molécules pour calmer :
la douleur, l’inflammation, l’acidité, les spasmes, les hormones, le système immunitaire.
On ajuste les doses. On t'ajoute un traitement pour compenser les effets du précédent.
On surveille.
On t’étiquette.
Et on t’apprend à “vivre avec”.
Mais on ne te montre jamais comment sortir du cycle.
Parce que le business du symptôme rapporte plus que la guérison.
Parce que des milliers de patients stabilisés, c’est une sécurité économique.
Parce que répondre à la racine des problèmes implique de remettre en cause l’alimentation, l’environnement, l’hygiène de vie, la biologie humaine profonde…
Et ça, ce n’est pas enseigné en faculté.
Alors on maintient les gens à flot, sans les libérer.
On soigne la conséquence, jamais la cause.
Le jour où tu comprends ça, tu cesses d’être un patient.
Tu deviens un acteur.
Tu te mets à étudier ta physiologie comme ta vie en dépend (parce que c’est le cas).
Tu t’éduques.
Tu expérimentes.
Tu reprends ton autonomie.
La vraie guérison commence le jour où tu arrêtes d’espérer qu’un système pensé pour gérer ta maladie puisse te rendre ta santé.
C’est inconfortable.
C’est dérangeant.
Et c’est la raison pour laquelle si peu s’en sortent.
Fabrice/Le Grand RESET